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Le Corbeau ? TG, CM ! [Valilouvée !]

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Corbeau

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Le Corbeau ? TG, CM ! [Valilouvée !]

samedi 29 novembre 2014, 11:40:24


Dans ses atours noirs comme la nuit, il semble ne se vêtir que dans de vieilles ténèbres aux extrémités déchirées et salies de poussières ramassées au gré de ses errances. Ses bottes témoignent également de ses longs voyages : lourdes et ornées de petites chaînettes à l'argent depuis longtemps vieillies, le cuir les composant à entamé depuis un temps déjà sa décrépitude. Ce noir là est passé, tirant de plus en plus vers le grisâtre des nuages annonciateurs d'orage mais seulement par petites touches que la boue vient facilement couvrir; un gâchis pour en dissimuler un autre.
Ses chausses n'ont rien de plus glorieux, le cuir souple qui les composent est certes moins attaqué et autrement plus nocturne que les bottes mais trous et déchirures en zèbrent la surface, vestiges de combats passés ainsi que de fuites aux acrobaties mal calculées. Hé !, on ne peut réussir à s'en sortir proprement lorsqu'on se plonge à cœur joie dans la mélasse. A la taille de ce vêtement qui autrefois devait avoir une autre prestance se chevauchent nombre de ceintures dont une seulement -la moins visible en fait sous tout cet attirail- lui sert à ne pas perdre son froc. Les autres ne sont la que pour la décoration, de cuir laminé et de métal anciennement brillant, elles se rejoignent sur ses hanches et y pendent légèrement en cliquetant furtivement à chacun des pas du bonhomme. Certaines de ces ceintures, autrefois, ont dû être précieuses. L'une d'elle est d'ailleurs un peu plus large que la moyenne, uniquement composées d'anneaux de fer entremêlés dont le centre gardait enchâssé quelques pierreries; aujourd'hui vides.
Reste d'intérêt un dernier ceinturon qu'on prêterait très volontiers à un guerrier si on l'apercevait sous le monceau : plus épais que les autres et bien moins notable, il se contente de supporter le fourreau d'une épée courte qui bat contre la cuisse de son propriétaire. Qui arpenterait les routes de ce monde sans un acier prompt à siffler ?

L'arme n'est pas vraiment visible pour autant. Les longs et lourds pans du manteau couleur nuit de malheur descendant un peu plus qu'à mi-mollet, on ne peut spécialement pas y discerner ce qui dessous pourrait se trouver cacher. Ce vêtement est indissociable de celui qui le porte,  toujours à reposer sur ses épaules et à lui offrir une traîne noire et déchirée qu'un sorcier ne détesterait pas. Déchiré aux manches, la grande pièce de cuir laisse les avant-bras libres depuis les coudes et se porte obstinément ouverte sur un torse dénudé. Les épaules sont cloutées de pointes discrètes et le dos orné d'une paire d'ailes grossièrement gravée dans le matériau à l'aide d'une pointe de couteau. Pas toujours visible non plus, la décoration approximative : un large et long chaperon de cuir souple coule depuis le col et gâche un peu le dessin. Fi pourtant de considération, la large capuche faisant amplement son office lorsque le moment est arrivé de verser dans la mise en scène.

