Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Do you like clowns ? [JigSex]

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Amélie

Humain(e)

Do you like clowns ? [JigSex]

samedi 23 août 2014, 02:50:44

La foire de Seikusu était fermée pour plusieurs mois, le temps que tous les manèges soient rénovés. Une fermeture annuelle, prévue de longue date. Amélie passait par là pour retourner chez elle... Si tant est qu’on pouvait appeler l’entrepôt abandonné d’une usine fermée de la zone industrielle du quartier de la Toussaint un « chez soi ». La jeune Française se promenait seule, portant une veste en cuir recouvrant son corps, et une minijupe noire moulante. Elle avançait rapidement, après avoir remonté toute une jetée menant de la plage à un club de bowling mal fréquenté. Elle avait ensuite rejoint la foire en passant par un endroit où le grillage était découpé, et filait à travers les allées abandonnées de la fête foraine.

*Brr... C’est vraiment creepy, cet endroit.*

La fête foraine ressemblait à un décor de film d’horreur quand elle était fermée. Des papiers volaient ici et là, poussées par le vent. Des bâches avaient été mises sur toutes les auto-tamponneuses, et il n’y avait aucun éclairage, rien du tout. Amélie avançait à l’aide de l’éclairage de la lune. Elle avait du aller jusqu’à la plage pour trouver de quoi s’acheter de la bonne bio’, et elle revenait maintenant chez elle. Elle ignorait si Zet’ serait là. Elle l’espérait, car dormir seule dans cet entrepôt était vraiment flippant, mais il était fréquent que Zetsu soit occupée ailleurs, tout comme Mishi. La jeune Française avait sa casquette vissée sur le crâne, et regarda autour d’elle en s’approchant d’une allée face à un palais des glaces. L’entrée était fermée par une herse métallique, et elle s’avança à nouveau, avec cette intense sensation que quelqu’un la suivait. Elle regardait autour d’elle, nerveusement, mais sans voir personne.

Amélie se sermonna elle-même. Elle avait choisi de traverser la fête foraine car c’était un raccourci permettant de s’aventurer le long de ruelles et de petites rues louches où traînaient souvent des zonards. Il y en avait aussi à la foire, mais ils étaient moins nombreux, car, même en étant fermée, la foire était encore surveillée par une compagnie de sécurité. Zetsu avait expliqué à Amélie que la foire était dirigée par les Yakuzas, et elle leur rapportait plein d’argent. Ils devaient s’assurer qu’elle n’ait pas une mauvaise réputation, et, si certains squatteurs avaient la mauvaise idée de s’installer ici, ils venaient les déloger rapidement. Les Yakuzas de Seikusu, toujours selon Zet’, incarnaient le rôle traditionnel du crime organisé : la police de l’ombre. Elle avait des mauvais côtés, mais elle permettait aussi de réguler la société, d’éviter l’anarchie et le chaos par une dérégulation totale de la criminalité. Un mal nécessaire.

La Française avait un peu froid, et raffermit sa veste sur son corps. C’était un cadeau de Mishi, et, fort heureusement, elle n’était pas en rose fluo. Cependant, elle avait quand même l’impression de ressembler à une pute comme ça.

*Un de ces quatre, il faudra vraiment que je conserve un peu de mon fric pour acheter des fringues décentes...*

Elle dépensait tout son maigre fric dans cette saloperie de dope. Amélie avait presque envie de se maudire elle-même, mais... Et bien, c’était une pulsion irrésistible, trop forte pour qu’elle y résiste.

Et, pour l’heure, elle avait toujours le sentiment que quelqu’un la suivait.

DC d’Alice Korvander.

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JigSex

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 1 jeudi 28 août 2014, 11:40:40

Je souris à pleines dents depuis ma planque, les yeux rivés sur ma future victime. Elle conviendra parfaitement pour servir de première cobaye. Elle était jeune, attirante, mais trop farouche à cause d'une mauvaise expérience... Je ne peux la laisser dans cette situation trop longtemps. Je meurs d'envie de lui faire redécouvrir les plaisirs de la chair.

Elle entre dans une zone désaffectée... Seule... Parfait, c'était l'instant que j'attendais depuis un moment.

C'est le moment ! Vas-y !

T'es sûre de toi ?


Celui qui vient de me répondre, c'est Ateyu, un jeune policier qui ne reste pas insensible à mes charmes. J’ai réussi à lui faire promettre de m’aider pour cette jeune française, en échange de certains ‘’services’’, dont je lui ai donné un avant-goût avant le départ. Tout ce qu’il a à faire, c’est m’aider à la capturer vivante.

Oui j’en suis sûre ! Grouille-toi !

Il sort de notre cachette, toujours vêtu de son uniforme de policier. Je ne vais pas servir à grand-chose pour l’instant… Juste me contenter d’observer.

Il s’approche de ma proie, marchant rapidement dans son dos pour la rattraper. Elle ne se retourne que lorsqu’il est à 10 mètres d’elle… Il est assez silencieux sans en avoir l’air.
Je tends l’oreille pour tenter de percevoir leur conversation. J’entends des mots en anglais, comme je lui avait conseillé… Bien… Cette jeunette avait du mal avec le japonais d’après ce que mon enquête a fait ressortir.

Excusez-moi mademoiselle… Police de Seikusu. Vous vous trouvez actuellement dans une propriété privée.

Il essaye tant bien que mal de cacher sa nervosité dans sa voix. Après tout, il risque lui-même de gros ennuis si un membre de la compagnie de sécurité de la foire venait : la police n’avait pas vraiment le droit d’y venir sans une bonne raison. Mais il est prêt à prendre bien des risques pour moi ce cher Ateyu.

Dans la pénombre, j’entends bien leurs mots mais je ne peux voir que leurs silhouettes. Toutefois, je crois bien que lui vient de sortir son badge de police pour lui prouver son statut.

Comprenez-vous mon anglais mademoiselle ? Vous vous trouvez ici en illégalité. J’ai bien peur d’avoir à vous demander de me suivre.

Il ne m’avait moi-même pas donné son plan. Je me contente d’observer, curieuse de la manière dont il va s’y prendre.
« Modifié: dimanche 21 septembre 2014, 15:46:11 par JigSex »
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Amélie

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 2 vendredi 29 août 2014, 01:26:05

Amélie marchait rapidement, le long des allées. Les courants d’air frais la faisaient frissonner sur place, donnant à l’endroit une véritable ambiance de film d’horreur. Elle s’arrêta un peu devant la grande roue de Seikusu. Elle était si grande qu’on pouvait voir le temple shintoïste depuis la plus haute position. Quand Amélie vivait à Paris, elle se rappelait les fois où elle voyait la grande roue de la Foire du Trône. Le soir, elle était illuminée comme un feu d’artifice. Elle avait toujours aimé les foires pour ça. Une véritable explosion de couleurs, de vie, de joie, de hurlements pleins d’énergie, de bonne humeur, une sorte de synergie collective... Et, quand la foule disparaissait, cette absence de joie se faisait ressentir, donnant lieu à cette atmosphère désolée et triste.

