Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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"Et vive le cul !" [Ayumi Ishiyama]

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Mélinda Warren

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"Et vive le cul !" [Ayumi Ishiyama]

dimanche 24 novembre 2013, 02:23:30

[HRP - Le titre est un hommage à Gonzague !]



Kioko était, au sens littéral du terme, une surdouée. Dans un pays comme le Japon, où le système scolaire était fortement concurrentiel, et très élitiste, elle avait réussi à rejoindre une université en étant assez jeune. Pour être honnête, son dossier était tellement bon, ses notes tellement hautes, et les appréciations des professeurs tellement élevées, que plusieurs universités lui avaient proposé de venir, en lui offrant la possibilité d’une bourse. Elle aurait notamment pu rejoindre la très prestigieuse université de Tokyo. La Tōdai était une université gigantesque : vingt mille élèves en moyenne, trois campus gigantesques, un budget astronomique... Elle se félicitait de compter, parmi ses anciens étudiants, plusieurs prix Nobel, et des Premiers Ministres, et ses bibliothèques, en tout, abritaient la somme affolante de 9 millions de livres. Université cosmopolite, la Tōdai comptait 15% d’étudiants étrangers, ce qui en faisait, d’un point de vue international, l’université la plus attractive du pays. Rejoindre cette université avait donc vivement tenté Kioko, d’autant plus que l’université abritait dix facultés de droit. Pour autant, Kioko avait décidé de rester dans sa ville natale, et de rejoindre la petite université de Seikusu, qu’on rattachait généralement au lycée Mishima, dans un ensemble éducatif liant intimement le lycée à l’université. L’université accordait en effet, selon la rumeur, des préférences aux élèves issus de Seikusu : facilités de paiement, notations moins strictes... C’était une rumeur, rien de plus, mais il n’y avait, après tout, jamais de fumée sans feu.

Kioko était donc une surdouée, et c’était comme ça qu’elle avait réussi à faire le lien entre les vidéos pornographiques du manoir de sa Maîtresse, Mélinda Warren, principale raison ayant conduit Kioko à rester à Seikusu, et une élève d’un des cours de théâtre où elle se rendait le soir, afin de renforcer sa capacité de prise de parole et de diction à l’Oral. Kioko envisageait en effet de devenir avocate, ce qui était excessivement difficile au Japon. C’était un pays très sexiste, et le droit était, par excellence, un endroit machiste. Rien à voir avec les facultés européennes, où les femmes étaient dominantes. Ayant toujours été assez timide et réservée, ce qui était souvent le cas quand on avait deux ou trois ans de moins que ses collègues, Kioko avait toujours eu un mal de chien à s’exprimer en public. Étant très intelligente, et du genre à retenir tout, beaucoup de ses camarades avaient pris un malin plaisir à l’enfoncer. C’est dans cette circonstance qu’elle avait fini par rencontrer Mélinda. Qu’une femme aussi intelligente qu’elle soit devenue peu à peu son esclave en disait assez long sur la manière dont une vampire comme elle pouvait arriver à retourner la psyché des gens qu’elle côtoyait.

Mélinda lui avait ôté sa virginité, et l’avait aidé à se sentir mieux dans sa peau, à accepter le fait que sa différence ne faisait pas d’elle un monstre, mais un génie, et que l’être humain, faible par excellence et par nature, avait tendance à méfier de ce qu’il ne comprenait pas. Mélinda lui avait parlé de l’Histoire, des guerres de civilisation, de l’esclavage, de la traite négrière, lui montrant comment des gens civilisés avaient pu se laisser aller à des actes ignobles et inhumains, parce qu’ils avaient peur des autres, parce qu’ils n’admettaient pas la différence. Les paroles suaves de Mélinda avaient fait écho dans les oreilles de Kioko, lui rappelant les propos de Claude Lévi-Strauss. C’est à travers le sexe et son intelligence que Mélinda avait séduit Kioko, et que cette dernière en était tombée amoureuse, tout simplement.

Sa Maîtresse l’avait laissé libre de choisir où elle voulait aller, tout en lui recommandant d’aller à une université prestigieuse, afin de décrocher un poste influent, et ainsi de pouvoir renforcer l’influence de sa Maîtresse. Kioko avait réussi à passer une semaine à Tokyo avant que la présence de sa Maîtresse ne lui manque tout simplement trop.

C’est donc ainsi que Kioko s’était retrouvée à Seikusu. Pour perfectionner son niveau, elle avait suivi des cours de théâtre, et, au bout de quelques cours, avait repéré une silhouette qu’elle avait déjà vu quelque part. Une belle femme, faisant plus jeune que son âge, et qui avait de longs cheveux bruns. En faisant quelques recherches au manoir, elle avait fini par mettre la main dessus. Ayumi Ishiyama. Une jeune actrice porno, qui était littéralement née sur un plateau. La nouvelle, incroyable, avait donné lieu à une sorte de légende urbaine du X, où on parlait d’un procès, d’une censure gouvernementale sur le film. Kioko avait revu cette scène, assez incroyable, où une femme enceinte avait mise un enfant au monde tout en étant sanglée et pénétrée par des espèces de machines.

On disait que Megane Ishiyama avait été poursuivie par la justice, que le producteur de l’œuvre avait fini en prison, mais Kioko n’avait rien trouvé de probant sur le Net. Visiblement, l’affaire était entrée dans la légende, au même titre que ces actrices américaines qui avaient réalisé des gang-bangs publics incluant, selon leurs propres termes, des centaines de personnes.

