[FINI] Ange & Démon [Sya]

La conversation devenait de plus en plus sérieuse. Samara, en tout cas, se demandait si Sya dirait toujours que Maîtresse Mélinda était la plus merveilleuse des Maîtresses quand elle en aurait une autre... Si elle en avait une autre un jour. Samara était bien placée pour savoir que Mélinda était une femme dont on se surprenait à s’attacher de plus en plus. C’était manifestement le cas pour Sya, puisqu’elle avait été jusqu’à sonder les rêves de Mélinda, explorer ses désirs les plus profonds, afin de mettre au jour l’un des plus grands fantasmes de Mélinda, un rêve dont la vampire parlait fort peu : avoir un enfant. Samara savait que Mélinda en rêvait, car la vampire lui en avait déjà parlé, et Samara avait mené des recherches et des expériences à ce sujet... Expériences restées infructueuses pour l’heure, tout comme les recherches qu’elle avait effectué. Sya, en tout cas, voulait sincèrement offrir à sa Maîtresse un bébé. C’était quelque chose de curieux, et Samara, en caressant les cheveux de Sya, sourit donc, amusée.

« Tes préoccupations sont louables, ma chère Sya, mais elles vont au-delà de ce qu’une esclave temporaire devrait faire pour sa Maîtresse... Si tu offres un bébé à Mélinda, tu resteras toujours son esclave, car elle te voudra auprès d’elle... Mais ce n’est pas comme si être son esclave était un problème, n’est-ce pas ? »

Un sourire amusé vint éclairer les lèvres de Samara. La démone n’était évidemment pas dupe, et comprenait tout à fait ce que Sya souhaitait, ce qu’elle désirait. Elle reprit donc, en continuant à la maintenir contre elle, et à la câliner tendrement, ce qui, pour une démone, était tout de même assez exceptionnelle.

« Mélinda désire en effet une progéniture... Tu le remarqueras clairement quand l’une de ses esclaves accouchera. Elle se fait toujours un point d’honneur d’y assister en personne, et ses esclaves savent très bien qu’elle adore tenir le petit bébé entre ses bras quand il vient de naître. Mais oui, elle rêve de satisfaire à son instinct maternel, et d’avoir un véritable bébé, un petit enfant qu’elle pourra tenir dans ses bras. Qu’il soit homme ou fille lui est totalement indifférent, mais... Le vampirisme offre bien des avantages, mais rien ne va jamais sans contrepartie dans ce bas-monde. »

Samara lui expliqua que Mélinda était stérile, inféconde, une conséquence naturelle du vampirisme. S’il existait des exceptions, elles étaient rarissimes, et Samara avait assisté Mélinda. La vampire avait déjà financé de nombreuses études magiques et scientifiques afin de la rendre féconde, mais toutes ces recherches avaient été infructueuses.

« J’ai prélevé le sang des rares vampires étant capables d’être féconds, je l’ai comparé avec celui de Mélinda, et j’ai même fait appel à des scientifiques tekhanes. La science n’a fourni aucune réponse, pas plus que la magie. Mes talents ont été incapables de briser la malédiction du sang des vampires. Son sang, vois-tu, est trop puissant, et chaque fœtus disposant de son sang est tué en quelques minutes. C’est l’une des principales raisons qui expliquent pourquoi les gens pensent que les vampires sont des êtres maudits et impurs, car la mutation qui est à l’origine de leur existence les rend inféconds. »

Dans la bouche de Samara, avouer son échec lui donnait l’impression de sucer du poison. Elle était très arrogante, et n’avait pas l’habitude d’échouer... Mais, hélas, elle n’avait pas réussi. Elle avait échoué. Elle avait mené des expériences magiques à partir du sang de Mélinda, elle s’était même aidée d’autres Archimages, dont des spécialistes en magie rose, mais le sang de Mélinda était resté un obstacle. Un obstacle insurmontable ? Tout laissait à le croire... Ou presque.

L’Archimage laissa planer quelques secondes, avant de reprendre :

« Il n’y a qu’une seule piste que je n’ai pas exploré... Perfectionner ta magie rose ne sert à rien, ma douce Sya, mais... C’est d’un miracledont nous avons besoin, et il n’existe que deux catégories de magies qui peuvent fournir des miracles : la magie sacrée, qui est propre aux Anges des Cieux, et la magie divine. je vois mal les Anges nous aider pour une telle entreprise, qui interférait avec leur conception du libre-arbitre et de non-intervention dans les affaires mortelles, mais... Les Dieux ? Je connais une Déesse, Sya, et tu en connais une, toi aussi... Mais les divinités n’exagèrent jamais rien gratuitement. »

Samara laissa, de nouveau, planer quelques longues secondes, avant de conclure son discours :

« Alors, dis-moi... Jusqu’où es-tu prête à aller pour offrir à ta Maîtresse son bébé ? Car c’est d’une intervention divine directe dont nous aurons besoin, et d’une puissante Déesse... Nous aurons besoin de l’aide de Sha pour faire fertiliser le ventre de Mélinda. »

Oui, Sya avait sondé les rêves de Mélinda pour vouloir lui faire un beau cadeau le lendemain ou sous peu. Il est évident que si Mélinda rêvait d'une grande maison ou ce genre de choses, elle ne le verrait pas, ça n'avait rien de sexuel mais toutes ses pulsions, même jamais avoué était comme un livre qui ne demandait qu'à être ouvert pour Sya. Voir son désir d'enfant lui avait paru étrange car elle ne voyait pas ce qui se cachait entre les petites lignes mais vu le nombre de femme ici et de mage pouvant user de magie rose, aucune n'avait pu offrir d'enfant à Mélinda ? Ce uqi voulait dire pour Sya que la vampire avait deux possibilités, ou bien elle attendait la femme parfaite pour cela, ou bien elle avait un souci, chose que Sya ne souhaitait pas et qui pourtant était bien le souci. Dans les bras de sa mère, Sya écouta ce que Samara savait, lui expliquant doucement les soucis de Mélinda et en toute honnêteté, elle était triste pour elle.

Sya trouvait qu'avoir un enfant était la plus belle preuve d'amour qui soit. Si on est une femme qui veut juste baiser à tout vas, ne pas avoir d'enfant n'est pas un réel souci mais elle avait senti les sentiments de la vampire au sujet de sa progéniture et elle en vouait un, c'est aussi évident que Sya ne quittera pas cette chambre sans avoir joui encore de nombreuses fois. Samara avait bien une solution mais... cela perturbait un peu Sya. Après tout elle pouvait aussi appeler Lust à la rescousse, Mélinda honorait bien souvent sa Déesse et quoi de mieux qu'un harem pour ça ? Puis Lust ne pouvait rien refuser à son ange. Cela dit, là n'était pas le problème...

« Je ne sais pas si j'en serais capable Maman... Je me suis promis de donner de bébés qu'à Iina-chan et Sai-chan... Je pensais pouvoir aider Maîtresse en offrant ma magie rose pour l'aider avec une autre femme ? Même si son sang est trop fort, je peux toujours améliorer sa semence. Elle ne portera pas le bébé mais cela pourrait fonctionner ? Après tout... Sai-chan se fiche que je couche avec n'importe qui car elle sait que je l'aime plus que tout mais... porter un bébé autre que le sien ou celui de Sai-chan... je ne sais pas si elle acceptera cela... »

Sans le savoir, Sya disait cela pour le moment mais elle finira par porter par la même occasion la fille de sa Déesse en se disant que c'était sa seule exception mais après avoir vu le plaisir et le bonheur dans le regard de ses nekos d'amour ou même de sa Déesse et après en avoir parlé avec sa petite neko femme, elle se fera une joie d'offrir tout un tas de sœurs pour ses filles. Évidemment, Mélinda ne fera pas exception  mais pour le moment, Samara n'arrivera à rien qu'à lui semer le doute dans son esprit. Elle releva la tête pour regarder Samara avec ses yeux, ce n'était pas une folle envie de sexe qu'elle voulait sur le coup mais aider sa maîtresse autant qu'elle le pouvait.