*Brrr, c’est flippant... Tire-toi de là, Mél’!*

Elle s’avança un peu, jusqu’à s’approcher du carrousel, et l’observa, encore une fois plongée dans ses pensées. Elle revint à l’époque bénie de la Foire du Trône, quand elle était encore trop jeune pour se rendre compte que sa vie était à chier, un échec complet. Elle avait regardé le carrousel tourner, et elle avait grimpé sur un petit poney, gloussant joyeusement, sous le regard de sa famille d’adoption, en se disant que ce serait vachement romantique d’aller faire un tour de carrousel avec son amant. Elle était fleur bleue, à l’époque... Une putain de conne croyant encore à ces conneries de bonheur, aux vertus de l’amour. Tout ce que l’amour fraternel lui avait rapporté, c’était d’être violée, de finir dans une cave, et de fuir avec la carte bleue d’un maniaque sexuel pour se retrouver au Japon. Mis à part la Lune ou le Pôle Nord, elle ne voyait aucun endroit plus éloigné de Victor et de sa famille.

Le carrousel ne tournait pas, et des bâches bleues recouvraient tous les manèges. Lentement, Amélie s’en rapprochait, quand elle entendit du bruit dans son dos. Elle paniqua, et se retourna subitement, en voyant un agent de sécurité se rapprocher de lui... Avant de comprendre que c’était encore pire que ça.

*Merde, un sale keuf !*

Si jamais il voyait sa dope… Elle savait, ou le pensait, que les policiers n’avaient pas le droit de faire des fouilles corporelles comme ça, mais elle savait aussi, par expérience, qu’ils s’en foutaient, et le faisaient quand même. Et elle, en tant qu’étrangère, avec sa casquette rose, elle avait le profil type de la junkie qui errait dans les rues la nuit plutôt que d’être chez Papa et Maman, avec une peluche Barbie dans le lit, à pavoiser sur les cheveux blonds des mecs dans sa classe. Le mépris d’Amélie pour la « vie normale » ne faisait qu’illustrer sa tristesse, et son souhait de pouvoir, un jour, bénéficier d’une telle vie.

Le policier (Dieu seul ce qu’il foutait là !) lui expliqua qu’elle se trouva dans une propriété privée. Il venait de montrer sa carte. Amélie savait qu’on pouvait en fabriquer des fausses sur Internet. Certains amis de Zet’ se faisaient ainsi passer pour des flics pour entuber des « Moldus », le terme usité entre eux pour désigner tous les pigeons potentiels, les gens « Papa-et-Maman », avec une petite vie normale et chiante au possible. Des Moldus, quoi.

Le flic lui parlait en anglais, lui disant qu’elle allait devoir le suivre, et Amélie battit lentement en retraite.

« Euh... Je vous comprends, Monsieur l’agent, mais j’allais justement sortir... Je me dirige vers la sortie, là ! J’ai préféré passer par là pour retourner chez moi... Les rues ne sont pas sûres dans le coin, alors je me disais que ce serait plus... Plus prudent par ici. »

Il y avait quelque chose de suspect chez ce flic... Comme le fait qu’il débarque de nulle part, comme un putain de tueur psychopathe. Non... En fait, Amélie n’avait aucune foutue confiance en lui.

DC d’Alice Korvander.

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JigSex

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 3 vendredi 29 août 2014, 15:50:30

Elle semble faire quelques pas de recul. Je préfère faire le tour discrètement, au cas où elle s'enfuie, pouvoir l'attraper par surprise. Je garde un œil sur eux, profitant du silence ambiant pour pouvoir entendre en détails leur conversation.

Euh... Je vous comprends, Monsieur l’agent, mais j’allais justement sortir... Je me dirige vers la sortie, là ! J’ai préféré passer par là pour retourner chez moi... Les rues ne sont pas sûres dans le coin, alors je me disais que ce serait plus... Plus prudent par ici.

Elle ne veut définitivement pas du contrôle. Pas étonnant après tout, avec la drogue qu'elle vient d'acheter. Mais ça fait partie du plan d'Ateyu. Celui-ci est jeune et assez athlétique... En cas de poursuite, il devrait avoir l'avantage. A chaque pas qu'elle fait en arrière, lui en fait un en avant, ne laissant aucune distance augmenter entre eux.

Mademoiselle, merci de rester calme et de ne pas vous éloigner... Je ne vous ai accusé de rien, je veux juste voir vos papiers. Si vous n'avez rien à vous reproché de plus que d'être ici par effraction, je ne vais pas vous emprisonner pour ça, je vous raccompagnerai juste à la sortie la plus proche et vous oublierai. En revanche si vous commencez à tenter un délit de fuite...

Il prenait un ton menaçant à présent. C'était volontaire. Quoique si il espérait faire craquer la jeune fille, ça allait être dur... Entre sa certaine expérience avec la police liée à sa toxicomanie et le viol par sa propre famille, elle avait à présent une force mentale bien supérieure à n'importe quelle jeune lycéenne effarouchée comme on pouvait en trouver à la pelle.

Ecoutez... Réglons ça rapidement, d'accord ? Montrez-moi juste vos papiers, qu'on en finisse.

Je me tiens de l'autre côté à présent. J'ai la jeunette de dos, le visage d'Ateyu bien en visu. Je lui fais un léger signe de la main, qu'il comprenne que j'ai fait le tour et que je suis prête à intervenir.
Quant à elle... Je suis assez prêt d'elle, je la vois relativement bien malgré la pénombre ambiante. Une belle vue sur son derrière moulé par sa minijupe... Putain... Quel cul... J'en suis presque jalouse. Le mien était très similaire, avant que l'usure des scènes pornographiques extrêmes et celle du temps ne l’assouplisse et fasse de lui ce qu'il est à présent. Elle pourrait réellement faire ce qu'elle veut si elle osait s'en servir !
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Amélie

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 4 dimanche 31 août 2014, 01:49:06

Elle n’avait pas confiance en ce type. Ce « flic », s’il en était vraiment un, était sorti comme un beau diable de sa boîte. Il avait montré sa plaque, oui, mais Amélie savait, grâce à Zet’ et à ses arnaques multiples, qu’il était facile de se procurer des badges, des costumes policiers, et tout ce genre de choses. La seule manière certaine de s’assurer que le type en face de soi était vraiment un flic était d’accéder à la base de données des services de la police. Amélie n’avait absolument aucune confiance, et elle voyait bien que ce type était louche, qu’il ne voulait pas la laisser partir. Il demandait maintenant ses papiers, faisant un pas en avant à chaque fois qu’elle se reculait. Le corps d’Amélie se rapprochait du carrousel, et, en regardant autour d’elle, elle vit plusieurs manèges, dont le palais des glaces. Il n’y avait pas de portes pour le fermer, et elle savait qu’il serait plus rapide qu’elle.