C’est fort de cet enseignement que Kioko s’était décidée à aborder la fameuse Ayumi. Le cours de théâtre était en train de se terminer, les élèves quittaient l’amphithéâtre. Maîtresse voulait la voir, en pensant qu’avoir une actrice porno à domicile pouvait être une bonne idée. Kioko se rapprocha donc d’elle.

« Hey ! Salut, Ayumi ! »

Kioko lui fit un petit signe de la main, qu’elle vouait sympathique et rassurant.

« Je... Euh... Ça va te sembler un peu zarbi, mais j’aimerais pouvoir discuter avec toi, si ça ne te dérange pas... J’m’appelle Kioko. »

C’était une manière comme une autre d’aborder les gens.

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Ayumi Ishiyama

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Re : "Et vive le cul !" [Ayumi Ishiyama]

Réponse 1 dimanche 24 novembre 2013, 12:10:02

Depuis que Ayumi était entrée dans cette Fac, on pouvais dire qu'elle s'y plaisait pleinement. Car les seuls cours auxquels la jeune femme était inscrite ne portaient que sur des choses qui lui plaisait, que ce soit les cours de théâtre, de cinéma ou de photographie. Naturellement douée pour interpréter différent rôle, a force d'observer sa mère changer de personnalité suivant les scène de cul, Ayumi était rapidement devenue populaire au sein de l'établissement. Ça et le fait qu'elle était plutôt bien formée et particulièrement exubérante. Peu de filles à la fac portaient des mini-top arrivant tout juste à cacher ses tétons et des mini-shorty axant tout juste la taille d'un caleçon.

Depuis ses 18 ans, la brune n'avait envoyée sur le net que deux ou trois vidéo porno amateur  d'elle, que ce lorsqu'elle se faisait prendre sauvagement contre un rocher à la plage, en partouze dans un parking désert ou même dans le parc de la ville, dans une tenue de latex qui laissait tout voir de ses formes, à quatre pattes avec une laisse au bout du coup, urinant contre un poteau. Les vidéo avait eu pas mal de vues alors qu'on était encore loin des films professionnels. Et pourtant, atteindre ce but était son rêve. De fait, elle passait plus de temps dans ses cours qu'en boite de nuit, au grand damne de ses partenaires.

Le cours du jours portait sur un thème bien précis, où les élèves devaient interpréter le rôle d'une timide servante dans un manoir et d'un Maître autoritaire. Rien de bien excitant, c'était même un classique au Japon, où les hommes fantasmaient beaucoup sur les timides et les soumises. Comme à son habitude et sans faillir une seule fois à sa réputation, la personnalité d'Ayumi changea du tout au tout lorsqu'elle monta sur la scène, dans sa tenue de soubrette. Il était question d'un vase de porcelaine cassé lors du dernier grand ménage. Le mec qui jouait le rôle du Maître de manoir sévère attendait dos tourné, regardant les arbres à la fenêtre, tandis que la belle brune s'agenouilla au sol, intimidée et tremblotante.

- Alors Ayumi ? Qu'as-tu à déclarer pour ta défense ?

Ayumi renifla un peu, sanglotant, puis releva un visage ruisselant de larmes aucunement factice. Beaucoup d'actrice usaient de gouttes-œil pour avoir un visage larmoyant. La jeune femme elle, se mettait plutôt psychologiquement en situation, pour imaginer ce que pourrait ressentir une femme ayant véritablement cette personnalité.

- Je... Je suis d-désolée Maître... Je... C'était... P-Pas fait... exprès...

L'étudiant se tourna vers elle et Ayumi baissa le regard, rouge de honte, tremblotant de plus belle. Le "Maître" s'approcha et releva son visage avec le bout de sa chaussure noire, impeccablement cirée, avant de lui parler avec un ton tellement méprisant, qu'on aurait pu croire qu'il lui crachait au visage.

- Je suis tellement déçu de ton comportement Ayumi... Lorsque je t'ai hébergé chez moi il y a 12 ans, j'ai tout fait pour te donner une excellente éducation... Faire de toi la servante parfaite... Mais je constate aujourd'hui que je n'ai fait que perdre mon temps et mon argent... Ce vase chinois était d'une valeur inestimable, à tel point que tu n'aurais pas assez d'une vie pour le rembourser...

Il repoussa ensuite son visage du pied et lui tourna le dos. La seconde suivante, deux "gardes du corps" entrèrent et prirent chacun la soubrette par un bras, sans mot dire.

- M-Maître... ? Que... ?

- Tu vas être sévèrement punie dans les sous-sols Ayumi
, lui répondit-il en regardant de nouveau par la fenêtre. Tu aurais pu avoir une vie parfaite, tu n'auras finalement qu'une vie de servitude. Tu seras désormais ma chose, mon exutoire à mes colères et mes envies... Profite de cette nuit de repos, la dernière avant ton sévisse...

- Maître... Nooon... P-pitié... Maître... MAÎÎÎÎÎÎÎÎÎTRE !!!
Hurla t-elle, un air de profonde terreur imprimé sur le visage, tandis que les gardes la traînaient hors de la scène.

Puis, le rideau s'abaissa sur cette scène, avant de se rouvrir de nouveau, les différent acteur saluant la foule, soit le reste de la classe. La brune avait raccrochée le rôle de la timide pour reprendre sa vraie personnalité, affichant désormais un grand sourire, malgré les traces de larmes séchées.

Lorsque vint la fin du cours, Ayumi était de nouveau dans sa courte et provocante tenue, le visage nettoyé de toutes larmes. Elle était sur le point de sortir, retrouver l'air frais, lorsqu'une voix qu'elle connaissait bien, pour l'avoir déjà entendue sur scène, l'interpella.

- Hey ! Salut, Ayumi !

