Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Vol au dessus d'un nid de coucou

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Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Vol au dessus d'un nid de coucou

lundi 17 novembre 2014, 21:21:53

Irina ne se souvient plus depuis combien de temps elle a atterrie dans cet endroit sordide et sombre où seule l'accompagne les hurlement de démence des autres détenus. Elle est adossée au fond de sa grande cellule capitonnée, à deux pas des laboratoires qu'on lui destine.

Sa première tentative d'évasion ne s'est pas passée comme prévue... elle se souvient s’être réveillée un peu dans le même état que celui dans laquelle elle est maintenant, l'esprit embrouillé par les drogues et un filet de bave au coin de la lèvre. Les membres enlacés dans une épaisse camisole blanche à courroies de cuir, les jambes nues et sans sous vêtements. Elle sent qu'on a profité de son sommeil pour la violer, le liquide visqueux stagne toujours dans ses entrailles mais son corps a déjà régénéré entièrement ses chaires les plus délicates.

Ensuite elle se souvient s’être levée en entendant la porte s'ouvrir, qu'elle s'est jeté sur la première personne qui s'est présenté, une sorte de bonne sœur infernale, elle se souvient l'avoir étranglée entre ses jambes avant de prendre la poudre d'escampette. Elle souvient de la vision d'horreur que lui a provoqué la vue des autres cellules et salle de thérapie. Elle a comprise que l'endroit ne soignait pas les malades, il faisait des malades, des malades qu'elle rejoindrait si elle ne partait pas. Elle se souvient avoir criée, mais que malgré tout ses efforts, elle n'a pas réussi à se libérer de sa camisole, sa force surhumaine l'aillant abandonnée...

Finalement, elle se souvient de l'étreinte des solides gaillards de la sécurité, de la morsure froide de la seringue qui s'enfonce dans sa cuisse, du bruit sourd du piston que l'on pousse et qui libère en elle le néant et l'oubli.

Et la voila donc dans cette nouvelle cellule. Cette fois ci, quand elle entend la porte s'ouvrir, elle ne peut plus se lever, on à sanglé ses jambes ensemble, quand elle à peur, elle ne peut plus crier, on a bailloné sa bouche. Elle ne peux que regarder l'infirmière arriver avec son "traitement", un cocktail de drogues et de psychotropes qui la rendent docile et inoffensive jusqu'à ce que l'heure vienne de les lui donner à nouveau.

Les substances ont commencé à se dissiper, ça va bientôt être l'heure, elle entend des bruits de pas, elle n'essaie même plus de lutter, pourtant cette fois, quelque chose est différents, les bruits de pas ont changés, ce ne sont pas ceux de l'infirmière.

Jack Knife

Re : Vol au dessus d'un nid de coucou

Réponse 1 lundi 17 novembre 2014, 23:15:53

-Elle a tué une soeur pour s'enfuir et il a fallut pas moins de trois hommes pour la ceinturer avant de lui injecter les calmants. Elle était assez impressionnante... Dans son genre.

La Soeur du Silence qui accompagnait Jack à travers les couloirs de l'aile Est de l'Asylum semblait démontrer pour la curieuse excitée blonde dont elle contait les exploits un certain intérêt. Rares étaient les patients si retors au point qu'il fallut plusieurs Chasseurs pour les maîtriser. Comme l'observa Knife en tirant sur son cigarillo à la forte odeur âcre, les petites pointes dures des seins de la Soeur se dressaient sous l'étoffe à semi-transparente. L'image lui fit ajuster sa belle queue dans ses chausses dans un geste tranquille, afin que le début d'érection qui le saisissait ne soit pas dérangeant pour marcher.