Io répéta qu’il voulait voir ses papiers, et elle secoua la tête.

« Je... Je suis juste sortie voir une amie, c’est un crime ?! »

Maîtrisant difficilement le japonais, elle parlait en anglais, une langue qui était presque naturelle pour elle. Elle était en train d’apprendre le japonais, mais il fallait bien admettre que c’était une langue difficile, ardue, et complexe. Fort heureusement, les Japonais n’étaient pas aussi réfractaires que les Français sur le fait de savoir parler en anglais, et elle pouvait donc l’utiliser assez fréquemment sans que cela ne choque personne. Au pire, on la prenait pour une Américaine.

Il fallait qu’elle trouve un moyen de se débarrasser de ce mec, puis, par la suite, un nouvel itinéraire. La foire était trop dangereuse, il y avait trop de maniaques. Elle ferait mieux de prendre le bus, la prochaine fois. Amélie n’aimait pas trop les transports en commun, car, à partir d’une certaine heure, ils étaient mal fréquentés, mais c’était le mieux qu’elle puisse faire, si ça lui permettait d’éviter de tomber sur des psychopathes en plein milieu d’une foire abandonnée. Regardant autour d’elle, elle finit par obtempérer quand elle estima qu’il était temps qu’elle réagisse.

« Je les sors, okay ? Ils sont dans ma veste... »

Elle glissa sa main en elle, et attrapa un petit objet cylindrique. C’était une bombe anti agression, au poivre, un cadeau de Mishi, qu’Amélie devait toujours porter. Elle agit très rapidement, et pointa l’arme vers le visage du flic. Comme il avait veillé à rester proche d’elle, il n’avait aucune chance d’éviter l’impact... Et le spray se vaporisa sur ses yeux. N’écoutant que son courage, et sachant que l’erreur classique des victimes, dans les films d’horreur, était de détaler à toute allure sans s’assurer que leur adversaire soit neutralisé, elle leva son pied... Et frappa l’homme dans les joyeuses.

« Tiens, connard ! Les v’là mes papiers ! »

Amélie avait frappé fort. Elle était complètement terrorisée, et ignorait d’où lui était venu une telle force, mais l’homme tomba comme une pierre. La jeune Française se retourna ensuite, serrant dans sa main sa bombe au poivre, et se mit à détaler à toute allure, contournant le carrousel, sans voir, dans l’obscurité, que ce policier suspect avait un complice prêt à lui venir en renfort. Elle ne pensait qu’à sa survie, et au fait de rejoindre la rue. Là, ce type n’oserait plus la poursuivre. C’est tout ce qu’elle se disait.

DC d’Alice Korvander.

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JigSex

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 5 mardi 09 septembre 2014, 00:21:36

Je ne sais absolument pas si elle a ses papiers sur elle. Ce que je suis sûr, en revanche, c'est qu'elle possède quelque chose de beaucoup moins légal. Ateyu pourra en profiter pour prétendre vouloir faire un test de dépistage de stupéfiants et pourra lui administrer son somnifère. Encore fallait-il qu'elle se laisse faire, ce qui, heureusement pour moi, semble être le cas.

Je... Je suis juste sortie voir une amie, c’est un crime ?!

Sa voix est tremblante, hésitante... Elle est nerveuse. Non, mieux, elle a peur ! C'est encore mieux ! Je me lèche les babines d'extase de la voir ainsi tremblante en cherchant quelque chose dans son sac.

Je les sors, okay ? Ils sont dans ma veste...

Quelque chose cloche... Je me rends compte de la supercherie trop tard pour prévenir mon complice : c'est une bombe au poivre qu'elle vient de sortir. Je supposais qu'Ateyu la verrai venir, au lieu de ça il se prend le jet dans les yeux comme un bleu. Je me mords la lèvre, cette petite va peut-être m'échapper à cause de l'incompétence de ce type !

Je sais qu'elle fuira en ma direction : je m'apprête à bondir sur elle alors qu'elle passera près de moi. Et pourtant, au lieu de fuir directement, elle immobilise son agresseur en l'insultant au passage. Sexy, peureuse et maligne... Je commence à l'adorer, cette gamine. Et voilà maintenant qu'elle coure avec l'énergie du désespoir dans ma direction... Elle est tout de même terrorisée, c'est tout à mon avantage.

J'attends qu'elle passe près de moi, cachée derrière une voiture du carrousel. Des sens de chasseuse s'éveillent en moi alors qu'elle se rapproche... Jusqu'à ce que le moment vienne, que je ne laisse pas échapper : d'un bond, je jette l'une de mes jambes dans les siennes, sa vitesse se retournant alors contre elle pour la faire se vautrer au sol.

Je ne peux me retenir de rire lorsque je la vois ainsi s'effondrer au sol. Mon rire de sadisme s'intensifie lorsque je me jette de tout mon poids sur elle, tenant fermement d'une main le bras qui tenait sa bombe. Elle s'agite et se débat alors que mon corps est sur elle, la situation est divinement d'extase, mais je n'ai pas le temps de savourer la chose : il me faut la maitriser, et vite. Je me penche un peu pour lui chuchoter à l'oreille :

Chhh... Chhh... Calme-toi... Je t'en prie, je n'ai aucune intention de te faire mal en ce lieu.

C'est la vérité après tout. Je tourne à présent la tête derrière moi, pour rapeler mon balourd de complice :

Ramène-toi, larve ! Elle ne va pas s'endormir toute seule !
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Amélie

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 6 mercredi 10 septembre 2014, 01:47:27

Amélie avait réagi sur l’instinct, et ça avait plutôt bien marché. Si elle avait été un peu plus mâture, elle aurait sorti une réplique de film, un truc bien plus senti en prenant la pose, du genre : « Mets ce qui en reste dans un coton », en brandissant un doigt d’honneur... Ouais, ça aurait été la putain de classe ! Cependant, elle n’allait pas faire demi-tour pour fanfaronner. Pour l’heure, elle avait surtout une frousse de tous les diables, ce qui l’empêcha de voir la forme dissimulée dans l’ombre. Amélie vit la silhouette fondre trop sur elle, ses jambes heurtèrent quelque chose, et elle poussa un cri en perdant l’équilibre, s’affalant lourdement sur le sol.

La Française tomba fort heureusement en se réceptionnant sur l’épaule, et roula par terre. Si son visage avait heurté le bitume, elle aurait eu le nez brisé, et aurait probablement été sonnée. Au lieu de ça, elle avait juste mal à l’épaule, et comprit que ce maniaque avait un putain de complice. Dans l’obscurité, elle vit une silhouette avec un visage grimaçant rouge et blanc fondre sur elle.

« Au secours !! Au secours, quelqu’un !! »

Amélie était tellement paniquée qu’elle venait de parler en français. La femme ressemblait à ce monstre qu’elle avait vu quand elle était petite en regardant discrètement un film d’horreur, Grippe-Sous, le clown maléfique du film d’horreur adapté du roman de Stephen King, « Ça ». Elle l’avait trouvé tout simplement effrayant ! C’était une femme qui la maintenait, se mettant à rire.

