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The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

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Ludya

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 15 lundi 15 septembre 2014, 17:35:44


N... Non ! Elle... Qu'est ce qu'elle fait ? Qu'est ce qu... Qu'est ce qui envahit son corps, son sang ?! Il aurait du essayer de rafermir sa peau, l'imperméabiliser a la pénétration de cette drogue liquide, mais il avait été absorbé par la beauté de ce corps amplifiée par la glisse de cette magnifique sueur éthylique lustrant ses courbes. Il n'avait pourtant pas besoin de ça pour la désirer, bien qu'il aime opposer une petite résistance, juste de quoi attiser son désir, attiser doucement ses instincts de prédatrice mais elle avait décidé d'y aller fort, très fort d'entrée en infusant cette drogue aphrodisiaque très pure, extrêmement concentrée par les pores de la peau de Ludya... Bien que la composition des cellules et du sang de Ludya lui soit complétement inconnue elle effectua le pari un peu risqué d'introduire cette substance étrangère dans son corps, qui s'attaqua très rapidement à son cerveau, par chance ce n'était pas incompatible et les effets furent foudroyants ! Trop pure et si forte pour son organisme, ennivrant son cerveau.

Il y eut tout de même une réaction, un effet secondaire, les taches sombres de ses yeux s'étendirent à toute son iris devenue noire, comme si ses pupilles s'étaient largement dilatées.

L'étendue presque complète de l'éventail de sa musculature se mit à travailler, s'épaissir et se décontracter, ses battements de coeur d'augmenter leur rythme, à ce vertige de belles contractions physiques et de réactions physiologiques étranges qu'il ressent se lie l'ivresse d'un désir si puissant qu'on pourrait le qualifier de primitif, il ne savait pas qu'il était capable de se comporter comme une bête en rûte... Il n'avait d'yeux et d'envies que pour ce corps qu'il ne pouvait atteindre, mais qui ne tarda pas à lui offrir une vue imprenable sur les courbes si belles, si parfaites de ses cuisses et fesses là dessous, il vit les ombres et la lumière s'allier dans une danse pour lécher ses formes captivantes à mesure qu'elle s'approchait, venait s'assoir le joli minois de l'Abyssian qui, fut en partie enveloppé par la fermeté magnifique des volumes voluptueux de sa vulve déjà enflée de désir, pratiquement étouffé là dessous ♥ Elle couvrait une partie de ses traits enfouis entre ses lèvres qui semblait n'être alors qu'un coussin de chair bien tendu et charnu cherchant presque à épouser ses traits... Tout comme lorsqu'elle l'avait emmené dans les eaux glaciales et avait vu sa mort venir, Haaanw... Il n'aurait, dans son imagination encore fertile et ses fantasmes naissants, pas pu rêver meilleure façon d'étouffer ! Trônant sur son visage, ses lèvres s'entrouvrant pour l'embrasser quand elle se pose. Son petit nez également enfoui sous le délice de ses odeurs et de ses lèvres caressant l'arrête de son nez. Forcé de respirer tout contre sa chair, s'imprégnant de l'odeur entêtante de ses phéromones puissantes.

 
Il lèche, lèche, lappe comme une petite furie ! Ses coups de langue et les mouvements fluides de son visage ainsi que de sa nuque accompagnent en rythme ses glissades volontaires sur son visage, se servant amoureusement de ses traits pour se frotter, se gratter le sexe sur le doux faciès de Ludya, le badigeonnant de cette essence follement aphrodisiaque, qu'il lèche, lappe comme un petit chaton à la soif intarrissable, ses gémissements se font entendre, même si étouffés par sa vulve charnue lui épousant, lui ventousant, embrassant où même, aspirant les doux traits de son visage entre ses lèvres ! Il aimait tellement ça, tellement être à sa merci sans l'avouer, dans cet état second il loua le ciel de sa naiveté et sa maladresse qui l'ont conduit à perdre face à elle. A maintes reprises il aurait voulu se servir de ses mains pour plaquer trrrès très fort son sexe contre son visage ! Au lieu de celà il devait se contenter d'agiter vivement et rapidement ses mâchoires pour frotter son menton, ses lèvres, les traits de son visage trrrès très fort contre son sexe qui avance et recule, se frotte contre lui, si fort qu'elle pourrait avoir l'impression qu'il essaye soit d'introduire sa bouche où son menton en elle soit de se faire un lissage où un gommage des traits contre la chair de son sexe !

Sa langue râpeuse fait des ravages entre chacunes de ses allées venues, embrasant son sexe, il voudrait de temps en temps qu'elle s'arrête pour la mordiller gentiment du bout de ses crocs, apprécier le volume entier de sa zone pubienne enfermée entre ses dents et pointiller le bout de ses dents partout dessus ! Goùter à sa chair juteuse qui l'affole d'envie et mastiquer son sexe comme on aurait envie d'apprécier l'élasticité et la texture d'une telle bonne chair entre ses dents ! Des désirs et des envies primitives oui ! Qui n'avaient pas le droit de se développer tant et si fort qu'elles chassent toute logique où raison de son esprit ! Et elle faisait ces choses si excitantes avec ses mains, la poigne redoutable de ses mains enserrées solidement autour de son membre, elle serrait fort, fort contre la fibre dense et très solide de sa verge. Pourvu qu'elle use de sa salive, où d'un quelconque lubrifiant, autrement ses mains allaient déraper le long de son membre ultra lisse tout du long et lui échauffer douloureusement le cuir ! A force de crissements caoutchouteux sur la longueur impressionnante de son membre. Elle avait là aussi du se servir de ses sucs surpuissants pour lui graisser la queue sans quoi elle n'aurait pas pu le masturber vite, plus vite, encore plus vite et si fort, insistant bien à une allure qui ne pouvait pas lui laisser la moindre chance d'échapper à la montée rapide, trop rapide de son plaisir, et elle le savait, elle le savait puisque soudain elle lia la base de son sexe avec les lanières serrées de son string alors qu'il souffrait de l'envie de se libérer !

C'était si intense ! Si fort ! Trop même peut être pour le pauvre Abyssian qui n'était pas habitué à des traitements si "hard" il en était encore à faire les choses avec douceur ! Et ouille ! Ca lui faisait mal, et c'était beaucoup plus sensible que chez un adulte accompli ayant l'habitude d'autant de choses ! Il feulait autant de douleur que de plaisir et parfois elle pouvait voir que c'était un peu trop franc et intense pour lui quand des piques de sensations font se contracter son corps qui s'arque en cherchant à échapper à ses mains, à ses caresses si franches sur son sexe. Mais la douleur s'estompa et se changea bien vite en pur moment de délivrance, de bonheur soulagé quand son sexe érigé, encore plus que d'habitude par les pulsions sanguines emprisonnées, atteignant un fatidique et ultime 51 ème centimètre au bout des pulsations de ses deux coeurs, fut happé entre ses lèvres humides...

Il poussa un looong râle de soulagement satisfait, en dandinant un peu ses cuisses et remuant sa queue d'Abyssian à ce contact qui était si frais, si frais après l'échauffement brutal et impitoyable de son sexe par une masturbation si vive et rapide de sa verge qu'il la sentit même s'échauffer par friction ! Sa queue d'Abyssian titilla le bout de ses tétons pendant qu'elle s'étala de tout son long sur son corps. Maintenant qu'elle était étendue elle ne pouvait plus tant se râper le sexe sur son visage et lui pouvait sucer sa belle framboise enflée entre ses lèvres, faire tout le tour de l'extérieur comme de l'intérieur de sa vulve avec sa vilaine petite langue râpeuse ! Qui explorait, découvrait, la goûtait avec un tel appétit ! Il avait envie d'elle, teeellement envie d'elle, elle l'a rendu dingue de son beau sexe bien mûr et juteux qu'il a très très envie de presser contre ses lèvres, contre ses dents, le picorant, caressant en mouvements fluides, circulaires, de ses joues et son visage dessus... Une envie bestiale oui, bestiale de lui presser ce sexe enflé entre ses mâchoires où ses doigts comme on le ferait d'une éponge trop gorgée d'eau. Pourquoi... Pourquoi il avait envie de lui ravager cette magnifique chose dont les formes dévelopées et gonflées ne faisait qu'aviver la flamme toujours plus vive et grondante d'un désir qui... qui... qui lui donnait envie de dire des trucs pas très jolis, vulgaires même ! C'est à cause de cette drogue aphrodisiaque ! Oui, quelle bonne excuse... Il aurait voulu lui dire qu'il avait envie de faire de la salade de choufleur farcie avec sa petite fleur ! Autrement dit, de lui fondre le sexe au chalumeau de sa queue, lui démolir la chatte ! La passer au papier de verre avec sa langue ! Ce qu'il faisait déjà mais, GRRrroui ! Il la voulait il la voulait il avait jamais ressenti une telle obsession admirative et destructrice d'une envie de... D'une envie de mordre à pleines dents dans son sexe, lui mâchouiller et tout ! Il lui aurait semblé qu'il était fait pour être pressé trrrès fort pour le purger de son enflement d'excitation !

Pourquoi il pense à de telles choses, c'était même plus violent ces envies, comme pensées que la douleur qu'il ressent à ne pas jouir ! Cet aphrodisiaque le rend complétement fou ! Et pourtant il avait envie qu'elle continue, qu'elle continue à frotter son sexe sur son visage, il se trempait les traits dedans, le farfouillait de ses lèvres, de sa langue, rapide ! rapide ! si rapide ! tellement rapide ! Appuyant par quasi déhanchements fluides et rabattus de sa tête vers elle en exposant son menton, qui, son menton poussait sur l'aplani de sa langue, sa langue et bien, elle était reposée sur sa lippe inférieure et puis une bonne partie de son menton et c'était son menton qui poussait terriblement fort pour râper sa langue contre sa vulve. Il attrapait parfois son sexe entre ses lèvres et ses dents pour presser la chair et en boire le jus. Mais même s'il mordait c'était pas vraiment douloureux, il cherchait pas à percer la chair, juste la presser avec la forme de ses dents. Loin des pensées de Ludya l'envie de lui faire du mal, c'était intense comme traitement pour son sexe mais il était tellement beaaau, tellement, sais pas, plein de volume, charnel, symbole d'une terrible fertilité ! On aurait dit le plus jolis des petits coussin de cuir très lisse et tendu, ferme, Ca donnait envie de le... De le ravager puis voilà !

Mais elle put sentir qu'il défaillait quand elle encercla son sexe avec ses lèvres, sa tête se rejetant en arrière dans un grognement plus suave, profond, éperdu du mal de plaisir qu'il ne lui était pas permis ♥ Si bonne, si belle et aussi si cruelle ! Son gland pulsait anormalement fort de ses battements, elle pouvait le sentir battre la mesure de ses deux coeurs entre ses lèvres, les écartant un petit peu au bout de la pression forte d'une infusion sanguine dans sa chair et les laisser se refermer d'avantage autour de son bout. Il voulait sentir le soulagement de sa salive et de ses lèvres l'englober d'avantage, c'était insupportable tout ça, ouie ! Rrroui ! Il n'avait aucune idée qu'on pouvait le torturer de cette manière !

Autrement... Il ne pouvait qu'être dans l'attente au travers de son agonie, n'avait aucun contrôle et ne pouvait faire que subir les envies de cette magnifique tortionnaire... Et comprenait peu à peu l'étendue ravagée et impressionnante de ses désirs frustrés pour son Abyssian captif au compte goutte des gestes parfois brusques, parfois plus tendres, impatients, experts où savants, et il ne pouvait décidément pas faire autre chose que vibrer, puisqu'il lui était même impossible de parler avec son sexe collé au visage.




Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 16 dimanche 12 octobre 2014, 21:55:17

Ludya utilise sa langue et son visage avec beaucoup d'ingéniosité et de force malgré sa faible expérience, Irina en est surprise et joui à plusieurs reprises, rien que sous les assauts de sa tête. A chaque fois elle gémit et s' effondre de plaisir sur sa face et l’étouffe tout entier avec sa vulve. De petits filet de cyprine inondent la peau d'or de son captif et se repend dans sa bouche. Ce premier échange la transporte et la récompense de ses efforts fou pour parvenir à s'emparer de sa belle proie. Mais à mesure qu'elle prend du plaisir avec lui, son obsession évolue, mute en quelque chose de plus fort et de plus pure.

Les lèvres d' Irina enserrent la hampe large du pénis Abyssein et sa langue experte commence à tourner autour des ailettes de son gland. Soudain elle constate quelque chose de surprenant de sa langue de velours. Elle relève la tête et extirpe la queue immense de Ludya de sa bouche.

Irina - Guhaaam...

Elle se redresse légèrement, encore toute tremblante des orgasmes qu'il lui a procuré avec sa langue et sa bouche, et le regarde, surprise.

Irina - Tu... tu n'as jamais ?... Ou alors très peu ? Je veux dire... ton ... ton sexe... il est encore si ... jeune...

Sa langue ne la trompait pas, son gland était encore parfaitement lisse, presque vierge, ce pouvait il qu'elle soit sa première ? Ou au pire l'une des premières ? Cette idée la fait sourire et elle revient se camper au dessus de sa grande queue dressée et gonflée par le garrot qu'elle lui a mis.

Irina - Tu n'as jamais connue de femme avant moi ?

Lui dit elle avant de lui prendre le gland entre les doigts et de le positionner juste sous ses épaisses lèvres pubiennes, dégoulinantes de salive et de cyprine. Elle le torture en massant les ailettes de son gland et en frottant l'extrémité de celui ci contre l'entrée de son vagin brulant.

Irina - Dit moi...

Ludya

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 17 lundi 13 octobre 2014, 11:32:17

Irina - Tu... tu n'as jamais ?... Ou alors très peu ? Je veux dire... ton ... ton sexe... il est encore si ... jeune...

Ohlala... Fallait qu'elle lui pose des questions embarassantes... C'était pas assez humilliant d'être vaincu et qu'elle dispose de lui comme bon lui semble fallait en plus que ça devienne personnel. Il détourna le regard en redoublant de rougeurs sur les joues quand elle se mit à la regarder et posa cette question très... intime. Mais avec cette dose de phéromones puissantes il lui était pratiquement impossible de ne pas trouver tout ça excessivement agréable...