Ils arpentaient un couloir comme il y en avait tant d'autres à l'Asylum; decrêpi et vétuste, gondolé d'humidité. Les lieux étaient sales bien que passants et nul ne semblait y accorder plus d'importance qu'aux pauvres types qui y déambulaient en traînant du pied, les yeux vides et la bouche juste ouverte pour laisser un filet de bave entre deux paroles insensées. Certains étaient nus et crasseux, roulés qu'ils avaient été dans leur propre merde. D'autres étaient vêtus de blouses souillées par des tâches à la provenance plus que douteuse.
Comme les lits de la plupart des cellules, dont la porte de certaines restaient ouverte alors même que des membres du personnel s'adonnaient à des viols ici parfaitement courants. Alors que Jack bifurquait à un couloir en compagnie de son interlocutrice, une Soeur finissait juste de lécher le bout de ses doigts couverts de foutre. Au loin, un hurlement de désespoir retentit avant de mourir.

- C'est un sujet particulièrement retors, confessa Jack avant de cracher à terre. Elle a tué deux Chasseurs avant qu'on ne réussisse à la capturer. De ce que j'ai cru comprendre, cette fille est une de ces "choses" venant de Tekhos.

- Une créature artificielle ?

- Oui. Bien que sa chatte soit aussi confortable que la vôtre, souligna t'il dans un sourire entendu.

La Soeur étouffa un petit ricanement et tourna la clé de fer qu'elle avait glissé dans la serrure de la cellule d'Irina. Elle ouvrit le lourd battant de bois simplement ouvert d'un espace grillagé et entra là en compagnie du Chasseur.
L'odeur de vieille pisse saumâtre qui empuantissait l'air de la pièce ne sembla guère les incommoder.A force d'avoir les narines constamment noyées dans des effluves similaires, probablement.

Nue sous la camisole, la blondasse émerge à peine de son dernier sirop de psychotropes. Parfait. Il faut qu'elle soit en mesure de comprendre ce qu'on va lui expliquer. C'est Jack qui vient pour la petite leçon, bien qu'il se place derrière la nonne dont il relève la bure noire. Assez pour dévoiler le delta touffu de son sexe sur lequel il fait glisser ses doigts alors que le souffle de la Soeur s'accélère et que ses cuisses s'ouvrent un peu plus. Elle regarde Irina malgré tout, comme le fait le semi-démon par-dessus son épaule lorsqu'il commence à faire jouer sa voix lourde et profonde.

- Tu es à l'Asylum. Tu es tarée, ma pauvre. Ton cerveau est malade, ce qui nous pousse à te garder ici pour te soigner par tous les moyens en notre possession.

Son majeur s'étant glissé entre les lèvres vaginales de la nonne, celle-çi laisse filer un gémissement en guise de ponctuation de phrase. Knife, comme imperturbable, poursuit.

- De plus, ton corps particulier intéresse notre élite médicale. Tu ne t'appartiens plus, ma jolie. La correction que tu as reçue après ton petit tour de force n'était qu'un préliminaire. Fais toi à l'idée que tu n'es plus qu'un t'as de viande. Dommage d'ailleurs que cette putain de camisole cache celle de tes gros nibards. Bah ! Je me ferai tes mamelles une fois que les médocs t'auront fait décoller.

Il n'ajouta rien de plus, occupé à besogner de ses doigts la Soeur qui gémissait en s'accrochant à son cou. Non pas que Jack n'avait plus rien à dire; seulement, il adorait recueillir les premières protestations d'un interné. Rien de mieux pour commencer une une journée, entre suppliques lamentables et injures salées.

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : Vol au dessus d'un nid de coucou

Réponse 2 lundi 17 novembre 2014, 23:35:53

Au moment où le semi-démon pénètre dans la pièce, Irina le reconnait et le fusille du regard, ses iris flamboyants de colère. Les souvenirs lui reviennent en masse et défilent dans sa tête au point de lui donner la migraine.