« Ramène-toi, larve ! Elle ne va pas s'endormir toute seule ! » hurla alors la mystérieuse femme.

S’endormir ? Pour finir à nouveau dans une cave ?! Oh ça non ! Amélie avait déjà été assez impuissante comme ça. Dès que le clown se retourna, Amélie attaqua. Ses bras étaient immobilisés, son épaule gauche lui faisait mal, mais elle était en train d’appliquer un proverbe universel : la peur donne des ailes, et l’adrénaline atténue l’effet de la douleur. La Française se mit à lui cracher dans l’œil, et leva son genou, l’enfonçant dans l’intimité de la femme. Elle avança alors sa bouche, et réussit à mordre le pouce de l’une de ses mains immobilisant ses épaules. Amélie la repoussa, et se releva... Mais se reçut alors un formidable uppercut depuis le faux-flic qu’elle avait neutralisé. L’homme s’était vite remis sur pied, et son visage était dévoré par la rage.

Amélie vit trente-six chandelles et tomba sur le sol, puis se reçut un violent coup de pied dans le ventre, qui coupa sa respiration.

« Putain, tu m’as fait mal, salope ! Elle m’a à moitié explosé les couilles, cette pétasse ! »

Il la frappa à nouveau, et Amélie se mit à cracher du sang, en se tenant le ventre. Elle était sonnée, et, cette fois-ci, incapable de fuir. Elle ignorait ce que ces deux types lui voulaient, mais elle commençait à tourner de l’œil... Et finit par s’écrouler pour de bon, sombrant dans l’inconscience.

DC d’Alice Korvander.

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JigSex

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 7 dimanche 21 septembre 2014, 17:11:16

Je sens une montée de plaisir en moi rien en la tenant contre le sol, en mon pouvoir. Dans sa panique, elle hurle quelque chose en français. Je n'y comprends pas un mot, mais que c'est bon de l'entendre !

Beaucoup de comportements humains m’ont toujours fascinée. L’un d’entre eux est sans doute la montée d’énergie et de force que pouvait occasionner une montée de peur et de désespoir. J’ai directement assistée à bien des exemples, mais celui-ci en est peut-être le meilleur. Alors que je la pensais trop effrayée et trop faible pour s’échapper de mon étreinte, La voilà qui crache dans mon œil, frappe dans mon entrejambe et mord mon doigt… Coriace la gamine !

Tout ça suffit à me faire perdre l’équilibre et à me repousser. Elle aurait même peut-être réussi à reprendre sa course… SI Ateyu ne s’était pas déjà relevé et remonté à sa hauteur, pour la remettre au tapis d’un coup de poing empli de rage. Une fois celle-ci au sol, il lui enfonce son pied dans le ventre, toujours sous l’effet de la colère.

Putain, tu m’as fait mal, salope ! Elle m’a à moitié explosé les couilles, cette pétasse !

Bien que j’aurais préféré qu’il l’endorme comme convenu, avec le somnifère, je peux tolérer cet écart de conduite, les hommes ayant toujours beaucoup moins bien gérés la colère que moi. En revanche, je ne peux pas laisser passer le second coup de pied, qui en plus de ne pas être nécessaire fait cracher du sang à ma jeune victime. Aussi, lorsqu’il lève sa jambe une troisième fois pour frapper encore, je lui attrape avant qu’elle ne se lance sur sa cible, le faisant trébucher lui aussi.

Imbécile ! Je t’ai demandé de l’endormir, pas de l’assommer !

Je me jette sur elle, prenant délicatement sa tête entre mes mains. Elle est parfaitement inconsciente. Elle a l’air si fragile ainsi, un petit filet de sang coulant de ses lèvres. Je la caresse d’une main, chuchotant sans m’en rendre compte "Chhh... Pleure pas... C'est fini... Je vais prendre soin de toi maintenant..."

Ateyu, qui vient de m'entendre, rajoute, une main soutenant sa bourse douloureuse :

Ouais, ben en attendant, tu vas prendre soin de moi ! Je l'ai bien mérité, pour avoir attrapé cette pétasse !
Il regarde autour de lui, à la recherche de quelque chose. Son regard s'arrête sur une petite caravane dont les peintures de cirques sur les côtés s'étaient effrités avec le temps. Là-dedans ça sera parfait. Tu vas m'accompagner et payer ta part du marché. Ton acompte m'a laissé l'eau à la bouche.

C'est plutôt moi qui avais eu quelque chose à la bouche à la fin. Néanmoins, même si c'est effectivement ce que je lui avais promis, je n'ai aucune envie de tenir ma parole après l'incompétence dont il a fait preuve, et j'ai encore besoin de lui pour la suite, même si il ne le sait pas encore.

Pas tout de suite... J'ai une dernière chose à te demander avant. Ne fais pas cette tête, ça sera sans risque et ça devrait te plaire... Regarde !
Je retourne la jeune fille sur le ventre, pour baisser le haut de sa jupe et exhiber ses fesses à la vue de mon acolyte. Regarde ce cul, et ose me dire qu'il ne te fait pas envie... Tu n'aimerais pas l'avoir à ta disposition ?

Il regarde d'un œil intéressé pendant quelques secondes, avant de finalement admettre en ouvrant sa braguette :

C'est vrai que défoncer le cul d'une jeune française, c'est tentant... Allez, écarte-toi.


Pas si vite !
Je remonte sa jupe dans un sourire narquois. Pas ici, pas comme ça. Passe-moi le somnifère, je vais commencer par l'endormir pour de bon, aide moi à la transporter à mon repère et je vais t'expliquer ton rôle...



Je m’assois finalement sur mon siège, derrière mon poste de contrôle, muni de 8 écrans reliés à différentes caméras du sous-sol. Tout est enfin prêt.
Je regarde calmement la scène. Amélie est couchée sur le dos, bras et jambes en étoile de mer, des anneaux de métal fixant ses poignées et ses chevilles à la plaque de métal sur laquelle elle est couchée. Toutefois, je lui ai laissé ses vêtements, ça ne devrait pas changer grand-chose pour la suite.

En face d’elle, Ateyu est dans la même situation, hormis que les seules choses qui recouvrent son corps sont les bandeaux sur son visage : l’un sur les yeux l’empêchant de voir la scène, et un sur la bouche l’empêchant de parler.

Hormis eux, rien n’est présent dans la salle pour l’instant, hormis des petits trous sur le bas des murs et les caméras accrochées au plafond, fixant divers endroits de la scène. Certains font des plans d’ensembles, d’autres sont fixées sur des parties du corps des deux protagonistes, notamment les visages et les entrejambes. Celle fixée sur celui d’Amélie ne voit pas grand-chose à cause de sa jupe, en revanche celui d’Ateyu permet de distinguer en détails l’érection qu’il a en connaissance de la suite.