La jeune femme se retourna et mit un peu de temps avant de raccrocher un nom dessus, tandis que cette dernière s'approcha. Il s'agissait d'une belle brune bien formée mais un peu timide nommée Kioko. Cette dernière étudiait le droit – un domaine bien loin du métier qu'Ayumi souhaitait exercer – et qui ne prenait des cours de théâtre que pour s'exercer face à un public. En un sens, c'était parfaitement logique. Malheureusement pour elle, il lui restait encore beaucoup de chemin à faire. En effet, Kioko finissait souvent par se bloquer en plein milieu d'une scène, comme si elle faisait une crise d'angoisse. Il lui fallait sans doute un surplus de courage pour venir parler à une fille aussi populaire qu'elle...

- Je... Euh... Ça va te sembler un peu zarbi, mais j’aimerais pouvoir discuter avec toi, si ça ne te dérange pas... J’m’appelle Kioko.

Ayumi lui sourit, d'un sourire qui se voulait rassurant.

- Ça ne me dérange pas, bien au contraire. Ça fait un moment que je voulais te parler, mais tu semblait toujours fuir, comme si tu était attendue ailleurs. C'est que, malgré ta timidité, t'es plutôt mignonne. Mais nous serons sans doute mieux au RU pour parler, n'es tu pas d'accord ?
« Modifié: samedi 15 juillet 2017, 18:11:24 par Ayumi Ishiyama »

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Re : "Et vive le cul !" [Ayumi Ishiyama]

Réponse 2 lundi 25 novembre 2013, 02:09:35

Le monde du X était un monde particulièrement lucratif. Au cours de sa formation de droit, Kioko avait du faire un exposé sur un aspect du droit international, et avait choisi d’étudier les rapports entre la pornographie et le droit, car la manière dont la pornographie était envisagée d’un côté de l’Océan Pacifique n’était pas du tout la même que de l’autre côté. Le Japon était un pays beaucoup plus libre au niveau de la pornographie que les pays occidentaux ne l’étaient, tout en étant paradoxalement, sur certains points, notamment sur la représentation du sexe, beaucoup plus restrictif, ce qui avait donné lieu à un art japonais consistant à montrer les petites culottes, afin de suggérer la présence d’un sexe. Quoiqu’il en soit, en se renseignant, Kioko était tombée sur un article de journal recensant les 10 plus grandes fortunes du cinéma pornographique. La première d’entre elles était Jenna Jameson. Cette blonde sulfureuse, surnommée « Reine du Porno », avait son propre site Web, et, surtout, une fortune personnelle estimée à plus de 30 millions de dollars, pour avoir tourné dans environ 160 films. Pour autant, elle était encore loin du score de Peter North, un homme masculin qui, avec dix millions de dollars de fortune personnelle, avait tourné dans environ 2 000 films. Le Top 10 ne comprenait qu’une seule Japonaise, Maria Takagi, avec une fortune personnelle évaluée à six millions de dollars. De manière générale, il apparaissait clairement que les Américains, ce peuple si puritain, étaient le premier pays en matière de pornographie, tant du point de vue de la production, que du visionnage. Ainsi, si les Japonais apparaissaient souvent aux yeux des Occidentaux comme des pervers pédophiles, les Occidentaux, eux, apparaissaient plutôt comme de fieffés menteurs, de doux hypocrites. Kioko, dans son exposé, avait essayé de justifier le fait que la position japonaise cherchait, non pas à faire du X une sorte de seconde réalité parallèle, mais à essayer de l’encadrer, pour mieux la combattre, et, surtout, pour éviter les déviances et les agressions sexuelles. C’est ainsi que, statistiquement parlant, le Japon avait un nombre de viols très faible, par rapport à d’autres pays du monde, notamment les Etats-Unis. Et, si les mauvaises langues affirmaient que ceci venait avant tout du fait que les Japonaises ne disaient rien, et préféraient ne pas porter plainte, Kioko avait bon jeu de rétorquer que le même scénario se produisait en Occident, où quantité de femmes n’osaient pas porter plainte. En bref, Kioko avait une vision assez positive de la pornographie japonaise, mais elle ne pouvait pas espérer que les Occidentaux, baignant dans une culture judéo-chrétienne reposant fondamentalement sur l’idée de péché et de sanction, puissent la comprendre.

Différentes pensées étaient venues à l’esprit de Kioko quand elle était venue parler à Ayumi. Comme quoi, sa réputation de surdouée n’était pas surfaite : son cerveau repérait à une pépinière d’idées fusant dans tous les sens. Ayumi était habillée de manière extra-courte, le genre de tenues qu’on ne pouvait guère tolérer au lycée, ou encore dans certaines universités japonaises, comme la Tōdai.

« Ça ne me dérange pas, bien au contraire. Ça fait un moment que je voulais te parler, mais tu semblait toujours fuir, comme si tu était attendue ailleurs. C'est que, malgré ta timidité, t'es plutôt mignonne. Mais nous serons sans doute mieux au RU pour parler, n'es tu pas d'accord ? »

Kioko esquissa un léger sourire. Sa timidité était donc perceptible ? Il fallait dire qu’elle ne s’en sortait pas très bien, lors des cours de théâtre. Oh, elle adorait ça, mais ce n’était pas évident.

« Okay ! »

En revanche, elle était curieuse… Ayumi n’avait-elle pas dit qu’elle voulait lui parler ? De quoi donc ? Kioko était toujours troublée quand on lui annonçait qu’on voulait lui parler, car elle estimait, assez faussement en réalité, qu’elle n’était pas une personne très intéressante, avec sa manie de toujours parler, et de poursuivre ceux qui, à son sens, disaient des inepties. Cependant, elle était suffisamment intelligente pour avoir saisi, dans les propos d’Ayumi, une légère forme de critique.