Oui... Sa langue ne la trahissait pas sur ce point... Si l'on prends son expérience de base qui était... Bon... Quasi nulle... Et si elle était parvenue à jouir de la frénésie d'un appétit inqualifiable sur son sexe, c'est avant tout par l'éveil de pulsions sexuelles qui surgissent d'une part à cause de la drogue phéromonale qui l'a pénétré... Mais au même moment où elle présenta sa magnifique vulve gonflée de désir à son regard, à son visage... Il a été épris d'une envie folle, rongeant sa raison et son corps. D'un régal d'une vivacité motivée par le fantasme naissant et mourrant dans ses gargouillis vibrés dans son sexe, n'ayant plus d'yeux, de lèvres et de dents que pour cette belle chaire mûre qu'elle lui a offert. Ses questions restèrent sans réponse pour le moment... Il gardait son visage et son regard détourné de honte, rougit et pinçant ses gémissements entre ses lèvres lorsqu'elle lui prend le bout entre ses lippes. Car entre les histoires complétement abandonnées et une ligne du temps difficile à mettre en place pour d'autres qui ne sont pas finies et ne sont pas sûres de finir un jour, ce n'était pas évident de situer et recadrer quelle est véritablement son expérience à ce moment.

Tu n'as jamais connue de femme avant moi ?

Oh si il a bien connu des femmes ! Mais certainement pas comme elle l'entend... Il connaissait... Ben... Sa mère adoptive, sa demie soeur ou soeur d'adoption, la chef du laboratoire dans lequel il a été enfermé, quelques femmes qu'il à croisé dans la rue. Si si il -connait- où à déjà vu des personnes du sexe féminin ça lui est quand même arrivé d'en croiser. Mais il sent qu'il ferait l'idiot s'il répondait ça. Irina voulait savoir autre chose et il comprend vite que ça avait avoir avec le sexe quand elle le positionna entre ses belles et épaisses lèvres... Les yeux de Ludya implorant une certaine forme, hmmmm, de -pitié- face à cette torture très, trop agréable en voyageant de son regard à celui du bout de son sexe qui glissait entre ses jambes... Il hochait la tête par la négative en soufflant : Non... Hanw non... Non...

Et plus elle le caressait entre ses lèvres, le rapprochant de son entrée... Plus il se sentait devenir incroyablement sensible et aussi inquiet qu'impatient... répéter plus vivement et rapidement ses non...non...non..non.. Haanw !! D... Doucement !!! pitié... non.non!non!non! nononononHhannnWwww !!!

Il se raidit et roule des hanches comme il le peut sur la surface du rocher sur lequel il est solidement attaché, ses griffes au bout de ses doigts cherchent à pincer ses paumes, sa langue à se faire mordre entre ses dents et ses orteils passer de l'écartement en éventail à un croisement successif entre eux. Sa longue hampe pulse très fort, aussi fort qu'elle ne l'aurait fait d'un orgasme qui lui est interdit, oui, le simple contact avec sa cyprine aphrodisiaque et ses lèvres acceuillantes, chaudes,  brûlantes... Avait suffit à provoquer un vif durcissement de son membre qui vibrait avec excès de la torture de cet orgasme certes prématuré, qu'on lui refuse. Mais qui prouvait bien la grande sensibilité de son membre.

Irina - Dit moi...

Le regard mis clos, égaré.... Quelque peu perdu dans quelques unes de ses mèches de cheveux mordillées au coin de ses lèvres... La respiration rapide et haletante il répond :

N... Non je... Je pense pas... Je crois pas... Pas comme... Pas comme ça... HAnwrghrwr.. Jaaah... Jamais... Doux... Doucement... s'il vous plait... S'il vous plait ?



Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 18 mercredi 22 octobre 2014, 23:25:31

Chaque frottement de l’énorme gland sur l'extrémité de sa vulve la fait littéralement sautiller de plaisir, elle gronde comme une chatte en train de dépecer sa dernière prise du bout de sa langue rapeuse. Quand il fait "non" de la tête, elle plonge son regard dans le sien et sourit de toutes ses dents d'un air triomphant.

Irina - Tu vas m'emplir de joie alors...

Elle se penche en avant jusqu'à ce que ses énormes seins écrase sa poitrine musclé et que ses lèvres caresse son oreille. Elle lui susurre alors:

Irina - [Murmure] Tu n'oublieras jamais que je suis ta première...

Elle l'embrasse fougueusement pendant que lentement elle fait glisser ses mains vers le bas de queue. Puis elle s'affaisse lentement sur son énorme gland et commence à s'empaler avec lenteur sur son sommet.

Irina - Hummmmm.. Haa ! Oui...

Elle enroule ses doigts autour de la nuque de son jouet sexuel qu'elle laboure de ses griffes.  Et elle continue de faire progresser son sexe turgescent dans sa fente humide et brulante. L' abyssien sent sa queue prise dans une véritable presse de chaire visqueuse, le gratifiant de sensations orgasmiques intenses, sans que toute fois il ne puisse jouir.

Après avoir enfoncé près de vingts bon centimètres de sa queue en elle, Ludya sent son gland buter contre un muscle en auréole, puissant et résistant, Irina grimasse à la fois de plaisir et de douleur. Elle baisse son regard de glace vers son entrejambe et remarque, stupéfaite, qu'il reste encore près d'une vingtaine de centimètre avant que leurs hanches ne d’entrechoc. Mais la Cyborg, visiblement effrayée par la longueur et la grosseur du pénis de son étalon, recule et commence à ressortir, puis elle s'empale de nouveau.

Elle commence de long vas et viens en gémissant de plaisir mais à chaque fois elle s'arrête avant que le gland torturé de son partenaire ne touche à nouveau le col de son utérus. Irina ne sait que trop ce qui arriverait si elle allait plus loin, les scientifiques de Biogénix avaient tapissés toute la zone de cellules clitoridiennes, y introduire un sexe de cette taille porterai son orgasme bien au delà de la démence, et elle devait garder toute sa tête pour contrôler sa proie.

Pendant ce temps la, Ludya, toujours victime de ce viole sent ses forces lui revenir, ses bras commencent à retrouver leur vigueur surnaturelle et sans que la Cyborg ne le remarque, ses poignets commence à déformer le métal de ses menottes.

Ludya

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 19 samedi 25 octobre 2014, 02:27:30

Il avait pas l'droit de céder... Il était plus fort, plus fort que ça ! Non... Non ?! Pourtant c'était tellement... Tellement bon oui... Ca faisait tant de bien de se laisser glisser dans les frissons qu'offrent la volupté du plaisir charnel offert par un corps entièrement pensé dans ce but... Sentir son sexe si sensible se faire sucer avec une avidité folle entre ses belles lèvres enflées et puissantes... Elles l'épousent et l'avalent sans pitié, caressant la moindre cellule de peau dorée et brune glissant dans cet endroit. Il en deviendrait fou lui aussi avec cette satanée drogue dans le sang, l'impossibilité de jouir et de jouir encore alors qu'il est certain que si cette chose n'entravait pas ses orgasmes sa sensibilité privée de l'inhibition de son armure dermique l'aurait déjà obligé à jouir depuis les premiers instants où elle à commencé à envelopper son sexe avec ses lèvres. Il n'avait certainement pas assez d'expérience et de retenue encore pour savoir comment bien s'empêcher de ressentir trop fort ce genre de caresses et il ne savait pas qu'il devait se concentrer sur autre chose que ce qu'il ressent et pas regarder en plus ce corps si désirable offert à ses yeux, tout ça... Tout ça ça participait à faire monter trop fort et trop vite son désir.

Mais cette abstinence forcée... C'était une douleur à laquelle il commençait à s'habituer a force de se faire gâter comme ça... Où anhesthésiée par le désir sans cesse grandissant et étranglé, désir auquel il était impossible de s'échapper de sa hampe gorgée de sang.... S'il avait encore tout ses esprits cet enflement l'inquiéterait, il ne l'avait jamais vue si enflée, si dure... Puis jamais jusqu'ici il avait vue des veines apparaître sur sa verge en général le cuir velouré brun qui la recouvre ne les laisse jamais apparaître et elle reste toute bien lisse à la surface. Mais là a cause de l'étranglement certainement elle est Couverte de grosses veines aussi épaisses que le pouce lézardant à sa surface comme si elles allaient éclater un jour !

Mais bon autant se rassurer tout de suite malgré leurs largeur impressionnantes ça éclatera pas hein les vaisseaux sanguins sont faits pour être extensibles et un Abyssian est particulièrement résistant et souple... Cette drogue aphrodisiaque permettait sans doute une dilatation plus efficace des vaisseaux sanguins et donc une meilleure circulation aussi. Ces veines dansaient et s'allongeaient comme des serpents voyageant sous sa peau lorsqu'irina descendait puis remontait avec ses lèvres serrées sur la largeur importante de son membre et il louchait et salivait d'un désir qu'il était incapable de libérer en jouissance. Et ça arrangeait rien de fermer les yeux c'était encore pire en fait ses sens étaient encore plus concentrés sur ce que subissait sa verge et concentrés sur les caresses griffées dans sa nuque déjà pleine de frissons.

Irina - [Murmure] Tu n'oublieras jamais que je suis ta première...

Haaah... Haaaah... Difficille d'oublier... Autant de douleur et de plaisirs mêlés... Surtout comme ça pour une première fois c'était intense elle était si enveloppante, autant de corps que de ses bras, de ses lèvres et de l'intérieur aussi... Irina dut sentir tant et tant de durcissements incontrôlés de sa verge lors de sa longue et lente progression sur lui, qui s'intensifièrent encore plus lorsqu'il sentit son ventre, sa poitrine et finalement ses lèvres venir appuyer et affirmer sa victoire sur l'Abyssian... Une bonne dizaine de fois... Il aurait pu jouir et durcir d'orgasmes une bonne dizaine de fois de suite lors de cette rencontre au moins aussi crainte qu'espérée... qu'attendue... Ces durcissements vifs de son sexe s'en trouvaient être aussi successifs et rapprochés uniquement parce qu'il était incapable de jouir une ou deux bonnes fois ! Oui s'il avait pu jouir il serait déjà aux anges et soulagé, mais encore plus vulnérable aux sensations. Elle était maline... Elle l'avait fait exprès pour qu'il reste dur tout le temps ! Au purgatoire... Toujours entre envie et désir mais ne jamais le laisser atteindre de délivrance ! Etait elle sadique comme ça ? Elle voulait le torturer ? Où qu'il la supplie de le laisser jouir ?! Que son cerveau fonde complétement et implore ?! Nan ce... ça arrivera... J... Jamais...

Son dos s'arque dans une courbe presque parfaite lorsque ses bras s'aventurent dans son dos et viennent glisser autour et sous sa queue d'Abyssian... Sans le vouloir en le touchant là en dessous ça l'électrise et propulse d'avantage ses hanches vers elle comme si une force magnétique ou un champ électrique agitait nerveusement le bas de ses reins et de caresser la zone autour de sa queue à toujours eu cet effet terrible ! Ah oui il est super sensible de cette zone c'est un peu comme s'il avait une plus grande sensibilité là bas que partout ailleurs, ça chatouille et envoie des milliers de milliers d'impulsions électrisées partant en vagues dans le reste de son dos et du corps depuis cet endroit et ça le forcerait à se cambrer pour échapper a ce frisson terrible !

Il libère ses poignets mais n'en a pas tout de suite conscience quand elle le caresse là en bas, il empoigne d'abord le sol rocailleux et perce la roche avec ses griffes, les y enfonce et s'aggripe de toutes ses forces pendant qu'elle l'étouffe d'un long et fougueux baiser, il se sent obligé de se séparer de ses lèvres pour respirer ! Et ce n'est pas respirer qu'il fait mais haleter rapidement en sentant sa raison et ses sens défaillir et le trahir... Il réalise que ses mains sont libres au moment où la chose qu'il désire le plus faire est de plonger enfin entièrement en elle, lorsque le miel d'or de ses paumes glissent sur ses hanches et s'attirent autant à elle qu'il ne l'oblige à s'empaler plus avant... S'enfuir en elle pour espérer que ses doigts seront cléments avec cette zone au delà du sensible qui lui fait déraper et danser les hanches sans qu'il ne puisse les contrôler !

Ses mains sont libres... Libres ! Et il lui mord les lèvres d'un baiser... D'un autre et d'encore bien d'autres en ayant ces gentils sourires, amusés et taquins entre chacuns d'entre eux et son regard d'Abyssian la regarde... La regarde du front aux arcades, des yeux à l'arrête du nez, jusqu'a ses lèvres sur lesquelles, il attarde la caresse de son regard puis y laisse encore la finesse de baisers plus doux et frais... Comme pour ponctuer l'inexorabilité de sa progression en elle... Il passe le cap qu'elle aurait voulu s'interdire... Non pas sans un de ces sourires malicieux qu'il sait éclairer ses lèvres et les traits doux de son visage et rendre dans cette situation particulière, inexpliquablement aussi irritants que mignons et outrageusement audacieux dans cette bravade corporelle qui anime cette nouvelle lutte... Qu'elle se sait voir dans un futur tout proche... Perdre... Perdre pour cette fois.

Il écrase sa poitrine de la sienne, la poigne est implaccable sur ses hanches, elle ne peut échapper à l'étreinte de ses bras... Les fers de ses chevilles ont cédé et ses pieds glissent entre ses cuisses et s'approprient là encore le droit de ne pas lui permettre la moindre retraite... Le regard de l'Abyssian s'embrase, l'or liquide de ses iris en fusion s'emplit d'une aura bleuie, électrique et Irina peut sentir que l'erreur de l'avoir caressé à un endroit aussi sensible commence à se répandre dans sa proie... Comme si l'électricité frissonnante produite se manifestait maintenant à la surface de son corps... Rajoutant au contact de sa peau une chatouille vibrante, pas plus dérangeante qu'une pile de quelques volts sur la langue mais dans sa persistance... De plus en plus chatouilleuse et irritante aussi.