Ce visage barbouillé d'encre pourrait sembler d'ailleurs en être un élément, de cette parade scénique dont se pare en tous temps l'homme aux cuirs. Son faciès devait pourtant être charmant; on en devine encore les lignes flatteuses et douces sous les arêtes des ossements d'encre qui décorent singulièrement le visage de cet homme à nul autre pareil. C'est bel et bien un crâne humain qui s' étale sur la toile organique; les orbites noires et figurément vides cernent largement les yeux gris-bleus (bien réels, eux) de notre singulier personnage. Point de sourcils comme de barbe et de moustaches, la gueule d'ange décomposé est imberbe et laisse se dévoiler sans complexe les accents divers du squelette tatoué. Les lippes charnues disparaissent sous le dessin des dents, qui semblent libérer lorsqu'elles se meuvent au fil des mouvements de lèvres une seconde rangée de dentines aussi blanches que régulièrement disposées.
Le barbouillage superbement ouvragé aurait pu continuer; les cervicales dessinées glissent d'ailleurs sur la nuque. Elles s' effacent -c'est un mot qui vous semblera d'un justesse absolue- sur la peau pâle qui fait si bien ressortir les traits d'un ébène épais. C'est le cas à d'autres endroits de ce corps aux courbes musculeuses et attirantes : les pectoraux saillants portent les esquisses d'une cage thoracique dont le dessin semble se diluer sur l'épiderme un peu en dessous du plexus solaire. Le dessin reparaît plus bas, sur les reins puis les fesses au galbe ferme. Il joue de nouveau l’évanescent à moitié moins de la cuisse pour ne revenir que sur la seule jambe gauche pour en dévoiler le tibia jusqu'à la cheville, avant une nouvelle disparition.
La main droite est elle aussi tatouée, ainsi qu'une partie de l'épaule du même côté. Sur la gauche, c'est sur le bras que se présente le tatouage qui court jusque sous le coude.
Restent ses ongles, véritables serres au vernis noir quelque peu écaillé. Entretenus par le Corbeau, ils sont de véritables armes à part entière et, à vrai dire, une composante essentielle de sa panoplie. Comme les larges bracelets de cuir qui couvrent ses poignets.

Une singulière apparence, à n'en point douter, soulignée par la crinière d'un blond tirant facilement vers le blanc immaculé. Mi-longue et souvent tirée vers l'arrière, elle achève de donner à notre drôle d'oiseau un cachet des plus particuliers.


Il apparaît que pour le décrire, beaucoup d'encre à déjà coulé; un amusant parallèle avec celle qui passe sur sa peau. D'oiseau, notre drôle en emprunte aussi le nom. Il est ainsi Corbeau et ne vous offrira jamais de le nommer autrement -ce qui, au vu de son apparence, ne vous viendrait pas vraiment à l'idée. Noir et sinistre d'aspect, il est légitime de se demander si ses coeurs et pensées sont de la même teinte.
La nuit est inquiétante lorsque meurt la torche; elle n'est pour autant pas froide et pleine de terreur le long de toutes ses heures. Corbeau est ainsi semblable à la mort du jour : son apparition n'annoncera pas toujours le malheur et la disgrâce. Au contraire, il pourrait bien promettre quelques moments aussi précieux que saugrenus du meilleur effet. Bon compagnon, le noir musicien sait l'être lorsque lui en vient l'idée. Il régalera l'assemblée de bons mots et d'accords joyeux entre deux pintes descendues d'une traite, une garce gesticulante sur ses genoux le régalant de baisers. Vif d'esprit, nul doute que le tatoué saura tirer quelques traits bien à propos au fil des discussions, riant à gorge déployée à ceux des autres et admettant d'être battu sur le terrain des échanges verbaux si la chose en venait à survenir. Filou et roublard, le Corbeau à la guitare saura tout autant se dédouaner de l'addition que la payer à l'aide d'une bourse volée. Jamais pris au dépourvu et toujours prêt à jouter tant qu'à juter, l'homme au visage encré saurait tenir le beau rôle d'une épopée.

Mais la nuit sait garder ses dangers par-devers elle et l'homme qui peut s'y fondre ne manque pas de s'en montrer tout aussi fourbe. Corbeau est un vaurien, tueur éprouvé qui se fait passer pour une image de la Mort quand sa capuche est rabattue. Ce crâne d'os fait son effet, une fois plongé dans la pénombre... Et le cliquetis de son barda de chaînes achève là de signifier une effrayante allégorie.
Il n'hésite pas à tuer; il ne tue pas pour autant aveuglément. Le tatoué obéit à certaines règles qu'il préfère remiser derrière les pans de son manteau au bas flottant.

Cynique et un peu désabusé, Corbeau traîne sa carcasse au fil des sentiers terreux et routes pavées à travers Terra, menant dans son sillage une bonne humeur étonnante et des promesses de mort sur fond de piques verbales et d'incisifs tours de langue. Voilà bien un volatile qui n'est pas près d'arrêter de croasser !