« J'aimerais pouvoir aider Maîtresse mais je ne sais pas comment ? Si ma magie rose en est incapable, je ferais tout pour l'aider. » Tout en dehors de prêter son utérus (pour le moment) - « alors si un jour, Maman et la Déesse Sha décident de l'aider, je veux aussi le faire. Peu importe mon rôle, si c'est juste me concentrer ou vous servir de distraction sexuelle, je veux aider Maîtresse Mélinda. On ne peut pas refuser à une femme le droit de vouloir un bébé, pas quand cette personne en prendra soin et aimera son bébé plus que tout au monde. »

Oui mais les dieux comme la nature étaient parfois cruels. Même si les principales concernées ne le savaient pas encore, Sya offrira un jour ce fameux bébé à la belle vampire qui gère ce harem mais attendons un peu, que Sya mette au monde deux adorables petites nekos et une semi-divinité, à partir de ce moment-là, son regard changera sur ce qu'elle était capable. Sa devise était d'aider toutes les femmes, si jusque-là elle avait surtout offert du sexe, bientôt elle offrirait aussi des bébés. Sya va repeupler Terra dans quelque temps. Bien qu'elle soit un ange, elle avait oublié les dons de sa magie sacrée, elle maîtrisait que la base des autres magies, il n'y avait que la magie rose qu'elle maîtrisait sur le bout des doigts avec presque une agaçante facilité. Blottis contre sa mère, elle espérait pouvoir aider Mélinda dans un avenir proche mais il était peut-être temps de tourner cette page en la laissant dans un coin de leur esprit et continuer leur petit jeu ? C'était à qui de poser la question maintenant ?

Quand on était un vampire, pouvoir procréer était extrêmement rare. Historiquement, c’était même pour cette raison qu’on avait, religieusement, assimilé les vampires à une race maudite, car capable de se reproduire uniquement en mordant les autres. Et, scientifiquement parlant, Samara doutait même qu’on puisse qualifier les vampires de « race ». Ils ressemblaient plutôt à des mutants, mais elle n’aurait jamais osé dire ça en face de Mélinda. Les vampires avaient leur petite fierté. Que Sya veuille lui offrir un enfant était louable, mais Samara n’irait pas lui mentir en lui donnant de faux-espoirs. Pour l’heure, c’était hautement improbable, et le recours à une Déesse tenait plus du miracle désespéré qu’autre chose. Néanmoins, il n’y avait, à ce stade, plus aucune autre option.

Sya, de son côté, expliqua qu’elle avait des hésitations sur le fait d’être une mère-porteuse, et proposa alors de servir d’intermédiaire pour une autre mère-porteuse... Du moins, de ce que Samara comprit. L’Archimage fronça les sourcils.

« Hum... J’ai déjà utilisé des élixirs et des sorts pour améliorer la fertilité de Mélinda, que ce soit sa cyprine ou son sperme, même si je me suis davantage concentrée sur son sexe naturel. »

Le sperme d’une Futanari était toujours de moindre qualité que le sperme d’un homme, et il n’y avait rien à faire contre cela. Samara avait assisté Mélinda pendant qu’elle couchait avec des hommes extrêmement féconds, après avoir fait ingérer à ces derniers de multiples potions, mais il n’y avait rien à faire. À chaque fois, le sang vampirique tuait les spermatozoïdes, empêchant toute incubation du corps de Mélinda. Et les recherches de Samara avaient toutes été infructueuses. De multiples vampires avaient mené des études et des recherches sur la question, mais sans rien arriver de concluant. L’idée avait notamment été de transfuser le sang de vampires capables de procréer, ou de les comparer, afin de comprendre pourquoi certains vampires pouvaient avoir une grossesse, ou non.

D’après ce que Samara avait compris, la différence tenait essentiellement à ce que le vampire soit « pur-sang », ou « transmué ». Pour le comprendre, il fallait remonter à l’origine des vampires. On désignait par « pur-sang » la descendance directe de Caïn, le premier vampire, celui qui, d’après la religion, avait été maudit par Dieu après avoir tué son frère, Abel. Si on suivait cette théorie, Caïn avait eu des enfants, et, par la suite, sa lignée s’était dispersée. Les « pur-sangs » étaient donc des individus naissant vampires, mais Samara avait vu des théories scientifiques allant contre cette vision religieuse. Aisni, certains médecins parlaient de femmes enceintes transformées en vampire, le virus se transférant à leur fœtus, donnant ainsi naissance à des bébés vampires. Mais ce schéma ne réglait pas le problème de Mélinda, car, si elle transformait l’une de ses esclaves enceinte en vampire, il faudrait attendre bien des années que ce vampire grandisse, avec de multiples problèmes. Pour commencer, Samara n’était pas sûre que le gène vampirique se transmettrait au bébé, les études, sur ce point, étant peu précises, et encore moins concluantes. Ensuite, quand bien même à supposer que le vampire existerait, rien ne garantirait que son sperme viendrait à bout de la malédiction de Mélinda.

« Alors, voilà... Si tu veux, Sya, nous irons voir Sha ensemble. J’ai avec moi le sang de Mélinda, et je laisserais Sha l’examiner. Peut-être que ton sang angélique pourra être utile à Sha, ce sera à elle de le voir. »

Le monde de Terra était petit, et Samara ignorait que Sha connaissait déjà Sya. Samara, en tout cas, finit par se pencher vers elle, et l’embrassa sur les lèvres.

« Mais, en attendant, ta Maman a envie de s’occuper encore de ton corps... Quelle partie Sya a-t-elle envie que Samara vienne visiter ? »

Le souci Mélinda préoccupait Sya car elle avait toujours réussi à offrir ses cadeaux à ses maîtresses, que ce soit une nuit de folie, une orgie ou simplement un peu de repos ou même de l'amour, elle avait toujours su quoi faire pour tenir ses engagements mais si elle était incapable de rendre Mélinda fécond ou de trouver une femme capable de la mettre ou se faire mettre enceinte par la vampire, cela serait comme un échec pour l'ange de Lust ? Et depuis le début de sa carrière, elle n'avait jamais échoué depuis qu'elle était prêtresse. Certes, en formation elle a eu ses hauts et bas mais jamais d’échec pour la prêtresse ? Non, le début d'un long combat sûrement mais elle aura sa victoire, oui, elle trouvera une façon de gagner tout ça. Samara pensait devoir emmener Sya un de ces jours pour voir Sha – la même Sha qu'elle connaissait ? – pour voir si ensemble, le trio pourrait régler ce souci ? Sya était douée pour baiser ou se faire prendre mais si on lui demande de faire des expériences, elle n'y arrivera pas forcément... on ne sait jamais mais... Enfin, elles n'y étaient pas encore. Même si c'est juste son sang qu'elle a besoin, elles verront bien. Elle était plus douée pour écarter les jambes que pour analyser des échantillons.

Mais parlons du plus intéressant, délaissant ce sujet pour le moment – rien ne sert de tourner autour du pot si elles ne savent pas quoi faire – pour revenir à quelque chose où elle n'avait aucun doute sur la façon de faire... jouer avec sa maman ! Samara était penchée sur elle, baisant à peine ses lèvres pour vouloir que Sya prenne le choix de la partie à pénétrer ? Quel gentil cadeau. Elle repoussa gentiment Samara pour venir, tout en gloussant, attraper ses cuisses pour amener ses jambes près de sa tête, lui donnant une forme plus ou moins ronde mais surtout, deux cibles de choix !