Il lui mordille la peau du cou de baisers happés et s'amuse alors de son sort, avec la joie espiègle d'un chat et la tendresse du jeune Abyssian qu'il est, s'enfonçant petit à petit sans avoir la moindre envie de se presser pour calculer avec un sadisme un peu enfantin la déformation des traits déconfit de son visage qui réalise sa liberté de mouvement et sa vile petite envie qui se transforme en jeu à ses dépends. Ca la tue qu'il ne se précipite pas ? Mais il n'y a pas de raison il sait parfaitement qu'il n'y a pas de finalité à son désir et son envie, puisqu'on lui refuse simplement de jouir. Alors qu'elle aussi souffre une longue et lente agonie de sentir sa caresse électrique l'envahir... Oui... Oui il passe largement cette zone qui lui faisait tant peur... S'attarde sur ce qu'elle définit comme un anneau ferme et dur et l'écartèle sans heurts s'il le peut, mais sa force est difficilement mesurable en de pareilles situations. il pourrait penser qu'il est doux mais son gland ne semble pas à ses yeux et par sa force... Rencontrer d'énorme résistance, ayant récupéré une partie de ses moyens pour se raffermir et s'insensibiliser.

Alors ça glisse et ça finit par passer cette barrière, et il s'enfourne plus avant dans une danse de ses hanches amusées et exploratrices...

Est ce que c'est bon ? Est ce que c'est douloureux ? Qu'est ce qui se passe ? On n'assume pas comme une grande et on veut pas goûter son dessert jusqu'au bout ? Moi... Je suis sincère tu vois. J'ai un peu mal... Mais j'irai jusqu'au bout... Et comme tu m'as pas laissé le choix, tu viens avec moi.

Il sourit et lui caresse le bout du nez sur le sien tout en contractant les fesses et appuyant plus fort sur ses cuisses, s'appuyant de ses chevilles, et mollets contre les siens dans l'étreinte de leurs jambes et s'engage toujours plus en elle, toujours plus profond et petit à petit... pitit... à... pitit... Ses yeux pétillants d'un émerveillement enjoué limite agaçant roulent sur les siens et partout sur les traits du visage d'Irina avec ce sale petit sourire si sûr de lui qui se délecte de la moindre variations des traits étonnés ou surpris, ou meme de douleur et lorsqu'il la devine, la douleur entre deux plissement des yeux d'Irina, il lui caresse la joue en murmurant :

ssshhh shhh... Voilà... C'est toi qui a voulu jouer... T'as été trop gourmande et imprudente. On peut pas toujours gagner. Toi... Tu oublieras pas non plus... Ta première fois avec un Abyssian.


Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 20 mercredi 12 novembre 2014, 22:11:34

Au début, Irina ne comprend pas son soudain élan de fougue, pensant que l'extraterrestre est totalement en son pouvoir. Mais au moment où elle sent ses mains puissantes et griffues l'empoigner, elle écarquille les yeux et réalise ce qui vient de se passer. L'équilibre des forces vient de changer ! Il c'est libérée, mais elle, trop prise par son plaisir et par sa concentration pour ne pas lui permettre d'aller plus loin, l'a ignorée. L'erreur lui est fatale, elle ne parvient pas à mobiliser suffisamment de force pour lui résister, et déjà elle sent son gland immense commencer à pousser sur la fragile porte de son utérus.

Irina - Ho ! Quoi ? Mais tu ? Haaaa !

Irina se cambre en le sentent forcer en elle, la douleur et le plaisir se mêlent et elle en perd la parole. Son visage, jusqu'ici dominateur et sournois, est maintenant perdu dans un brouillard d'incertitude et d'orgasme.

Il se libère enfin complêtement, l'écrase de sa poitrine et passe ses cuisses entre les siennes pour les lui faire ouvrir en grand, lovant ses hanches contre les siennes.

Irina - [murmure] Nan... nan pas plus loin... je.. HA !

Il lui mordille le cou et lentement, son apendice disproportionné se fraille un passage en elle, lui arrachant de plus en plus de gémissements et de cris. Tout le corps de la cyborg se cambre sus celui de l'abyssien qui joue avec elle comme un enfant avec un papillon, inversant totalement les rôles.

Irina - [murmure] Nan ! Hoooo... dou... doucement...

Soudain, sa dernière barrière cède, et l'abyssien s'enfonce en elle brusquement.

Irina - HAN !

Ludya sent le plaisir monter à nouveau en lui, il sent sa verge emprisonnée dans la chaire de sa première. Soudain, il se sent libre, le sang afflux à nouveau dans sa verge et dans ses bourses. Irina ne pouvant plus tenir la ficelle autour de la queue de l'abyssien, celle-ci à finie par se délasser d'elle-même.

Et il continue à s'enfoncer toujours plus profondément elle, toujours plus, et à chaque centimètre elle gémit et hurle de plaisir, griffant ses mains prisonnières des griffes puissante de Ludya. Irina perd peux à peux pied. Il est au plus profond elle quand il commence à sortir et à re-rentrer, encore et encore, à aller et venir, déformant son vagin et son utérus, lui provoquant toujours plus d'orgasme.

Ludya la sent ramolire petit à petit sous son étreinte, ses muscles se détendent à mesure qu'elle s'abandonne à lui et devient sa chose. Il a alors toute liberté de la prendre comme il veux et il s'enfonce toujours plus en elle.

Ludya - ssshhh shhh... Voilà... C'est toi qui a voulu jouer... T'as été trop gourmande et imprudente. On peut pas toujours gagner. Toi... Tu oublieras pas non plus... Ta première fois avec un Abyssian.

Irina ne peut plus rien répondre, elle est totalement sous son emprise, soumise à son bon vouloir, prête à le laisser la prendre et à recevoir sa semence quand il déciderait de jouir en elle.


Ludya

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 21 vendredi 14 octobre 2016, 09:51:21

Han si... sisie... Plus loiiiin GRrrwrr ! Plus fort... T'as voulue jouer aux plus malines... Tu croyais vraiment pouvoir piéger une créature d'un autre monde avec des implants technologiques aussi archaiques ? hihi...

Ludya essayait de modérer la force avec laquelle il claquait ses hanches contre le corps d'Irina, mais parfois ça le dépassait un peu, il aimait claquer son bas ventre contre son sexe... Il commençait à aimer le son particulier de la chair en sueur de sa ravisseuse claquant contre l'ambre abyssiniale ferme de son rebond pubien... Sourires enjoués, carnassiers et serrés lorsqu'il claque bon et bien son sexe en elle... Et par dessus tout... Ces petites "pauses" durant lesquelles il prenait vraiment beaucoup... beaucoup de plaisir sadique à sortir eeeentièrement son membre mais, hihi... avec cette satanée expression de sale gosse limite hautaine, supérieur... Tandis qu'il sent bien les lèvres d'irina déformées par son épaisseur obligées de suivre le mouvement sortant de cet objet phallique d'une taille limite grotesque, ahurissante pour l'apparence douce et gentille du jeune abyssian.

Oui il essayait vraiment de se modérer... Mais ça devenait de plus en plus... fort... et dur... de retenir l'intensité de ses coups de rein, les soupirs et les cris de la cyborg se transformaient en étranges plaintes suppliantes à son esprit... Toujours en pleine réflexion il se demandait s'il devait mal interpréter... Pourquoi ces sons magnifiques provenant des lèvres de cette créature l'incitaient à vouloir en entendre plus, encore l'entendre soupirer et gémir... Plus fréquement... Plus haut... Avec plus d'intensité... Plus elle faiblissait entre ses mains, entre ses griffes à chaque coup de butoir déformant son sexe en provoquant désormais des sons humides très bruyants et salaces, plus il lui semblait nécessaire d'enchérir pour la punir d'avoir ne serait ce qu'imaginé le capturer... Nian... ça devenait plus fort que ça... Sa bouche... Son visage... ses seins.. Et ce regard... Elle était très belle, L'abyssian voulait la voir déformée et tétanisée de plaisir... Crampée de tous ses membres... à l'agonie, hihi.

Jusque là il ne s'était même pas encore servi de ses nanostérones abyssiniales pour autoriser son corps à changer lors de cet échange... si ce n'est pour s'en servir afin de s'insensibiliser lorsqu'il se rendit compte que, puceau et sensible comme il l'est, sans cette aide il se serait laissé aller bien trop rapidement... Alors, hihi... tricheur ? hmmm Pitêtre un petit peu... Mais après tout, c'est bel et bien la cruauté humaine couplée à la "science" qui lui ont permis de découvrir et développer ces talents. Et dieu sait si... Il avait quelque part au fond de lui, l'envie secrète de rendre à l'acceuil que ces créatures d'un autre âge lui ont réservé, la monnaie de leur pièce... Objectivement et réfléchi de façon calme en plein dans l'acte, en pleine transformation physique. Ludya savait très bien qu'elle n'y était pour rien. Mais c'est aussi elle, sa traque et son projet de l'enfermer à nouveau dans un putain de laboratoire qui lui ont réveillé ces pulsions que sa raison trouveraient sales. C'était tellement bon de labourer et pétrir la chair d'une si belle ennemie... Lui qui pensait... hihi... où idéalisait avoir... la vertu haute et héroique, bienfaitrice d'un de ces super héros de dessin animé... Se sentait devenir vil, injuste... Sadique à chaque coup de soc se répercutant dans tous les muscles de la cyborg, jusqu'a en secouer ses seins qui, étaient fortement pressés par les muscles de sa poitrine...  Elle était magnifique, en sueur... haletante... sa chevelure blonde plaquée à ses joues, au bord de ses lèvres... Malheureusement pour elle la voir dans un tel état n'arrangeait rien ! nion... du touw... C'était pire à chaque seconde... Et... Ces choses étaient si nouvelles pour lui, ces sentiments très très forts, rageurs et pulsants dans son sang... Ses nanostérones travaillent... Tout contre elle elle peut même ressentir les masses musculeuses et fibraires changer, oui, changer et croître sous la peau ambrée de l'abyssian... Des sons de cartilages s'allongeant, se disloquant et couinant sous la croissance rapide et prématurée... Alors que cette croissance se fait progressive, ça n'a pas discontinué sa lancée... Forçant le sexe d'Irina à s'adapter a la taille de plus en plus monstrueuse du chibre qui la travaille... A en faire couiner ses matières synthétiques autour du cuir ambré du gratte-chatte qui se développe en elle.

Utiliser des méthodes de vilain contre d'autres vilains... Pour un esprit d'une soi-disant civilisation sensée être d'un autre niveau... C'était limite ridicule d'en venir à de telles conclusions, hein ? Après tout c'était encore un gamin il y a quelques minutes non ? Hihi... Mais franchement, comment... comment déjà, parvenir à réfléchir à ça pendant qu'on baise ?  Bientôt, il n'aurait plus le temps ni l'envie de se branler la cervelle pendant qu'il fornique comme une bête galeuse...
 
Ses lèvres vont chercher celles d'Irina Tandis qu'il sort complétement de son antre... Son faciès aux traits limite chérubins... la jolimie lisse et grâcieuse de ses joues et lèvres lisses qui donneraient aux anges l'envie de les lui caresser ne semble pas avoir beaucoup changé... Par contre... Son corps à pris une telle démesure que la dichotomie entre son visage d'ange et le reste de son corps musclé est assez marrante, et fascinante à observer. Mais ce n'est pas sans les larmes aux yeux qu'il prononce ces quelques derniers mots qui tentent quelque part de se justifier ce qu'il fait comme s'il avait besoin de l'aide d'excuses avant de sombrer complétement dans l'aggravation rageuse et perverse de sa nouvelle condition :

T'as vu ce que tu me fais ? J'ai jamais été comme ça... Et franchement c'est tellement... regarde moi... C'est tellement ridicule, haha... J'pourrai dire que c'est totalement ta faute... J'ai... j'ai jamais "bandé" de rage comme ça, j'ai jamais autant ressenti l'envie de Gr... de GRrr... GRrrrravager qui que ce soit, de la façon dont j'ai envie de te... De te... Oui ! C'est facile pour moi de dire que c'est uniquement ta faute même si... ça ne serait pas tout à fait faux hmr ?..-

L'abyssian aide Irina à se retourner... Glissant l'ambre assombrie du cuir dur, tendu et lisse qui semble désormais synthétiser sa peau... Ses mains caressent ses épaules... Glissent doucement sur la sueur du dos d'une créature aux formes exquises et entrainées...

Nion... Allez... Ca serait lâche et facile de rejeter tout sur toi... Tout sur autrui. C'est aussi et avant tout la mienne, car je laisse celà se produire et j'en ai une putain d'envie. Combien de temps pleurerai-je encore là dessus ? Vous... Vous avez fait de moi un monstre... Vous m'avez volé les plus belles années de mon enfance... Et c'est trop tard, tu vois ? Je ne pourrai plus jamais revenir en arrière... Hihi... Alors, toi... Evidemment tu es juste là au mauvais moment... Tu ne vas pas pouvoir y échapper... Avoir le choix que d'accepter ce que l'époque... La causalité de ce monde, cet univers, cette existence ont fait de moi... Y a rien de juste... C'est juste... Comme ça, et puis j'en ai marre de m'entendre dire ces conneries, de me lancer dans ces tirades façon branlette de cervelle égocentrique... J'ai tellement mieux à faire là... Juste là... maintenant...

Termine t'il plus... séchement et sévèrement pour lui même, en plongeant ses doigts dans de la poudreuse bien froide... hm... l'adaptation extraterrestre de son derme semble accepter cette matière glacée, s'adapte et termine avec une main entière couverte d'une peau blanchie, glaciale... Et glisse le bout de ces doigts maintenant bien froids sur la ligne centrale du dos d'irina en commençant par le haut de la nuque... sillonnant en petites vagues ondulées, le long du dos... non sans que ce sourire irritant et malicieux n'illumine d'un trait de désir sadique son visage... Les derniers craquement d'amplification fibreuse et claquement cartilagineux se sont fait entendre... Ayant atteint ce qui semble être un "raisonnable" mètre 90 et des poussières, tandis que sa queue... eh bien... Repose t'elle désormais dans ton dos d'un poids qui en impose... alourdissant tes reins et t'écrasant presque contre le sol... Apparemment, ce n'est pas seulement la taille de l'Abyssian qui à changé, mais aussi toute la densité cellulaire de ce dernier... Tellement plus.. compact... Solide... Dense... Si l'on prenait une référence humaine et parlions d'une densité cellulaire de 1 pour l'humain, l'abyssian serait probablement à x4 à cet instant... Au point où ce membre aux proportions délirantes d'une cinquantaine de centimètres de long et huit de diamètre...  ne pesait sans doute pas loin d'une bonne cinquantaine de kilos dans ton dos et que le poids total de Ludya devait avoisiner la tonne sans pour autant être démesurément large, ou grand, où qu'anatomiquement en paraisse plus de 110 même avec les proportions de cette musculature.

