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Prostituées + esclavagiste = un beau bordel [Pv Sayaka]

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Cyscek

Humain(e)

Aucun bruit ne montait de la chambre numéro quatre. Lorsque l'on se tenait dans le couloir de l'établissement, on avait parfois droit à un gémissement ou un cri provenant d'une des chambres. Dans le cas présent, cette chambre était silencieuse. Dans la pièce décorée avec goût, Cyscek goûtait aux plaisirs offerts par Sayaka. En habitué des lieux, il était déjà venu de nombreuses fois et avait testé chacune des "pensionnaires" de l'établissement. En ce jour il avait jeté son dévolu sur la belle Sayaka, comme il aurait très bien pu choisir Yuna ou Ako. Chacune avait du charme et des atouts qui donnaient à chaque fois du mal à l'esclavagiste de choisir avec laquelle passer la nuit.

On pourrait d'ailleurs trouver ça étrange, un esclavagiste qui profite d'une maison de passe. Lui qui pouvait avoir toutes les femmes capturées pour lui, en faire ce qu'il voulait ... Cyscek n'était pas qu'un esclavagiste après tout. Il lui arrivait d'accoster des femmes, juste pour la séduction car parfois il souhaitait sortir de la routine de la situation de domination. Ca ne changeait pas son caractère, mais il y avait tout de même une différence pour lui. Bien plus permissif, il appréciait également les prises d'initiatives des prostitués de l'établissement, et également le fait qu'elles appréciaient ce qu'elles faisaient, chose qu'il adorait sentir dans le regard de ces femmes.

Il s'était retrouvé ici par hasard, il y avait plus de six mois de ça. A l'époque, il arpentait le quartier de la Toussaint à la recherche d'une proie. La nuit avait été infructueuse, et il avait terminé sa course dans un bar sordide, où les rebus de la société se retrouvaient. Loin de lui l'idée de s'éterniser, mais un homme saoûl avait parlé d'une maison de passe non loin. Si ses paroles pouvaient sembler être des élucubrations d'homme imbibé par l'alcool, Cyscek nota tout de même les détails. Si personne ne prêtait à attention, et bien lui irait vérifier. Il fallait l'avouer, son idée à ce moment là était de voir si ces prostitués étaient potentiellement capturables. La ruelle sombre qui donnait sur le bordel l'avait d'abord fait croire que l'homme avait bien raconté n'importe quoi. Mais non, la porte s'ouvrit sur un homme au sourire ravi, et derrière lui, une inconnue en tenue de latex minimaliste qui souhaitait une bonne nuit à l'inconnu. Cyscek s'était présenté à son tour, toisant Yuna du regard. Après quelques informations glanés sur les lieux, les filles disponibles et les tarifs, Cyscek avait changé son fusil d'épaule. L'intention et la façon dont était gérée ce bordel étaient louables, et il ne pouvait se résoudre à en arracher une ou deux d'ici. D'autant que briser une fratrie, ça aurait été un peu trop pour lui.

Il avait "abusé" de Yuna toute la nuit. Ou bien était-ce elle qui avait abusé de lui ? Ils n'avaient fait qu'un pendant plusieurs heures, et Cyscek aurait juré qu'elle avait plus qu'apprécié cette baise débridée. Il s'acquitta de son dû, puis repartit pour Terra. Deux semaines plus tard il revenait déjà. Avait-il pris goût ? Probablement. Cette fois, Yuna était déjà occupée avec un client, et il avait eu droit à Sayaka. Chacune a leur manière, elles trouvaient comment le faire se consummer de désir. Les semaines passèrent et l'esclavagiste revint souvent, testant chacune des demoiselles et finissant par devenir un habitué des lieux. Il aimait bien parler à l'une ou l'autre, prendre de leurs nouvelles et savoir comment se passait leur vie en dehors. Par contre, il ne parlait jamais de lui. Qui sait la réaction qu'elles auraient pu avoir en apprenant qu'il était un esclavagiste ? Probablement pas une bonne.