Le moment que je prépare depuis des années est sur le point de commencer. Je suis excitée comme jamais. Néanmoins, avant de lancer le début du jeu, je tiens à voir la réaction de la jeune fille lorsqu’elle va se réveiller. Elle n’a rien sur la bouche, elle, elle pourra donc crier autant qu’elle veut. J’espère juste que ce ne sera pas en français, je souhaiterai comprendre.
La voilà qui ouvre doucement les yeux d’ailleurs. Les miens dévorent les écrans, impatients de sa réaction.

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Amélie

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 8 mardi 23 septembre 2014, 01:40:04

« Aoh... »

Un gémissement endolori s’échappa des lèvres d’Amélie quand la réalité la rattrapa, et qu’elle retrouve l’usage de ses sens. Sa tête lui tournait, et elle avait mal au ventre, ce qui l’amena à éternuer. Le sol était glacial contre elle, et elle constata rapidement que ses bras et ses jambes étaient retenues, attachées par quelque chose. Peu à peu, les souvenirs de la soirée affluèrent dans son esprit. La fête foraine, le pervers... Ce type... Elle avait réussi à le repousser, mais... Ensuite, tout devenait fragmentaire, éclaté. Amélie rouvrit lentement les yeux, et constata qu’elle était toujours habillée... Et qu’il n’y avait pas une scie sous son nez. Néanmoins, elle était attachée, dans un endroit vide et froid, métallique et inhumain... Un endroit qui lui rappelait une cave qu’elle avait connu il y a fort longtemps, et qui entraîna dans son corps une forte bouffée d’angoisse. Son cœur se mit à s’emballer, et elle se réveilla plus vite, la panique aidant son corps à se réveiller.

Amélie se mit à remuer contre ses sangles, les tirant, et le premier réflexe de la femme captive lui vint à l’esprit :

« Y a quelqu’un ? Hey ho ! Au secours !! »

Elle le disait en anglais, hurlant, mais n’entendit rien d’autre que le propre son de sa voix. Amélie jura à voix basse, cette fois en français, et tira à nouveau sur eles sangles en grognant. Les attaches étaient solides. Elle était faite comme un rat... Ou plutôt comme une ratte, compte tenu de son sexe. Un maniaque l’avait capturé, et l’avait emmené... Quelque part. Est-ce qu’elle avait dormi longtemps ? Impossible de le dire.

« Je... Je vous préviens, mes amis sont à ma recherche ! Détachez-moi, ou vous allez avoir affaire à eux !! »

Elle ne mentait que partiellement. Si elle était absente depuis longtemps, Zetsu se lancerait probablement à sa recherche. Amélie lui avait dit où elle allait, et elle avait insisté pour qu’il ne l’accompagne. « Les rues ne sont pas sûres », lui avait-il dit, mais elle avait haussé les épaules. Comme quoi, c’était dans la nature humaine de continuellement répéter les mêmes erreurs, et de ne pas tenir compte des leçons du passé. Amélie était persuadée que, depuis qu’elle avait quitté Paris, rien ne pourrait lui arriver à Seikusu. Elle était une vagabonde, une clocharde junkie et toxico qui vivait dans des hangars abandonnés, et se nourrissait des restes de la ville. Qui se soucierait d’elle ? Qui viendrait l’embêter ? Elle avait naïvement cru que personne ne se soucierait d’elle... Alors que, comme dans tout bon cliché de film d’espionnage, les désespérés étaient généralement la cible première de savants fous, car ils savaient qu’ils ne manqueraient à personne.

L’obscurité ambiante l’empêchait de voir quoi que ce soit, et elle continuait encore à tirer sur ses sangles, ce qui avait surtout pour effet de lui faire mal. Elle se rappela alors réussi à fuir, et puis... Elle avait utilisé sa bombe contre ce mec, puis... Est-ce qu’elle s’était pétée la gueule ? Raah, fichue mémoire ! Elle croyait se souvenir d’un complice, une espèce d’horrible visage grimaçant qui, sur el coup, lui faisait penser à l’image du Joker... Ou à Grippe-Sou le clown maléfique de « Ça ». Pourquoi est-ce que son esprit faisait une association d’idées avec « Ça » ?

*Il y avait bien quelqu’un d’autre... Une personne qui m’a niqué en douce... Putain de merde !!*

Elle était dans de beaux draps, et gesticula encore, en grognant et en gémissant.

« Au secours !!! » hurla-t-elle encore.

En vain, visiblement.

DC d’Alice Korvander.

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JigSex

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 9 dimanche 28 septembre 2014, 20:03:12

Ses paupières remuent. Elle se réveille !

Je m'approche de l'écran filmant son visage, observant sa réaction de plus près. Elle ne se fait pas attendre, la panique s'empare d'elle dès son réveil pour la faire hurler :

Y a quelqu’un ? Hey ho ! Au secours !!

J'ai envie de lui répondre, mais je préfère attendre encore un peu, observer son évolution.

Je... Je vous préviens, mes amis sont à ma recherche ! Détachez-moi, ou vous allez avoir affaire à eux !!

Je souris. Le temps qu'ils trouvent mon repaire et parviennent à en déjouer les défenses extérieures, j'en aurais fini avec elle.

Elle se mit à gesticuler, tentant de tirer sur ses liens. Elle avait l'air de vraiment se faire mal en essayant, ce qui n'était pas du tout mon intention. Sa panique plus le nouveau "Au secours !!!" qu'elle vient de crier me font stopper mon observation pour prendre le micro en main, en anglais :

Calme-toi Amélie. Tu es en sécurité ici.

A travers ce micro, ma voix était déformée, synthétisée. Mais on pouvait toujours distinguer que c'était une voix de femme. Et c'était bien là la seule information que je souhaitais lui donner.

Je t'observe depuis un moment ma petite. Tu peux te vanter d’avoir une histoire qui m’a attiré, ce qui n’est pas rien. Sache que je sais beaucoup de choses sur toi. J’ai étudié ton parcours. Les informations et les renseignements vont vite à Seikusu quand on connait les bonnes personnes.

Aussi, je ne peux rester sans rien faire. Certes, tu as eu un parcours difficile. A la façon dont tu repoussais les gens, parfois pas si mal intentionnés que ça, qui souhaitaient partager du plaisir avec toi, j'ai d'abord cru que tu étais vierge... Mais j'ai personnellement vérifié pendant que tu étais inconsciente. Et puisque ça n'est pas ça, je présume que ta première expérience t'a été arrachée de force. Au moins, tu as eu la chance d’avoir un dépucelage hors du commun… Et même si ça te semble étrange de le penser ainsi, un jour, tu comprendras. Et c’est d’ailleurs pour ça que je t’ai amené ici, pour te le faire comprendre.