« Et j’ai jamais voulu cherché à t’éviter, Ayumi ! C’est juste que j’ai beaucoup de recherches à faire, et de trucs comme ça... Et puis, je pense pas qu’entendre parler de la rescision pour lésion, de la théorie de l’imprévision, ou des restitutions rétroactives en cas de nullité d’une convention, soient des sujets particulièrement excitants... »

Mince, quelle cruche ! Kioko soupira intérieurement. Sérieusement, parler de droit avec quelqu’un, n’était-ce pas le meilleur moyen de faire fuir cette personne à toute allure ?! Elle secoua la tête, et suivit donc Ayumi, hésitant sur la manière de l’aborder.

*Alors, c’est cool, la vie d’actrice porno ? Tu sais que je pensais à ton joli cul en train de se faire tringler lors de mon exam’ de finances publiques ?*

Elle ne savait pas grand-chose sur Ayumi. Menait-elle sa double vie ? Elle était une si bonne comédienne qu’il était difficile de le dire.

Le duo rejoignit donc le restaurant universitaire, également ouvert le soir. Après tout, il y avait des internes qui dormaient à la fac’, partageant souvent les dortoirs du lycée Mishima, qui étaient suffisamment grands pour les accueillir... Une méthode comme une autre pour inciter les lycéens à rejoindre l’université.

Le duo se retrouva donc sur une table au RU, et Kioko prit la parole :

« Alors... Comme ça, tu voulais me parler ? De quoi, sans vouloir être indiscrète ? »

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Ayumi Ishiyama

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Re : "Et vive le cul !" [Ayumi Ishiyama]

Réponse 3 lundi 25 novembre 2013, 13:19:51

Oui, le fait que Kioko ne fasse qu'un léger sourire suite à ses dires prouvaient sans aucun doute sa timidité, aussi évidente que le nez au milieu de la figure.

- Okay !

- Alors allons-y !


Sans éprouver de gêne et avec sa joie de vivre habituelle, Ayumi prit sa camarade par la main et levant l'autre bras en l'air, un grand sourire aux lèvres, et l’entraîna au travers des couloirs et des bâtiments, sans prêter attention aux regards – courroucés ou envieux – sur sa personne. Depuis qu'elle s'habillait ainsi au lycée, hormis le port de l'uniforme, la jeune femme était habituée à ce type de regards. La remarque de sa camarade la fit légèrement rire, plutôt que de la faire fuir. A vrais dire, Ayumi pensait plutôt à une sorte de rendez-vous secret, vu que Kioko prenait toujours la direction de la sortie plutôt que celle de la bibliothèque. Mais apparemment, celle-ci ne semblait éprouver de l'amour qu'envers ses cours de droit. Du coup, ce qu'elle avait à lui proposer passera sans doute plus difficilement.

Lorsque les deux jeunes femmes prirent place dans un coin isolé du RU, chacune une boisson devant-elles, les conversations se turent légèrement, avant de reprendre.

- Alors... Comme ça, tu voulais me parler ? De quoi, sans vouloir être indiscrète ?

Ayumi joignit ses mains sous son menton et se pencha un peu plus sur la table, sa poitrine se décollant de fait légèrement de son torse.

- Je vais être franche et directe. J'ai pour projet de tourner une quatrième vidéo porno avec des amis, en forêt, et je voudrais te proposer de tourner dedans avec nous... J'ai entendu dire que c'était un de tes fantasmes... Qu'en pense tu ?

La belle brune avait cette réputation de ne pas cacher grand-chose, que ce soit son corps ou sa vie, et même qu'elle en était très fière. Aussi, lorsque quelque uns avait tenter de la faire chanter avec les dites vidéos présentes sur le net, elle se contentait généralement de rire, avant de répliquer que ça ne pourrait que l'aider dans sa future carrière. Généralement, les "maîtres" chanteurs se retrouvaient plus dépités qu'autre chose.

La laissant se remettre du probable choc et de lui laisser le temps de réfléchir, Ayumi se redressa et but quelques gorgées de son Mika, une boisson chaude à base de café et de chocolat mousseux.

Mélinda Warren

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Re : "Et vive le cul !" [Ayumi Ishiyama]

Réponse 4 mardi 26 novembre 2013, 10:36:21

La belle poitrine d’Ayumi n’échappa pas au regard sagace de Kioko lorsque cette dernière se pencha vers elle. La jeune femme était belle, quoique un peu vulgaire, au regard des critères esthétiques japonais. Qu’elle suscite la controverse n’était pas inexplicable, car les Japonais avaient pour eux une sorte de tradition de la beauté à travers la frustration et le fait de cacher le corps féminin, afin de laisser l’imagination s’égayer, et faire le travail des yeux à sa place. Forcément, quand on ne portait rien sur le corps que deux bouts de ficelle, l’imagination n’avait pas à beaucoup travailler. Fort heureusement, Kioko était suffisamment moderne pour pouvoir apprécier un tel spectacle.