La bouche de Sayaka allait et venait lentement sur le pal de chair de l'esclavagiste. Aucun gémissement, juste le bruit humide des lèvres sur la peau sensible de sa hampe, voilà tout le bruit qui emplissait la pièce. Cyscek avait choisi Sayaka car elle lui avait fait sentir à son arrivée qu'elle avait envie d'être choisie. Bien sûr les autres faisaient de même, mais il lui avait semblé que cette dernière l'avait bien plus montrée, sans pouvoir dire pourquoi. Debout au milieu de la pièce, il s'était laissé faire pendant qu'elle se frottait à lui, qu'ils s'embrassaient, puis qu'elle avait débuté sa fellation. Il planait, littéralement ... Un bruit sourd en provenance d'un des murs se fit entendre, suivi d'un bruit de casse. On venait d'exploser un verre ou un vase. Une partie de jambes en l'air un peu musclé ? Cyscek sentit la bouche de Sayaka s'arrêter dans son mouvement. Elle avait de bonnes raisons car on venait d'entendre un cri monter de la chambre d'à côté. Non, vu la peur dans ce cri, ce n'était pas normal. Ôtant son membre de la bouche de la jeune femme, Cyscek eut tôt fait de remonter son pantalon. Elle se relevait aussi, mais il la retint par le bras.

Reste là, je vais voir.

Il avait plus de chance de réussir à maîtriser un importun que cette frêle jeune femme en tenue de latex. Passant la porte de la chambre, Cyscek déboula dans le couloir. Trois portes étaient ouvertes, et l'on entendait des cris montants de deux d'entre elles. Dans le couloir, nez à nez avec l'esclavagiste, un junkie tenait un couteau en regardant à l'intérieur d'une des chambres. Vêtu d'une veste de cuir et d'un pantalon sale, il arborait une sorte de crête qui n'avait pas du voir la couleur d'un shampooing depuis longtemps.

Servez vous, ces sales putes ne sont bonnes qu'à ça !

La voix de l'homme s'adressait probablement à des complices, mais Cyscek ne pouvait pas voir ce qui se passait dans la pièce. En tout cas, l'homme se tourna lentement en voyant l'esclavagiste débouler dans le couloir. Il ne s'attendait probablement pas à tomber face à une montagne de muscle comme celle là. Et probablement pas non plus à prendre un coup de poing en plein visage. On entendit craquer les os sous le poing, le nez explosant sous le choc, et l'homme de s'affaisser d'un coup. Un problème de résolu.


Vanadis

Créature

Re : Prostituées + esclavagiste = un beau bordel [Pv Sayaka]

Réponse 1 lundi 09 décembre 2013, 12:23:13

Depuis quelques mois maintenant, Cyscek, ce bel homme baraqué et mystérieux, était devenu l'un des habitués de l'établissement, et chacune des filles était déjà passée sous ses assauts. Enfin... presque toutes. Mako, qui était dominatrice de nature, avait sans doute dû ressentir se coté également chez l'homme et, de part sa fierté, se refusait à coucher avec un homme s'il ne lui était pas soumis. Aussi, leur relation était-elle légèrement différentes, en ce sens où elle et lui "dressaient" ensembles Nodoka, qui au contraire de sa sœur, était littéralement aux anges d'être dominée par deux êtres en même temps.

Chacune des filles se souvenaient de l'arrivée de Cyscek. Les premiers instants, il avait parût légèrement paumé, alors qu'il cherchait visiblement leur établissement. Lorsqu'il l'avait finalement trouvé, il était tombé d'emblée sur Yûna, la plus jeune de la famille, qui raccompagnait un client à la sortie. Ils avaient alors un peu discutés et le nouveau venu avait finalement accepté de coucher avec elle. Le lendemain, il était devenu l'un des plus appréciés. En effet, si une grande majorité de la clientèle tenait difficilement plus de deux heures d'affilées, lui au contraire, était suffisamment endurant pour passer une nuit complète, de l'ouverture à la fermeture de l'établissement. C'en était à croire qu'il ne ressentait pas la fatigue. Les ébats avec lui pouvaient également être aussi intenses que doux et sensuels.