Vois-tu, tu es réellement en train de gâcher ta vie. Avec le corps que tu as, tu pourrais sans problème avoir une vie sexuelle de rêve, mais au lieu de ça tu continues de te morfondre sur une seule mauvaise expérience. Si tu t’acharnes ainsi, ça ne vaut même pas la peine de vivre, autant en finir avec ta vie tout de suite.

Je marque une pause, qu’elle comprenne bien que ma phrase était à prendre au sens propre. Puis, n’y tenant plus, voulant absolument savoir, je lui demande :

Avant de t’expliquer ta thérapie… Je veux savoir… As-tu une idée ? Ou une suggestion ? Ou n’importe quoi dont tu souhaiterais me faire part ?

« Modifié: lundi 29 septembre 2014, 20:23:15 par JigSex »
tu veux jouer avec moi ?

Amélie

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 10 mardi 30 septembre 2014, 01:08:26

Toujours attachée, Amélie continuait encore à se débattre lorsqu’une voix synthétique jaillit d’un micro. En entendant son nom, Amélie se raidit sur place. Comment est-ce que cette femme, car elle discernait bien des intonations féminines, connaissait son nom ? Elle déglutit, et laissa la femme se mettre à parler. Cette dernière lui expliqua s’être renseignée sur elle, savoir qu’elle venait de loin, qu’elle était une fugueuse, et qu’elle était fâchée avec le sexe.

*Comment elle sait tout ça ?! Elle travaille pour les services secrets ?!*

Non, c’était ridicule... Les services secrets ne devaient certainement pas s’intéresser au sort d’une petite fugueuse venue de Paris. Alors, comment cette mystérieuse femme savait-elle tout ça ? Que voulait-elle ? La découper en rondelles ? Il n’y avait que les psychopathes pour dire à leurs victimes de se « calmer » après les avoir kidnappés et les avoir attachés dans un endroit froid, lugubre, isolé de tout. Se calmer ! Haha, sacré sens de l’humour !  Non, sans blague... Le pire, c’est que cette nana barjot devait être sérieuse ! Amélie tira encore sur ses chaînes, plus par colère et par irritation qu’en espérant vraiment les couper. Dans un soupir, elle finit par se calmer. La femme lui parla de son corps, de « vie sexuelle », et Amélie se mit à déglutir... Elle avait vu, en France, des reportages dans « Enquête exclusive » sur les trafics de prostitution internationale en Asie du sud-est. Un journaliste s’était rendu dans un hôtel thaïlandais, et avait rapidement réussi à obtenir une jeune fille de dix ou onze ans, qui était prête à lui faire des fellations... Et, à Seikusu, Mimi’ lui avait parlé de types kidnappant de jolies filles pour les droguer et les asservir, avant de les vendre dans les harems de riches pervers, des barons du crime, des émirs de Dubaï, ce genre de choses...

Est-ce que c’était ça ? Est-ce qu’elle était tombée sur des esclavagistes ? Ohlàlà, le pire était à craindre ! Amélie ferma les yeux. Elle devait se calmer, se retenir de paniquer, faire le vide dans sa tête.

« Avant de t’expliquer ta thérapie… Je veux savoir… As-tu une idée ? Ou une suggestion ? Ou n’importe quoi dont tu souhaiterais me faire part ? »

Sa... Sa « thérapie » ? Faire d’elle une esclave asservie et incapable de penser par elle-même ? C’était ça, sa « thérapie » ? Amélie déglutit, et se mordilla les lèvres. Sa combativité n’était pas encore éteinte, et, après quelques secondes de silence, elle finit par répondre, en regardant le plafond... Parce que les psychopathes mégalomanes se trouvaient toujours en hauteur dans les films et les séries télévisées.

« Si tu comptes faire de moi une esclave, salope, tu te goures méchamment ! Je m’laisserai pas faire, j’serais pas une pute au service de types gras et gros ! » hurlait-elle.

Amélie ne savait pas ce que JigSex avait réellement en tête, elle était juste paniquée... Ce qu’on pouvait comprendre.

DC d’Alice Korvander.

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JigSex

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 11 mercredi 08 octobre 2014, 19:56:17

Elle tire sur ses chaines, dans tous les sens. Pauvre petite chose... J'espère sincèrement qu'elle ne va pas se faire mal à force de tirer. Tiens, elle regarde directement le plafond... C'est certes là où je suis, mais j'aurais préféré qu'elle se tourne vers l'une des caméras, que je puisse la regarder droit dans ls yeux...

Si tu comptes faire de moi une esclave, salope, tu te goures méchamment ! Je m’laisserai pas faire, j’serais pas une pute au service de types gras et gros !

Ses cris me font éclater de rire. Ma voix doit résonner dans sa salle à présent. Je tente de cesser de rire, mais la simple pensée qu'elle croie que je tente d'en faire une esclave est si hilarante... Après une longue minute passée à me tordre sur mon fauteuil, je finis par reprendre ma respiration, reprenant en m'essuyant une larme :

Non Amélie, tu n'y es pas du tout ! C'est tout le contraire ! C'est à présent que tu es une esclave ! L'esclave de toi-même pour être exacte ! Tu te fixes des limites et des barrières dans ta vie, je suis là pour t'aider à te libérer !

Il parait évident que je ne la résonnerais pas. Pas qu'avec des mots en tout cas. Je tente de reprendre une voix plus grave et plus sérieuse en lui disant :

Ecoute. On va jouer à un jeu. Je sais que te l'idée de te servir de ton corps pour parvenir à tes fins t'horrifierais, mais je sais aussi que la seule chose qui t'horrifierais encore plus, c'est que quelqu'un s'en serve sans ton accord, n'est-ce pas ?

Alors voilà ce que je te propose : tu vas affronter une épreuve. Si tu réussis, je te laisse repartir, et je t'offrirais même un petit cadeau. Si tu échoues, et bien... Tu te réveilleras à nouveau dans cette position, mais cette fois nue, et en présence d'un homme qui se fera un plaisir d'utiliser tes superbes atouts pour son plaisir, puis... Oh, peu importe, je suis sûre que tu réussiras !

Je remarque qu'Ateyu, qui ne voit rien mais ne perd pas une miette de mes paroles, commence à bander à l'idée qu'elle échoue. C'est ce qu'il espère de tout cœur, puisque ce serait alors lui, l'homme qui en profiterait.

Alors, es-tu prête à commencer la partie ?

Je sens mon cœur s'emballer à l'idée que son épreuve est enfin sur le point de commencer.
tu veux jouer avec moi ?

Amélie

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 12 jeudi 09 octobre 2014, 02:54:16

La tarée qui l’avait capturé se mit alors à éclater de rire, comme si cette psycho’ trouvait drôle de voir les filles qu’elle capturait se débattre. Amélie grognait, et, quand la femme se mit à se calmer, elle se mit à lui parler, en lui expliquant que, non, elle était gentille, que c’était un malentendu, et qu’elle voulait en fait aider Amélie à se libérer.