Opressante à reposer ainsi sur toi... Il passe ses doigts de chaque coté des aspérités nouvelles de son appendice à l'apparence plus "démoniaque"... contemplant le dessin de son sexe tracé de son contour sur la peau de ton dos en s'amusant de ce qu'il fait, et te fait subir... Car l'aura calorique de son membre démoniaque dégage une chaleur irradiante très plaisante lorsqu'il la laisse "choir" en claquant doucement ton dos après un passage glacial de ses doigts sous cette dernière. Dans le froid ambiant de cette cave glaciale... Son sexe dégage tant de chaleur que le décor se déforme dans la différence de température, telle une pine d'efreet où tout autre créature liée au feu et à la lave... Ses deux mains désormais glacées s'amusent à picorer ton dos , puis tes fesses d'effleurement glaciaux, puis de caresses pleines de ces mains gelées... Après quoi passe toujours l'apaisement de la chaleur grasse de son énorme membre qui, malgré sa taille et les pulsions rageuses qui la font durcir, semble capable de glisser avec autant d'adresse que ses doigts sur la rondeur de tes fesses... Et puis... Doucement mais sûrement... Les doigts s'intéressent à caresser cette zone entre tes fesses... Cette surface lisse que l'on appelle la raie...

Est ce que c'est frrroid hm... ?

Question inutile, il le savait bien, mais fallait il qu'il l'appuye au creux de ton lobe en se penchant dans ton dos tout en continuant de glisser et faire quelques gentils cercles du bout de la pulpe effleurée de ses doigts qui s'aventurent toujours, toujours plus loin... plus bas... et pis... de plus en plus près de sa petite rosette affolée par la fraîcheur de ce qui se rapproche d'elle.


Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 22 vendredi 14 octobre 2016, 20:03:53

Irina était allé trop loin et le piège qu'elle avait conçu pour l'adolescent se referme désormais sur elle.
Elle avait cru que le traquer, le terroriser, lui montrer sa supériorité martiale suffirait à lui faire perdre confiance en lui et le transformerait en proie facile.

Elle avait pensé que le dominer et le violer pour sa première fois le soumettrait à sa volonté et le transformerai en un de ces adolescents stupides et dévorés par ses désirs sexuels, de ceux qui sont prêt à tout pour la femme qui les à déniaisé.

Mais Ludya était fait d'une autre fibre, de l’étoffe dont on fait les Maitres et pas les esclaves. Et au lieux de corrompre son esprit enfantin, elle avait réveillé l' Homme qu'il aurait du devenir des années plus tard. Et cet homme n'était pas un faible pantin, non, il était un conquérant, un mâle dénué de peur et prêt à partir à la découverte de ses limites si tans est qu'il en ai...

Irina réalise alors qu'elle est devenu le pantin, et que le nouveau Ludya est un incroyable marionnettiste. Cette prise de conscience la fait revenir à elle et elle recommence à lutter contre l'étreinte de l'Abyssien qui continue de se lover en elle avant de ressortir en lui arrachant à chaque fois plus de plaisir. Elle doit se libérer, elle doit s'enfuir, elle ne doit pas rester entre les doigts de Ludya. Parce qu'elle aime ce qu'il lui fait, elle aime qu'il soit cruel.

Et si il devait la capturer pour l’emmener dans son repaire, il aurait alors tout loisir de la dominer, de la soumettre à ce traitement pendant des heures, des jours des semaines...  et elle finirait par tomber toute entière sous son emprise. Si il parvenait à trouver la clef de son corps et de son âme, il pourrait tout lui demander, et elle le ferait.

Mais même en mobilisant toute la force de son corps cybernétique, Irina ne parvient pas à ce dégager de ses bras puissants. Pire, elle continue de e voir grandir et forcir, elle sent son sexe gonfler encore en elle et lui provoquer tans de plaisir et de douleur qu'elle en perde la tête.

Il lui parle, elle est tellement sonnée par la puissance de ses vas et viens et par la taille de sa queue qu'elle distingue à peine ses paroles. Puis il la prend par les hanches et la retourne comme si elle ne pesait rien, elle murmure un "non" épuisé ou se mêle espoir et désespoir,  la cyborg se retrouve à genou et à quatre patte devant le puissant abyssien. Celui si jouit alors du spectacle de la courbe parfaite de ses fesses au teint de peau halé, de son dos parfaitement symétrique et de ses délicates épaules surmontés d'un cou gracile et noble.

Il remarque au passage quatre petites prises jack sur sa nuque, dissimulées à la naissance de sa chevelure, un des points faibles de la cyborg qui permet de la contrôler ou de modifier ses paramètres en y branchant un ordinateur.


Elle sent qu'il passe une main dans son dos, la caresse détend son corps et elle réprime un soupire de plaisir. Elle frissonne et rougit.

Elle essai de tenir sur ses bras mais soudain la main glaciale de Ludya frôle sa peau délicate. Une douleur et un plaisir cuisant lui parcoure le dos, provoquant une vague de chaleur qui descend jusqu'à son clitoris.

Irina - haaaaa...

Gémit elle en se cambrant en avant. Ses bras cèdent, son buste et son visage viennent s'écraser contre le sol alors qu'un filet de cyprine gicle d'entre ses cuisses. Ludya découvre alors un autre point faible de la cyborg: son corps ne fait pas la différence entre douleur et plaisir !

Implacable, il laisse choir son énorme pénis brulant sur la croupe et le dos de la belle qui, incapable de se redresser, se mordille le doigt en tentant de voir ce qu'il prépare en tournant la tête. Son regard ce heurte au monstrueux pénis hérissé et incandescent, elle écarquille les yeux de stupeur. 

Irina - [murmure] nan... nan pitié.. c'est... c'est trop grHANNNNN !

Les doigts glacés de l'abyssien viennent de se poser à nouveau sur la peau de son dos, ils descendent et tout le corps de la belle se tend sur leur passage avant de s'abandonner à nouveau à la l'épuisement. Au fur et à mesure que sa main descend, elle gémit et tremble, transie de froid alors que sa vulve dégouline de plus en plus et que son clitoris gonfle de désir.

Irina - humm haa haa haaa... stop... pitié... c'est trop... c'est trop je ... je vais devenir folle...

Ludya - Est ce que c'est frrroid hm... ?

Irina - haaa.. haa... ou.. oui... c'est... c'est si .. froid.. haa...

Lui répond elle en grelottant et en dandinant involontairement des fesses. Elle sent la pulpe glacée de ses doigts venir lui caresser la raie...

Irina - haaaa... nan... nan pas la...

Elle essai de se redresser malgré le poids de ses seins et passe frénétiquement les mains dans son dos dans l'espoir de chasser sa main, et surtout chasser l' appendice énorme qui lui tiens lieu de pénis. Mais les poignets de la jeune femme sont si minces et fine que l'Abyssien les emprisonne facilement dans une seule de ses mains de géants.

Irina se retrouve alors totalement impuissante, le dos collé contre le buste viril et musculeux de son nouveau Maitre qui la tient fermement serré contre lui, à sa merci...

Ludya

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 23 vendredi 14 octobre 2016, 21:58:15

Et à nouveau... Il se plait à la contredire... d'une glissade caressée du bout de ses doigts glacés, il chatouille le contour de son anneau en ronronnant à son oreille :

Mais si, sisi... lààààà... hihi... Juste... lààààh... Mrrr ?

Un doigt tourne... effleure... chatouille... très joueur, oui... Trrrès joueur hihi... tandis que son autre main, du bout de ces autres doigts glacés offraient des caresses à ses tétons longs et durcis... Ayant alors saisi ses mains il la ramène vers lui, la redresse lui même contre son torse... Son épouvantable pine d'efreet incandescente dépassant largement entre les cuisses d'Irina... Son corps large l'oblige pratiquement à écarter les cuisses pour l'admettre entre ses jambes... Des excroissances dignes d'un démon née de l'exacerbation de ses nanostérones se sont érigées sur tout le corps de cette chose... Et cette ruguosité ambrée d'un cuir terriblement solide, épais et caoutchouteux passe lentement entre les cuisses d'Irina, la gaine principale bien large de sa verge pousse si fort contre ses lèvres qu'elles en sont déformées par le simple appui, la gravité du corps d'irina sur cette chose... La fin des excroissances de cet appendice d'un rouge irrité semblent produire ce que l'on pourrait littéralement décrire de "venin" aphrodisiaque... Une seule goutte, fut-ce t'elle tombée sur n'importe quelle partie du corps... se transformerait en une zone érogène terriblement démangeante, oui... hihi... Comme si une morsure d'araignée extraordinairement chatouilleuse et démangeante vous donnait l'envie de la gratter à sang... Et toutes ces choses présentes sur son sexe semblaient produire cette sécrétion venimeuse qui perlait, transpirait désormais partout sur son chibre... Et huilait la glisse de son sexe entre ses cuisses, qu'il se plaisait à "gratter" contre le sexe d'irina pendant qu'un doigt glacé s'enfouit, doucement, mais sûrement entre les fesses de son ennemie.

Il ronronne à l'oreille d'Irina pendant qu'il enfonce douuucement ce doigt en elle... Et lui mordille le lobe, hihi... Le bout de son doigt finit par se faire happer pratiquement tout seul à force de glisser et glisser sur sa rosette... Même pas besoin de forcer l'entrée, un très léger appui et les pulsations cardiaque de la cyborg permettaient à son doigt d'entrer... sans... la moindre... force... Nion... Même pas besoin... Il lui lèche la joue pendant que son doigt s'enfonce, tout froid... entre ses fesses, hanwr... ses si belles fesses, GRrrrr... Ludya touille son doigt à l'intérieur, doucement... Accompagnant ses petits cercles chatouilleux de petits rires à l'oreille d'irina et d'autres caresses de ses lèvres sur son oreille... Sachant la supplicier d'un mouvement contrastant avec la délicatesse limite amoureuse et passionnée avec laquelle il s'occupe de son petit trou... Son sexe drôlement rugueux flagelle littéralement son vagin lorsqu'il glisse d'avant, en arrière... Chaque pulsion sanguine dans la verge de Ludya l'allonge à un paroxisme d'une soixantaine de centimètres, et cinquante au plus bas d'une pulsation cardiaque... Avec cette monstruosité aux proportions à faire pâlir un minotaure, il lui rappe... et rappe tellement fort le sexe avec ce venin terrible ! Faisant avec aise une fournaise infernale de ses lèvres irritées et gonflées... Ca lui arrive, d'abandonner son petit trou pour empoigner ses hanches et la "forcer", la pousser bien fort sur le corps de sa verge faisant de longues et vives allées venues entre ses cuisses, Serrant et crissant des dents dans d'éventuels groulements de désir enragé.

 Il avait noté ces prises dans sa jolie nuque de gazelle, ses lèvres avaient happé sa peau là derrière... Et sa langue pourvue de quelques électrons doux lui avaient envoyé une petite décharge dans ces prises, un voltage très bas, et peu ampéré, juste de quoi éveiller et faire frisonner quelques uns de ces circuits qui désormais étaient au courant qu'il... "savait"... Et sur ces paroles murmurées à ses prises dans sa nuque... Les allées et venues glaciales dans son petit trou n'avaient cessé... Mettant à l'exercice l'élasticité de son anneau avec ce premier doigt... Et il fallait qu'il appuye l'acte d'irritantes tirades d'une immaturité stupide, appuyée sur un acte aussi vicieux et chatouilleux ce n'était pas loin d'en être exquis pour sa "victime" dans cette situation trrrès particulière.

Touwrne et touwrne et tourrrne hihi... Hanw... Et Tournicotie, tournicotion.. Mrrrr ? Ton piti trou aime tout plein pas vrai ? T'entends les sons que ton joli cuw fait quand j'y enfonce mon doigt comme ça... Et comme çaaaah ? hm ? Et quand je tourne comme ça ? GRrrr... Dis donc... T'a paaaas hoooonte ? hihi, humm ?

C'est vrai, des sons de chair humide doigtée et son doigt ventousé se faisaient entendre... tous plus salaces et vicieux les uns que les autres...

Bientôt j'peux même ajouter un second doigt, sans le moindre problème... Voire un troisième depuis le temps... Oui.. Trois beaux gros doigts, piou... hihi... OOooh ! Puis un quatrième hein ! Oui ouie, il ira pas se ballader au bois ! ça nion. hahaha...

Te mord encore le lobe de l'oreille... l'emprisonnant entre ses lèvres en fermant les yeux, appréciant... Juste ce moment là... En cognant l'entrée de ton vagin avec son énorme gland matelassé de cuir et le rapant du reste de son membre d'un coup de rein bien plus vif... Aussie belles soient ses propres joues il semble qu'il adore aussi embrasser et lécher celle des autres... Surtout lorsqu'on est aussie mignonne d'être touwte faible comme ça... Avoir le dessus... Sur le fleuron de la technologie de cette planète... Sur ce que l'humain était alors à même de créer de mieux ? Hihi... trop facile. Il retira ses quatre doigts glacés... Embrassant ses prises jack dans sa nuque avant d'imposer la masse d'un gland puissant entre les fesses d'Irina... Et l'y glisser... de long en large dans sa raie... Pis le faire tourner, ensuite, sur son piti trouw.

Un p'tit tour pour ludyaaaaa... Deux petits tours pour Ludyaaaaaa... Trois petits tour pour moooiiiiiiiiiiii... Quatre petits tours pour...

