Un Impondérable [Irina Tarkovskaya - Gabriel Valmy]

Elle tenta de se redresser, mais avec les poignets attachés comme ils l'étaient, il fallait reconnaître que ce n'était pas de la tarte !  Même si vu comment elle jouissait à répétition , il était persuadé qu'elle adorerait la crème allant avec la tarte ! En tout cas, une chose était certaine, il en avait mal à la main à force de tenter de percer la barrière de ses lèvres intimes…. Il devrait peut être y enfoncer un couteau, cela lui permettrait de lui faire comprendre qu'elle avait tout intérêt à se laisser aller… Il aviserait…

Malgré les jouissances à répétition, elle semblait se complaire dans le déni, pourtant, à chaque fois qu'il frappait ou mordait, c'était la jouissance assurée. Était-ce normal qu'elle refuse de reconnaître une vérité qui coulait littéralement entre ses cuisses ? Putain et cet étau qui lui faisait mal aux doigts… l'un avec l'autre, il avouait bien volontiers que cela ne lui plaisait pas des masses… mais soit ! Il en faisait son affaire, il allait lui montrer, et lui faire reconnaître qu'elle n'était qu'une salope qui en voulait toujours plus !

Et alors qu'il allait tenter un bon passage en force, il sentit les cuisses de la jeune femme s'enrouler autour de son cou. Il sentit la pression et commença à suffoquer…. Il tenta de lui écarter les cuisses… mais elle était forte, la bougresse… il n'était pas capable de lui faire lâcher son étreinte… il tenta à nouveau alors qu'il sentait que l'air commençait à lui manquer, et alors il fit la seule chose qu'il pouvait faire.

Il mordit à pleine dents et aussi fort qu'il put dans son clitoris alors qu'il déchargeait une dose assez colossale d'électricité dans le corps de la jeune femme… il n'avait de toute manière plus que cela :  soit il y passait, soit il n'y passait pas, mais là, c'était le grand final, ça passait ou ça cassait…, comme au cas où il envoya une nouvelle décharge électrique, plus concentré sur ses terminaison musculaire, comme pour la forcer à le lâcher. Il suffoquait. Enfin, il parvint, grâce à cette nouvelle décharge, à la décrocher de lui.

Il toussa plusieurs fois crachant des mots un peu incompréhensibles par moment, mais il était question des obscénités habituelles… donc il n'y avait rien de particulièrement détonnant depuis la rencontre entre les deux êtres… Et comme si elle ne méritait que cela, il se jucha à califourchon sur son ventre et lui envoya plusieurs allers-retours de gifles… elle ne les avait pas volé…

« Putain de garce, salope de merde, tu vas voir ce que tu vas prendre ! »

Il se releva et commença, en lui tenant les chevilles pour les écarter les cuisses à lui envoyer de bons coups de pieds dans l'intimité…

« Dis le salope, dis le que tu ne mérite que ça ! »

Il commençait à s'énerver...

Le courant qui parcoure son corps et les décharges d'endorphine que lui a provoquée la morsure de Gabriel la laisse toute pantelante, à la limite de l'inconscience.
Elle sourit presque en pensant que sa dernière heure est arrivée alors qu'elle sent son ennemi la frapper sans arrêt, sans le soutien de ses implants, il finirait pas la tuer.
Ses organes génitaux, hyper vascularisés par les chirurgiens de BIOGENIX finirait par saigner sous les coups, et l’hémorragie l'emporterait en quelques minutes.
Mais elle n'a pas peur, elle ne sent presque rien dans cet état d'évanouissement. Peut être es ce la mort qu'elle espère tans depuis quatre longues années qui se présente enfin à elle.

Gabriel arrêta de frapper en voyant qu'elle était complètement ailleurs, ou presque. En effet, elle semblait pas loin de l'inconscience. Or, c'était la dernière chose que Gabriel voulait qu'elle rende les armes, d'une certaine manière, qu'elle reconnaisse sa faiblesse, ses jouissances successives et qu'elle en voulait d'autres de sa part. Mais il ne pouvait le faire sans que la jeune femme soit consciente. Aussi, il arrêta et se rapprocha de son visage pour lui mettre quelques tartes bien sentie, quoique plutôt douces comparées au reste.