*Me libérer ? C’est quoi, cette tarée ?!*

La femme continua à lui parler, et Amélie l’écoutait silencieusement, en clignant des yeux. La psychopathe lui proposait un jeu, ce qui lui rappelait, pour le coup, ces torture porn récents qu’elle avait vu à Paris, Saw. Un jeu... Mais merde, c’était quoi cette folle ?! Est-ce qu’elle avait la tête d’une nana qui avait envie de jouer ?! Amélie tremblait, en s’attendant à un jeu de tarés, comme dans ces films, où il fallait se mutiler sévèrement pour réussir à sortir. Elle déglutit, commençant à avoir peur. Elle avait compris que JigSex parlait de son corps, et qu’elle avait en tête des idées de services sexuels... Ce qui lui rappela évidemment son passé, les raisons pour lesquelles elle avait quitté Paris, fui la France... Ohlàlà, mais dans quel cauchemar venait-elle de débarquer ? Amélie avait peur, pour le coup, extrêmement peur.

La jeune Française soupira en se mordillant les lèvres. Elle regarda à nouveau autour d’elle, s’attendant à voir une armée de psychopathes et de pervers sexuels gros et gras, ou musclés et bodybuildés, débarquer sur place. Mais il n’y avait rien, rien d’autre que le silence, et le froid qui venait faire frissonner ses membres. Une épreuve... Si elle réussit, elle s’en sort. Si elle foire... Mieux vaut ne pas y penser, ni se dire que la femme pouvait tout à fait lui mentir. Elle l’avait agressé, avec l’aide d’un taré se faisant passer pour un poulet, et elle se retrouvait maintenant attachée à une table. Pleurer aurait été tentant, mais Amélie savait que ça ne servirait à rien. Au contraire, pleurer ne risquait que l’exciter davantage.

Amélie serra les lèvres, et ferma les yeux, en essayant de se calmer. Ses poings étaient fermés, avant de se relâcher, pour se contracter à nouveau.

« Alors, es-tu prête à commencer la partie ? » demanda alors la femme.

La Française s’humecta les lèvres.

*Je suis prête à te péter les ovaires, salope ! Tu me prends pour ta poupée, sale pute ?!*

Il aurait été tentant de lui balancer ça, ce qui lui vint pour la première fois à l’esprit, mais elle se retint. Au lieu de ça, elle sortit une autre phrase, après de longues secondes d’hésitation :

« Tu poses une question, mais je ne crois pas avoir le choix... Sauf si je veux crever de froid en étant attachée comme une saucisse dans cet entrepôt glauque... »

Merde ! Est-ce qu’elle ne pouvait pas juste se taire ? Dans sa tête, Amélie entendait une petite voix paniquée lui dire qu’il fallait se calmer, qu’il fallait obéir à cette femme, afin de ne pas la paniquer... Malheureusement, quand Amélie avait tenté de faire la petite fille pudique, elle avait été violée. Elle comptait donc bien montrer à cette femme que ce n’était pas parce qu’elle était une fugueuse sans foyer qu’elle se laisserait marcher dessus.

« Dis-moi ce que tu veux de moi, qui que tu sois ! »

DC d’Alice Korvander.

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JigSex

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 13 mardi 14 octobre 2014, 19:15:53

Alors que je lui décrivais ce qui l'attendait, elle semblait s'être lentement calmée. Lorsqu'elle reprend la parole, sa voix s'est abaissée, presque calmée :

Tu poses une question, mais je ne crois pas avoir le choix... Sauf si je veux crever de froid en étant attachée comme une saucisse dans cet entrepôt glauque... Dis-moi ce que tu veux de moi, qui que tu sois !


Un temps de silence s'écoule, pendant lequel je reste stupéfaite. Cette gamine me plait de plus en plus. Je craignais d'avoir affaire à une enfant peureuse et pleurnicharde, redoutant par-dessus tout qu'elle ne souhaite même pas essayer mon épreuve, et voilà qu'elle me fait face avec courage et détermination ! Quelle chance j'ai de l'avoir comme première victime !

Bien Amélie... Très bien... Garde cet état d'esprit et tout ira très bien...

Je me lèche les babines avant de reprendre la parole. Ateyu bande comme un âne à l'idée de commencer, et je dois avouer que mon corps semble réclamer la suite aussi. Doucement, mes mains se posent sur mes cuisses, et je pose enfin les règles de mon jeu :

Pour l'instant tu ne peux pas le voir, mais il y a un homme attaché de la même sorte que toi juste en face de toi. La différence est qu'il est entièrement nu, hormis un bandeau sur ses yeux et un sur sa bouche. Lorsque la partie commencera, tes entraves s'ouvriront, te laissant te relever, mais pas les siennes.

Le grand bouton rouge qui allait déclencher le mécanisme est juste en face de moi, situé au centre de mon panneau de contrôle. J'éprouve un immense besoin de le presser, mais je parviens à résister 30 secondes de plus.

Voici ta tâche : lorsque tu seras libérée, un compteur démarrera. Il est réglé sur 5 minutes. Si pendant ces 5 minutes, tu ne seras pas parvenu à faire jouir cet homme avec ta délicate bouche, un gaz soporifique se répandra dans la pièce, et tu te réveilleras pour être offerte en tant que jouet sexuel. Tu es libre de t'y prendre comme tu veux pour lui plaire, même lui retirer ses bandeaux si tu veux, mais il doit absolument jouir dans ta bouche.

N'y tenant plus, je frappe le bouton, ouvrant ses liens et faisant apparaitre sur un écran visible en hauteur dans sa salle un compteur de 5 minutes en chiffres digitaux qui commence à défiler.

Je m'affale sur mon fauteuil, les yeux rivés sur mes écrans, et hurle à plein poumons :

Que la partie commence !
tu veux jouer avec moi ?

Amélie

Humain(e)

Re : Do you like clowns ? [JigSex]

Réponse 14 jeudi 16 octobre 2014, 01:41:12

Le « jeu » tomba, suivi d’un compte à rebours de cinq minutes, et Amélie se retrouva sur le sol, médusée. Est-ce qu’elle avait bien compris ? Elle regarda autour d’elle, et ne tarda pas à voir, dans un coin, une table horizontale, avec un homme, nu comme un ver, dessus, attaché par les poignets et les chevilles. Sa queue pointait de manière grotesque. Il bandait comme un âne, la bouche immobilisée, de même que ses yeux. Déglutissant lentement, en sentant le froid et la peur s’instiller dans son corps, la jeune Française s’avança un peu, le long d’un sol froid et bétonné, inhospitalier et glauque. En hauteur, elle voyait des vitres crasseuses donnant sur la nuit. Elle pouvait être n’importe où, et elle savait que cette tueuse sadique et perverse avait tout planifié. Elle ne s’échapperait pas par la porte, et elle devait se soumettre à ce jeu horrible : sucer la queue de ce trou-du-cul, ou servir de punching-ball sexuel pour lui... Et ça, il n’en était pas question ! Il était retenu par des liens magnétiques, comme les siennes, et elle se rapprocha un peu, déglutissant, claquant des dents.