Mais revenons au présent. Dans la chambre concernée, la lumière était légèrement tamisée, pour coller à l'ambiance sensuelle et studieuse qui se dégageait des ébats. De par son passé, Sayaka était sans le moindre doute la prostituée la plus expérimentée de l'établissement. Elle avait beau n'avoir que la vingtaine, elle avait autant d'expérience qu'une femme ayant la trentaine. Il fallait aussi avouer qu'elle avait commencée la profession très jeune, cela devait donc pas mal aider. Ce qu'il faut surtout comprendre, c'est que contrairement à ses sœurs et ses cousines, plus jeunes, elle était parfaitement capable de forniquer avec des hommes et des femmes en silence, sans laisser échapper le moindre gémissement ou cris, sauf si le client en faisait explicitement la demande. La jeune femme en arrivait même à parler clairement pendant qu'elle se faisait sévèrement tringler. Discuter de tout et de rien avec un client pendant une levrette lui était coutumier et cela faisait d'elle une bonne confidente durant l'acte.

Actuellement cependant, Sayaka était bien incapable de parler, bien trop occupée à lui procurer une bien agréable fellation. Replaçant doucement une mèche de cheveux derrière son oreille droite, elle astiquait langoureusement le vît de l'homme, sa langue tournant doucement autour du gland gonflé de plaisir et ses doigts gantés de latex malaxant sensuellement les testicules. Le seul bruit audible était un son mouillé provenant de sa bouche, la femme aspirant régulièrement sa salive pour ne pas en laisser couler au sol, n'ayant d'yeux que pour le délicieux phallus qu'elle dégustait. La fille de joie aurait put continuer ainsi, durant de très longues minutes encore, avant de le sentir jouir dans son gosier, mais il en fut tout autrement, au grand damne des deux amants du soir.

Au bruit qu'elle venait d'entendre, il ne pouvait s'agir que de la vitre de la porte du bureau, là où était géré l'établissement et aussi où se trouvait le coffre blindé, où étaient stockée les recettes de la nuit, avant d'êtres déposées sur le compte de la famille. Hors, aucune des filles n'aurait pu la briser. Il devait donc s'agir ni plus ni moins d'un vol. Au bruit de verre brisé, Sayaka arrêta net son office, suspicieuse, et ne se releva définitivement que lorsqu'elle entendit le cris d'une de ses sœurs. Au timbre de voix, il devait s'agir de Yûna, particulièrement effrayée, qui se trouvait dans la chambre d'à coté. Bien entendu, la brune voulut sortir immédiatement afin de lui venir en aide, mais son amant d'un soir la retint par le bras, un air déterminé sur le visage.

- Reste là, je vais voir.

Il sortit immédiatement et, à l'ouverture de la porte, Sayaka entendit distinctement une voix masculine ordonner de se servir de ses sœurs. Elles étaient des putes, certes, mais elles vivaient ainsi avant tout pour vivre, pas pour le plaisir des raclures de la société. Et là, il s'agissait sans aucun doute possible d'une bande de voyous, qui pensaient sans doute voler leur argent durement gagné et les violer en toute tranquillité. Seulement voilà, le hasard avait voulu qu'ils attaquent alors qu'un homme musclé se trouvait sur les lieux. Et le chef de la bande en fit les frais, s'écroulant au sol, le visage en piteux état.

- Hiiiiiiiiiiii !!!! Lachez moi !!

- Ta gueule salope, laisse toi baiser comme une gentille pute, si tu veux pas faire connaissance avec ma lame !