« Allez, reste avec nous poupée, ce serait con alors qu'au final, j'ai même pas joué avec ma bistouquette ! »

Il lui sourit avant de lui masser l'un des nibards, moins fort qu'avant, puis, il se jucha sur son abdomen et commença à  se masturber entre ses ses seins cyclopéens. IL ne se gênait pas un seul instant, car c'était toujours ainsi avec gabriel, encore plus quand la nana était attachée ! Il avait saisit entre ses doigts les seins de la jeune femme pour les comprimer contre sa verge qu'il faisait aller et venir entre eux. Sans lubrifiant, ça frottait pas mal, mais tant pis…. Il lui mordillait les pointes de chair  en donnant des coups de reins…

« Putain, c'est pas mal, même si ça manque de lubrifiant et je ne vais pas chercher à te la foutre dans la bouche, car tu serais foutue de la mordre jusqu'à l'arracher, alors je vais pas prendre de risques ! »

Il lui mit une claque sur la cuisse avant de continuer jusqu'à jouir à cet endroit, atteignant tant son cou que son visage de longues giclées de sperme chaud…. Et la regarder, comme ça, le visage souillé… il se redressa et essya les restes qui étaient toujours sur sa verge sur la joue de la jeune femme avant de retourner vers les cuisses… il approcha sa main de son intimité.

« Bon, allez, on va renteter un coup... »

Il n'y fourra pas un doigt ou deux mais il y plaça son poing, dans l'optique de le lui enfoncer entre les cuisses.

« Accroche-toi ! »

Il commença à forcer, mais avec tant de mouille comme lubrifiant, ça devrait passer. Difficilement, douloureusement, mais ça devrait le faire...

Les claques et l'étrange sensation que Gabriel provoque en se masturbant entre ses seins commencent à faire descendre Irina de l'état onirique vers lequel elle s'était élevée. Elle commence à dodeliner de la tête, lentement de gauche à droite en gémissant, elle cille doucement des yeux comme la belle aux bois dormants.

Puis elle sent le contact chaud et visqueux de la semence de Gabriel qui se repend entre ses seins, sur sa poitrine, sur son visage, qui vient salir sa chevelure et lubrifier ses lèvres. Elle commence a ouvrir les yeux, pendant un instant, elle à oublié où elle est et pourquoi, elle a même oubliée tout ce qui lui est arrivée ces dernières années. Elle reprend conscience en tant qu' Irina, chef rebelle de Tekhos et non le [Sujet 2501].

Elle essaie de s'essuyer le visage mais elle sent que ses poignets sont menottés. Et soudain une douleur violente commence à germer entre ses reins.

Irina - huuuu !

Elle redresse la tête, parfaitement consciente, son esprit se frappe à l'horreur de la situation alors qu'elle voit et qu'elle sent le poing de son tortionnaire s'enfoncer petit à petit entre ses lèvres pubiennes, forçant ses muscles vaginaux, frottant au passage son clitoris hypertrophié.
Elle pousse un long grognement de plaisir et de douleur alors qu'une avalanche de cyprine embourbe la main du bad cop et en facilite la pénétration.
Il s'enfonce à grand peine, la main prise dans un étau de chaire brulante qui se contracte à plusieurs reprises.

La tête d' Irina bascule en arrière et elle pousse de longs cries de jouissance mêlés de souffrance alors qu'il continue de s’immiscer brutalement en elle. Plus il s'enfonce et plus elle écarte les jambes dans l'espoir de diminuer la douleur de son assaut, mais rien n'y fait, au point qu'elle en vienne presque à faire un grand écart, les jambes et les pieds tendus à l'extrême par l'orgasme.

Le jeune homme regardait sa victime alors qu'il forçait du poing l'intimité de la jeune femme, ce n'était pas facile et on voyait les muscles de son bras se contracter, et de belles veines palpiter alors qu'il forçait le passage autant qu'il pouvait, sentant la force de résistance de la jeune femme qui était paradoxale vu le torrent de cyprine qui lui couvrait le bras… elle n'arrêtait pas comme si elle jouissait à répétition alors qu'il n'envoyait aucune décharge électrique pour le moment… piutaoin, mais quelle catin. IL retira sa main, agita les doigts un peu engourdis alors qu'il regardait à quel point  elle avait écarté les jambes… elle était souple comme une gymnaste dites donc ! Il sourit et eut une idée… Il  prit sa seconde paire de menottes, par terre et lui passa l'un des bracelets à la cheville et le rattacha à un barreau de lit au dessus de sa tête. Puis, il rabattit l'autre jambe et  l'attacha à l'autre bracelet au niveau de la cheville la laissant coincée ainsi, toute sa croupe exposée.