Son aspect présente tant de particularités qu'on peut sans peine le détailler. Sa psyché est un peu plus secrète (n'allez pas croire que le bref résumé ici livré soit absolument complet) mais se voit possible à approcher si l'on y accorde un peu de temps et un poil de jugeote. Reste néanmoins un élément majeur à évoquer pour dépeindre le portrait de cet étrange sire aux allures de mauvais augure : son passé. Disert à ce propos, le Corbeau ? Point. Le jeu du silence -à ce sujet du moins-
s'impose à sa bouche féconde phrasés dès que l'on approche de ce chapitre çi. Il lui est arrivé parfois d'en parler; brièvement et sans assurance pour qui l'écoutait qu'il n'était pas là question d'un mensonge fort bien présenté.

Corbeau se dit né du sein nourricier de la Nuit en personne, vomi par les heures les plus profondes de l'opposé du jour alors que la lune même se cachait derrière la toile dense de lourds nuages d'orage. Recueilli par des loups guidés à lui par un gigantesque corbeau à l’œil grenat flamboyant, le tatoué aurait longtemps été élevé par une meute sauvage à la façon d'une bête. De cet âge aussi béni qu'improbable, Corbeau aurait conservé la férocité carnassière du redoutable prédateur forestier ainsi qu'un goût certain pour le sang et la traque. Peut-être aussi celui de la lutte pour la place de l'alpha et le jeu entre congénères ?

Toujours est-il qu'une nuit (encore une, mais qui s'attarderait sur son histoire si on y plaçait un fort soleil ?), le môme qu'il était jadis se retrouva contraint à l'exil par les siens même. La meute s'était peut-être lassé de ce jeune sans pelage ? L'histoire était peut-être trop bancale à continuer dans cette voie ?
Le Corbeau néantément nommé n'eut que quelques semaines à errer sur les landes inhospitalières qui bordaient le territoire de son ancienne fratrie pour continuer le fil de son douteux destin : à l'orée d'un bois sinistre qu'on présentait comme hanté, il retrouva le grand oiseau aux yeux rouges qui avait guidé les loups à lui une fois sa naissance arrivée. Troquant sa pelisse lupine contre un plumage d'ébène, l'enfant se fit volatile.

Du Corbeau il prit le nom et les leçons, touche à tout de génie qui versait par défaut dans la sorcellerie des illusions et des invocations, crochetant son trajet  sur les arts de l'animorphose. Oiseau aux plumes noires un jour, chat de la même teinte un autre...
Le gamin apprit dès lors à avoir plus d'un tour dans sa besace. Il accepta les règles du corbeau son maître pour lui soutirer quelques arcanes autrement inaccessibles mais joua de l'épée en autodidacte, l'oiseau se montrant fort peu désireux de le voir se servir de l'acier.

La musique lui vint de cette époque aussi; portée par la taverne du village paumé le plus proche de sa forêt. Corbeau feignit l'abandon pour se faire accepter dans les salles malpropres du petit cloaque peu décemment fréquenté. Laissant traîner ses oreilles au fil des notes pincées sur un luth ou un violon, l'apprenti du volatile ne tarda pas à s'en découvrir un indéniable talent musical qu'il affecta de faire croître avec l'acharnement des passionnés. Volant son premier instrument à un musicien trop aviné pour qu'il parvienne à le courser, Corbeau décréta dans l'instant que les mélodies n'auraient de cesse de l'accompagner.
Le môme alla ainsi d'années en décennies, devenant un singulier sorcier-barde qui se fit connaître davantage pour son visage largement encré que pour la qualité de ses compositions artistiques -pourtant pas mauvaises au demeurant. D'où est-ce qu'il tenait ses curieux tatouages ? Aucune des histoires qu'il aura jusque là contée ne l'aura dit et Corbeau est bien décidé à conserver son secret.