« Je veux que maman vienne me prendre mon petit minou ! Je veux pouvoir regarder son joli sourire et lire tout le bonheur sur son visage pendant que je me fais défoncer la chatte ! » Tant d’innocence et de perversion en deux petites phrases. « Mais si maman préfère s'enfoncer dans mon petit trou, elle peut aussi ! Tant que je peux voir maman être heureuse, mes trous sont tout à elle, hihi ! »

Peu importe le choix, elle y prendra son pied après tout, c'est aussi important que faire plaisir à sa jolie maman ça. Même si elle mettait un point d'honneur sur le plaisir des autres avant le sien, l'un n'empêchait pas l'autre. Observant sa mère avec un grand sourire, elle lui laissait le choix mais en attendant cela, elle bougeait ses jambes de façon à ce que ses petits pieds viennent sur sa longue queue rouge pour doucement la masturber le temps de lui laisser le choix ? Un petit cul étroit ? Une petite chatte étroite et accueillante ? Douté était normal mais qu'elle se rassure, si elle lui demandait un second coup pour utiliser l'autre trou dans cette position, elle n'irait pas lui dire non, oh ça non !

« Prends ton temps, maman... laisse-moi caresser ta belle queue... et une fois que tu auras choisi... » son sourire se fit bien pus grand en laissant planer le doute avec cette fin de phrase pourtant si évidente ! Elle conclut le tout avec son petit rire habituel en se demandant quand même ce que la démone va choisir ? Minou par envie ou pour faire plaisir ? Ou son petit cul que l'on disait toujours aussi fabuleux ? « Hihi ! »

Dans très peu de temps... elle va savoir.

Samara cherchait maintenant depuis des mois, en réalité, à résoudre le problème de Mélinda. Elle ne savait pas trop pourquoi elle le faisait, car elle avait déjà, auprès de Mélinda, tout ce qu’elle voulait. Elle s’était obstinée pendant certaines semaines, avant de laisser tomber, puis d’y retourner, et de recommencer. La seule explication possible, c’est que Samara voyait en Mélinda autre chose qu’une simple partenaire commerciale, qu’elle était plus, à ses yeux, qu’un simple faire-valoir. L’Archimage, en réalité, appréciait énormément Mélinda, et elle voulait juste la satisfaire en lui offrant son plus grand rêve : avoir une fille, une véritable fille. Mais, pour l’heure, toutes ses recherches avaient été infructueuses. Malgré tout ce qu’on disait, il existait encore des énigmes insolubles dans le monde, et le vampirisme semblait en faire partie. Bien malgré elle, Sya avait néanmoins relancé chez Samara son envie de guérir le vampirisme. Elle avait pour cela uniquement un miracle divin à jouer, mais le fait qu’elle ait maintenant une Ange à disposition pourrait peut-être enfin lui offrir la solution.

*Oui, peut-être...*

Mais, pour l’heure, elle avait d’autres préoccupations en tête... Comme savoir quel trou prendre. Sya se dandinait contre elle, masturbant doucement sa queue, tout en lui expliquant que, dans l’idéal, elle aurait aimé se faire prendre par son minou, de manière à pouvoir juste regarder Sya pendant que les deux femmes se faisaient l’amour. Samara, qui caressait doucement les beaux et longs cheveux bleus de l’Ange, finit par sourire doucement, et vint frotter le bout de son nez contre celui de Sya, avant de lui sourire doucement.

Samara se mordilla donc les lèvres, puis alla poser ensuite sa main sur le menton de Sya, et, doucement, comme pour mettre fin à ce moment, alla l’embrasser. Leurs lèvres se pressèrent ensemble pendant quelques secondes, puis l’Archimage rompit ensuite le baiser, en souriant.

« Allons-y, alors... Je vais prendre ta petite chatte, et nous n’allons jamais détacher nos regards. D’accord, ma chérie ? On se regarda ensemble pendant que tu danseras sur moi... »

L’Archimage lui sourit encore, et l’embrassa sur le front, puis posa ses mains sur les fesses de Sya, les pinça, et la souleva un peu, pendant que la femme utilisait sa magie pour attirer son sexe au sien... Et elle guida ainsi le corps de l’Ange sur son sexe, puis sentit, avec plaisir, son membre disparaître en elle, s’engouffrant dans son corps, la faisant joyeusement soupirer. Les lèvres de Samara s’entrouvrirent pour laisser s’échapper un joyeux soupir, et sa main se crispa sur les cheveux de l’Ange, puis elle la regarda, et laissa doucement la femme danser contre elle.

Son hymen fut vite percé, provoquant en Samara des sensations merveilleuses, tout comme ce minou étroit.

« Haaaa.... Syyyaaa... !! »

Sya était toujours prête à faire l'amour, surtout quand c'était une personne très importante pour elle. Lust, ses nekos d'amour, Mélinda, sa mère, elle ne pourrait rien refuser à ce genre de femmes ou très peu de choses du moins. Alors si sa mère voulait de nouveau faire l'amour à sa fille, elle serait ravie de lui offrir ce plaisir autant de fois que possible. Pressée contre son corps rouge et chaud, elle se disait qu'elle pourrait lui faire l'amour beaucoup, beaucoup de fois. Pas simplement lui vider ses testicules ou jouir sa cyprine, elle serait capable de l'amour le plus doux pour elle mais aussi du plus sauvage ! Sya était pour ainsi dire roulé en boule, tenant ses jambes contre elle, ses mains derrière ses cuisses pour mieux offrir l’accès vers son anus ou son minou mais Samara n'hésitait pas et voulait faire plaisir à son ange, prenant d'abord sa chatte.

« D'accord Maman, j'essaierais de te regarder tout le temps alors. »

Oui essayée car elle pourrait bien avoir envie de lécher cette peau rouge si délicieuse et si jamais sa mère sortait le point faible de Sya, voir sa petite langue à porter de bouche risquait de lui donner envie de jouer avec. Sya avait bien des fantasmes, des fétichismes et la langue en faisait partie. Elle ne savait pas vraiment pourquoi mais voir une langue se présenter à elle... elle avait juste envie de la lécher, de la sucer, c'était plus fort qu'elle. L'ange se fit soulever et elle changea donc de position pour s'apprêter à danser sur elle et une fois bien installé, elle s'abaissa doucement contre Samara, écrasant son sexe contre le sien, le faisant entrer entièrement en elle, sentant cette petite douleur de la rupture de son hymen. Encore une fois. Mais c'était le départ d'une nouvelle séance de jeux avec sa maman !

« Haan Ma-man ! »

Ses mains se tendirent vers elle, s'accrochant autour de son cou pour regarder la démone dans les yeux alors qu'elle remuait doucement contre elle pour relancer la machine sexuelle. Ses doigts jouaient avec quelques mèches de cheveux en continuant de la regarder avec un regard rempli d'amour et de bonheur. Dommage qu'elle n'ait ni le pouvoir ni la chance de pouvoir changer le cours des choses, elle aimerait vivre dans une grande maison avec Lust, Iinari et Saikai, Mélinda et aussi Samara, toutes les femmes de sa vie avec elle, dans une entente merveilleuse... Ce serait le paradis en quelque sorte. Sya se penchait un peu plus sur elle pour venir l'embrasser passionnément, fermant hélas ses yeux sur le coup du plaisir mais on lui pardonne, elle était trop heureuse pour penser à tout.