Depuis une autre chambre, un autre voyous commençait déjà à pénétrer allègrement une autre de ses sœurs. Vu les pleurs, il devait s'agir de Megane. L'aînée de la fratrie était bien évidement très inquiète pour ses cadettes. Visiblement, ces types comptaient bien toutes les violer avant de les refroidir. Malgré la demande de Cyscek, Sayaka sortit un teaser de son tiroir et se rendit elle aussi dans le couloir, où gisait au sol le chef inconscient. Elle croisa également le regard de son client, lui demandant silencieusement d'aider Yûna, tandis qu'elle-même entra dans la chambre de Megane pour sauver cette dernière. Lorsqu'elle entra, elle fut horrifiée par la scène. Sa sœur avait les mains attachée dans le dos et était incapable de se défendre alors, qu'aux pieds du lit, un client gisait sur le sol dans une marre de sang, la gorge tranchée. Devant elle, un homme qui ne l'avait pas vu entrer, particulièrement sale et odorant, la pénétrait avec force sans prendre en considération sa douleur. Il ne fallut qu'un geste en direction du meurtrier, pour envoyer un courant suffisamment puissant dans son corps, pour lui faire perdre connaissance. Inerte, il chuta en arrière et termina sur le cadavre encore frais.

- O... Onee... Je... J-J'ai... T-Tellement...

Sayaka se précipita sur elle et la serra bien fort dans une étreinte qui se voulait protectrice et rassurante. Elle avait tellement eu peur pour elle, mais d'autres membres de sa famille étaient encore en danger. Sayaka continua de la bercer doucement et lui embrassa le front.

- Là... C'est fini... Tu es en sécurité maintenant...

- Et... Et Ako ?


La grande sœur ne su que répondre... Ako était celle qui, pendant qu'elle-même s'occupait de Cyscek, était chargée de l'accueil. Sayaka espérait grandement qu'elle était toujours en vie et seulement inconsciente. Il y'avait également la situation de leurs cousines, Mako et Nodoka, qui les préoccupaient. Avec un peu de chance, elles étaient dans la cave, en train d'utiliser la "salle des torture" qui était insonorisée et les voyous n'avaient probablement pas songé à s'y rendre...

Cyscek

Humain(e)

Re : Prostituées + esclavagiste = un beau bordel [Pv Sayaka]

Réponse 2 lundi 09 décembre 2013, 17:31:01

Parfois, Cyscek ne comprenait pas les réactions ni les motivations des gens. Il se pensait pourtant quelqu'un d'assez ouvert dans sa manière d'appréhender une situation, des choix. Tout un panel de possibilités qu'il pouvait comprendre. Mais le viol ? Comme ça, sans but ni raison ? Non, c'était clairement une idiotie. Il lui était arrivé de violer des femmes, lorsqu'il les capturait et compter les former pour en faire des esclaves. Mais ces hommes n'avaient pas ce genre de considération là. Un observateur extérieur aurait trouvé délirant le cheminement intellectuel de Cyscek, mais pour lui c'était convenable : ou comment se trouver des excuses quand on exploitait la misère humaine.