« Voilà un spectacle intéressant... »

Il sourit et lui effleura de ses doigts trempés de cyprine sa petite rosette anale qu'il commença à titiller doucement… il allait lui faire pareil dans ce trou, et ça allait être amusant, surtout quand il aurait un poing dans chaque… oui, c'était une idée, mais paupaul se sentirait quelque peu en reste, non ? Il sourit à cette idée. Tout venait à point à qui savait attendre…

Et alors qu'il continuait son jeu sur son anneau rectal, il força de son autre poing son intimité larmoyante pour commencer à forcer au rythme d'aller et retours effrénés de son poing comme si il lui martelait ses parois internes dans un rythme infernal.

« Allez, vas-y, continue à jouir, continue de te montrer aussi salope... »

Il entra un doigt dans son anus, forçant en cas de résistance. Alors qu'il calquait le rythme de son doigt qui allait et venait sur son poing. Il lui sourit et lui lança, goguenard.

« Et ben allez, tu vas finir par le dire oui, ou est-èce qu'il faut que je te tue à la tache, jusqu'à ce que tu n'aies plus la moindre eau dans le corps… allez, dis le que tu n'es qu'une salope qui ne mérites que cela ! Je n'aurai de cesse que tu le dise ! »

Quand il sort enfin sa main de son vagin, elle retombe inerte sur le matelas, plusieurs larmes coulent de ses yeux rivés au plafond, son corps et son esprit complètements brisés et épuisés par la jouissance et la douleur que lui avait infligé son tortionnaire. Devant ses yeux défilent ses nombreuses journées de calvaire entre les mains de BIOGENIX, toutes ces fois où quand ils avaient terminés, elle restait là pantelante, à attendre une mort qui ne venait jamais.

Puis l'horreur continue avec ingéniosité, Gabriel prend ses jambes inertes et les lui attache au dessus de la tête. Elle le regarde à nouveau et son visage s'empourpre. Elle se sentait si honteuse et en même temps si en colère d'être ainsi exposée à son regard lubrique, que ses yeux lançaient des promesses de mort douloureuses à chaque clignements d'yeux.

Elle le sent forcer maintenant contre les plis délicats de son anus et elle se cambre en avant dans l'espoir d'échapper à ce qu'il lui réserve.

Irina - Non ! Non pas ça ! haaaa !

Mais les menottes sont d'implacables mains qui la tiennent pendant que leur propriétaire commence à enfoncer un doigt tout entière dans son anus. Elle force au début, pour lui résister, mais la cyprine sur ses doigts, qui dégouline sans cesse de sa vulve violentée, lubrifie le passage et aide Gabriel à entrer petit à petit.

Ses hanches se cambrent d'avant en arrière pendant que sa tête frappe contre le matelas, puis revient pour le voir s'enfoncer toujours plus loin en elle, puis ressortir, puis revenir. Elle devient folle et hurle.

Irina - Non... oui... arrêtez ! Je vais te tuer... je... je ... je viens...

Elle se cambre puissamment en arrière et Gabriel sent d'abord sa main se faire écraser entre les muscles vaginaux de la cyborg, puis le contact chaud et visqueux de la cyprine qui jaillie sur son visage.

IL continuait ainsi, malgré ses protestations, oui, elle ne voulait pas qu'il touche à son cul, trop tard !  Il lui ramonait du doigt le fondement alors qu'il continuait ses vas et viens de son poing dans son intimité, comme si elle était capable de supporter toujours plus. Il lui sourit alors qu'il la voyait se débattre et tenter d'esquiver les pénétrations intempestives de ses doigts et ses mains… il sourit alors qu'elle reprenait la parole, balbutiante car elle était incapable de se contrôler…

Il regarda la jeune femme et sursauta quand il sentit la jeune femme jouir, lui envoyant toute la cyprine au visage. Encore une jouissance… et encore en mode fontaine… putain…. Il soupira et regarda la jeune femme et lui caressa la cuisse avant de lui mettre une claque sur celle-ci. Puis, il lui saisit le croupier et le massa avec force, arrêtant toute intromission, il se rapprocha du visage, visible entre les jambes de la ninja et lui cracha au visage avant de finalement lui mordre les mollets, puis les fesses et enfin, il cracha sur sa rosette

« Regarde dans quel état je suis, ma salope… je crois que je vais pas mal m'éclater avec toi, tu jouis pour un oui ou un non,  comme une putain bien dressée ! »

Il lui sourit et lui enfonça deux doigts d'un coup sec dans l'anus alors qu'il lui maltraita le clito avec plaisir et sadisme en même temps, lui ramonant l'anus avec force et violence sans la moindre retenue. Il enfila peu de temps après un troisième doigt sans jamais s'embêter à ralentir. Il lui sourit et continua alors. Sans ménager.

