Une délicate attention... mais bien mal interprété.
Il n'était humain que dans son apparence... il ne pensait, réagissait ou comprenait pas comme tel. Sa compréhension des choses étaient bien supérieur à l'humanité. Si bien, que la plus simple des intentions ne trouvaient pas écho en lui.
Alors que les mains de Leafa se posèrent sur sa capuche, la créature estima qu'il s'agissait d'un acte de révolte. Pour le repousser, ou chercher à s'y agripper éventuellement... souffrait elle ? Pourtant elle devait être pleine de ses fluides corporelles. Encore une fois, il ne comprit pas, il interpréta mal.
Elle était réellement enivrée de plaisir, au point de participer, engouffrant deux tentacules dans sa petite bouche qui peinait à les supporter. Ceux-ci allaient et venaient de concert, prenant un malin plaisir à l'écarteler, faisant gonfler le fond de sa gorge et la faisant suffoquer.
Les crocs de la bête se serrèrent d'avantage autour du téton, et ses mains décharnées saisissaient ses seins de plus belle.
Ainsi suspendu au dessus de sol, les membres d'Azmeth ballottaient avec beaucoup de violence le corps fragile de Leafa. Elle était telle une poupée de chiffon, souillé et débordante de sperme tentaculaire.
Il prit cependant grande précaution dans la manipulation de sa victime... le coït fut moins violent, moins brutale. Il prenait grand soin de la laisser respirer, de la maintenir sans lui faire de mal et faisait gigoter tout ses tentacules en elle avait une certaine forme de douceur. Dans sa fougue il ne la malmenait presque plus, ou pas intentionnellement. Les différentes membranes qui glissaient sur elle étaient lent, calme... caressant et ne grouillant plus comme une nuée de sauterelle affamée.
L'être était tout proche d'elle, tout deux levé par une armada de long tentacule répugnant qui faisaient un bruit humide et grouillant lorsqu'ils se frottaient l'un à l'autre... beaucoup d'autre étaient levés pour s'enfoncer de part et d'autre du corps de l'humaine mais il n'y avait plus cette fureur bestiale à lui faire gonfler le ventre de foutre. Tout était plus calme, plus "tendre"... il était temps de communiquer. Il était temps...
Azmeth ne parlait pas, il s’exprimait par suggestion ou par des échos qui résonnaient dans le cerveau comme un rêve que l'on croyait entendre. Ses deux procédés étaient efficaces, mais pouvaient déstabiliser quelqu'un hors contexte... si une personne connaissaient son existence, la suggestion prenait une aspect cauchemardesque et démoniaque. Il était plus facile de manipuler l'esprit ignorant. Celui ci considérait que la suggestion émanait de sa propre réflexion...
Il suggéra donc à Leafa. Il la rassura quant à ses intentions. Il voulait qu'elle vive, qu'elle vive heureuse et satisfaite. Il la nourrirait, il la protégerait, il la prendrait à sa guise en échange de sa loyauté. Car il fallait lui être loyal, c'était une suggestion simple mais qui semblait tomber sous le sens. Il insista sur ce point, la loyauté... pas une esclave, mais une loyale humaine.
Afin de "l'aider" à accomplir de grande chose. Azmeth chercha à insister sur ce point aussi, il lui demandait de l'aide, il ne la forçait pas, ou du moins pas en apparence.
La créature cessa de lui dévorer la poitrine et se redressa lentement... espérant avoir traverser les différentes barrières qui faisait de lui un être dégouttant à ses yeux. Il voulait être un ami... un maître, dans l'ombre... qui lui suggérait d'être loyal. Un esclavagisme assez hypocrite...