« Maman... haaaa... j'aime la s-sentir en moiiii ! Elle est... si bien en Syaaaa... Hummmm... »

L'ange caressait son entrejambe, non, pas ses lèvres intimes, la queue de Samara le faisait déjà très bien mais elle caressait son bas-ventre, là où devait se trouver sa queue actuellement. Si elle se penche en arrière, Sya sentirait sûrement sa queue raclée contre ses parois ? Elle y verrait peut-être même une bosse sur sa peau ? Loin de manquer de ressources, d'un petit mouvement de sa main, elle attira entre elles la queue de la démone rouge, prisonnière des doigts de l'ange, elle attirait la pointe vers sa bouche avant de doucement lécher le bout pointu, lentement,, avec douceur et sensualité avant de commencer une fellation sur sa queue. Samara y était sensible ? Cela dépendait des démones, parfois leur queue était érogène, parfois cela ne faisait aucune différence. Pour le moment, Sya la léchait, venant la mettre en bouche, suçant doucement sa queue avec plaisir, laissa,t quand même un choix à sa mère. Elle prévoyait cela ou elle l'inspirait, peu importe, elle savait que l'un comme l'autre, elle allait être fière de sa fille chérie.

« Alors Mamaaaaaan ? Tu aimes que je s-suuuuce ta queue, huuuum ? Ou bien, han, tu préférais... huuum... me prendre contre un mur... Comme une petite salope, hihihi... »

Son sourire, son petit rire. Deux choses charmantes mais loin d'être innocente. Samara a bien choisi sa fille, elles sont faires pour s'entendre.

Les faux-semblants et les apparences s’estompaient de plus en plus, et, sous l’innocence et la douceur simulée de Sya, une véritable perverse était en train d’apparaître, d’émerger. Son hymen fut rapidement percé, et Samara sentit, avec une joie infinie, le sang virginal de la jeune Ange couler le long de sa queue, une queue grosse et gourmande, qui s’enfonçait dans le corps de Sya. L’innocence disparaissait, et laissait maintenant placer au sexe et au désir, un désir bestial, intense, humain et sauvage. Plus question d’épargner Sya, de la cajoler, Samara voulait la baiser, et leur rapport sexuel gagnait progressivement en intensité.

Enfoncer sa queue dans cette femme était indéniablement une sensation très agréable, et Samara vint se soutenir contre les fesses de la jeune Ange, la soulevant un peu, et la maintenant contre son corps. En retour, elle sentit les mains de Sya venir s’appuyer sur ses épaules, y trouvant là un soutien, et elle déplaça ensuite la queue de Samara, sa longue queue caudale, pour venir la suçoter. Effectivement, cette queue était érogène, et, tandis que Sya la suçotait, tout en gloussant et en invitant sa mère à la baiser sèchement, Samara sentit le bout de sa queue se transformer, jusqu’à prendre la forme lisse et profilée d’une verge, les ailerons disparaissant peu à peu.

« Hmmm… Petite traînée, haa… »

Dans le genre, Sya s’en sortait pas mal, et tenait la dragée haute. Avec sa peau douce et sa petite voix tendre, on avait du mal à l’imaginer dans ce rôle, et pourtant… Samara comprit bien vite que la douceur n’avait clairement plus sa place, et un sourire amusé éclaira ses lèvres.

« Très bien, Sya… On va voir jusqu’où tu peux subir les ardeurs sexuelles de Maman… »

Samara relâcha alors Sya, et lui ordonna de se mettre à quatre pattes.

« Et dandine bien ton cul ! Dis-moi à quel point la petite pute que tu es a envie de se faire baiser par moi ! »

Les choses sérieuses pouvaient commencer, et c’était probablement ça qui était bien avec Sya. On pouvait presque tout faire avec elle. Samara laissa donc Sya la titiller un peu, puis, une fois bien prête, avec ce petit cul qui se dandinait sous elle, Samara vint le gifler avec ses mains, puis, sans plus attendre, enfonça sa queue d’un coup sec en elle, déflorant son sexe. Elle poussa un long soupir de plaisir, et remua d’avant en arrière, enfonçant ses griffes dans la chair moelleuse de Sya.

« Haaa… Sya, ma douce petite pute, hummm… !! »

Et, tandis qu’elle la pénétrait ainsi, sa queue caudale retourna à l’assaut, filant sur le côté pour se rapprocher de la bouche de Sya, et, après quelques secondes d’hésitation, s’enfonça entre ses lèvres.

Le pire, c’est que tout ça n’était qu’un début !

Jouer avec sa mère restait une de ces activités favorites, même si cette activité était plutôt nouvelle, elle allait devenir une de ses favorites. Elle se laissait faire, se faisant joyeusement empaler sur sa queue, son poids venant la faire s'écraser dessus, pour lui garantir plus de plaisir alors qu'elle sentait la pointe de sa queue écraser son utérus. Le plaisir atteignait toujours des sommets, de plus en plus haut selon les situations et pour le coup, Samara n'avait pas de mal à toujours aller plus haut ! Sya se tenait contre la démone en déployant à pleine gorge tout son plaisir pour le fait de lui faire l'amour, de se faire prendre ainsi par sa maman. Elle était terriblement bien entre ses griffes. La seule chose qu'elle regrettait était de ne pas avoir connu Samara plus tôt...

Samara venait approcher la pointe de sa queue près de sa bouche, lui offrant après transformation une queue plus lisse, inspirant plus une forme phallique sans en adopter toutes les caractéristiques. Et avec plaisir elle enfonça doucement cette dernière dans sa petite bouche. C'était tellement bon ! Oui elle était sa petite traînée, Samara pouvait lui demander tout, elle lui obéirait aveuglément. Mélinda était peut-être sa Maîtresse jusqu'à la fin de son contrat mais ensuite, elle espérait devenir l'esclave de Samara. Mais pas besoin de cela, elle était sa fille, elle viendra la voir souvent, essayant le plus souvent de lui amener Iinari et Saikai pour qu'elles passent du temps avec leur belle-maman. Elle était pressée de lui amener ses petites nekos quand elle les aura conçus. Une mère ange, l'autre neko et une grande mère démone, quelle famille !

Même si la démone cessa vite ce petit jeu, ce n'était pas qu'elle s'ennuyait, c'est qu'elle voulait pousser le vice plus loin. Sya se mit au sol, écoutant les ordres de sa mère... ainsi elle voulait être excitée ? Mais c'est très simple ça. Elle contesta légèrement les ordres en se redressant, restant à genoux, elle lui tournait le dos mais chercha à la regarder en tournant un peu son corps vers elle. Ses ailes remuaient faiblement alors qu'elle posa une main sur sa fesse, tout en caressant sa lèvre inférieure du bout de l'index. Avec son regard de petit chaton, sa voix mélodieuse, elle était tellement craquante, un vrai petit ange. Mais les mots qui sortaient de sa bouche... une vraie petite succube. Elle remuait faiblement les fesses pour le moment, jouant son petit numéro.

« S'il te plaît Maman... ta petite pute a besoin de ta grosse bite en elle... Elle est si grosse et vigoureuse... et si bonne ! » La fin nde cette phrase fut ponctuée par une claque sur sa fesse alors que le rythme de ses ondulations progressait. « Sya aime tellement sa Maman qu'elle veut la sentir en elle, tout au fond ! Huuummm ouiiiiii... Sya se voit bien empaler sur sa queue, ses pieds ne touchant plus le sol, retenue exclusivement sur sa belle et forte queue... et par les bras pendant que Maman lui baiiiise son petit cul. Ha ! Rien que d'imaginer ça, Sya va laisser une petite flaque entre ses cuisses. » Sya se pencha en avant, écrasant à moitié son visage au sol, voulant voir Samara en action, elle posait ses deux mains sur ses fesses, les écartant pour bien exposer son petit trou rose et étroit. « Pitié Maman ! Sya ne tiens plus ! Elle veut sentir son cul se déchirer quand tu l'encules de toutes tes forces ! Elle veut faire entendre à toutes ses copines ici, combien tu es forte et que tu sais faire hurler ta fille !!! Viens Maman ! Défonce-moi le cul !!! »

La fin prouvait bien que l'esclave était très excité... à moins que ce ne soit sa fille qui était très excitée ? Sans ménagement la démone venait réaliser son souhaite et s'enfonça sèchement en elle, soupirant de plaisir quand Sya hurlait de douleur comme de plaisir...