L'origine de son indissociable (et presque anachronique) instrument est en revanche bien moins mystérieuse et presque trop banale pour qu'on puisse la croire. Corbeau raconte que durant les tribulations qu'il entama après que son maître emplumé l'ait congédié (pourquoi,  lui seul le sait), une drôle de singularité l'enleva de Terra pour le déposer dans une sorte de monde reflet -plus triste et déformé. Seule la musique le réconforta, surtout que le Corbeau découvrit là de nouveaux courants de mélopée. Brutalité et sons lourds firent délicieusement vriller ses tympans et il ne réfléchit pas à deux fois pour adopter à sa façon les codes d'une nouvelle école;  celle du rock, des rocks. Fripes de lin et de tissus froissés laissèrent place à des cuirs sombres et souples, chaînettes clinquantes et accessoires remplacèrent les derniers reliquats venus tout droit de Terra.
Sans une guitare toutefois, la panoplie ne pouvait être complète et Corbeau se mit en tête de l'achever. Son vol se termina en course-poursuite avec la maréchaussée locale qui fut à deux doigts de le pincer lorsque la magie (ou n'importe quoi d'autre, au final) le ramena à son foyer toutes affaires cessantes.

La gratte, Corbeau l'enchanta. Comme un drogué chargé jusqu'aux yeux de sa cames et de l'ensemble de ses dérivés, la guitare se retrouva tant et si bien gavée de rites magiques ancestraux et parcourues de runes qu'on pouvait la qualifier d'artefact sans équivalent. Au fil de ses propres perfectionnements dans ses domaines, Corbeau continua à en faire profiter sa gratte qui produisait un son électrique sans système de son ni apport en électricité. Nommée affectueusement TGCM, elle ne le quitta jamais plus et devint son partenaire le plus proche.
Les deux compagnons (TGCM semblant parfois avoir sa propre personnalité, Corbeau étant souvent surpris à établir avec sa gratte noire une sorte de dialogue) commencèrent de là à écumer les routes de Terra comme bardes, fameux chanteurs-musiciens racontant bonnes histoires tout en faisant vrombir de leurs accords conjugués les endroits où ils se produisaient en l'échange d'un bon repas ou de quelques piécettes. Qui se cumulaient avec une activité moins cordiale, comme la chasse à la prime et ce que quelque nature qu'elle fut. Parfois aussi quelques larcins et assassinats ainsi que des règlements de comptes, ce répertoire aléatoire de terrains de jeux n'ayant de cesse de brouiller les pistes quant à la véritable nature morale du controversé Corbeau métalleux.

Point de quête épique ni de but à atteindre pour s'accomplir en tant que personne; Corbeau ne semble courir qu'après son seul intérêt et n'apparaît pas comme suivant une ligne directrice. On lui prête pourtant une sorte d'anarchie organisée, qui dissimulerait ses réelles ambitions. Qui peut dire si cela est vrai ou si Corbeau n'est qu'un original très stéréotypé dans son aspect ? Personne, et lui ne vous répondra pas.

Une chose est sûre, pourtant : lorsqu'il se montre, on peut être certain que les parages vont vite s'animer... Et, souvent, les cadavres s'empiler.


Corbeau et TGCM savent faire nombre de choses, des plus impressionnantes aux plus inutiles. C'est une donnée qui compose l'équation de leur numéro de saltimbanques aventureux et de tueurs féroces, aussi faut-il s'arrêter un instant sur ces talents.

Le tatoué est magicien; versant dans la nécromancie avec un net penchant pour l'animation de squelettes (le B.A-ba du domaine) qu'il peut relever d'un seul os. D'autres pouvoirs et connaissance de cet art sinistre lui sont acquis et resteront secrets, bien que vous pouvez apprendre qu'il joue très souvent avec des forces infernales qui prennent beaucoup de plaisir à lui répondre. Corbeau est également un invocateur d'esprit élémentaires, avec une très nette affinité pour la foudre qu'il utilise le plus souvent en duo avec TGCM pour des riffs littéralement dévastateurs qui se couplent à des illusions. Enfin, c'est un animorphiste somme toute talentueux puisqu'il peut adopter la forme de nombreux animaux, qui prennent systématiquement la couleur de ses vêtements (qui d'ailleurs suivent la transformation). Il peut se diviser -un vol de corbeau par exemple- mais cela inclue le risque de perdre une partie de lui-même en cas de souci.
Notons surtout qu'il est un musicien plus que compétent pouvant jouer de bien des instruments avec un talent qu'il serait tout à fait légitime de lui jalouser à mort. Corbeau sait également se battre à l'épée (sans plus de facilité qu'un autre, n'étant guère formé que sur le tas) et surtout à la faux, son arme de prédilection.