Et au moment même où il s'exclama "TOI !" Il enfonça son gland dans son anneau qu'il avait pris, heureusement, le temps de besogner... Malheureusement Ludya possédait une force que rien ne semble capable d'arrêter, et bien qu'il soit excessivement lent dans sa pénétration et l'écartèlement excessif de l'anus de la cyborg... Son avancée était imperturbable... Quoique lente, d'un sadisme laissant à sa proie l'éternité pour se sentir se faire ramoner et déployer l'anus par la taille de son gland... Elle pourrait ronchonner, gémir, s'étouffer où même hurler, tourner de l'oeil... Rien, Ludya ne laisserait rien perturber son irrésistible avancée... Allant jusqu'a empoigner ses hanches... Serrant les dents dans un sourire pervers et d'un sadisme qu'il aurait lui même du mal à s'observer sur son propre visage... Son gland n'est même pas encore entré complétement qu'il sent la chair et l'anneau de sa proie couiner et se plaindre de sons charnels de leur manque de souplesse... Et ce n'est qu'une fois passé le cap de son anneau avec le col perlé de son gland qu'on perçoit toute l'étendue de l'évasement forcé de son cul et de ses hanches pour acceuillir son épaisseur...

GRRrrhaaanwRRr !!! Mais purée... T'es super... super serrée hein ! GRrrrr !!

Dit il en voyant le cuir pourtant bien épais et solide de son sexe être tout de même compressé par le rebord de son anneau pendant son avancée... Il grogne et enlaçe Irina entre ses bras... Dont les pieds ne touchent plus le sol lorsqu'il la plaque contre lui... Il cherche sa bouche... Ses lèvres... partageant sa langue avec la sienne tandis que ses mains pétrissent les hanches de sa douce ennemie... hmm... "Ma meilleure ennemie, Hmm... ?" Oui, Et ça ne serait pas faire honneur à sa victoire s'il ne lui offrait pas touuuute l'étendue de sa... "puissance" n'est ce pas ? Ses mains pressent bien fort sur ses hanches, l'obligeant à descendre sur sa queue démoniaque... Le magnifique bas ventre musclé d'Irina dessinant petit à petit la forme et la taille de son gland sous sa peau... Qui progresse lentement, centimètres après centimètres vers le haut... La laissant en proie à une drôle d'impression d'encombrement, d'emplissage... Ses crocs vinrent masticoter la ligne de sa nuque... Ses mains puissantes lui faisant faire ces demis cercles vissés vers le bas... Sans doute avait elle la bouche entrouverte, incapable de produire le moindre son durant cette invasion ? C'était pas assez pour lui... Il avait envie de l'entendre, même si elle en avait le souffle coupé hihi... Sa queue féline d'abyssian se mit alors à lui flageller le vagin, de belles et bonnes claques sonores d'un impact semblable à une bonne gifle... Et pendant qu'il la sodomise, lui épaissit le cul et farcit le ventre, il la flagelle bon gré... Et glisse toujours des baisers dans sa nuque, et son irritante petite langue abrasive emporte parfois sa joue dans une lèche souriante...

Laborieux... ça l'était... Mais il voulait que ça soit comme ça... ça n'aurait pas été aussi drôle sinon... Il adorait la sentir agoniser autant de plaisir que de douleur... Son ventre devenait beau... On l'aurait presque dit enceinte... Enceinte de son énorme queue ? hihi... Hmm... Il caresse ce ventre arrondi qui ressemblerait à s'y méprendre a la silhouette de son sexe encastré en elle... Et flagelle derechef son vagin... La laissant pisser sa cyprine abondante sur ses cuisses, sur ses bourses... Et là encore, d'un certain sadisme... Lorsqu'elle semble happer l'air comme un poisson pour parvenir à respirer il s'approprie ses lèvres pour l'étouffer de belles et longues secondes qui doivent lui paraître si longues... Si longues alors qu'il fait gargouiller son sexe dans son cul en s'osant à l'exotisme d'une danse des hanches Elle n'est encore qu'a mi chemin... Peut être à t'elle déjà envie de supplier... hm ? La laisserait elle même si elle le faisait ? Les coups de sa queue féline sur son vagin, aussi vifs et claquants laissent aisément penser que non.

Alors ? T'a BON dis ? hein ?! Hihi... C'est juste... Ta faute... t'a voulu te mesurer à l'inconnu... Et l'inconnu va t'explorer dans les moindres recoins jusqu'a ce que tu n'ait plus le moindre secret pour lui... Tu seras la première à qui je vais apprendre à respecter le dernier des abyssians de l'espace, GRRrwrr !

 L'abyssian écarte les cuisses de sa suppliciée et les relève de ses deux bras, ramenant ses genoux très près de ses seins et passant ses mains derrière la nuque d'Irina pour avoir une prise terriblement posséssive et surtout, excessivement facile pour continuer sa sodomie... S'enfouissant un peu plus rapidement... Toutes les excroissances de chair abyssiniales autour de la masse de sa verge rebondissent contre son trou avant d'être forcé à plier et pénétrer son anus... Frottant contre ses parois internes comme autant de petites langues accrochées autour de son chibre... Le venin qu'elles produisent échaudent la chair anale d'Irina et la rendent progressivement irritante et trrrès plaisante au passage de cette vile queue... Il force.. On peut voir de belles veines parcourir ses bras... pendant qu'il continue de la visser, la visser sur sa queue... Son diaphragme se retrouvant poussé par son énormité et lui laissant désormais de moins en moins d'air pour accuser autant le plaisir que la douleur dans ses poumons... Et elle se sent possédée... Son cul, son ventre complétement envahi... Au point où son anneau et ses muscles fessiers luttent contre lui... Et pendant cette lutte... Il lui donne un de ces coups de grâce électrisé du bout de sa langue dans ses prises jack... Détendant juste une fraction de seconde ses muscles... juste assez... oui... juste assez pour s'enfiler de tout ce qu'il reste, jusqu'a la garde... Un -plop- sonore se faisant entendre lorsqu'il scelle son anneau de la base de sa verge et que ses énormes bourses d'ambre cuireux tendus claquent et pressent fort contre son vagin.. Il pousse un râle de délice... N'ayant pas imaginé être capable de l'enfouir entièrement dans cette créature... Il s'en mordille le rebord de la lippe en louchant au ciel... "Han ton putain de cul de soldate bien entrainée... Quelle fibre... Et ces abdos... Haaahhh... GRRr... c'est si bon... Tellement... Oui... Tellement bon..."
 
Il tient bon sa prise sur elle... mordillant son oreille, léchant sa joue... Soupirant un rire malicieux et sadique à son oreille... RRrrÂââaaaaah... Te voilà bien punie. Un peu de mal à respirer, peut être ? Han... Désolé... j'aurai du laisser un peu de place pour que tes poumons se déploient... Mais ma queue est très jalouse et possessive, qu'est ce que tu veux... J'y peux rien si elle est égoiste et qu'elle aime prendre toute la place !
« Modifié: jeudi 18 mai 2017, 17:31:04 par Ludya »

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 24 lundi 17 octobre 2016, 22:20:48

L'abyssien reste sourd à ses suppliques et continue ses caresses glacés jusqu'à ce qu'il atteigne la fragile auréole de son anus. Instantanément, il se contracte et elle sursaute en haletant contre son torse.

Irina - Ha ! Nan... nan... pas ça... c'est froid...

Mais encore une fois il l'ignore et ramène son corps contre lui pour lui  torturer les tétons de ses doigts gelés.. Irina les sent étrangement, son regard tombe sur sa poitrine et elle remarque avec stupeur que ses tétons ont grandi, grossi et on prit une couleur rouge sombre.
Elle sent son énorme queue qui passe entre ses jambes, si monstrueuse qu'elle à l'impression d’être assise sur un tronc d'arbre. Elle écarte les cuisses en gémissant incapable de l’empêcher de se frayer un passage contre sa vulve.  Elle sent les piques brulants venir caresser ses lèvres intimes qui se mettent à ruisseler sur le membre de Ludya.

Irina - Humm ?! Mais... qu'es ce que ?...

Sa vulve commence à la démanger, comme prise d'une excitation irrépressible. Irina regarde stupéfaite le sexe qui dépasse d'entre ses jambes et la substance poisseuse que secrète sa peau. Une larme coule sur sa joue, elle se sait perdue... empoisonnée par un puissant aphrodisiaque. Elle sait qu'elle ne peut plus contrôler son corps.

Comme une scie de bucheron, il fait de long va et viens contre la vulve de la cyborg qui gémit de plus en plus fort et le supplie de l’arrêter, de libérer ses mains pour qu'elle puisse se gratter. Son torse, arqué par ses bras tirés en arrière,  met en valeur son énorme poitrine frémissante. La cyborg mouille si abondamment qu'un ruisseau de ses humeurs vient lubrifier son anus torturé et pris d'assaut par l'abyssien.

Irina – Hoooo non pitié par çaaaaaa...

Gémit elle à nouveau en sentant le doigt glacial en profiter pour s'enfoncer sans vergogne dans la délicate plissure de son anus qui s'écarte. Le froid est intense, elle écarquille les yeux au maximum, au point qu'on les diraient prêt à sortir de sa tête et tout son corps est parcouru de petits spasmes. Autour de son doigt, Ludya peut sentir la chaire brulante de la jeune femme palpiter, pulser violemment et plus il continue de frotter son sexe contre elle, plus elle défaille et se contracte autour de lui.

Sa bouche adolescente se pose sur sa nuque, Irina devine, horrifié, qu'il a percé son secret. ce qu' il lui prouve immédiatement... de petites déchargent vrillent son cerveau et perturbent ses paramètres, Irina se perd dans un maelstrom de comportement, de changement de sensibilité, de cycles. Ses yeux commencent doucement à ce révulser et elle ouvre la bouche pour laisser échapper un filet de salive. Soudain, ses seins se mettent à ruisseler de lait, quand il presse de ses doigts le téton de la belle, Ludya en fait gicler une trainée blanche.

Irina – Gaaaaaa...

Sa langue commence doucement à sortir de sa bouche, juste la pointe d'abord, qui se tortille comme un serpent lubrique. Une nouvelle décharge inonde son cerveau et instantanément les paramètres changent à nouveau, ses seins s’arrêtent de produire le précieux nectar.

Irina – Gniiii ! Maitre laissez moi vous donner du plaisir !

Se met elle à hurler à la surprise de Ludya qui réalise qu'il a du activer une sorte de mode: “super salope” en jouant avec ses configurations. Les mains de la cyborg, toujours tenues dans son dos, s'agitent frénétiquement et essai de caresser la poitrine du jeune homme et tente de descendre vers sa verge. Celui-ci la laisse faire et aussi tôt elle pose ses doigts graciles sur ces bourses gonflées pour les masser.

Irina – Défoncez moi Maitre ... je vous en pri... déf... Non... stop... arrête sale monstre ! Arrête de jouer avec mon cerveau !

Sans le vouloir Ludya a encore changé les paramètres de la jeune femme pour lui redonner sa volonté propre. Elle se commence à se débattre et il est obligé de lui ressaisir les mains. Il lui assène une nouvelle décharge, Irina retrouve sa position arquée en arrière, ses yeux grands ouverts et la salive recommence à couler de sa bouche. Elle dandine involontairement des hanches et sent un fourmillement étrange au plus profond d'elle-même, elle le reconnait, et de grosses larmes se mettent à couler sur ses joues.

Irina – Non... tu n'as pas le droit... non... par pitié... ne... ne joui pas... ne joui pas... veux... pas... tomber enceinte non...

L'abyssien, dans son ignorance et son jeu électrique, vient de donner un nouvel ordre à son corps. Irina sent qu'elle est en train d'ovuler, elle sait que désormais, si son utérus accueil sa semence, elle tombera enceinte...

Cette idée horrible la poursuit alors même qu'il continue son exploration en passant un second doigt dans son fondement, puis un troisième, puis un quatrième. Irina se met à grogner comme une bête qui met bas en levant le visage au ciel, sa langue frétille, mais une dernière parcelle d'orgueil en elle refuse de la laisser sortir comme une misérable nymphomane.

C'est alors que l'abyssien amorce le coup de grâce. Il retire sa main et présente son gland monstrueux contre son anus dilaté et glacé par son emprise. Il presse sa queue contre ses fesses, Irina tourne la tête vers lui en poussant un cris de détresse.

Irina – Nan... nan... c'est... trop gros... ça n'entrera ja...

La fin de sa phrase se perd dans le commencement d'un long râle d'agonie ou se mêle douleur et plaisir mortel alors qu'il enfonce lentement son énorme queue en elle. Centimètre après centimètres, le sexe de Ludya rappe son cul de ses piques gélatineux et déforme de plus en plus son anus béant. Tout le corps d'Irina se contracte et l'abyssien peut admirer le spectacle des yeux d'Irina qui lentement se révulsent. Le spectacle de sa langue qui sort de plus en plus de sa bouche grande ouverte et qui lui donne un aire d'actrice porno totalement lessivée par l'orgasme. Et en arrière plan celui de son bas ventre qui gonfle et se contracte à l'avancé de sa chaire brulante, qui remonte et qui gagne son ventre...

Irina n'est plus personne, elle a oubliée son nom, sa nature, elle n'est plus qu'un objet sexuel entre les mains de son propriétaire, elle n'est plus, elle ressent. Un plaisir extatique, au delà de toute mesure en dehors de sa douleur, son âme pervertie et enfiévrée à ce traitement ne sait plus si elle veut mourir, ou que cela continue toujours.

Gourmand, l'abyssien emprisonne sa bouche et sa langue offerte dans la sienne et commence à fouetter sa chatte et son clitoris hypertrophié. Elle perd le contrôle et commence à jouir comme la plus dévergondée des femmes fontaines. Mais le supplice continue et elle le sent monter en elle. Il la soulève toute entière et la juche sur son corps pour emprisonner ses jambes entre ses bras puissants. Dans cette position, il continue d'enfoncer sa verge plus profondément encore. Il est allé si profondément qu'il sent désormais tout le corps de la jeune femme luter contre lui pour l’arrêter. Elle résiste, elle résiste encore...

Alors il libère sa bouche pour venir darder à nouveau sa langue électrique sur les petites prises dissimulées sous sa chevelure d'or. Une nouvelle décharge et tout le corps de la belle ramolie l'espace d'un instant, un court instant, mais que l'abyssien attendait... il recommence à pousser en elle.