« HaaaaAAAAAAAAaaaa Ma... Maman !!! P-Plus FORT !!!! »

Elle se redressa un peu pour vraiment être à quatre pattes alors qu'elle venait se faire prendre de plus en plius fort, sa queue venant chercher à explorer de nouveau sa petite bouche, masquant ses cris de joie mais ses gémissements prenaient le relais. L'ange ne resta pas longtemps à quatre pattes, elle se redressa pour se coller contre sa mère mais pas seulement. Ses deux mains se cramponnaient à la longue queue rouge qu'elle masturbait de plus en plus, tout le long qu'elle caressait entre ses mains. Elle continua de savourer ce grand plaisir, prisonnière de cette tendre punition et quand elle dégagea sa queue de sa bouche, ce n'était que pour donner des mots tendres à sa mère...

« Haaaaa... Maman d''am-mour !!! Enfonce... tes doigts en... entre mes jaaaaaambes !!! Ma chatte !!! MA CHATTE ME FAIT MAL !!!!!!! »

Manque d'amour par bien des orifices. Ces cuisses étaient déjà bien inondées, autant lui rendre ce service afin de la rendre si heureuse entre les bras de sa chère maman adorée. Cela dit, rien n’empêchait Kazuha de venir, sauf si elle ne voulait pas déranger ce moment mère-fille ? L'ange continua de remuer contre Samara, reprenant bien vite sa fellation de queue tandis que son petit cul était toujours autant agressé par cette grosse queue bien rouge, si à l’étroit entre ses petites fesses ! Ça c’était de l'amour maternel comme elle l'aimait !

Samara ne pouvait que reconnaître à Mélinda un talent inné pour débusquer des trouvailles fantastiques. La manière dont cette Sya avait titillé Samara n’avait fait que renforcer la sauvage excitation de cette dernière, qui était déjà bien forte, non seulement par la beauté de Sya, mais aussi par nature angélique. Elle avait enfoncé sa queue dans son vagin pendant quelques instants, soit plusieurs minutes, avant de s’enfoncer dans son cul. Après avoir pris bien son vagin, il était normal, en effet, de s’intéresser à une autre partie, tout aussi exquise, du corps de Sya.

« Hmmmm... ! »

Oh, oh, ce cul divinement étroit ! S’y enfoncer était un plaisir exquis, et Samara soupira longuement, enfonçant ses mains contre le cul de la femme. Sya semblait aussi excitée qu’elle, ce qui ne rendait cette sodomie qu’encore meilleure. Se glissant ainsi en elle, Samara avait encore, à l’esprit, tous les mots salaces que la femme avait prononcé. Sur ce point, l’Ange de Luxure s’avérait être particulièrement talentueuse. Elle était tout simplement fidèle à la réputation qu’on se faisait de la Luxure : sensuelle, vulgaire, érotique et pornographique en même temps. Tout un mélange, tout un ensemble de contradictions et de qualités qui se regroupaient en un seul être, pour le bonheur de Samara, « mère » autoproclamée, et acceptée, de Sya.

Sa queue s’enfonçait donc dans ce petit cul, avec ce mélange jouissif de douleur et de plaisir, la douleur amenant le corps à rechercher davantage de plaisir, comme une sorte de délicieux cercle vicieux. Soupirant donc, encore et encore, l’Archimage multipliait les cous de reins, faisant hurler Sya, sous le regard ravi de Kazuha. L’Ange mouillait furieusement, suppliant sa mère de la prendre avec ses doigts. Cette dernière se contenta d’un sourire vicieux, et alla même rire, avant de déployer sa magie rose, notamment à destination de Kazuha, esclave envers qui elle n’avait aucun secret. Samara avait fait de Kazuha un pilier essentiel de son existence, suite à des séances intensives en métempsycose pour avoir un accès total et illimité à son esprit. Si elle le voulait, elle pouvait contrôler le corps de Kazuha. La femme était une esclave absolue, qui n’existait que pour satisfaire Samara, chose qui n’était possible que grâce à une éducation toute entière tournée vers la soumission, à la magie très puissante de Samara, et grâce, enfin, à l’amour, sincère, que Kazuha ressentait pour sa Maîtresse.

Autrement dit, et pour le dire très simplement, et pour rejoindre l’un des fantasmes de Sya, Samara fit pousser une queue à Kazuha. L’esclave blonde se mit à gémir en se dandinant sur place, sentant son sexe chauffer, puis sa culotte noirâtre se déforma quand une verge jaillit, venant se redresser pour s’extirper en moitié de sa culotte.

« Haaaa... !! »

Samara gifla à nouveau le cul de Sya, puis se saisit de ses poignets.

« Non... Pas... Pas de doigts pour toi, petite salope, juste... De grosses queues bien dures, haaa... !! »

Mais, avant que Kazuha n’intervienne, Samara était bien décidée à satisfaire la demande de sa « fille », lui montrant ainsi ô combien elle était une mère attentive. Suivant cela, la démone souleva donc le corps de Sya, la tirant en arrière par les poignets, et l’aida ainsi à se redresser. Sya se retrouva ainsi suspendue en l’air, Samara se servant de la magie de l’Air pour améliorer sa prise. Et, ainsi, dans cette position incongrue, elle continua à la prendre, enfonçant légèrement sa griffe dans les poignets de la jeune femme.

« HHHMMMMMMMMMMMMM... !! »

Oh, quel bonheur intense ! Le corps de Sya rebondissait d’avant en arrière, et Kazuha, elle, se masturbait tendrement, durcissant ainsi sa queue en observant les deux femmes.

Bientôt, très bientôt, elle voudrait également soulager Sya de sa terrible soif, tandis que cette joyeuse sodomie, sous ses yeux ravis, se poursuivait. Quand on voyait un tel spectacle, comment pouvait-on ne pas tomber instantanément amoureuse de sa Maîtresse ? Pour elle, c’était là chose impossible !

Peu importe ce que Samara décidait pour sa fille, Sya était heureuse de passer du temps avec elle, entre ses bras, sa queue en elle. Que ce soit son petit cul ou son petit minou, elle ne pouvait que se satisfaire de plaire ainsi à sa maman. La démone n'était en rien sa mère biologique mais Sya refusait de savoir si Nymph avait des souvenirs de sa maman à elle ? Elle avait peur de Nymph, de ses souvenirs, un peu de sa vraie sœur car Nymph n'était pas Sya, en rien. À part son apparence Nymph n'était pas Sya et dans la vie de Nymph, il n'y avait pas Lust, pas Iina-chan ni Sai-chan et aucune des personnes qui font ou ont fait le bonheur de l'ange de la luxure. Alors auprès de sa maman rouge, elle trouvait sa vraie famille, comme elle aimait le penser. Sera-t-elle incestueuse avec ses propres filles en tant que vraie maman ? Sya pensait que non, après tout, on parle de ses enfants, pas d'un simple rôle pour s'amuser au lit... Mais on ne sait pas comment sera demain après tout ?