« Je vais être franche et directe. J'ai pour projet de tourner une quatrième vidéo porno avec des amis, en forêt, et je voudrais te proposer de tourner dedans avec nous... J'ai entendu dire que c'était un de tes fantasmes... Qu'en penses-tu ? »

Pour le coup, la proposition fut tellement inattendue que Kioko en resta comme deux ronds de flancs, fixant d’un air un peu stupide Ayumi. Est-ce qu’elle avait bien entendu ? Oui. Est-ce qu’Ayumi ne s’était pas trompée de mot ? Non. Kioko s’était en réalité plutôt attendue à ce qu’Ayumi lui demande la possibilité de travailler avec elle, voire de lui demander son aide, parce qu’elle avait un problème avec quelqu’un, et cherchait à avoir un point de vue juridique sur la question. Après tout, avoir un avocat, ou, à défaut, quelqu’un qui connaît la loi, dans ses relations, ce n’était jamais de trop. Mais, là... Tourner un porno ? En forêt ? Et elle avait entendu dire que c’était un de ses fantasmes ?! Kioko remuait dans sa tête ces petits morceaux de phrases en essayant de les traduire, un peu comme elle chercherait à commenter les phrases d’un arrêt rendu par la Cour Suprême, exercice qui tenait généralement plus du devoir linguistique que juridique.

Ayumi se redressa un peu, et Kioko cessa de rester la bouche ouverte, la refermant subitement.

« Et bien, je... Euh... Tu abordes souvent des camarades pour leur demander de tourner dans un porno ? C’est... Waaw... J’en suis sur le cul. »

Elle se gratta l’arrière de la tête, ne pensant même pas à goûter à sa boisson. Tourner dans un film porno ? À première vue, l’idée semblait irréalisable, et, de toute manière, elle l’était, si sa Maîtresse n’était pas d’accord. Avec le temps, Kioko avait progressivement pris l’habitude de se référer à elle pour prendre des décisions. C’était plus facile. Curieusement, si Kioko était assez douée pour prendre des décisions au nom des autres gens, quand c’était elle qui était concernée, elle avait tout de suite beaucoup plus de mal à réfléchir de manière objective... Sans doute parce que, quand c’était elle, elle connaissait toutes les données de l’équation. Dès lors, se reposer sur un avis extérieur, surtout quand il émanait d’une personne dont on savait que l’avis serait judicieux, était une facilité que Kioko suivait.

Kioko se faisait à l’idée que ce n’était effectivement pas une blague, et regarda nerveusement autour d’elle. À cette heure-ci, le RU était relativement vide, et il n’y avait pas grand-monde dans leur coin. Elle observa encore les seins d’Ayumi. Tourner un film porno avec elle reviendrait très logiquement à lui faire l’amour... Et il y avait un risque que le petit oiseau se mette à sortir. Kioko faisait en effet partie de ces esclaves qui avaient reçu une opération chirurgicale pour pouvoir avoir une belle virilité.

« Tu te doutes bien que je ne pourrais pas t’apporter une réponse définitive ce soir, Ayumi... Je n’ai encore jamais tourné dans un porno, mais je suis flattée que tu m’estimes assez belle pour pouvoir le faire. En attendant... Est-ce que tu pourrais m’en dire plus sur ce film ? Combien il y a de figurants prévus, et... Euh... Le déroulement ? »

Elle avait failli demander à parler du « scénario », mais, dans ce genre de scènes, le scénario n’était pas vraiment quelque chose de très intéressant. Kioko, qui réfléchissait comme toujours assez rapidement, envisageait déjà des possibilités avancées... Comme la possibilité de soumettre l’idée à sa Maîtresse, par exemple. Après tout, c’était une esclavagiste sexuelle, alors, se tourner vers la production pornographique ne devrait pas forcément être impossible à faire. Mélinda avait les lieux, et suffisamment de poupées dans son manoir pour le transformer en un temple du 7ème art.

Curieusement, et c’était sans doute la preuve de l’influence de Mélinda, son sexe commençait délicatement à la titiller. Rien de bien gênant, mais, sans oser se l’avouer, Kioko trouvait l’idée de se faire prendre par des inconnus délicieusement excitante... Comme une sorte de fantasme refoulé, ce genre de choses qui, avec des vampires comme Mélinda, avait tendance à vous exploser à la figure.

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Ayumi Ishiyama

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Re : "Et vive le cul !" [Ayumi Ishiyama]

Réponse 5 mercredi 27 novembre 2013, 19:19:54

- Et bien, je... Euh... Tu abordes souvent des camarades pour leur demander de tourner dans un porno ?

- Seulement ceux qui en valent le coup
, répliqua la jeune femme, tout sourire

- C’est... Waaw... J’en suis sur le cul.

Ayumi éclata de rire, attirant quelques regards vers leur table, tandis que Kioko rougissait un peu. Elle la laissa cogiter encore un peu, ne sachant visiblement plus où poser le regard, et l'actrice amatrice en profita pour finir sa boisson. En son fors intérieur, elle se disait que cela pourrait être effectivement très intéressant de voire une timide de nature tourner dans un porno.

- Tu te doutes bien que je ne pourrais pas t’apporter une réponse définitive ce soir, Ayumi... Je n’ai encore jamais tourné dans un porno, mais je suis flattée que tu m’estimes assez belle pour pouvoir le faire. En attendant... Est-ce que tu pourrais m’en dire plus sur ce film ? Combien il y a de figurants prévus, et... Euh... Le déroulement ?

Dans sa tête, Ayumi poussa un semi cris de victoire, car vouloir en savoir plus, c'était montrer qu'on s'y intéressait malgré tout. La belle ne se fit donc pas prier et lui dévoila le déroulement du tournage.

- On sera huit pour la vidéo, plus deux autres personnes pour filmer et faire le montage. Parmi les acteurs, quatre garçons et quatre filles. Normalement, on doit se donner rendez-vous dans quelques jours une fois tout les figurants trouvés, pour faire plus ample connaissance et déterminer qui ira avec qui, savoir ce que chacun aime et déteste dans le sexe, etc... Toutes les filles sont censé être Bi, pour faciliter le déroulement de chacune des séquences.