C'était lui, lui qui l'avait vaincue et amenée ici pour y subir ces traitements dégradants. Tuer les membres de sa petite troupe avait été relativement facile malgré leur entrainement, ils n'étaient que de simples humains. Mais lui... lui était différent, doté d'une force supérieur à la sienne, et pourtant rien ne le laissait paraitre. C'était ainsi qu'il l'avait eu. Elle avait baissée sa garde, pensant affronter un fragile mortel de plus, et il été passé à l'action, aussi vite qu'elle, aussi endurent qu'elle, aussi ingénieux qu'elle... mais plus fort, tellement plus fort.
Elle n'avait pas pu fuir, il l'avait capturé, droguée, et elle en était sure et certaine maintenant, violée pendant son sommeil.

La colère la fait réagir et dissipe les derniers effets de la précédente injection qu' elle à subit. Elle force sur ses liens en se débattant.


Jack - Tu es à l'Asylum. Tu es tarée, ma pauvre. Ton cerveau est malade, ce qui nous pousse à te garder ici pour te soigner par tous les moyens en notre possession.


Elle le regarde avec mépris alors qu'il joue avec sa salope de nonne pervertie, si elle n'avait pas la bouche entravée, elle cracherait sur le sol pour lui signifier son dégout.


Tu vas vite voir que je ne suis pas une de tes putes Grand crétin...


Pense t'elle très fort.


Jack - De plus, ton corps particulier intéresse notre élite médicale. Tu ne t'appartiens plus, ma jolie. La correction que tu as reçue après ton petit tour de force n'était qu'un préliminaire. Fais toi à l'idée que tu n'es plus qu'un t'as de viande. Dommage d'ailleurs que cette putain de camisole cache celle de tes gros nibards. Bah ! Je me ferai tes mamelles une fois que les médocs t'auront fait décoller.


Irina répond à sa provocation méprisante en poussant un cris de colère qui s'entend malgré le bâillon. Elle refuse que des scientifiques fou la touchent à nouveau, ils lui en avaient trop fait à BIOGENIX pour qu'elle le supporte encore. Habité d'une force nouvelle, elle parvient à cracher et à repousser le bout d’étoffe de sa bouche.

Irina - Tu n'as pas idée du sort que je te réserve Bâtard !

Lui cris t' elle en forçant plus fort encore sur sa camisole, les courroies de cuir crissent sous la pression et l’étoffe commence à se déchirer à niveau de sa poitrine juste entre ses bras, révélant son opulente poitrine.
La fatigue la gagne déjà mais elle continue de toutes ses forces, si elle continue ainsi, elle va finir par se libérer...

Jack Knife

Re : Vol au dessus d'un nid de coucou

Réponse 3 mardi 18 novembre 2014, 08:03:21

Elle pesta, jura, gronda d'une colère sourde et menaçante derrière le tissu qui la baillonnait. Jack y prêta une attention certaine tout en doigtant allègrement la Soeur du Silence qui ne faisait même plus l'effort de se tenir un minimum : elle gémissait sourdement à présent, les cuisses largement ouvertes et les bras enserrés autour de la nuque du Chasseur qui fouillait son creuset intime et bouillant sans mesure ni même vraiment de délicatesse. La large main de l'hybride restée jusque là inactive se posa sur les des seins discrets mais ferme et tendu de la nonne pour le pétrir. Dans le même temps, Irina entreprenait de se libérer. Le cuir des courroies de sa camisole crissait déjà dangereusement et elle se débarassait de son bâillon après l'avoir rongé avec fureur.
Et les belles menaces creuses fusèrent de la bouche aux lèvres pulpeuses, annonçant à Jack ce que l'internée prophétisait comme étant un sort funeste.
L'homme n'en afficha pas moins un large sourire. Entre-temps, les seins lourds d'Irina se dévoilèrent entre deux déchirures.

- Oh, si, j'en ai une idée. Mais crois moi, chienne, ça sera sans commune mesure avec ce qui t'attends toi.