Enfin pour le moment, au lieu de l'exploiter, il l'aidait. L'homme à terre gémit un instant avant de sombrer dans l'inconscience. Dépassé par Sayaka, il eut le temps de voir quelque chose dans sa main. Un pistolet, mais de quel type ? Cyscek n'en avait jamais vu de tel. De toute façon il n'avait pas le temps de rester planter là à réfléchir ni à bailler aux corneilles, car les cris et les voix d'hommes continuaient à résonner dans le couloir. Yûna était confinée dans un coin de sa chambre par deux hommes du même accabit que les précédents. Mal habillés, sales, ce devaient être des junkies ou des punks errants dans le quartier malfamé. Le visage de Yûna traduisait de la panique mais elle ne prononçait aucun son du fait de la main crasseuse qui lui barrait la bouche. Celui qui la tenait ainsi lui maintenait également les bras alors que son comparse pénétrait la jeune femme. Un gémissement s'étouffait contre la main à chaque passage de cette queue non désirée en elle, et les ricanements des deux hommes n'aidaient pas à rendre la situation moins angoissante. Ici, nul client. Elle devait avoir fini avec le précédent et attendre le suivant. Cyscek se mit à courir dans la pièce. Le pas lourd de l'esclavagiste fit se retourner les deux hommes qui a priori n'était pas armés. D'ailleurs, le premier n'eut pas le temps de se protéger. Bien trop occupé à tenir Yûna, il tenta bien de bouger la tête mais Cyscek l'attrapa dans sa grande paume. Dans l'élan, la tête vint heurter le mur dans un "poc" sonore. Immédiatement l'indésirable chuta au sol, inerte. Mort ? Cyscek en jugerait après, il n'avait pas le temps de réfléchir car l'autre homme fouillait sa poche à la recherche d'un cran d'arrêt. Heureusement pour l'esclavagiste Yûna en profita pour se sortir de là, laissant l'individu à moitié nu. La jambe de Cyscek trouva son chemin, le formidable coup de pied s'abattant entre les jambes du junkie. Vu le bond qu'il fit et le cri qu'il poussa, la douleur devait être plus que vive. Il ne lui laissa pas le temps de se remettre et l'assoma alors qu'il était au sol.

Un bref coup d'oeil à la jeune Yûna lui apprit qu'elle n'avait rien. Bien sûr, le contact de ses hommes resteraient à son esprit un moment, mais ils ne l'avaient pas blessée physiquement. Déboulant hors de la chambre, Cyscek considéra que la jeunette pouvait bien rester seule pour l'instant. Pourquoi faisait-il cela ? Il aurait pu simplement fuir ou se cacher, et ne pas se mêler de cette affaire. Mais il se sentait concerné car il appréciait cet endroit et ne souhaitait pas que quelques idiots réduisent à néant ce lieu. Remontant le couloir, il se dirigeait vers l'entrée et le comptoir qui servait d'accueil. Des souffles en provenaient, mais ce n'était qu'une fois arrivé en vue du comptoir qu'il découvrit ce qui s'y tramait. Ako était agenouillée devant un inconnu, la queue de ce dernier dans la bouche. Des larmes coulaient sur son visage, et un canon de pistolet pointait le front de celle-ci. Comment la sortir de là ? Au moins, l'homme ne semblait pas l'avoir entendu venir. Obnubilé par ce qu'il forçait la belle Ako à faire, il avait probablement pris tout le remue ménage comme le résultat de ses comparses.

Le regard d'Ako accrocha celui de Cyscek. Elle l'avait vu et il lui fit un signe afin de se pousser d'un coup. Lorsqu'elle tourna la tête de côté, il donna en même temps un coup de pied dans le bras de l'homme. Le pistolet dirigé vers le haut lâcha une décharge assourdissante, agrémentant le plafond d'un trou précis. Le triste individu n'eut pas le temps de viser en ramenant le pistolet vers le bas car le front le Cyscek vint lui exploser le nez. En suivant, il lui maîtrisait le bras pour le lui tordre et lui arracher le pistolet. Tout ça n'avait pas pris plus de trois secondes et il força l'homme gémissant à se redresser en le tenant par le col, le canon pointé sur un de ses yeux.

Vous êtes combien ?! Parle !

Le ton était vindicatif et autoritaire, digne de l'esclavagiste. Etait-ce la peur ou le manque de lucidité qui faisait parler l'inconnu ? Difficile à dire, il essayait en tout cas de sortir vivant d'ici, c'était clair.

Se... Sept ! On est sept ! S'il vous plait ne me ...

La crosse du pistolet s'abattit sur le crâne de l'homme afin de l'assomer. Cyscek se tourna vers Ako afin de l'aider à se redresser.