Ayumi avait beau donner l'impression qu'elle s'amusait, elle parlait néanmoins comme une professionnelle et sa petite équipe s'était minutieusement préparée pour le tournage amateur. Car chacune des personne usera de ses connaissances et de ses cours pour faire ce moyen métrage.

- On tournera dans la forêt proche de la ville, près d'un lac pour les besoins de la vidéo. Lors du tournage, celui-ci sera divisé en plusieurs séquences. Phase une: un groupe d'amis se rend donc en forêt pour un week-end en camping et on monte les tentes, avant de préparer le repas. Deux personnes iront chercher du bois pour alimenter le feu – C'est la première scène de sexe – et mettent donc du temps avant de revenir. Ensuite, c'est le repas, la conversation, etc... Phase 2: Le groupe va se laver et pour ce faire, utilise le lac à proximité. Pas de scène de sexe ici, mais de la nudité et de la sensualité, d' autant qu'il n'y a pas assez de savon pour tout le monde et qu'il faut donc se laver corps contre corps.

Comme la vidéo était assez longue, la petite bande avait décider de couper les phases de cul avec des scènes plus normales, pour laisser au spectateur derrière son écran, le temps de débander et de se remettre de son orgasme, avant de repartir de plus belle. La vidéo devait procurer entre deux ou trois orgasmes en moyenne, suivant les personnes.

- Phase trois, la nuit est tombée et, après un moment en musique autour du feu de camp, on va se coucher dans les tentes. Il y a deux personnes par tente et les filles et garçons sont séparés. C'est le moment où l'on se retrouve avec deux scènes de cul entre lesbiennes, filmées en même temps par les garçons. Le monteur se chargera de faire en sorte qu'elle se superposent durant cette séquence. Enfin, vient la quatrième Phase et la plus longue. Le lendemain, le groupe se rend compte qu'ils n'ont pas pensés à prendre des vêtements de rechanges. Et pour éviter de partir avec des tenues trop salles, décide de rester nu la journée. Au début, ils résistent difficilement à l'appelle de la luxure, et commencent à craquer les uns après les autres. Cette séquence là sera divisée en deux sous-phases. Au début, les couples restent entre eux, plus ou moins éloignés les uns des autres. Et, leur libido augmentant un peu plus à chaque orgasme, ils finissent par se mélanger dans une formidable orgie. Pour aider, on absorbera quelques aphrodisiaques, avant de tourner cette partie là...

Ayumi fit une pause, très fière du scénario alors que c'était complètement tourné en amateur avec deux caméscopes. Et à présent, Kioko avait suffisamment d'information sur le tournage.

- Alors ? Toujours intéressée ma belle ?
« Modifié: samedi 15 juillet 2017, 18:32:43 par Ayumi Ishiyama »

Mélinda Warren

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Re : "Et vive le cul !" [Ayumi Ishiyama]

Réponse 6 vendredi 29 novembre 2013, 02:00:09

Ce n’était donc pas une blague... Ayumi avait l’air très sérieuse, alors que, depuis sa chaise, elle lui énonçait le déroulement de son film. Une scène de sexe à huit (huit !) dans la forêt, avec trois phases principales. Kioko l’écoutait sans trop oser parler. Initialement, elle pensait que la jeune femme était mi-sérieuse, une sorte de provocation destinée à la dérider un peu, puisqu’elle avait apparemment la réputation d’être une fille coincée. Mais, visiblement, son truc était déjà bien préparé, et la manière dont elle en parlait, sans la moindre gêne... À la seule idée de figurer dans un film porno, Kioko trouvait l’idée... Juste complètement délirante ! De son point de vue, il n’y avait que les filles en manque d’argent qui s’abaissaient à ce genre de pratiques... Ou des perverses. Évidemment, en étant née sur une scène de tournage, Ayumi était manifestement prédestinée au film pornographique, mais Kioko, elle, voulait être avocate, avoir des postes à responsabilités. Pouvait-elle se permettre d’apparaître dans un film où on la verrait se faire défoncer le cul en hurlant de joie ? C’était le genre de trucs qui pouvaient vous retomber dessus des années plus tard, car Kioko se destinait à un métier où l’apparence comptait beaucoup, et où il ne fallait surtout pas apparaître comme quelqu’un d’immoral, a fortiori quand était une belle femme.

« Alors ? Toujours intéressée ma belle ? »

L’aplomb de cette femme était assez désarçonnant. Intéressée... Oui, Kioko l’était, car elle trouvait que ça pouvait être fun, mais elle était aussi très rationnelle. Le risque était trop grand. Si la vidéo se diffusait sur Internet, n’importe qui était potentiellement susceptible de la trouver, et de pouvoir, par la suite, faire pression sur elle. C’était typiquement le genre de dilemmes que l’esprit actif et nerveux de la jeune femme ne pouvait s’empêcher d’imaginer : le chantage, la pression, sa carrière ruinée... Tout ce qu’elle ne voulait pas, et, par ailleurs, que sa Maîtresse ne voulait pas non plus. Pouvait-elle prendre ce risque ? La réponse allait de soi. Non, évidemment.

« Et bien, je... Euh... »

L’enthousiasma placide, professionnel, d’Ayumi, était assez envahissant, contagieux, mais le risque était tout simplement trop grand. Bien que l’idée de débarquer dans un gang bang évoquait en Kioko quelques plaisirs et fantasmes réveillés depuis qu’elle offrait sa croupe à sa Maîtresse, le faire sous les yeux de caméras était impensable, tout simplement.