Il abandonna la nonne qui protesta mollement et préféra se laisser glisser sur le sol sale pour se finir en solitaire. Comme possédée, la Soeur du Silence continua l'oeuvre obscène entamée par Jack. Lui fit quelques pas pour arriver au niveau d'Irina.
Sans sommation, il abattit son poing une première fois sur la jolie petite gueule de la blonde. Puis une seconde, puis une troisième. Ses phalanges cognèrent lourdement contre les os du visage d'Irina, son nez et ses lèvres, avant qu'il n'arrête pour lui prendre le menton entre deux doigts.

- Dommage que tu aies buté quelques amis à moi. C'est un exploit peu courant et ça a attiré l'attention. Les toubibs veulent percer tous tes secrets... A la fin, tu n'auras plus rien d'humain. Et moi, je n'aime pas trop baiser les viandes mortes.

Tout en parlant, l'homme s'était redressé et avait délacé l'aiguillette qui maintenait sa queue dans ses chausses. Il l'en extraya -une pine aussi longue que large, veinée et droite dont le gland semblait presque menaçant- et s'accroupit pour la coincer entre les deux mamelles de la blonde qu'il attrapa à deux mains afin de les presser fortement autour de son vît. Jack commença à se branler fermement entre les deux orbes de chair.

- Tu aurais été plus sage, les choses auraient été bien différentes. Remarque, c'est pas mal non plus comme ça : tu reste un tas de viande à fourrer quand même !

Ce faisant, sa verge tendue se glissait allègrement entre les deux monts charnels, butant parfois contre la gorge de la captive. Si il ne maintenait pas l'un des seins en place, Jack le cinglait d'une claque avant de presser son bout violacée d'envie contre l'un des tétons, semblant comme s'enfoncer dans la masse graisseuse. Comme la bande son d'un film de cul, la voix de la nonne tréssautait au rythme des doigts dont elle goinfrait son con.

Au bout d'un moment, le Chasseur chaussa la bouche de la cyborg autour de son membre frétillant d'envie. Juste ce qu'il fallait pour humecter un peu la peau avant de retourner s'exciter entre les ballons mammaires, prêt qu'il était à y jouir.

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : Vol au dessus d'un nid de coucou

Réponse 4 mardi 18 novembre 2014, 22:20:40

Irina sent l'ossature de son nez vibrer sous les coups de la brute, mais son squelette bionique résiste sans peine et seul le sang dans sa bouche atteste des blessures qu'il à infligé à sa chaire. L'espace d'une seconde, le demi-démon remarque que malgré la force de ses poings il n'est pas parvenu à lui casser le nez, ce qui est extrêmement surprenant.

Il lui prend le menton entre deux doigts, Irina le regarde, défiante, et lui crache son sang au visage. Jack ne bronche pas.

Jack - Dommage que tu aies buté quelques amis à moi. C'est un exploit peu courant et ça a attiré l'attention. Les toubibs veulent percer tous tes secrets... A la fin, tu n'auras plus rien d'humain. Et moi, je n'aime pas trop baiser les viandes mortes.

Irina - Tu me prend pour une humaine grande gueule ? Rassure toi, je ne meure pas aussi facilement tu ver... humph...

Il commence à lui peloter les seins, pincer ses tétons et s'en servir comme de sextoys dans une répugnante parodie de relation sexuelle. Irina rougit et baisse les yeux, honteuse de ressentir déjà l'excitation monter en elle et une moiteur odorante perler de sa vulve.

Jack - Tu aurais été plus sage, les choses auraient été bien différentes. Remarque, c'est pas mal non plus comme ça : tu reste un tas de viande à fourrer quand même !

Il continue ses vas et viens en la torturant, incapable de se retenir, Irina se met à crier et à haleter comme une pute. Jack prend le risque de passer son énorme queue dans la buche Irina. La cyborg écarquille les yeux de surprise et met une seconde de trop pour réagir. La mâchoire d Irina se referme un centième de seconde après que le gland du demi-démon soit ressorti. Ses dents claquent dans le vide.

Irina - Tu vas mourrir... maintenant...

La camisole recommence à craquer sous la pression des bras d'Irina...


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