« Allez, vas-y, dis le tu veux continuer à jouir comme ça ! Vas-y, allez, dis le et je te jure plus d'orgasmes que tu en as jamais eu ! Je te le jure ! »

Il lui promettait une belle récompense, non ? Aussi, qu'elle le dise, qu'elle le dise ou alors il retirait les doigts pour tout entrer  d'un seul coup, le poing et il lui enverrait sans ménagement un poing dans le cul à lui détraquer la taille du fion…

« Allez, magne salope ou c'est le poing direct dedans et essaye d'imaginer les deux poingds en toi, l'un dans ta chatte, l'autre dans ton cul, ou les deux dans ton cul, si tu cherche la merde en refusant de faire ce que je te dis ! »

Il lui mit une violente claque sur le cul avant de faire un vas et viens plus brutal que les autres...

Ce mâle stupide ne comprenait pas tout ce que cette souffrance et cette jouissance représentait pour elle. C'était un horrible retour en arrière, une descente vers ses souvenirs les plus atroces. La captivité, les violes, la torture, les scalpels des chirurgiens, les injections des médecins qui la rendait folle et docile. Elle revoyait toutes les fois où elle s'était défendue comme une rebelle et qu'il l'avait faite souffrir pour ça, comme Gabriel le faisait maintenant, mais jamais, non jamais elle n'avait cédée, elle aurait préférée mourir.

[Protocole de survie numéro 210 activé: empêcher actes du sujet 2501 de provoquer sa propre mort.]
[Injection du sérum expérimental B69 du Docteur Tamashi]

Le souvenir de l'instant fatidique lui renvient, cette instant où ils avaient trouvés. Cet instant où elle avait flanchée. Elle ressent encore le contact de l'acier froid de la seringue lui perforer le bras, le liquide sirupeux parcourir ses veines et remonter au cerveau, la sensation incroyable de sa libido qui explose. Et au comble de l'horreur elle se revoit tremblante et fiévreuse, s'offrir à eux sans retenue ni entraves en n'en demandant plus, toujours plus.

Toujours perdue dans son douloureux souvenir, les traits de Gabriel se fondent en ceux du scientifique fou qui l'avait vaincue et fait d'elle une nymphomane avec son traitement hormonale. Et elle lui hurle:

Irina - Oui ! Oui docteur Tamashi ! Donnez moi, donnez moi plus ! Faite moi jouir !

La voir ainsi soumise à lui, et reconnaissant enfin qu'elle en voulait plus était parfait, ou presque. En effet, il ne connaissait pas ce faleux docteur Tamashi, mais ce n'était pas Gabriel, et d'un seul coup, l'avoir entendu jouir ainsi et réclamer davantage de jouissance était moins grisante qu'il ne l'aurait souhaité… son ego en avait pris un sacré coup… un coup qu'il n'était pas près d'oublier...

Sortant le poing de son intimité, le ripoux fit bouger ses doigts pour les dégourdir avant d'approcher son visage du sien. Il regarda les yeux de la jeune femme, comme pour s'y admirer, et il lui cracha au visage avant de lui mettre une claque sur son ventre plat, un petit bidon joliment musclé. Avant de descendre lui flatter la croupe, d'un œil d'expert.

« Je ne suis pas le docteur Tamashi, moi, c'est monsieur Gabriel ! Mais, c'est si gentiment demandé… »

Il prit un peu d'élan et se mit à enfoncer deux doigts dans son anus  alors qu'il laissait son intimité un peu plus tranquille, son autre main se mettant à se branler peu à peu, devant le spectacle de ce cul et cette moule trempée de plisir et d'envie… il lui sourit et lui mordilal les cuisses avant de passer à autre chose et approcher sa verge de son anus et la lui enfoncer dun coup sec. IL avait bien préparé le terrain avec ses doigts et avec le torrent de mouille, cela entrait comme dans du beurre.

Il commença de puisants vas et viens, brutaux, même, par moments...

Le puissant liquide mutagène se repend dans les veines de la cyborg et réveille ses pulsions nymphomanes. La souffrance est bien présente mais elle commence à se transformer et fusionner avec le plaisir.  Irina garde la tête relevée entre ses deux bras liées au barreaux du lit, elle le regarde pousser en elle, les yeux écarquillé et hagard.