L'air dans les poumons d'Irina est chassé de sa bouche dans un long hurlement silencieux . La dernière parcelle d'elle même maudit son corps amélioré et ses incroyables capacité de survie avant de mourir sous une avalanche d'orgasmes, la queue de la bête, vient de finir sa route.

Irina n'est plus qu'une marionnette, planté sur le bâton de son maitre qui la fait danser et bouger. Elle sautille nerveusement, les yeux révulsé, la bouche grande ouverte et la langue pendante comme une esclave sexuelle totalement décérébrée.

Ludya  - Te voilà bien punie. Un peu de mal à respirer, peut être ? Han... Désolé... j'aurai du laisser un peu de place pour que tes poumons se déploient... Mais ma queue est très jalouse et possessive, qu'est ce que tu veux... J'y peux rien si elle est égoïste et qu'elle aime prendre toute la place !

Ludya passe les mains derrière la nuque délicate de la jeune femme et pousse sa tête en avant pour la force à regarder pendant qu'il ressort son monstrueux tronc d'arbre d'entre ses jambes. La jeune femme contemple son corps ravagé et déformé, comme enceinte d'un œuf couvert d'épines, et recommence à râler de souffrance et de plaisir.

Quand il s'enfonce à nouveau en elle, Irina atteint un état second dans lequel il n'existe plus qu'orgasme et douleur. Elle se laisse manipuler et utiliser par le mâle qui la domine sans plus savoir de qui il s'agit, elle est perdue dans un océan de sensations. Elle se noie et s'enfonce, respirant quand la queue de Ludya ressort, hurlant quand il s'enfonce de nouveau et chasse l’oxygène de sa poitrine. Il continue ainsi encore et encore, déformant toujours plus le corps délicat de la jeune femme jusqu'à ce qu'il commence à grogner de plaisir lui aussi, de plus en plus fort.

Dans un rugissement de lion, il hurle de plaisir et commence à jouir profusément en elle. Irina est à nouveau prises de spasmes de douleur. Elle regarde, totalement  stupéfaite et choquée, son ventre commencer à gonfler... à gonfler encore... à gonfler toujours alors que l'abyssien continue de pousser des râles de plaisir en giclant en elle.

Sa peau se tend à son paroxysme et son  bas ventre ce couvre de fins sillons blanc alors qu'elle gémit de douleur. Au bout d'un moment, Irina pousse un hurlement épuisé en sentant le muscle de son anus céder et ramolire comme de la viande battue par le boucher.

Le sperme sous pression de son maitre se frayer un passage le long de sa queue pour fuir par les interstices de son muscle inerte qui se met à pendre mollement comme des lèvres pubiennes ravagées par des années de baise.

Irina - Je... mon... je n'arrive plus à... mon anus... je ne le contrôle plus !

Gémit elle à demi folle.
« Modifié: lundi 17 octobre 2016, 22:52:43 par Irina Tarkovskaya »

Ludya

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 25 mardi 18 octobre 2016, 09:06:40

C'est la première fois que Ludya connaissait la jouissance... Et c'était avec sa première ennemie... Sa vaincue... Toute pour lui... C'était tellement bon... Ses muscles du bas ventre lui lançaient des papillons dans le nombril et il voyait des étoiles... C'était une sensation si intense et étrange... Un signal envoyé au cerveau d'une telle force... Que ça tétanise pour un moment tous ses muscles et le crispe, tremblant de la tête aux orteils... N'avait envie que ça dure, puis quand ce fut fini, que ça recommence aussitôt ! Oui ! Après tout, il était toujours aussi dur, avait toujours trrrès envie d'elle, jouir n'avait pas déforcé sa tension sexuelle, au contraire... Peut être à cause de son âge, peut être car il était juste une créature d'un autre monde... Mais ça ne semblait pas avoir eu le moindre effet sur la force de son désir et de sa vivacité sexuelle.

Elle ne lui opposait plus la moindre résistance... Son anus était bien dilaté et ne forçait plus contre son mouvement, il ressemblait à une sorte de joli donut moeltonné de chair rose l'acceuillant en produisant des sons plus vicieux les uns que les autres ! hihihi...  HanwRrr... On dirait que je t'ai encore vaincue... Alors que j'n'avais même pas encore fini de profiter de ma première victoire... Quel gâchis. Dit il en te laissant doucement choir le visage et tes tétons sombres et rougis, irrités et érigés  contre la neige, replongeant avec un peu plus de fluidité le tronc barbelé de pointes de chair dont chaque épaisse pique pourléchait l'anneau avant de le déformer là ou ils passaient et se fondre en elle, sillonnant d'une caresse semblable à des dizaines de langues fortement pressées par le diamètre momentané qu'elles rajoutent à sa queue, sur ses parois lorsqu'elles s'engagent jusqu'au fond. Chacunes de ses pointes semblait chatouiller autant, si ce n'est plus que la précédente dans un orifice déjà bien battu et ramoli... Il était sûr que son corps de Cyborg était à même de le supporter. Il avait pu observer ses capacités régénératrices en combat. Ce qu'il aimait la voir serrer les dents, son ennemie, pour le tolérer dans son corps. Il fallait qu'elle apprenne de son échec, hmmmrrr ? Non ? Hihi... C'est comme ça qu'on devient plus fort !

Tu croyais pouvoir t'en sortir comme ça ? La leçon est pas finie ! Je vais te laminer le cul à en refondre tous tes circuits au point où tu vas perdre toutes tes certifications cisco.

Se plait il à lancer d'une voix drôle et amusée, C'était sans doute un peu effrayant... Cet ado possédait un corps très puissant et endurant... Comme un gamin aux commandes d'un engin de chantier... Empoignant ses hanches pour plonger en elle d'une traite bien fluide, durant laquelle on put entendre une série rapide de "flop-flop-flop" à chaque pliage et rencontre de ses pointes charnues avec son anus. Il plongea si fort et si loin cette fois ci que ses énormes melons de cuir lui servant de bourses scellèrent son vagin, enfonçant son visage et ses seins dans la neige lorsqu'il buta bien au fond... Il resta quelques secondes, fortement appuyé, vibrant de ronronnements de ses muscles et ses bourses scellées contre elle. Il ferma les yeux en tendant son visage vers l'espace... Entrouvrant les lèvres pour y passer doucement une langue qui, à la manière trrrrès sensuelle de se caresser le pourtour des lippes laissait imaginer toute la béatitude et le délice qu'il éprouvait à être si bien acceuilli et serré en elle. Il resterait comme ça de longues minutes si ça ne risquait pas de la tuer en l'empêchant de respirer.

Reprenant ses esprits il entame le retour... Avec le même genre de fluidité... La soulageant à nouveau en l'entendant derechef pousser ce soupir soulagé et épuisé dans la neige mais ressort complétement, provoquant sans doute l'heureuse surprise d'un anneau soulagé également... Mais bien vite ses espoirs s'envolent quand son gland énorme vient défoncer son anneau quand celui ci avait commencé à se résorber, à reprendre une allure plus raisonnable, GRrrr ! "T'a cru que j'allais oublier que c'était une punition ? Piou ?" Dit il en s'enfonçant jusqu'à la garde d'un coup de rein puissant et fluide, le cul d'irina produisant des sons toujours plus drôles et pervers les uns que les autres. Chaque fois qu'il entre et qu'il sort on peut aisément voir le cul d'Irina prendre du volume et ses hanches couiner pour s'adapter à sa grosseur, et se réduire lorsqu'il la libère... Probablement suivi des souffles et des râles épuisés de cette vilaine, vilaine cyborg ! Après plusieurs allées venues comme ça, obligeant sans peine son anneau distendu à suivre et mouler les contours de sa verge d'avant en arrière, Ludya la sodomisait à une allure relativement modérée, mais constante. Et se plaisait à caresser son dos avec ses griffes laissant quelques marques rougies jusqu'au creux des reins uniquement pour accompagner les sorties infiniment soulageantes et libératrices de son sexe. Lorsqu'il s'enfonçait en elle, la griffe de son pousse piquait dans le centre de ses belles fesses pour cramper ses muscles et la forcer à se serrer autour de lui, hihi ! Han, quel sadique ce petit démon d'abyssian !

Il se pencha à son oreille, lui parlant d'une petite voix qu'il savait rendre la plus irritante et gamine possible, s'y forçant pour la rendre aussi irritante, ridicule, invasive et chiante qu'imaginable haha ! C'était bon rien que d'y penser, de la branlette cérébrale ignominément stupide... ça lui arrivait d'être conscient de l'insupportabilité délicieuse de sa petite voix gamine.

Ca commence vrrrraiement à être tout bion tu sais... Ouie ouie... Vraiement... RRrh... Rrrrrhouw !! J'pourraie... j'pourraie m'habituwée à çaâââh... hihie... Wiminimiouw ♥

Han oui ça lui plaisait d'irriter autant de sa voix en la rendant débiwl et risible au possible, d'utiliser des onomatopées stupides et mignonnes, aussi grotesque et irritante que sa grosse queue dans son cul ! hahaha ! Comme si cette petite pierre à l'édifice figurait de cerise sur la chantilly au top de la crème d'un gateauw nommé torture.

Ses bourses allaient percuter d'une claque douce sa vulve lorsqu'il était bien à fond en elle... Il la sodomisait en levrette, enfin, si elle était capable de se tenir sur ses mains... Une position terriblement facile pour lui, mais drôlement efficace lorsque son muscle pubien venait sceller son anus dans un baiser amoureux provoquant moult sons d'appel d'air ventousés. Sons qu'il trouvait à la fois drôles et excitants, de plus en plus... Et Il se surprenait à avoir l'envie grrrondante de lui prodiguer quelques bonnes claques sur ses fesses arrondies et embellies par leur remplissage lorsqu'il la farçissait toute entière ! Ce qu'il ne se gêna d'ailleurs plus de faire ! Entre glissement griffés dans son dos, pincement du centre de ses fesses avec ses griffes de pouce, il plaçait des bonnes gifles secouantes sur ses fesses dans les temps morts !

Bon... Hm... Alors maintenant tu vas p'têt me dire qui t'envoie ? Où t'en veux encore ? Hmr ?!

Demande t'il en donnant une gifle plus forte que les autres sur ses fesses, et un coup de queue plus brutal aussi, l'ayant fait avancer d'un bon pas ! Sa queue d'abyssian se liant à la fête pour s'enserrer autour de ses seins déjà très sensibles et les presser bien fort !

HMmm ? Attends... J'sais ce qui te fera gémir, à défaut de parler, hihi...

Il prit le temps de se retirer complétement et de tremper son sexe fûmant dans le sol ! Faisant carrément fondre la glace autour d'elle, ses nanostérones dermiques prirent connaissance de l'élément très froid et laissa à son sexe subir le même traitement que ses doigts précédemment, la glace avait cependant résorbé ses pointes de chair, son sexe devenant bien lisse tout en gardant sa taille, Il fit tournoyer le bout de son gland de glace bien doux et lisse comme une patinoire inviolée venant tout juste d'être pôlie sur son anneau boursouflé qui devait piquer tout plein, mais le contact de la glace glissante laissant un fin trait d'humidité glaciale dessus devait être un soulagement innomable à ce stade...
 
Il avait également commencé à insister avec ce gland glacé sur sa vulve... De plus en plus même... Ecartant un peu ses magnifiques lèvres bombées et irritées par son venin aphrodisiaque... Ca le tentait beaucoup de la prendre par là en étant tout glacé... hihi... Mais ce qu'il fit, c'est qu'il enfonça d'abord son gland dans sa rosette enflée, l'effet de la glace fut radical, presque immédiat avec l'aide des capacités régénérantes de la cyborg aussi, lorsqu'il retira son bout pour caresser son anneau, il s'était résorbé et avait pratiquement repris son apparence initiale, bien net et tout bieau. Ce geste d'une certaine bonté d'une durée quasi éphémère sera vite oublié lorsqu'il écartela ses lèvres d'une bourrade sans pitié avec son gland glacial, faisant avaler à sa chatte les débuts de sa première pine glacée ! Il n'avait pas déserré l'étreinte étranglante sur ses seins dont les pointes étaient dirigées elles aussi vers la neige, enfoncées dedans.

T'es une guerrière toi hein ?

Demande t'il pendant qu'il bourre sa pine glacée plus loin encore, sourire grinçé de dents acérées.

J'parie... que t'es du genre... à résister... Grrr...

  Claque... Claque et claque... Et claque ! Claque et gifle, et claque encore ses fesses et griffe aussi la longueur de son dos de façon plus appuyée, plus sillonnée et rougie, s'en pinçant le rebord inférieur des lèvres.


... On va voir si tu résiste à ça sans me donner le début d'une réponse ! Malheureusement pour toi, J'ai tout mon temps et pas mal d'idées !



« Modifié: jeudi 18 mai 2017, 17:31:36 par Ludya »

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 26 mardi 18 octobre 2016, 21:05:21

Ludya - hihihi...  HanwRrr... On dirait que je t'ai encore vaincue... Alors que j'n'avais même pas encore fini de profiter de ma première victoire... Quel gâchis.

Irina tourne la tête vers lui et lui lance un regard plein de colère et de désespoir avant qu'il ne la laisse choir contre le sol et recommence à pousser en elle. C'est plus fort qu'elle, elle ne parvient pas à ce retenir de gémir de plaisir en tirant la langue comme une nymphomane.

Irina – Ha ! Hoooooooo...

Ludya - Tu croyais pouvoir t'en sortir comme ça ? La leçon est pas finie ! Je vais te laminer le cul à en refondre tous tes circuits au point où tu vas perdre toutes tes certifications cisco.

Mais la  jeune femme ne l'entend déjà plus, son corps conditionné pour la baise recommence à s'offrir à lui pendant que son esprit étouffe sous les assaut répétés des orgasmes.

Il va et vient en elle comme un butor, toute sa chaire s'est modelée pour se transformer en  fourreau brûlant pour son Maitre, tout l'intérieur de son corps n'est plus qu'un sexe immense et serré. Quand il sort totalement d'elle, il entraine avec lui un flot de foutre chaud qui se déverse entre leurs cuisses. Le cul d'Irina n'est plus qu'une immense grotte couverte de sperme. Les bords dilatés ne se contractent plus, si bien que quand il la pénètre de nouveau, il s'enfonce sans difficulté, en arrachant au passage un nouveau râle de désespoir à sa nouvelle esclave.