« Je... Ne va surtout pas croire que je prends ça de haut, mais... Enfin... »

Kioko se massa l’arrière du crâne, peinant à croire que c’était ici, dans le RU, qu’elle avait cette scène...Dans ce même endroit où, il y a quelques années, à l’approche d’un examen en droit pénal, Kioko avait révisé avec des amies les critères dégagés par la Cour Suprême en 1983 dans l’affaire Norio Nagayami pour dégager les différents critères de la peine de mort.

« Tu vois, c’est pas que ça me choque, ou quoi que ce soit, mais... Si jamais il circulait sur moi dans le Web une vidéo... Indécente... C’est le genre de trucs qu’on trouve dans des films et qui pourraient me valoir des ennuis plus tard... »

Kioko rougit légèrement, ayant conscience que cette excuse ressemblait un peu à un argument hypocrite, une manière de dire qu’elle trouvait ça dégoûtant... Or, aussi intéressée que soit Kioko par son avenir, comme toute bonne Japonaise, elle avait aussi envie qu’on ne la prenne pas pour une coincée, une bonne bigote. Ayumi, de ce que Kioko en savait, était assez populaire à l’université, et Kioko ne voulait pas qu’elle se sente frustrée par son refus, et qu’elle l’interprète faussement. Aussi, Kioko rajouta assez rapidement :

« Mais... Je connais une personne qui... Enfin... Qui pourrait être intéressée par... Par tes productions. »

Pour le coup, il y avait effectivement des chances qu’elle le soit, puisqu’il s’agissait tout simplement de sa Maîtresse, Mélinda.

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Ayumi Ishiyama

Humain(e)

Re : "Et vive le cul !" [Ayumi Ishiyama]

Réponse 7 dimanche 01 décembre 2013, 20:56:05

- Et bien, je... Euh...

Ayumi avait remarquée que, tout au long de sa tirade, le visage de la discrète Kioko avait de plus en plus viré au rouge cramoisi et, dès lors qu'elle lui avait demandée son avis, celle-ci avait commencée à chercher ses mots, regardant de tout coté, comme si elle avait peur qu'on l'écoute, ce qui ne faisait qu'accentuer son air timide.

- Je... Ne va surtout pas croire que je prends ça de haut, mais... Enfin... Tu vois, c’est pas que ça me choque, ou quoi que ce soit, mais...

L'étudiante avait déjà compris où sa camarade voulait en venir. Et cette dernière si prenait avec tellement de difficultés que Ayumi devait se faire violence pour ne pas lui faire un gros câlin. Néanmoins, tout en refusant de participer à cette vidéo, la belle avait crue discerner de l'excitation chez cette fille. Etant donné sa manière de s'exprimer, ou la façon avec laquelle elle se tortillait sur sa chaise, il semblait que Kioko aurait très bien acceptée, si il n'y avait pas eu cette histoire de caméra.

- Si jamais il circulait sur moi dans le Web une vidéo... Indécente... C’est le genre de trucs qu’on trouve dans des films et qui pourraient me valoir des ennuis plus tard...

- Hmmm... Cela veut donc dire que, si il n'y avait pas eu de caméra ou cette histoire de site de cul, tu aurais acceptée ? Il faut qu'on réorganise un autre truc du genre hors caméra alors...


Malgré ce refus de la part de l'étudiante en droit, Ayumi conservait le sourire, se permettant même de la taquiner un peu. Et la voir rougir comme une tomate, aussi. Mais elle conserva dans un coin de sa tête que l'idée de se faire sauter par des inconnus, contre un arbre, l'excitait grandement. Peut être devrait-elle lui réserver ça pour la fin de ses partiels, un de ces jours...

- Mais... Je connais une personne qui... Enfin... Qui pourrait être intéressée par... Par tes productions.

- Ah ? Si il s'agit de Clara, elle est malheureusement trop jeune pour figurer sur une vidéo de ce genre, peut être d'ici deux ans. Mais si une autre de tes connaissance est intéressée, pourquoi pas.


Ayumi lui fit un autre de ses sourires enjoués, paupières fermées, avant de se lever – payant l'addition au passage – et quitter le restaurant, accompagnée de Kioko. Dehors, il commençait à ce faire tard, le ciel orangé annonçant la nuit qui n'allait pas tarder à arriver. Ayumi prit de nouveau sa nouvelle amie par la main, sans éprouver plus de gêne que cela.

- Si ça ne te dérange pas, j'aimerais beaucoup rencontrer cette fameuse personne.

Mélinda Warren

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Re : "Et vive le cul !" [Ayumi Ishiyama]

Réponse 8 mardi 03 décembre 2013, 00:33:31

Hors caméra, il allait de soi que Kioko n’aurait nullement été contre l’idée de faire l’amour avec Ayumi. L’avantage d’être l’esclave d’une femme comme Mélinda était qu’on devenait assez rapidement assez délurée, et du genre à accepter très facilement de faire l’amour, ou de parler de sexe... Même si Kioko rougissait comme une pivoine en parlant de cul aussi rapidement, avec une femme qui, après tout, était encore pour elle une inconnue.

« Ah ? Si il s'agit de Clara, elle est malheureusement trop jeune pour figurer sur une vidéo de ce genre, peut être d'ici deux ans. Mais si une autre de tes connaissance est intéressée, pourquoi pas. »

Clara ? Kioko cligna des yeux. Comment Ayumi savait-elle que Kioko était proche de Clara ? Ce n’est pas comme si les deux femmes sortaient ensemble. Parfois, Clara accueillait Kioko à la sortie de la fac’, avec Shii, et la jeune étudiant en droit se dit que ça devait venir de là. Avec ses cheveux roses, et sa manie à crier sur tout ce qui bouge, Clara était le genre de femmes qu’on n’oubliait pas facilement, et la voir avec Kioko, qui était l’exact opposé de Clara, avait probablement du amener les gens à se poser des questions. Plus généralement, Kioko semblait surtout réaliser que, contrairement à ce qu’elle pensait, elle était loin d’être une jeune fille qui passait inaperçue. Elle était aussi belle qu’intelligente, mais, comme elle était timide, elle pensait tout simplement que les gens ne pensaient pas à elle, et avaient des choses beaucoup plus intéressantes à faire que venir parler à une jeune fille.