L'ange était heureuse avec sa mère en elle mais il y avait un coin qui lui était plus chaud encore, son entrejambe brûlant, elle voulait jouir de ce côté aussi. Que ce soit avec ses doigts, sa seconde queue ou une nouvelle queue qui poussait, elle serait heureuse, peu importe comment mais que quelqu'un vienne apaiser ce feu !!! Dans sa bonté et sa cruauté, Samara allait réaliser son souhait, faisant agiter Kazuha à distance, l'ange sentait la magie rose émaner du corps de sa mère comme de la belle blonde. Elle voyait la belle queue poussée, bien dressée, bien dure, prête à être en elle ! Mais pas tout de suite hélas. Kazuha profitait du spectacle pendant que Samara tirait sur le corps de sa fille, s'aidant de la magie pour l'exposer à sa servante, montrant bien comment sa queue venait tambouriner sur ses petites fesses pour la faire rebondir le long de sa queue, la faisant hurler de plaisir et d'envie, toujours plus grande ! L'envie de Sya est aussi vaste qu'un océan, même entouré de femmes ou futa qui se faisaient plaisir sur elle, son plaisir serait à peine combler. Vraiment un tout petit peu.

« HAAAAAAAAAAAN !!! C'EST-HAAAAN !!!!! BON !!! P-Plus fort, m-maman ! PLUS FORT !!! S'IL TE PLAÎT !!! »

Le plaisir ne faisait que la rendre heureuse mais malheureusement pour elle, il lui manquait une chose... une chose que Kazuha tenait en sa main en le remuant avec passion... Elle voulait la sentir cette chose, entre ses jambes pour combler entièrement son plaisir. Pourtant si proche et si loin à la fois. Ses pieds remuaient alors qu'elle ne touchait plus le sol, elle gigotait un peu mais c'était de plaisir et pour mieux ressentir cette grande et grosse queue en elle. Elle était collée à elle, venant lever le nez vers Samara pour la regarder, espérant croiser son regard par la même occasion.

« Haaaaa... Maman... chérie... huuuum, je veux... Baise-moi... de toutes tes forces... s'il te plait... je veux avoir des... des hématomes sur le cul... t-tellement... tu me baises foooooort Haaaaan ouiiiii... Fait moi mal... de plaisir... »

Samara pouvait-elle rêver avoir mieux comme fille ? Câline, douce, perverse, elle avait toutes les qualités requises pour une mère incestueuse. Gémissant, la langue pendue, elle tentait de se redresser un peu pour lécher ou embrasser Samara mais c'était à elle de décider, combler cette petite pute ou la laisser tirer la langue pour montrer à Kazuha combien c'était une trainée qui adorait être prise par sa mère ?

Samara sentait qu’elle risquait de beaucoup aimer Sya. Outre sa nature angélique, qui constituait, en soi, un bonus profond, elle appréciait aussi le tempérament enflammé de l’Ange, sa passion et sa soif dévorante pour le sexe. Cette femme avait de nombreuses qualités, de quoi rendre l’Archimage follement amoureuse d’elle. Enfonçant donc sa queue dans son cul, Samara la pénétrait rudement, sous le regard de Kazuha. Sya avait vu la verge qui pointait maintenant hors du corps de Kazuha. La majordome se masturbait doucement, sous les yeux de l’Ange de Luxure, dont l’intimité se mit à brûler encore plus, comme si tout son corps désirait maintenant ardemment se faire prendre, se faire doublement prendre. Il fallait admettre que le tableau était plutôt agréable à imaginer, mais, pour l’heure, Kazuha restait silencieuse, se contentant juste de se masturber.

L’Archimage la pénétrait encore, et Sya, en se dandinant sur place, tourna lentement la tête, suppliant sa « mère » de la prendre plus rapidement, plus... Plus violemment.

« D’accord... Hum... Petite pute ! Je... Je vais te baiser.. À la manière d’une démone baisant une petite Ange salope ! »

Plus de douceur ou de tendresse. Cette fois, leur amour allait passer par la violence et la brutalité. Samara relâcha Sya, et la posa sur le sol, la prenant rageusement en levrette, enfonçant d’un coup sec sa queue en elle, donnant un tel coup de reins que le corps de Sya bondit en avant, avant que les mains de Samara ne se crispent sur ses hanches, enfonçant ses griffes contre sa chair, la faisant hurler. Même si Sya n’était plus une Ange des Cieux, elle avait encore, en elle, des capacités angéliques, qui faisaient que son corps pouvait supporter un plaisir sexuel intense. Ainsi, les griffes de Samara la firent saigner, entaillant légèrement sa chair, et sa queue caudale se déplaça, et fouetta la femme sur l’une de ses fesses, avant de s’abattre en plein milieu de son dos, claquant fort et violemment.

Les plaies superficielles de Sya cicatrisaient déjà, et Samara poursuivit des coups de reins, gonflant et durcissant sa queue, comme ces créatures insectoïdes qui, quand ils pénétraient leurs amantes, gonflaient leur queues pour ne pas en sortir. C’était notamment la grande spécialité des Formiens, qui signifiait que la partie prise par l’autre était incapable de se libérer tant que l’autre n’avait pas fini. Sya se mit donc à hurler, et Samara griffa encore ses fesses, tout en continuant à la fouetter, et enfonça encore sa queue en elle, la reculant, avant de l’enfoncer encore.

« HAAAAAAAAAAAA... !! »

La magie se liait inextricablement à leur romance perverse, et Kazuha, elle, se mordillait les lèvres en se déplaçant. Elle réagissait aux ordres mentaux de sa Maîtresse, et, tout en ayant une verge très bien tendue, signe de son excitation, récupéra un instrument disponible dans la pièce : un fouet. Elle l’éprouva, puis sourit, et retourna vers Sya. Samara avait certes utilisé sa queue caudale, mais elle préférait se concentrer entièrement sur sa sodomie.

« Catin ! Traînée !! SALOPE !! »

À chaque fois que Kazuha injuriait Sya, elle s’empressait de la fouetter, le fouet claquant violemment sur le dos de l’Ange, laissant des zébrures rouges.

« Haaa... J’adore baiser les petites Anges comme toi, haaa, Sya... !! »

La voix de Samara devenait un peu plus caverneuse, et même son corps était en train de s’épaissir, des muscles poussant ici et là, sa doucereuse forme féminine devenant plus masculine. La puissante démone laissait la partie sauvage et bestiale de sa psyché agir, ce qui avait des conséquences morphologiques...

...Et rendait cette sodomie encore plus plaisante.

Pour Sya, le sexe était sacré, c'était sa vie qui était basée dessus alors prendre plaisir au-delà de la normalité était naturelle pour elle, elle voulait toujours plus, pas se contenter de simplement faire l'amour, elle voulait toujours plus haut. Et même si faire tendrement l'amour avec sa mère serait très plaisant, elle voulait s'amuser un peu plus. La tendresse, c'est bien gentil et cela est plus ou moins l’équivalent d'un câlin dans leur relation incestueuse – bien qu'elle n'avait d'inceste que le nom – alors s'amuser un peu plus encore en allant plus dans la violence et la brutalité, Sya voyait cela comme un petit jeu entre mère et fille. Kazuha se contentait de toujours garder un œil sur elles pendant qu'elles baisaient toujours plus, faisant profiter ses voisines de chambre du talent de la belle démone. Si cela pouvait plaire ou inspirer ses copines du harem, elle en serait ravie.

Quand sa mère décida donc de passer à la vitesse supérieure en la lâchant, elle ne s'inquiétait pas, elle n'en avait pas eu le temps alors que sa grosse queue venait se retrouver en elle sans faire dans la douceur. De quoi la surprendre un peu en serrant les dents car c'était aussi ça qui était bon dans la brutalité, c'était les instants doux qui suivaient tout ça. Elle sentait ses mains bien agrippée sur elle, ses doigts s'enfonçaient presque en elle – pour ses ongles du moins – et Samara faisait preuve d'une grande force quand il s'agissait de faire l'amour ainsi. C'était un véritable coup de reins qui la poussait presque hors de sa grosse queue mais la démone la tenait bien pour la faire rebondir pour faire monter sa petite voix toujours plus haute. Pour une démone, faire hurler une ange, ça devait être un véritable plaisir pour ses oreilles. Sya hurlait en gardant un œil sur Kazuha qui se touchait doucement, sa bave coula le long de sa bouche pendant que sa mère punissait sa petite fille. Une chance que rien ne soit sous ses mains car elle ne lâcherait plus rien tant Samara n'y allait pas de mainmorte.