Il lui parle de nouveau, mais elle n'écoute pas, elle sent alors sa main puissante et glacial frapper ses fesses.

Irina – Hum !

Elle redresse la tête avant de la laisser retomber mollement. Il frappe encore, à nouveau elle redresse la tête en gémissant. Et il continue ainsi en la pénétrant toujours aussi loin, au point que son pénis face un bruit de sucions guttural quand il entre et sort.

Lydia - Bon... Hm... Alors maintenant tu vas p'têt me dire qui t'envoie ? Où t'en veux encore ? Hmr ?!

Irina – Han ANNN !

Hurle t'elle en accueillant son sexe vengeur.

Lydia - HMmm ? Attends... J'sais ce qui te fera gémir, à défaut de parler, hihi...

Il sort à nouveau d'elle. Irina gémit et pleur contre le sol jusqu'à ce qu'elle sente à nouveau son membre glacé contre son anus.

Irina – Ha ! Non !

Mais il ne fait pas ce qu'elle crois. Non, la fraîcheur glaciale réveil son muscle anal qui se contracte et se referme petit à petit. Irina pousse ou soupire de soulagement.

Irina – Hooooo... merci seigneur... c'est enfin terminé...

C'est alors qu'elle le sent  presser sans vergogne son gland gelé contre son vagin.

Irina – Nan pas ça !

Elle essai de prendre la fuite en se redressant sur ses mains, mais Lydia lui attrape les poignets et la tiens contre le sol pour que ses tétons mordent le sol glacé. La douleur dans ses tétons irradie jusque dans son clitoris gonflé et lubrifié par les glaires aphrodisiaques de l'abyssien.

Ludya - T'es une guerrière toi hein ?

Irina – Non... non pitié sort de Arg !

Ludya lui a tiré les bras en arrière pour l'empaler sur sa queue. Les lèvres de la belle cyborg, gonflées et lubrifiées par la matière extraterrestre, s'ouvrent comme la porte d'un petit palais que son pénis ruine et transforme en vaste caverne. En une seule poussée, il à pénétré son vagin jusqu'au bout et bute contre la porte de son utérus, et derrière cette porte, se cache un petit secret qu'Irina redoute...

Ludya - J'parie... que t'es du genre... à résister... Grrr...

Irina – Non... non... je t'en pris... arrête... sort de la je t'en prie... je serai gentille... mais ne... ne joui pas... pas là...

Horrifiée à l'idée d'être inséminée par cette incroyable créature, elle perd toute dignité et abandonne toute fierté.

Ludya - ... On va voir si tu résiste à ça sans me donner le début d'une réponse ! Malheureusement pour toi, J'ai tout mon temps et pas mal d'idées !

Irina – Non... non je t'en supplie arrête... ne fini pas... ne joui pas par pitié, je te dirais tout ce que tu veux savoir... je ferai ce que tu voudra.

Mais quand il lui repose encore la question sur son employeur... Irina reste muette malgré sa promesse... elle ne peut pas lui dire la vérité, ses implants l'en empêche. Elle lui a menti et ne peut rien dire ou faire pour le faire reculer...

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 27 mardi 18 octobre 2016, 22:38:07

Ludya n'étant encore qu'un gamin un peu naif... Il l'écoute en clignant des yeux, attentif lorsqu'elle le supplie d'arrêter, de sortir... Qu'elle serait gentille... C'est bien la première fois depuis un bon moment qu'elle prend véritablement la parole et, peut être qu'elle se serait épargné pas mal de sévices si elle avait simplement essayé d'implorer pitié avec cette voix douce et brisée... Voix qu'il trouvait sincère et qu'il pouvait facilement croire.

Si sa transformation avait un coté très puissant et prédatorial, il restait un jeune abyssian un peu joueur et malicieux... Mais pas foncièrement mauvais. Et qu'elle se mette à supplier et lui demander pitié lui posait un véritable problème de conscience. Il avait encore envie lui... Tellement envie... Il fit une moue boudeuse lorsqu'elle recommença une seconde fois à le supplier d'arrêter... de ne pas finir, ni de jouir... Eeeeh... Faire tout ce qu'il voudra ? A cet instant il voulait... Il voulait la culbuter comme un damné et jouir encore un nombre de fois discutable... Il avait même projeté d'envahir sa bouche de menteuse si elle donnait exprès de mauvaises réponses ! Et pis de lui ramoner sa bouche et sa gorge de vilaine ! Maintenant il ne pourrait plus !

Bon... Bon d'accord... Je... j'ai... J'ai compris que t'avais pas envie que... je jouisse... Si tu dis tout je te laisserai tranquille ouie... Pfffff... Même si je serai un peu triste et déçu que ça soit déjà fini...

Autre petit souci... Faudrait peut être pas oubliée que Ludya avait usé pas mal de ses ressources lors de leur précédent combat et que l'exacerbation de ses nanostérones pour le rendre aussi imposant et puissant n'était pas sans sa contrepartie énergétique également... Et là on peut dire qu'il avait brûlé la mèche par les deux bouts ! Il commençait à se sentir un peu drôle... Des vertiges... Il se tint le front d'une main, sous quelques mèches de cheveux en clignant avec appui ses paupières, forçant la réouverture de ses yeux, victime d'une chute de tension.

Ohw.. mais... Ah non hein ! Mais je... Oh j'ai plus assez d'énergie... Pfffff !!!

Et bien qu'Irina n'ait pas daigné répondre à la seconde fois où il ait posé la question, l'Abyssian ne semblait plus tenir comme il faut en place... Ca y est... son corps perdit progressivement cette masse musculeuse, cette taille de plus d'un mètre nonante et des poussières... Il rappetit en observant ses mains... Ses bras... ses pieds... ses jambes... Déglutissant en comprenant qu'il ne pouvait plus maintenir la forme et qu'il serait bientôt à nouveau plus petit qu'Irina... Mais dans l'état d'épuisement où elle se trouvait, ce n'était pas si grave... non ? Ludya avait désormais complétement récupéré sa taille initiale... Irina était hors combat mais elle n'avait pas révélé tout ce qu'il voulait savoir, et certaines choses l'intriguaient chez elle...

S'il pouvait juste la ramener dans l'ancien labo souterrain abandonné du secteur 8, il y aurait là bas assez d'équipement pour forcer les sécurités de son système. Les supplices physiques semblaient avoir échoué, à défaut d'être dans la pleine possession de ses moyens et de toute manière, quelque chose lui disait qu'elles ne donneraient aucun résultat probant.

Ce n'est rien.. D'accord... Pas de panique, ce n'est pas grave, on va trouvée une solution !

Dit il en revêtant sa veste, ajustant ses lunettes d'ingénieur sur son front après quoi il se mit à pianoter sur un ordinateur accroché à son poignet, entrant les coordonnées de cet endroit... Son vaisseau ne devrait plus trop tarder. En attendant il s'approcha d'Irina, épuisée par terre, s'accroupissant au niveau de sa tête et lui caressant quelques mèches de cheveux qu'il ramène derrière son oreille, lui souriant avec toute la mignonimie malicieuse de son faciès d'ange abyssinian.

J'pourrai très bien continuer comme ça... Je suis loin d'en avoir finie avec toi. Mais tes employeurs vont tôt ou tard chercher à communiquer avec toi, où même essayer de te retrouver... ça m'étonne même qu'il n'y ait eu encore aucun renforts après t'avoir jetée seule à ma poursuite. Est ce qu'ils comptaient vraiment sur tes prouesses en solo pour m'attraper sans plan B ? J'peux juste pas le croire.

On entendit une explosion, des stalactites de glace tomber depuis le plafond de cette caverne glaciale, puis soudain, une bonne partie de la voute s'effondra et apparut dans un trou du plafond, la silhouette enluminée et aveuglante de son légendaire prototype de vaisseau spatial, le hornet ! Il amorça une descente lente entre les parois de la grotte et se posa non loin de leur position. Ludya ira ouvrir le cockpit avant de revenir vers Irina pour la porter sur son dos et l'aider à monter dans le vaisseau.

Une fois assise derrière il s'installa dans le siège du pilote, la vitre du cockpit se ferma et le son rassurant de l'étanchéité de pressurisation de l'air intérieur se fit entendre... Ludya n'était pas mécontent qu'ils s'en aillent enfin d'ici.. retrouvant le comfort famillier et rassurant de cet engin. Il jeta un coup d'oeil à Irina installée derrière, elle serait peut être complétement hors service durant le voyage ? Peut être que des drônes où autres machines se lanceraient à leur poursuite en plein vol vers seikusu et chercheraient à les intercepter ? GRrr ! il n'était parvenu à soutirer aucune réelle information de la part de la cyborg, et ça, après un bon repos et un dessert il reviendrait à la charge ! Irina était la plus belle pièce de technologie et d'électronique qu'il ait jamais ramené avec lui d'un voyage ! C'était presque comme un cadeau de noel, il était impatient d'être en forme pour l'ouvrir et jouer avec !

Le vaisseau entama sa montée... On pouvait aperçevoir les parois glaciales se rapprocher dangereusement des vitres du cockpit puis s'éloigner... De la condensation remonter le long des parois blanches qui, scintillaient ici et là... Puis... y eut un petit choc... Pas bien grave mais... C'est presque comme si quelque chose avait cherché à s'aggriper quelque part sur le vaisseau... Oh... quel abruti ! il avait oublié de rentrer le train d'atterissage, un des pieds à du se prendre sur une paroi.

Lorsque ce dernier fut rentré, on sentit bien que le vaisseau était à nouveau libre de ses mouvements et ils étaient désormais en train de survoler cette calote glacière... Il s'était pas imaginé un instant qu'ils étaient si loin de toute civilisation... Il faisait nuit noire dehors...

Ludya initia le suivi de trajectoire automatique, et décrocha sa ceinture pour se lever et aller voir comment allait Irina... Par sécurité il avait pluggé des prises jacks dans sa nuque reliés à deux terminaux dans son vaisseau pour monitorer -surveiller- son activité cardiaque et cérébrale, il ne lui faudrait qu'un ordre pour que des décharges électriques ne lui soient envoyées si elle essayait de l'agresser dans le vaisseau... Il l'observait... Finalement il réalisa qu'il ne connaissait pas grand chose d'elle, si ce n'est qu'elle avait presque essayé de le tuer ! Il s'assit près d'elle et la regarda en posant son visage entre ses mains. Peut être dormait elle paisiblement où était elle encore réveillée ? Même l'abyssian baillait... Fatigué par le combat et tout ce qu'ils avaient pu faire là bas. Alors si lui baillait cette créature devait être complètement à bout aussi... Envie d'dormir... Ses yeux voulaient se fermer tout seul et il luttait contre en les réouvrant peu de temps après. Par chance l'autopilote était assez fiable.

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 28 mercredi 19 octobre 2016, 19:33:44

Ludya - Bon... Bon d'accord... Je... j'ai... J'ai compris que t'avais pas envie que... je jouisse... Si tu dis tout je te laisserai tranquille ouie... Pfffff... Même si je serai un peu triste et déçu que ça soit déjà fini...

Elle le sent sortir et pousse un soupire de soulagement. Son vagin lui fait mal et la démange mais heureusement il n'est pas allé plus loin et ne l'a pas mise enceinte. Sa avait été moins une.
La pauvre cyborg est tellement épuisé et brisé par le viol que quand l'abyssien lui avoue son état de faiblesse, elle ne trouve pas la force de fuir, elle reste prostré, le cul bombé vers son torse puissant et les jambes grandes écartés.

Ludya - Ce n'est rien.. D'accord... Pas de panique, ce n'est pas grave, on va trouvée une solution !
 
Elle l'entend bouger autour de lui, elle essai péniblement de resserrer les cuisses. Mais elle n'y parvient pas, son corps est épuisé, les articulations de ses jambes et les os de son bassins sont déformés par le passage de sa queue chevaline. Elle essai de ramper sur le sol mais la main de l'abyssien se referme sur son visage pour la caresser et jouer avec sa chevelure, elle se laisse retomber contre la pierre gelée, désemparée.

Ludya - J'pourrai très bien continuer comme ça... Je suis loin d'en avoir finie avec toi. Mais tes employeurs vont tôt ou tard chercher à communiquer avec toi, où même essayer de te retrouver... ça m'étonne même qu'il n'y ait eu encore aucun renforts après t'avoir jetée seule à ma poursuite. Est ce qu'ils comptaient vraiment sur tes prouesses en solo pour m'attraper sans plan B ? J'peux juste pas le croire.

« Le pauvre » se dit elle. BIOGENIX était bien plus difficile à cerner, ce qu'il n'obtenaient pas par la violence, ses maîtres l'obtenaient par d'autres moyens, plus subtiles, plus cruels...

Soudain, la caverne se met à trembler, le vaisseau de l'alien rejoins son propriétaire. Irina ne trouve même pas la force de se retourner ou de fuir malgré l'évidence de son rapts par Ludya. Quand il s'éloigne d'elle pour ouvrir le sas de l’aéronef, Irina essai encore de ramper pour s'enfuir, mais ses jambes grandes écartés ne lui permettent pas de progresser dans la neige fondue.

Il revient et la saisie pour la relever, La jeune femme pousse un petit gémissement de douleur et de surprise, elle n'arrive plus à marcher tans son corps a été déformé pour le sexe et la baise d'alien bien membré. Elle boite douloureusement, Ludya la prend et l’allonge alors sur les épaules comme un guerrier saisissant sa prise de guerre.

Il la porte jusqu'au vaisseau et l'installe sur un ample fauteuil. Il la sangle, entièrement nue, pour ne pas qu'elle face quelque chose de dangereux pour s'enfuir pendant le vol.

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Puis il passe derrière son siège et commence à tirer des câbles.

Irina – [murmure] Que... qu'es ce que... qu'es ce que tu fais ?

Il commence à enfoncer le premier plug dans la prise à la base de son crâne. Irina sent son organisme commencer à se connecter à un flux de donnée incompréhensible et étranger, l’intelligence artificielle extraterrestre surdevelloppée de l’aéronef.

Irina – Agg ! Nan... je... huu !