Va rejoindre Yûna, fermez à clé et ne sortez pas de la chambre.

Il se tournait à ce moment là dans le couloir pour faire le compte. Deux sur Yûna. Un dans le couloir, un dans le hall, et un autre sur Megane que Sayaka avait maîtrisé. Reste deux, mais où ? Alors que Sayaka venait de débouler dans le couloir, Cyscek passait en revue les différentes portes. Les chambres étaient vides, enfin exemptes de malfrats. Ne restait que le sous sol, dont la porte entrouverte attirait l'attention. Généralement, elle était tout le temps fermée. Cyscek échangea un regard avec Sayaka.

Il en manque deux ...


Vanadis

Créature

Re : Prostituées + esclavagiste = un beau bordel [Pv Sayaka]

Réponse 3 mardi 10 décembre 2013, 11:58:51

Les filles de l'établissement étaient toutes habituée au sexe, ce depuis leur enfance. Prendre du plaisir et en offrir était autant un emplois qu'une passion. Mais les prostituée n'étaient pas des esclaves pour autant, livrées à elles même, elle connaissait la valeur du travail bien fait et la nécessitée de l'argent, leur seul moyen de vivre. Mais surtout, contrairement aux esclaves, les filles étaient libre de leurs choix, elles avaient choisi de vivre ainsi, sans être forcées. Une esclave était soumise par des règles et risquait fortement d'être violentée ou tuée si elle tentait de fuir. Au contraire, une prostituée pouvait partir à tout moment pour vivre sa vie autrement. En fait, ce qui les différenciait des esclaves, c'était qu'elles avaient le choix et la liberté.

C'était aussi pour conserver ces valeurs qu'elle avaient rejetée l'idée de contacter les Yakuza ou encore d'accepter l'offre de certaines personnes riches déjà venues ici. Elles ne souhaitaient pas être dépendantes et exploitées. Mais aujourd'hui, force était de constater qu'avec des personnes influentes, leur établissement aurait pu bénéficier d'une meilleure sécurité. Car là, les sœurs n'avaient d'autre choix que de se laisser violer – sans argent en retour – et les laisser voler la caisse, ou se faire tuer. Yûna lançait des regards meurtriers à ses agresseurs, gémissant de douleur chaque fois que cet immonde pénis la pénétrait. Sérieusement, depuis combien de temps ces déchets ne s'étaient-ils pas lavés ? En plus du viol, elle devait également subir cette ignoble odeur. Heureusement pas pour longtemps, car le client de leur aînée, Cyscek, s'occupa rapidement de leur cas, les envoyant dans les bras de morphé en quelques secondes seulement. La jeune fille ne se fit pas prier et, dès qu'elle en eu l'occasion, alla se cacher dans la chambre de Sayaka, rejointe rapidement par cette dernière, ainsi que par Megane.

De son coté, Ako avait toute les peine du monde à retenir un haut le cœur, obligée de sucer ce sexe nauséeux et avec un gout atroce d'emmental périmé, sous peine de se prendre une balle en pleine tête. Dans un coin de sa tête, elle se demandait même si c'est type n'était pas des adeptes du smegma. La jeune femme espérait aussi que le sperme de cet homme était identique à celui des mortels, au moins ça rehausserait le gout vomitif de ce membre. Mais, une fois de plus, ce fut Cyscek qui vint à son secours. Ako eu juste le temps de croiser son regard, un dixième de seconde, avant de décaler sa tête de coté. Trois secondes, un coup de feu et un vomis plus tard, le violeur était mal en point, la prostituée se tenait le ventre avec un air maladif sur le visage et un trou ornait désormais le plafond.

- Vous êtes combien ?! Parle !

- Se... Sept ! On est sept ! S'il vous plait ne m ...