TGCM est débordante d'enchantement divers qui la rendent unique, bien qu'elle ne fut à l'origine qu'une guitare électrique tout à fait classique. Lister toutes ses capacités actuelles serait fastidieux, mais disons au moins qu'elle peut devenir une Faux de combat pour servir d'arme principale à Corbeau, qu'elle ne peut rester séparée de lui et qu'elle est capable de produire différentes gammes de sons sans changer de nature instrumentale. Utilisée pour établir des attaques mêlant physique et illusions, TGCM supporte également la production d'énergie élémentaire primaire et possède dans le bois de son corps un mini-portail d'invocation (petit raccourci installé là par Corbeau pour se faciliter la magie, forcément).
Capable de se fondre dans les transformations animales de son maître pour le suivre absolument n'importe où, TGCM possède le pouvoir plus que mortel de produire une très très épaisse brume noire, qui est idéale pour que Corbeau puisse se mettre en scène lors de ses entrées et sorties.
Enfin, Corbeau et TGCM semblent entretenir un lien très particulier et pour l'heure indéfinissable, puisque le tatoué semble lui parler et pouvoir dialoguer avec alors que le commun des mortels ne discerne rien.

En guise de touche finale, il est bon de signaler que Corbeau dégage pour qui y est sensible une très profonde aura démoniaque, évidemment noire comme la nuit.
« Modifié: samedi 29 novembre 2014, 12:28:53 par Shad Hoshisora »

Cassidy Green

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Re : Le Corbeau ? TG, CM !

Réponse 1 samedi 29 novembre 2014, 11:50:04

Bienvenue ;D
Voici mon topic pour découvrir mes autres comptes. Veuillez aussi me contacter sous ce compte pour mes autres personnages, vu que je suis plus souvent connecter avec Cassidy Green qu'avec les autre ;D

Samuel R.

Humain(e)

Re : Le Corbeau ? TG, CM !

Réponse 2 samedi 29 novembre 2014, 11:57:51

"Mais le mec il se transforme en bestioles...
Il a une gratte enchantée qui change de formes...
Il parle à sa guitare...
Et en plus il a un look badass... il cumulerait pas un peu les bon points là ?!?"

Réponse : Mais Ta Gueule ! C'est Magique !


Bienvenue !

Corbeau

Créature

Re : Le Corbeau ? TG, CM !

Réponse 3 samedi 29 novembre 2014, 12:01:38

Pourquoi crois tu que c'est le nom de la gratte, si ce n'est que pour tout justifier ?  ;D

Merci tous les 2 !

Shad Hoshisora

Terranide

  • -
  • Messages: 4462


  • FicheChalant

    Description
    A un putain de réseau social.

Re : Le Corbeau ? TG, CM !

Réponse 4 samedi 29 novembre 2014, 12:28:14

"Arrive en sautillant"
Personnage intéressant ! Et puis mince, il a une guitare électrique sur Terra ! Badass !
Allez, tu peux te promener aux grès de tes envies et nous ramener ici et là quelques cadavres.
Et amuses-toi bien sale piaf !

Corbeau

Créature

Re : Le Corbeau ? TG, CM ! [Valilouvée !]

Réponse 5 samedi 29 novembre 2014, 12:31:19

Fuck yeah, thanks !

\m/ (■-■) \m/

Calliope Tick

Humain(e)

Re : Le Corbeau ? TG, CM ! [Valilouvée !]

Réponse 6 samedi 29 novembre 2014, 13:56:46

Vraiment hyper classe :3
Bienvenue o/

Corbeau

Créature

Re : Le Corbeau ? TG, CM ! [Valilouvée !]

Réponse 7 samedi 29 novembre 2014, 15:20:39

Merci ma poule ! <3

Lucrecia

Créature

Re : Le Corbeau ? TG, CM ! [Valilouvée !]

Réponse 8 dimanche 30 novembre 2014, 02:30:17

Bon, que dire sinon...

Re-bienvenue à toi !



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