Même si sa queue naturelle venait lui fouetter le dos, ce fut la belle blonde qui amena un jouet en plus pour la démone, qui se servait à présent de ça pour marteler le dos de sa fille entre chaque insulte, ponctuant chacune d'elles d'un coup de fouet qui rendait ses cris plus proche de la douleur que du plaisir. Même si Sya n'avait rien contre le SM, trop poussé, un coup restait un coup. Elle savait que ce n'était pas vraiment une punition et que sa mère était juste trop prise par la jeu mais cela méritera bien un gros câlin après ça. Même si ça ne la fouettait pas jusqu'au sang, il ne faut pas oublier que Sya est une ange et donc qu'elle possède des ailes. Une partie sensible pour une ange.

« HAAAAAAAA P-PARDON MAMAAAAAAN !!!! »

Jouant son rôle jusqu'au bout, Sya s'excusait auprès de sa mère qui continua autant les insultes que les coups de reins que les coups de fouet. Elle sentait sa queue toujours plus grosse en elle, toujours plus à l’étroite donc dans son fondement, même si cela ne déplaisait ni à la fille, ni à la mère. Tournant légèrement sa tête vers Samara, seul un de ses yeux pouvait capter la belle Samara qui devenait plus musclée, cela ne dérangeait pas Sya, tant que Samara ne se montrait pas en homme, ça lui allait. L'ange haletait, ayant du mal à parlé tant le plaisir coulait avec sa langue et sa bave, son petit regard était coquin, comme toujours mais elle fit un effort pour parler avec elle.

« Haaaaaaaa-haaaaaaaaaaaa ! Maman... tu m-me fait m-mal ! »

Que cela la boost un peu plus ou non, ce n'était pas grave tant qu'elle continuait pour jouir en elle. Là était son but après tout, tant qu'elle n'avait pas joui en elle, pas question de mettre un terme à ce petit jeu. Kazuha ne semblait toujours pas vouloir venir, voulant sûrement savourer ce moment intime mère/fille, adversaire naturelle, Sya ne lui en voulait pas tant qu'elle se faisait plaisir mais elle continua de gémir, de serrer les dents quand les coups se faisaient trop fort. Autant sa queue ne lui faisait que du bien, autant le fouet venait parfois la bousculler du monde des plaisirs. C'était une arme à double tranchant, car ce fouet était tant un allié du sexe qu'un ennemi et pour preuve, malgré la douleur, le dernier coup venait de faire trembler Sya de plaisir... pour cause, elle venait de jouir, à en juger par la petite flaque qui se trouvait sous ses jambes écartées et le fait que son visage était rayonnant de bonheur. Mais Samara n'avait pas encore joui et c'était là son travail autant en esclave qu'en fille attentionnée.

Outre son talent immodéré à se retrouver dans des intrigues politiques, Mélinda avait aussi un talent unique pour dénicher des proies parfaites, aussi réussies qu’inattendues. Sya était typiquement ça, une merveilleuse perfection, une Ange dédiée au culte de Lust. Autant dire qu’on ne voyait pas ça tous les jours, et Samara en profitait fort volontiers. Maintenant qu’elle avait « adopté » cette fille, elle l’éduquait, à sa manière. Ses mains s’appuyaient sur ses fesses, les griffant légèrement, tandis que la puissante démone multipliait de furieux coups de reins, défonçant le cul de Sya, s’enfonçant lourdement en elle. Elle laissait ses attributs démoniaques se réveiller, ce qui gonflait son membre, musclait son corps, et agrandissait ses cornes. Au lieu d’être recourbées sur son crâne, elles pointaient en avant, tandis que ses yeux scintillaient de jaune. Ses seins grossirent également, tandis que son ventre se recouvrit de fines lignes musclées. Elle adoptait une posture nettement plus masculine, tout en restant une femme. Elle était juste en train de grossir et d’enfler, ce qui se répercutait sur sa verge.

Cette dernière grossit tellement qu’elle forma comme un nœud dans le cul de Sya. Elle grossissait en elle, de telle sorte qu’il était impossible de la retirer avant que sa mère ne jouisse. Sya subissait ainsi une véritable torture sexuelle, rythmée par les coups de fouet et les insultes de Kazuha. La fidèle majordome de Samara se montrait toujours aussi utile, mordillant ses lèvres. Voir ce spectacle l’excitait énormément. Samara, qui faisait très attention à sa forme, n’utilisait que rarement son polymorphisme pour se bodybuilder ainsi. Le spectacle était étonnant, la beauté de Samara s’estompant au profit de sa sauvagerie et de sa brutalité. La petite Sya avait l’air tellement mince que Kazuha craignait presque que ses os ne se cassent, tant Samara s’abattait sur elle.

« RRRHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHH… !! »

Samara hurlait autant qu’elle grognait, et, tandis qu’elle faisait ça, son corps changea encore… Et une seconde verge se forma, sous la première, et s’enfonça dans le vagin de Sya, la prenant ainsi dans les deux trous. Tout était fait, ici, pour amener Samara à se lâcher totalement. Le fait que Sya soit belle, qu’elle la motive, mais aussi parce qu’elle était une Ange. Autant dire que ce mélange des choses était très excitant chez Samara, et que Sya avait droit à un spectacle rare… Car Samara se transformait rarement comme ça.

Ce faisant, Kazuha arrêta de la fouetter, vu comment sa Maîtresse la prenait. Relâchant donc son fouet elle s’écarta un peu, et caressa les cheveux de Sya. Elle avait très envie d’enfoncer sa queue dans sa bouche, mais…

« Tes hurlements sont magiques, Sya. Continue à hurler pour ta mère, ma puce…
 -  HHHHMMMMMMMRRRRR… !! »

Samara soupirait encore, déplaçant son corps d’avant en arrière, pour se renfoncer en elle, déformant ses parois. Le temps défilait à toute allure, jusqu’à ce que Samara ne finisse par jouir. Ses griffes firent couler le sang de Sya. Heureusement, elle était une Ange, et, tandis que du sang coulait sur le sol, l’Archimage finit par jouir, poussant un hurlement qui déclencha une onde magique autour d’elle. Elle jouit avec force, balançant tellement de foutre que le corps de Sya fut soulevé, l’onde magique aidant à la projeter.

Pendant cet orgasme, Sya rebondit donc sur le sol, à plusieurs mètres devant Samara, qui continua à jouir généreusement, recouvrant le corps de l’Ange de sa semence, chaude et épaisse.

« Haaaaaaaaaaaaa… Mmmhmmmmmmmmm… !! »

Le corps de Samara reprenait sa forme normale, et elle soupira lentement, en retrouvant sa fine silhouette. Yeux clos, elle respirait lentement, et, quand elle les rouvrit, ses yeux étaient redevenus calmes, blancs, et elle se rapprocha de Sya, faisant claquer ses talons sur le sol. Fléchissant le genou, elle caressa la petite tête de Sya, glissant ses doigts le long de ses cheveux bleus.

« Hmmm… Désolée, Sya, je n’ai pas l’habitude de m’emporter si vite… »

Elle déposa un baiser sur son front.