Irina - Ho ! Ho ! Haa !

Elle pousse des petits cris de gorge, court et puissant alors qu'elle ne cesse de recevoir petit piques orgasmiques à chacun de ses coups de reins qu'il donne entre ses jambes écartés à la limite du grand écart. Gabriel sent l' anus d' Irina se contracter fermement autour de sa queue gonflée et décupler son propre plaisir. La cyprine que sa vulve en feu sécrète en abondance coule sur sa lance de chaire et la lubrifie pour faciliter d'autant plus ses vas et viens.

A plusieurs reprise, il la sent se contracter et jouir, mais chose surprenante, la fréquence de ses orgasmes est extrêmement rapprochée et régulière et à chaque fois il la sent faiblir un peu plus et s'abandonner à son tortionnaire. Ses yeux, jusqu'ici défiants ou hagards, cille, se plissent et se ferment à moitié pour le regarder comme une chatte en chaleur. Elle ouvre grand la bouche et sa langue en sort de manière impudique, frétillante à chaque coup de reins.

Ses cris n'étaient rien, rien comparé à ce qui se passait plus bas. En effet, au fur et à mesure où il lui défonçait le derrière, il la voyait jouir à intervalle régulier, trops réguliers, même… ce n'était même plus de la nymphomanie, là c'était carrément de l'aberration, elle jouissait tellement qu'il avait l'impression de n'être qu'une bonne excuse pour elle… et c'était vexant, très vexant…

Profondément inséré dans son cul bien serré comme si il cherchait à s'adapter pour être le plus petit possible autour de la verge du joli blond et rester aussi serrée, comme si elle tenait à ce qu'il finisse par lui jouir entre les miches tant il y était bien ancré…. Il sourit à cette pensée. Oui, ce serait sans doute possible de faire cela, lui bourrer le cul de foutre et il continuerait en allant dans son minou et finirait par lui remplir la bouche… oui, vu son état, elle ne serait pas en mesure de le mordre, n'est-ce pas ! IL lui sourit et continua de lui ramoner le fondement sans le moindre ménagement, lui mettant de violentes fessées régulièrement.

« Tiens ma salope, prends-ça ! »

Il continua ainsi jusqu'à jouir à l'intérieur de son cul, déversant ses giclées chaudes dans son ventre sans la moindre hésitation et essuyer les dernières gouttes sur ses fesses, avant de lui mettre une violente fessée….

« Tu aimerais goûter au foutre qui te rempli, hein ! »

Il força son anus avec trois doigts pour les tremper de semence bien chaude et lui enfonça les doigts dans la bouche, comme pour aller toucher sa glotte...

A ce stade elle ne crie plus mais feule comme une panthère en pleine accouplement, en le regardant toujours de ses yeux plein de vice et de satisfaction. Elle le sent encore aller et venir, aller et venir, chaque claque qu'il lui donne lui arrache encore de petit hoquets de douleur et fait se contracter plus fort son anus sur sa verge comprimée.

Puis elle le sent gonfler en elle et cracher sa semence et là tout son corps se pâme, ses seins gonflent encore, sa peau devient luisante de sueur, Irina semble s'ouvre toute entière comme une fleure. Elle se sent encore plus femme en cet instant et jouis à nouveau, éprouvant une satisfaction primaire à se faire emplir par un mâle dominant qui l' a vaincue. Elle sent son sperme brulant se déverser spasme après spasme dans son ventre, se délectant des bruits de gorge de son dominant alors qu'il se vide en elle.

Quand il force son anus, un flot de sperme en fuit et se repend sur le matelas pourri de la planque. Puis il lui enfonce profondément les doigts dans la bouches de la cyborg. Mais au lieux de les lui mordre, Irina, totalement submergée par sa nature nymphomane, les lui lèche.

A chaque claque sur son fessier, il avait senti cette contraction autoyur de sa verge… il avait trouvé amusant de la sentir aussi serrée alors qu'elle était aussi nymphomane… peut être était-ce juste une manière pour elle de l'encourager, en tout cas, il était ravi de pouvoir observer le visage de la jeune femme qui était complètement sous l'emprise du plaisir…

Sentant la manière qu'elle avait de lécher et  sucer les doigts, il se dit qu'il pouvait très bien se taper sa gorge, non ? IL hésitait, et finalement, se juchant à califourchon sur les mollets de la jeune femme, il prit son courage à emux mains (mais pas que son courage) et commença à faire entrer dans la bouche de la jeune femme sa verge et, initiant des mouvements, vint lui saisir l'arrière de la tête et les cheveux pour la lui maintenir, voir même la redresser.