Coup de cross sur la tête et lui aussi fut envoyé au pays des rêves. Ako, qui avait un peu de mal à tenir debout, fut aidée par l'homme qui était venu la sauver. Elle avait quelques bleus sur le ventre, preuves qu'on l'avait battue avant d'entreprendre de la violer.

- Va rejoindre Yûna, fermez à clé et ne sortez pas de la chambre.

Elle hocha la tête et se dirigea d'un pas lent vers l'étage, appuyée contre le mur. En chemin, elle croisa sa sœur ainée armée d'un teaser, visiblement en colère contre les malfrats. Elle eu malgré tout droit à une brève étreinte, Sayaka étant rassurée de la savoir en vie. Lorsque celle-ci rejoignit Cyscek dans le hall, l'homme la regarda d'un air grave.

- Il en manque deux ...

La femme hocha la tête et regarda en direction de la cave.

- La salle des tortures... Mako et Nodoka y faisaient une séance.

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Depuis plus d'une heure, les deux sœurs, cousines des quatre autres, jouaient à la Maîtresse et à la soumise. Nodoka avait été attachée sur la crois, bras et jambes écartées, et se faisait délicieusement défoncée depuis tout ce temps par une machine sexuelle, qui enfonçait dans ses deux orifices intimes des gode vibro munis de petits picots mous. Enfermée dans son monde de luxure infinie, les oreilles bouchées et la vue masquée, une gag-ball dans la bouche qui laissait sa salive s'écouler, la jeune fille n'avait pas conscience de son environnement, et du fait que la séance avait été écourtée par l'arrivée de deux indésirables. Vu leur airs menaçants et les coutelas qu'ils tenaient en main, ce n'était pas des clients. Cependant, il serait précipité de dire que les deux prostituées étaient en mauvaise posture. En effet, Mako tenait les deux hommes à distance à l'aide d'un solide fouet en cuir, qu'elle faisait claquer devant eux chaque fois qu'ils tentaient de s'approcher.

L'un d'eux, à bout de patience, fini cependant par s'élancer vers elle, initiant un mouvement pour la planter dans le bras. Deux coups de fouet plus tard, le couteau gisait au sol et l'homme hurlait de douleur, se tenant ses précieuses, à genoux au sol.

- Peuh ! Vous jouez les durs mais vous êtes faibles. Vous me dégoûtez, et pas qu'à cause de votre odeur.

Cyscek

Humain(e)

Re : Prostituées + esclavagiste = un beau bordel [Pv Sayaka]

Réponse 4 mardi 10 décembre 2013, 17:47:07

L'établissement était devenu un capharnaüm, avec les corps gisants des clients, des assaillants, et tout ce qui avait été cassé. Il allait bien falloir un ou deux jours afin de tout remettre au propre. Mais cette partie ne concernait pas Cyscek, et donc il ne s'en préoccupait guère. Il avait lui même un peu mis le bordel, il fallait l'avouer. Comme Sayaka désignait la porte de la cave, l'esclavagiste s'approcha afin de jeter un oeil dans l'escalier. Pourtant il ne s'enfonça pas de suite dans les entrailles de la demeure, se retournant vers Sayaka.

Réunis tout le monde et ferme la porte d'entrée à clé. Si l'un des hommes bougent ...

Il ne finit pas sa phrase mais le regard qu'il jeta à l'arme de la demoiselle était sans équivoque. Il ne l'avait pas entendu tirer mais elle avait neutralisé un homme, c'est que cela devait marcher. Il tenait pour sa part le pistolet appartenant à un des malfaiteurs. Bien qu'il n'ait pas beaucoup d'expérience avec, il en avait déjà vu et manié deux fois. Cela devait suffir pour ce qu'il escomptait.
Disparaissant dans l'escalier, il laissa le rez de chaussée afin de descendre à pas de loup vers la cave. Ce n'était pas son terrain de jeu favori, mais il connaissait l'endroit et surtout les occupantes. Nodoka qui adorait se faire prendre et soumettre par l'esclavagiste, et sa soeur qui au contraire ne risquait pas d'être domptée de sitôt. Le genre de femme qu'il aurait relâché plutôt que de tenter de transformer en esclave s'il était sur Terra. Cependant elles avaient une complicité qui était agréable pour le client qui se retrouvait entre les deux, que ce soit pour participer à l'éducation de la première ou pour se faire dominer par la seconde.