L’homme était glabre à hauteur du torse, imberbe, et était plutôt bien entretenu. Quelques bourrelets, mais rien de bien significatif... C’était bien le faux-flic qui l’avait harcelé tantôt, et elle n’avait vraiment pas envie qu’il soit libéré... Sa queue se dressait devant elle, cette sale verge... Beurk ! Elle devait prendre ce machin en bouche ?!

*Sainte Marie, je n’y arriverais jamais...*

La seule idée de goûter à ce truc infect et répugnant... Geuuhh !! Elle voyait des poils noirs, une espèce d’abomination avec un gros truc et deux boules. Mais le temps, lui, continuait à filer, et le faux-flic pervers gémissait en remuant un peu, visiblement très satisfait d’être attaché à une table, son esprit empli d’idées perverses faisant gonfler sa queue. Amélie s’imaginait vomir sur sa queue si elle se mettait à le prendre en bouche, mais la femme avait été très claire sur ce qu’elle voulait... Une fellation. Amélie savait ce que ça voulait dire. Elle ne comptait plus le nombre de drogués qui, sur les bords de la plage, demandaient à ce qu’elle lui suce la queue, avec un sourire, parce que ça passait toujours mieux de traiter une fille de « pute » avec un sourire.

4:30

Le temps filait rapidement, et Amélie ferma les yeux en gémissant.

« Putain, putain, putain... »

Est-ce qu’elle pouvait VRAIMENT le faire ? Elle tourna à nouveau la tête. Un plan B ? Rien ne lui venait à l’esprit. Ses mains s’appuyaient sur le rebord de la table en bois, face à l’homme, face à ses jambes écartées et à sa verge. Comme si le faux-flic avait senti sa présence, il se tortilla un peu en gémissant, et Amélie se mordilla les lèvres. Elle se recula, tournant la tête, puis se força à regarder cette verge, dressée comme un serpent prêt à bondir. Dans sa tête, elle revoyait Paris défiler, la cave de Victor, la chambre de sa mère, où elle avait été violée... Le même scénario allait se répéter si elle ne faisait rien, et personne ne viendrait la sauver. Aucun policier surpuissant ne défoncerait la porte, aucun justicier en tenue moulante ne jaillirait depuis le toit pour atterrir en plein milieu de la pièce, et la ramener ne lieu sûr.

Non, Amélie était toute seule, et, lentement, sa main droite s’avança, comme celle d’un zombie, vers cette verge. C’était un sexe tendu. À sa place, Mishi n’aurait eu aucune difficulté à agir, et Amélie soupira. Son cœur hurlait dans sa poitrine.

*Mimi’... C’est une bonne idée, pense à Mimi’... Elle est habituée à ce genre de situations, tu le sais aussi bien que moi. Face à toi, elle n’hésiterait pas.*

Amélie pouvait presque l’entendre l’invectiver. Vas-y, Mél’, putain, mais t’attends quoi ? Que le timer arrive à zéro, qu’il te tire par les cheveux, et te défonce la gueule ?

« Ce mec, c’est un malade, Mél’... Crois-moi, je sais de quoi je parle, j’ai eu des clients comme ça... À force, on les repère. Il y a tout un tas de types... Des sales romantiques qui ont juste besoin de tirer un coup aux malades mentaux. Et ben, lui, il a tous les critères du taré qui prend son pied en faisant souffrir les femmes. C’est ça que tu veux, Amélie ? Que le loup se réveille ? Qu’on libère ses griffes, et qu’il t’explose la figure ? Parce que, si tu ne fais rien, crois-moi, c’est précisément ce qui va se passer...
 -  Non..., répondit-elle d’une petite voix.
 -  C’est juste un mal pour un bien. Tu sais comment je fais ? T’as même pas à y mettre toute la bouche. Il bande comme un taureau dopé aux amphétamines. T’auras qu’à prendre le bout de sa queue entre tes dents, appuyer et, remuer un peu. Ça le fera venir... »

Elle dialoguait avec le vide. Mishi se trouvait juste à côté d’elle, apparition enchanteresse venue la guider dans ce cauchemar.

3:00

Amélie secoua la tête, et posa ses mains sur les jambes de l’homme, en soupirant faiblement. Elles étaient grasses, poilues, comme un gorille, et l’homme sembla se tortiller, se roidir sur place.

« Vas-y, remonte, remonte... »

Amélie obéissait, les lèvres tremblantes, remontant peu à peu, le long de ses mollets, se penchant en avant. Le temps continuait à défiler, mais Mimi’ lui disait de ne pas s’en soucier, et de se concentrer sur l’essentiel. La queue se rapprochait, une verge tendue, joufflue, grosse, et le bout de ses doigts caressa les poils pubiens. Dans un couinement, Amélie se crispa en fermant les yeux.

« Tu vois ? Ferme les yeux, Amélie, et remue tes doigts... Remue-les, allez !! »

Elle le fit, sentant contre ses ongles des poils fins, noirs, étroits, et des surfaces molles, durcies et tendres, arrondies. Elle soupira, et remonta un peu.

« Approche ta tête... N’ouvre pas les yeux, penche-là, allez... Tu verrais ta tronche, Mél’... Hey, c’est pas un serpent ! Merde, les hommes se baladent avec ces trucs horribles depuis des millénaires, déstresse ! Il est attaché, il te fera rien ! »

La voix de la raison... Elle se rapprocha un peu plus, et, quand son nez et ses lèvres heurtèrent une surface oblongue, ses doigts se crispèrent sur les couilles de ce connard. Atreyu poussa un couinement en se tortillant, et Amélie relâcha ses doigts, les posant sur son corps. Elle respira longuement, écartant un peu son visage. Mishi, dans le creux de son oreille, lui soufflait que c’était comme une sucette, une grosse sucette dégueulasse, mais une sucette quand même... Il fallait juste y goûter.

2:30

Le temps continuait à défiler, et elle entrouvrit ses lèvres, faisant sortir sa langue… Et lécha le bout de cette verge, en griffant alors le faux-flic, qui couina à nouveau. Sa queue se tressauta, tapant à nouveau contre son nez.

« Oh putain, arête de bouger, connard ! » grogna-t-elle alors, énervée.

Amélie secoua la tête, et tendit sa main, agrippant ce sexe à la base. Il était gluant, infect, ignoble, sale, moche... Et tous les qualificatifs qu’on pouvait lui attribuer. Elle s’en approcha, entrouvrant les lèvres, le cœur sur le point d’exploser, et le prit entre les lèvres, sur le bout du sexe.

*Ne vomis pas, ne vomis pas, ne vomis pas !!*

Tout ce qu’elle espérait, c’est que ce connard allait jouir vite, histoire qu’elle puisse sortir de ce cauchemar !

DC d’Alice Korvander.

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