« Putain, vas-y, suce lèche et profite alors qu'elle sort de ton cul de déesse ! »

Il commença à donner des coups de rein, des coups de bassin assez solides , assez brutaux, sans la moindre hésitation. IL regarda la jeune femme alors qu'il sentait ses bourses claquer sur son menton. Il était béat. Putain ce que ça faisait du bien…. Parfois, il se contentait de se stopper en la bloquant en gorge profonde quelques secondes avant de reprendre sans la moindre tendresse.

Il lui mettait aussi des claques sur les cuisses de son autre main de temps à autres… comme si il cravachait sa monture, et il continuerait ainsi jusqu'à lui inonder la cavité buccale sans la moindre vergogne, sauf si bien sur, il y avait un imprévu...

Dans son état normal, Irina se serait d'abord félicitée de ne plus avoir besoin de manger ou de déféquer pour vivre. Puis elle lui aurait sectionnée le pénis d'un puissant coup de dent avant de le regarder se vider de son sang pour tout ce qu'il venait de lui faire.

Mais les implants avaient tans inondé son corps d' hormones et de drogues que toute raison avait déserté son esprit qui n'aspirait plus qu'à une chose: prendre du plaisir.

Devant ses yeux, le visage de Gabriel se mêlent toujours à celui d'un savant fou qui l'avait violée, et d'un client blond qui l'avait violée aussi... Et sous ces masques il n'est plus un "impondérable" de la mission, mais un individu supérieur à qui elle doiit respect et obéissance.

Toujours avec la même brutalité il commence à aller et venir dans sa  bouche, forçant sa gorge à se dilater à l’extrême pour qu'il puisse enfourner sa queue entière toute au fond. Elle le regarde avec des yeux de biche en chaleur, les lèvres fermement serrées sur sa hampe, comprimée entre sa langue musclée et son palais. Puis il la maintient ainsi, jusqu'à ce qu'elle commence à suffoquer et se débattre.
Il la relâche et recommence alors les vas et vient jusqu'à ce qu'enfin elle sente la queue de son tortionnaire se contracter et gonfler. Dans un dernier geste de défiance Irina essai de se libérer, de la sortir de sa bouche avant qu'elle ne vomisse sa semence.
Mais Gabriel la maintient fermement  en place.  Sa bite qui commence alors à cracher en saccade son sperme chaud et salé.

Irina - Gaaaagl !

Le flot gicle profondément en elle, il serpente dans sa gorge et inonde jusqu'à sa bouche qui, trop pleine, laisse son fluide s'échapper par ses narines et ses lèvres.

Plusieurs fois, alors qu'il la maintenait ainsi, Gabriel l'avait sentie se débattre pour respirer et pourtant sans chercher à le mordre, voilà qui était étrange. Et pourtant, il n'allait pas se plaindre… il prenait son pied ainsi, en la voyant se débattre, plus encore, en la sentant se débattre. Il lui malmenait les différents orifices tour à tour, et là, c'était le tour de sa bouche de se faire défoncer comme si il ne s'agissait que d'un vulgaire sac à foutre… elle avait tout de se la salope finie, de la chienne en chaleur et de la putain qui voulait se faire toujours plus défoncer…

D'ailleurs, en parlant de sac à foutre… il était si bien là bas dedans qu'il finit par y jouir, lui remplissant la gorge au point que cela ressorte par le nez et les lèvres autour de la queue. Il la retira de sa bouche pour admirer le spectacle et se mit à lui tapoter le visage avec sa verge, lui essuyant les dernières gouttes de foutre sur les paupières, ou sur les joues. IL était ravi de savoir qu'elle était  à ce point chienne…

IL lui sourit et lui gifla le clitoris.

« Bon, et sinon, je te prends par quel trou, salope ? Allez, réclame d'en avoir plus ! »

Il voulait qu'elle parle, qu'elle supplie de se faire prendre par l'un de ses trous. Il regarda la jeune femme alors qu'il se mettait à lui malmener le clito avec violence et sadisme en attendant sa réponse. Il voulait voir le foutre dégouliner au fur et à mesure qu'elle supplierait…

« Sinon je te mettrai mes deux poings dans le cul… En même temps... Je vais te bourrer pour que tu ne marche plus jamais droit... »