La lumière tamisée de la salle aurait pu donner en temps normal une ambiance zen. Pourtant la fonction première de la pièce rendait l'effet totalement différent. Plus oppressant, les ombres des chevalets et des outils SM se découpaient dans des tons sombres et renforçaient le côté lugubre des lieux. Des gémissements montaient de la pièce. Les premiers, plaintifs, appartenaient à un homme. Les seconds plus étouffés devaient être ceux de Nodoka si Cyscek en croyait son jugement. Jetant un coup d'oeil en bas, il vit l'un des hommes en train de se tordre de douleur au sol, geignant comme un enfant. L'autre ne bougeait pas, tenu en respect par le fouet de Mako qui fendit à nouveau l'air pour l'empêcher d'approcher. La situation était sous contrôle et donc Cyscek fit les pas nécessaires pour descendre les dernières marches, apparaissant dans le champ de vision de Mako, dans le dos de l'étranger. Il arma le chien de son arme, pointant le canon sur l'arrière de la tête de ce dernier.

C'est fini. Vous avez voulu jouer et vous avez perdu. Tu vas prendre ton pote et vous allez déguerpir d'ici.

Etait-ce le cliquetis du pistolet, ou le ton de Cyscek qui fit trembler l'homme ? En tout cas, il lâcha son couteau afin de redresser les mains dans un signe de reddition. La situation était toujours tendue et pourtant c'est le moment que choisit Nodoka pour pousser un gémissement plus intensif. A voir la mouille qui coulait sur le gode qui lui limait l'abricot, elle venait de jouir. Coupée du monde, elle n'avait probablement même pas idée de ce qui venait de se passer. L'homme aidait son comparse à se redresser péniblement, et Cyscek s'écarta pour les faire remonter à l'étage. Il avait fait un signe à Mako si elle souhaitait suivre le mouvement, c'était à sa guise.

En haut, c'était bien plus calme qu'auparavant. Le cadavre gisait toujours dans le couloir, mais les lieux avaient retrouvés une partie de leur quiétude. Poussant les deux hommes vers la sortie, il se ravisa.

Vous allez sortir tous vos potes de là. Exécution.

La menace était réelle, et bien que l'idée de lui tenir tête avait traversé l'esprit du dernier valide, il s'abstint de le faire. Sous le regard inquisiteur et implacable de Cyscek, les deux hommes trainèrent péniblement chaque éclopés ou cadavres au dehors. Deux au moins étaient morts, pour les autres on ne pouvait être sûr, mais aucun n'avait repris conscience. Lorsque les cinq corps furent dehors, Cyscek réarma le pistolet et tira sans prévenir dans la jambe du seul qui jusqu'ici était resté indemne.

Pour que tu te souviennes. Si on vous revoit dans le coin, on vous bute.

Cyscek referma la porte du local à clé. Ils étaient dehors à présent et ne risquaient pas de vouloir retenter leur chance dedans. Il avait laissé l'homme se tordre de douleur en se tenant la jambe, l'autre gémissant encore alors qu'il saignait de l'entrejambe. Ils allaient surement abandonner leurs partenaires pour rejoindre l'hôpital, quand à ceux encore sur place quand Cyscek sortirait, il les balancerait à la benne, ça sera encore le plus simple et le plus discret. Se retournant vers le hall, il constata que le carrelage portait de nombreuses tâches de sang. La nuit était probablement compromise pour ce qui était de l'accueil des clients.

Vous pouvez sortir, je les ai reconduit à la sortie.



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