Il vient de lui enfoncer le second plug. Elle écarquille grand les yeux et des symboles abyssiens commencent à défiler dans sa cornée. L'IA abyssienne du vaisseau à des milliers si ce n'est des millions d'années d'avance sur la technologie qui contrôle le cerveau d'Irina, ses pare-feu sont brisés en une fraction de seconde et l'esprit de la machine se repend dans son programme informatique.

Irina – Gueu.. Je... Sujet 2501... Non... Irina... je … suis... Irina... Pitié... stop... st

Il branche les deux derniers plug dans le crâne d'Irina et l'IA extraterrestre s'enfonce enfin totalement dans la tête d'Irina. La belle cyborg se crispe quelques secondes et gémit, puis ses yeux se révulsent légèrement, sa bouche s'ouvre et sa langue sort comme si elle était en train d'avoir un orgasme monumental, mais sans que son corps ne réagisse.

Sur son ordinateur de poignet et ses moniteurs de bord, l'abyssien voit apparaître toute une interface de contrôle de la cyborg. Des systèmes de jauge avec curseur peuvent modeler sa sensibilité sexuelle, au plaisir comme à la douleur, sa facilité à jouir, dont elle peut être privée. Sa sensibilité émotionnelle et psychologique. D'autres permettent de provoquer une lactation et d'en modifier le débit. De réguler son sommeil au point de pouvoir totalement l'en priver. De gérer ses cycles menstruelles et ses ovulations. Enfin certains permettent de déconnecter certaines parties de son cerveau comme sa mémoire, sa volonté, sa personnalité. Même son QI et son intelligence peuvent être abaissée pour la rendre un peu idiote voir carrément stupide.

En bref, Lydia comprend que par cet interface, il peut mener son combat contre sa volonté et la transformer en ce qu'il désir...

Les opportunités sans limite que lui offrent cette interface chasse sa fatigue grandissante et peuple ses penses de rêves et de fantasmes inavoués.[/b]

Ludya

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 29 jeudi 20 octobre 2016, 08:50:05

Les yeux de Ludya se mirent à briller devant les données décompilées et décryptées défilant sur la console du tableau de bord... Il avait juste... accès à tout ! j'veux dire... Vraiment tout ! Cette machine de guerre envoyée pour le capturer... Avait ouvert toutes les portes des technologies embarquées en elle... Y avait un brevet, là... Biogénix ?! Il ne s'y attarda pas très longtemps car, n'en étant pas encore certain, si il lisait juste les titres des tables de base de données il pouvait juste... faire... exactement ce qu'il à envie à... à tous les niveaux... Un accès super administrateur à tout... toute la génétique de la cyborg... De son cerveau, à sa psyché, jusqu'a son adn... Wow... Juste... woaw...

Ludya cligna des yeux, en se rasseyant dans son siège de pilote... détournant les yeux de la console pour regarder Irina derrière lui... Puis s'afaler plus profondément encore dans son siège... un peu choqué en ayant encore du mal à réaliser l'étendue des possibilités... En fait si... il réalisait... Mais... n'y croyait juste pas... Ici, sur terre ? Quelqu'un était capable de faire ça ? C'est comme s'il venait de découvrir le jouet de noêl qu'il à jamais rêvé d'avoir... Son cerveau n'a jamais été aussi surexcité... Fallait vite qu'ils se rendent au labo du secteur 8 ! Il était si pressé qu'il aurait même aimé activer le prototype de saut spatio vectoriel pour s'y rendre mais ça se serait révélé très dangereux dans l'atmosphère terrestre puis dieu sait où il attérirait encore... Non... non là il fallait qu'il prenne son mal en patience, hihi... ça en vallait trop la peine !

Si ses ordinateurs de bord étaient capables d'avoir forcé le cryptage ils n'étaient pas assez puissants pour tout recrypter et recompiler, de plus il voulait ajouter des touches très très personnelles à Irina, hihi... Il allait en faire une super ennemie ! Où une super alliée... Où les deux ? Puis un truc lui traversa l'esprit... Rougissant tout plein en n'osant pas croire qu'il pouvait y rêver... Il se sentit tout chose... Est ce que... par le plus grand des hasards... Il pourrait... Ludya regardait sa main... Puis se regarda dans le reflet du cockpit du vaisseau.

Vite, fallait arriver vite ! Fallait qu'il essaye pleins d'trucs et résolve des tas et des tas de problèmes !! C'était p'têt possible ! Même s'il était fatigué il trouverait l'énergie de faire ça, même s'il fallait qu'il y passe toute sa pitin d'nuit et le jour d'après ! hihi !

Ils arrivèrent aux abords d'un gigantesque barrage abandonné, une plateforme servant autrefois à l'aterrissage d'hélicoptère s'ouvrir en deux pour laisser le vaisseau pénétrer le complexe, il emmena Irina dans une salle remplie de super ordinateurs quantiques mis au point par les scientifiques qui travaillaient ici autrefois pour étudier Ludya, L'abyssian les avaient modifiés, rajoutés tout un tas de VRM sur les pcb et du refroidissement à l'azote pour overclock chaque proco, et renforcé les composants en ayant parcouru l'espace à la recherche de minerais très rares les plus supraconducteurs qui puisse exister !  Il créa aussi ses propres interpreters entre chaque unités de calcul pour daisy chain des dizaines de milliers de processeurs fonctionnant comme une seule et unique entité, on était pas loin d'une puissance équivalente au quart du potentiel "estimé" du computing de l'overmind.

Puis Ludya se mit à processer les données, mais surtout, à tout vérifier, lire un petit peu en diagonale le code et modifier par ci, par là certaines choses et vérifier si des modifications apparentes se produisaient chez Irina, Il y avait vraiment énormément de données et la structure des tables et du codage était exempte de commentaires et pour ne faire aucune bêtises il testait une chose après l'autre, notait son effet, et dessina un énorme plan sur un tableau qui n'était autre que le corps d'irina, ce plan qui serait bientôt rempli de tout un tas d'annotations et de post it... ça lui prit toute la nuit jusqu'au petit matin pour être sûr d'avoir compris comment tout marche, et, malgré son intelligence d'abyssian il avait tout de même encore besoin de ses anotations et de ses repères pour double check et vérifier à deux, ou trois fois en pointant sur son écran, puis pointant sur le tableau, il avait du utiliser une bonne cinquantaine de couleurs différentes sur son tableau et une légende au moins aussi longue accrochée sur une dizaine d'A4 sous le tableau.

A mi journée... Il commençait alors à rêver de ce qu'il voulait faire d'elle... Commençant à pianoter... S'en mordant le bout des doigts entre deux lignes de code... Souriant et rougissant parfois... Si l'on voulait faire simple... Ludya voulait une maman... Mais pas n'importe quelle maman... Il voulait aussi une très jolie maman, totalement obsédée par lui... Une maman Abyssianne qui aurait traversé tous les enfers pour le retrouver ! Oui... Une guerrière redoutable... Capable de détruire des élites formiens d'un coup de poing puissant ! Qui aurait été enfermée dans l'enfer Abyssian après la destruction de la planète abyssia et aurait du devenir la conquérante de cet enfer pour parvenir à en sortir, en n'ayant qu'une seule envie, retrouvée son Ludya ! hihi.. Elle aurait été un p'tit peue corrompue par son passage chez les formiens, et pis par son séjour dans une zone phantome qui figure d'enfer Abyssien, comme si elle avait du passer plusieurs millénaires en enfer... Se languissant de son Ludya... Il imaginait tout ça mais, il le codait aussi tout en fantasmant cette créature... Une abyssianne... Démoniaque... Tigresse infernale, maman guerrière de l'espace n'obsédée tout plein par son abyssian.. Ludya était très fatigué, et y a des choses qui ont du glisser... Des lignes de codes écrites lorsqu'il était dans un état de fatigue avancé, mais surtout, trop... beaucoup trop lancé par son imagination et ses envies, qui n'étaient en général pas très raisonnables... Hmmm... une impératrice... Une amante super dominante et affectueuse qui me garderait tout pour elle.. hihi... Elle m'adorerait et s'occuperait de moi comme une tigresse s'occupant de son chaton préférée.. Mais elle aurait aussi une grande partie démoniaque qui aime faire des trucs très pervers ! Ah ouie... mais shhht... faut pas le dire trop haut. Elle serait super forte ! Même... Même plus puissante encore que moi ! Comme ça elle pourrait me gronder... Et pourrait m'obliger à faire ce qu'elle exige où ce qu'elle désire... Elle aurait à la fois l'air d'une guerrière et d'une shamane, où une sorcière... enfin y aurait un truc un peu mystique qui se dégage d'elle... Oui ? Non... Hm... Sais plus... hihi.. J'veux juste une très vilaine maman parce que j'ai envie d'être puni ? Parce que j'ai l'impression que j'ai été si vilain qu'elle m'a abandonnée... A moins que ça soit ma faute, qu'elle se soit fait damner... Où je veux une trrrès vilaine maman qui adore punir son Ludya parce que ça fait des millénaires qu'elle se caresse sans avoir jamais mis la main sur son petit chaton ? Hanlala ça va pas moi... Pourquoi j'pense à des trucs pareils... En tout cas... Elle doit avoir très envie d'explorer l'espace avec moi et m'accompagner et à du mal à résistée à ses pulsions quand elles l'assaillent. Elle aurait une transformation ? Oh ouais ! Elle aurait une apparence de base, puis une transformation démoniaque ! hihi...

Et ça dura des heures comme ça, coder ceci, coder celà, effacer, revenir en arrière et changer d'idée... Des idées, des fantasmes plus farfelus les uns que les autres sans jamais vraiment parvenir à se décider, puis quand il réalisa la créature qu'il était en train de créer, il n'était plus si sûr de vouloir mettre en oeuvre toutes ces lignes de code... En plus ça allait corrompre Irina avec des brins d'adn de Ludya et qui sait si elle y survivrait... Il était si fatigué... ses yeux mis clos devant l'écran et le clavier... Arrivait plus à suivre ce qui était sur l'écran... une nuit et une journée complète et une seconde nuit à coder... Il avait presque peur de ce qu'il était en train de faire sur la fin...

Oh... Et... Elle s'appellera... Tygralenia ! Où... Tygralirina... hihi... Où p'têtre Tygrabyssia ? Où encore... J'suis fatigué... j'sais pu...

Puis au moment où il décida de tout effacer pour recommencer, il tomba à pic ! sa tête heurta le clavier et il se mit à ronfleronronner... Dormant d'un profond sommeil... Malheureusement pour lui, la séquence avait été activée ! Sans qu'il ne puisse à tête reposée rectifier d'éventuelles exagérations où trucs qu'il avait introduits en ayant plus du touw, mais plus du touw l'esprit clair, la fatigue l'ayant fait complètement délirer sur certains éléments...

Le cryptage et la recompilation était en route... Ludya avait l'air de dormir si paisiblement sur le clavier... Tandis qu'Irina subissait des décompositions et recompositions cellulaires, son corps changeait... Sa psyché se faisait envahir, posséder, dominer et modeler... Des claquements de cartilage... de chair déchirée, élonguée, guérie puis changeant de densité... Ses respirations devinrent plus rauques, félines, voire démoniaques... Sa voix se dédoublant comme une créature possédée... Elle n'avait aucune échappatoire, elle était solidement ferrée sur une table en acier... Mais lorsqu'elle aurait atteint les derniers stades de sa transformation l'acier lui semblera aussi contraignant qu'une feuille de papier autour de ses poignets et ses chevilles...

Elle atteindra probablement les deux mètres de haut... Ses pupilles s'éfilèrent pour devenir tranchantes, prédatrices, ses cils s'allongèrent et quelques fins crocs lui poussèrent... Sa chevelure s'allongea, bien au delà de la limite des fesses, et elle réalisa bientôt que des tresses plus épaisses, organiques, poussaient depuis son crâne, si leur apparence trompeuse pouvaient les faire passer pour d'épais boudins de cheveux tressés finis en plumeau au niveau de ses pieds, chacune de ses tresses étaient parfaitement mobiles, comme de longues tentacules possédant chacun une force redoutable. Sa poitrine évolua aussi, amplifiée, généreuse mais aussi d'une texture plus cuireuse... plus dense... tenant drôlement bien en place pour son poids du à une densité charnelle forte et ferme, Des muscles de gladiatrices amazonienne se mirent à se développer et renforcer la férocité de sa silhouette entre le délicieusement grotesque et la volupté d'une puissance féminine que l'on devine écrasante... Une queue féline commença à lui pousser, mais en chemin, quelques lignes de codes débiles ont du se perdre et les rayures qu'elle possède sont faites d'écailles, à la fin de cette épaisse queue musculeuse, le début d'un corps massif de cobra pourvu d'une tête en forme de... gland.. à langue fourchue ? Peut être que quelques idées absurdes ont du glisser de ses doigts, où qu'il s'agissait d'une erreur survenue durant la recompilation d'adn...

Après tout ses envies se sont mélangées à un moment... Il voulait aussi d'une super ennemie qui l'adore, étrange non ? Où, une super ennemie démoniaque maman, lui imputant des souvenirs tel que : il l'aurait déjà affrontée à plusieurs reprises, ils seraient rivaux depuis longtemps et elle n'a eu de cesse de le traquer à travers l'univers, elle l'aurait capturé une fois sur sa planète vaisseau, mis à l'épreuve en l'enfermant dans une arène en le laissant affrontée des monstres qu'elle à capturé aux quatres coins de la galaxie... Pis de combat en combats, elle est progressivement tombée n'amoureuse de lui ! Ben ouie... Elle le trouvait mignon mais juste bon à le donner à manger à ses monstres ! Et de fil en aiguille, s'est découvert des sentiments pour lui à chaque fois qu'il risquait sa peauw, où se faisait frapper dessus, ses griffes de belle tigresse féroce se resseraient sur la fin de l'accoudoir de son siège en s'inquiétant de plus en plus et se découvrant des sentiments pour lui ! hihi... Oui il avait vraiment mis de tout et de n'importe quoi dans le code, Des envies... Des situations rêvées, fantasmées... Mais bon c'était un vrai bordel et il aurait du passer au moins encore deux jours à tout mettre en ordre...
« Modifié: jeudi 18 mai 2017, 17:32:05 par Ludya »


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