« Tu veux te reposer, ma chérie ? Je crois t’avoir assez puni pour le moment… »

Subir les envies de sa mère allait être une chose difficile à tenir si c'était ainsi tous les jours. Sa formation de prêtresse l'avait préparer à bien des choses et même pire que ça mais si sa mère veut jouer ce petit jeu tous les jours, ça ne sera pas la chse la plus simple que de tenir le rythme. Peu importe que Samara se muscle un peu ou non, Sya la trouvait toujours aussi belle de ce qu'elle pouvait en voir par-dessus son épaule, elle subissait sans broncher ses sévices, savourant le rythme plus costaud que lui imposait cette dernière, c'était tellement bon ! De même que sa queue venait à grossir en elle mais cela ne la dérangeait pas tant qu'elle ne retirait pas ça trop rapidement. Elle avait déjà fait l'amour avec des furrys qui avaient cette particularité d'avoir un sexe plus proche de celui des animaux que des humaines alors au moment de jouir, enfin, après... elles restaient bloquer un certain moment. L'occasion pour elle parfois d'avoir droit à plus de câlins que prévus.

« Haaaaaaaaaaaannn ! M-maman !!! ça fait mal !!!! »

Faux, ça lui faisait du bien mais elle savait aussi que c'était le genre de choses que sa mère voulait entendre pendant que Kazuha s’occupait aussi d'elle avec son fouet. Elle adorait tout cela, même si la douleur faisait naître quelques larmes sous ses paupières mais elle n'allait pas stopper pour si peu. Elle serrait les dents en sentant Samara toujours plus forte. Elle fut cependant surprise quand une seconde queue venait se frotter contre elle et l'empaler aussi, retirant sa virginité une fois de plus, pas de le temps de soupirer que la démone reprend ses assauts furieusement. Si elle ne tenait pas Sya fermement, elle l'aurait retiré de sa queue sans soucis. Même si Kazuha venait à freiner puis stopper ses coups de fouet, elle éprouvait encore une légère douleur mais les deux gonflés à bloc de sa mère étaient suffisant pour lui faire passer quoi que ce soit de supplémentaire. Au moins maintenant, elle était comblée. Il manquait encore quelque chose, sa bouche était libre mais comme le pensait Kazuha, autant laisser ses cris s’exprimer bien comme il faut. C'était le plus important aussi de satisfaire ses oreilles.

« Mmmmmhhhhhaaaaaaaaannnnn !!! »

Peu de temps après, Samara venait jouir en balançant de si forts jets de semences que Sya en fut expulsé comme un bouchon de champagne, tombant sur le sol, arrosé par sa délicieuse crème blanche qu'elle léchait et avalait quand cela tombait dans sa bouche. Après s'être calmé, Samara venait à elle en la caressant et en étant douce, comme une maman. Sya souriait en lui caressant le visage du bout des doigts.

« Ce n'est pas grave maman... tu étais heureuse... J'ai bien travaillé ça veut dire. Je veux continuer de jouer avec vous mais... je veux bien une minute pour souffler un peu. Je peux avoir un câlin avec vous deux ? »

Sa maman surtout mais Kazuha comptait aussi. Sya voulait juste un bon câlin entre les bras chaud de sa maman puis avec aussi Kazuha pour pouvoir se reposer comme il se doit. Elle n'allait pas dormir pour si peu, c'est sûr mais si on pouvait éviter la sodomie et les coups pendants quelques minutes, elle ne serait pas contre. Elle se trouvait reposer entre elles, elle pourrait vraiment s'endormir dans leurs bras mais elle voulait juste profiter de ce petit confort, rien que pour elle. Elle souffla quelques mots pour jeter un petit sort de magie rose afin de se faire pousser une queue à son tour. Elles l'avaient fait – et Samara l'avait fait deux fois – alors pourquoi pas elle ? Elle montre comme ça qu'elle est aussi comme sa maman. Sya était capable d'avoir deux sexes aussi mais elle préférait commencer avec un. Un pénis poussa depuis son intimité, déjà bien dressé une fois avoir soupiré de plaisir en le sentant sortir. Mais ça n'égalait pas celui de Samara, si Sya pouvait toujours faire en sorte que ce soit le cas, même plus grand, elle préférait en avoir un normal.

« Regarde maman, moi aussi je sais le faire. Même s'il est pas aussi gros que le tien, elle est jolie hein ? »

Ou comment demander subtilement de jouer avec. Se reposer et s'amuser en même temps, elles étaient libres de s'y prendre comme elles voulait, en espérant rester dans ses bras, c'est tout ce qui comptait pour Sya.

Samara s’était rarement autant lâchée. Quand elle laissait son côté bestial s’exprimer, ce côté sauvage et purement démoniaque, ses cornes s’allongeaient, et son corps devenait plus musculeux, plus costaud, et plus impressionnant. La pauvre Sya en avait fait les frais, et la jeune femme était étalée sur le sol, épuisée, baignant dans sa mouille. Gisant silencieusement, Sya reprenait doucement des forces, tout comme Samara, et, quand elle demanda sa double dose de câlins, Samara sourit, et l’attrapa par les épaules. Après ce final, aussi grotesque qu’impressionnant, Sya avait effectivement mérité un peu de douceur.

La prenant donc, Samara alla se poser sur le rebord du lit, Sya sur ses cuisses, Kazuha venant les rejoindre, s’asseyant, elle aussi, sur le lit, caressant le dos de la petite Sya, le nettoyant aussi un peu en léchant ses côtes. Sa peau était très douce, et, en réalité, Kazuha se surprenait à adorer l’embrasser et la lécher ainsi. Oui, Sya avait vraiment une peau très douce, ce dont Samara avait déjà pu se faire la réflexion. Elle la caressait donc à son tour.

« Tu es vraiment très impressionnante, Sya... Tu ne trouves pas, Kazuha ?
 -  Oh oui, douce, et, surtout, résistante... Endurante... Et très perverse. Tu as vraiment tout pour plaire, Sya d’amour.
 -  Mélinda arrivera toujours à me surprendre, quand je vois les personnes incroyables dont elle arrive à s’entourer. »

Une véritable perle, c’était bien là ce que cette Sya était. Samara continuait à la caresser, et posa sa main sur son menton, redressant un peu le visage de la jeune Ange. Elle en profita pour l’embrasser tout doucement. Après l’intensité dont les amantes avaient fait preuve tantôt, un peu de douceur, ça ne serait pas pour déranger qui que ce soit. Samara la caressait donc doucement, câlinant ses hanches, ses jambes, ses cuisses... Avant de sentir quelque chose pousser, que ses doigts effleurèrent.

Sya avait fait jaillir sa verge, un joli membre qui se dressait, amenant un sourire amusé à perler sur les lèvres de Samara. Il n’était évidemment pas surprenant de voir que l’Ange de la Luxure était, elle aussi, une hermaphrodite. Loin d’en être offusquée, l’Archimage se contenta de sourire, et embrassa la femme sur le front.

« Une verge, donc... Oui, elle est très belle, et... »

Sa main alla se saisir de cette hampe de chair, et elle commença à la masturber, voyant rapidement une réaction sur le corps de Sya, qui soupira.

« ...Très sensible, visiblement. Tu veux essayer, Kazuha ? »

En souriant, Kazuha se déplaça alors, et se mit à genoux devant les deux femmes, puis approcha son visage du sexe de Sya.

« Hum... Oui, elle a l’air... Très belle...
 -  Vas-y, Kazuha, fais plaisir à Sya, elle l’a bien mérité, après tout... »

Après tout ce que la femme avait vécu, on pouvait le dire ! Kazuha, sans rien dire de plus, posa sa main sur le sexe de la femme, et, ouvrant sa bouche, s’empressa d’aller avaler ce sexe, la suçant donc bien comme il fallait, avec ce talent magnifique dont Kazuha était capable de faire preuve. Et Samara, elle, ne resta pas longtemps en reste, puisqu’elle s’empressa d’aller embrasser la jeune femme, mordillant ses lèvres, savourant cette douce luxure qui vibrait autour d’elle.