L'Abyssian, le pseudo-neko était charmé, envoûté par la caresse de leurs corps et leurs verges ensembles, c'est vrai... C'est vrai qu'il gémissait comme un petit puceau et en avait certainement honte... Honte de sa voix n'ayant pas encore totalement mué, incapable de donner encore toutes les intonations viriles qu'elle aurait peut être désiré entendre... Quelques années encore, quelques années et ça aurait été parfait, peut être même une et une seule, où quelques paires de mois. Devait il s'en excuser ? Non... Sinon elle n'aurait pas pris la peine de l'enlaçer et venir l'embrasser si langoureusement, fiévreusement en branlant son sexe avec le sien dans sa poigne, hummm ! C'était si bon... Hannn, il en perdait toujours la tête, et la salive à danser avec ses lèvres, il n'y avait donc pas de fin aux mouvements lascifs, balancés de son visage emporté par ses lèvres, il se laissait faire, adorrrait se laisser faire, peut être même un peu trop par sa grande et séduisante cavalière.
Haaanwoui... Oui il aimait sentir la dureté ferme des seins de la fermière venir se caresser contre ses pectoraux, sa verge durcie se frottant de plus en plus envieuse contre la sienne, qui dégoulinait de son propre nectar caramélisé et rendait la glisse entre leurs membres de plus en plus aisée, évidente et effroyablement excitante !
-Te sens-tu prête pour la suite?
Haaaah... Hmmm... Que répondre si ce n'est qu'il acquiesce timidement en se dévorant le bout des griffes... Le visage barré par ses rougeurs, il ne sait plus ce qu'il dit, il ne sait pas à quoi il acquiesce exactement, enfin si il sait mais... Mais à ce niveau d'excitation et de plaisir qu'il ressent, hum, haaahh... Ca ne semble plus avoir beaucoup d'importance et pourtant, si... ça en à ! Ca devrait en avoir dans sa folle petite tête éperdue d'envie, alors qu'il glisse contre la hampe dure et longue de la fermière, y ajoutant ses coups de bassin bien fluides... N'a t'il dont plus envie d'y réfléchir ? Plus il y pense et plus ça lui ferait peur ? Non... En fait plus il y pense et plus ça l'excite, plus il laisse danser ses lèvres avec les siennes, plus il étouffe ses gémissements dans sa bouche, plus il sent les veines de la fermière se gorger de sang au contact de sa verge masturbée contre la sienne... Plus... Plus il en à envie.
Entre deux baisers il affirme, sa tête vivement secouée par une jolie énergie affirme par la positive d'un vif - acquiescement, des mèches de sa chevelure aux reflets cuivrés se retrouvent petit à petit, plaquées sur son visage épanoui, glissant entre ses yeux charmés, envoûtés, séduits par le plaisir qu'il ressent, ce... entrant dans des territoires où sa raison n'a plus de raison, n'est ce pas ? Ses doigts viennent caresser le corps de la hampe équine, glissant et caresssant le bout de ses griffes vers le bas... Vers la base de son boyau de chair lardé de grosses veines qui lézardent à sa surface, plus épaisses et volumineuses que certains de ses plus gros doigts à lui !
Plus il embrasse, plus il se frotte à elle et plus il devient las, fluide et sensuel dans ses mouvements, s'obligeant à relacher toute pression où tension que ses muscles ont pu accumuler toute la journée, ses cuisses allant comme tout à l'heure se caresser entre celles de la fermière. Les doigts de Ludya descendent plus bas encore, glissant de la base de la hampe, sur les bourses qu'il caresse et soupèse, enlaçe de toute l'ouverture de ses paumes, et il faut bien tout ça pour les soupeser, les flatter, tandis qu'il s'exécute ses baisers n'ont cessé de devenir plus excitants, plus vibrants et sonores entre leurs lèvres humides, chargés de ronronnements.
Ses doigts glissent à la perfection sur le cuir des bourses de la femme-équine, et puis il a envie d'ajouter la caresse du bout de ses ongles, enfin, griffes d'Abyssian, sans leur faire le moindre mal elles glissent au moins aussi bien et doucement que ses doigts. Elles ne font qu'effleurer tendrement la surface d'une impression légère, d'une chatouille accompagnant les tracés variables que ses doigts opèrent sur la surface, traçant des cercles et des cercles à l'infini sur ses grandes balles de chair pleines.
De sa position actuelle contre elle il doit incliner la tête vers le haut, vers son visage, entre ses seins pour acceuillir les baisers fondants sur ses lèvres, il adore en secret cette différence de taille et l'ascendant qu'elle peut avoir sur lui. Les souffles de son pseudo-Neko d'assistant étaient eux aussi beaucoup plus chargé d'excitation, d'une sensualité envieuse, son petit chaton en chaleur au regard troublé et embué de plaisir, il était plus que prêt, prêt à tout prendre, accepter d'elle, se donner et se damner pour peu qu'il lui offre enfin le même genre de plaisir. Ses jambes glissant entre les siennes, ses mains choyant avec avidité ses bourses, même ses lèvres quittaient les siennes pour que sa langue fasse le tour du col de cet énorme champignon qu'elle avait pour gland, dressé entre leurs corps, ses yeux clos lorsque ses lèvres allaient embrasser cette chose qu'il savait pertinemment énorme, si dure, et risquer de lui faire subir l'enfer.
Tant pis, tant pis si le diable venait toquer à sa porte, il se foutait bien des conséquences dans l'état d'excitation dans lequel il s'était laissé porter, fondre, pourvu qu'elle soit douce...