« Non, ce n’est pas Clara » lui assura-t-elle.

Kioko essaya d’imaginer la baffe monumentale qu’elle se recevrait en proposant tout de go à Clara de rejoindre le casting d’une production pornographique. Elle en sourit même, brièvement. De toute manière, Clara était encore trop jeune, au regard de la législation japonaise. Kioko trouvait amusant qu’Ayumi invoque la minorité de Clara, sachant qu’il était vraisemblable qu’elle-même n’était pas majeure. Savoir à partir de quel âge on pouvait tourner dans un film pornographique était un débat permanent : fallait-il attendre l’âge de la majorité sexuelle, ou celui de la majorité civile ? Au Japon, la majorité civile était atteinte à l’âge de 20 ans, et la majorité sexuelle, techniquement, à l’âge de 13 ans. C’était typiquement japonais : la majorité civile était acquise à un âge très avancé, alors que la majorité sexuelle était la plus basse du monde. Cependant, dans les faits, le Code Pénal autorisait chaque préfecture à modifier l’âge de cette majorité sexuelle, ce qui compliquait les choses. Kioko, qui s’était renseignée abondamment sur le sujet, savait que, sur ces questions, il y avait un flou législatif au Japon, qui permettait notamment la diffusion de films érotiques d’animation pédopornographiques, les fameux lolicon et shotacon. Cependant, Ayumi ne voulait pas tourner des films d’animation... Concrètement, Kioko pensait que, si Ayumi pouvait faire des films, alors qu’elle n’avait atteint que sa majorité sexuelle, Clara aussi le pourrait. Le Japon était beaucoup plus permissif que des pays comme la France... Ou moins hypocrite, selon les perceptions.

Encore une fois, l’esprit de Kioko s’était envolé dans les méandres de la législation, allant jusqu’à se rappeler le tableau comparatif qu’elle avait vu sur le site d’Interpol, qui offrait une vue globale de la législation de tous les États, relativement à la pornographie infantile, et sortit de ses pensées quand Ayumi la prit par la main, avant de quitter le RU. Kioko la suivit, jusqu’à ce qu’Ayumi la tire pour de bon de ses pensées :

« Si ça ne te dérange pas, j'aimerais beaucoup rencontrer cette fameuse personne. »

Kioko cligna des yeux. De qui parlait-elle, déjà ?

*Ah oui, c’est vrai !*

Kioko attrapa son téléphone portable.

« Je vais l’appeler, mais ça devrait pouvoir se faire... »

Kioko composa le numéro de Mélinda. Se mettre au portable était toujours très difficile pour la vampire, qui venait d’un pays où ce genre d’appareils n’existait pas, mais sa Maîtresse apprenait vite. Elle lui répondit rapidement, et Kioko se mit à lui parler, l’appelant « Maîtresse » sans la moindre des hésitations. Il était vraisemblable qu’Ayumi en prenne les conclusions qui s’impose, et sa Maîtresse accepta la venue de cette femme. Kioko fut légèrement rassurée, et ferma son téléphone portable.

« Elle est d’accord... Elle s’appelle Mélinda, d’ailleurs. Mélinda Warren. Elle vit dans les hauteurs de la ville, dans un grand manoir. Par contre... »

Kioko savait comment Mélinda fonctionner, et, après une petite hésitation, lui parla :

« Ma... Ma Maîtresse voudra s’assurer que tu as les reins assez solides pour supporter un tel projet... »

La jeune femme était encore un peu trop prude pour parler ouvertement de sexe, et pour lui dire qu’Ayumi allait se faire tringler sévèrement.

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Ayumi Ishiyama

Humain(e)

Re : "Et vive le cul !" [Ayumi Ishiyama]

Réponse 9 jeudi 05 décembre 2013, 16:14:27

Kioko mit un peu de temps avant de réagir, mais elle fini par sortir son portable et composer un numéro, lui assurant au passage que la chose devrait être réalisable. Durant la conversation, Ayumi se demanda qui pouvait bien être cette fameuse personne... Était-elle connue de réputation ? L'avait-déjà t-elle déjà vue ? Mais elle fut rapidement sortie de ses réflexions, lorsqu'elle entendit sa camarade prononcer le mot "Maîtresse". Avait-elle bien entendue ? Ou son esprit déplacée commençait-il déjà à imaginer des choses ? Mais à la fin de ce fameux coup de fil, la belle eu confirmation, qu'elle avait bien entendue Kioko prononcer ce mot.

- Elle est d’accord... Elle s’appelle Mélinda, d’ailleurs. Mélinda Warren. Elle vit dans les hauteurs de la ville, dans un grand manoir. Par contre...

- Mélinda... C'est pas cette blonde qui est connue pour s'être tapée la moitié des lycéennes et des profs l'an dernier ? Intéressant...

- Ma... Ma Maîtresse voudra s’assurer que tu as les reins assez solides pour supporter un tel projet...


Ayumi afficha un grand sourire suite à cette réplique, un éclat de défi brillant dans son regard. Si l'étudiante en droit appelait une lycéenne "Maîtresse", c'est qu'intérieurement, la timide jeune femme devait être une sacrée soumise.

- Maîtresse, hein ? Tu cache bien ton jeu Kioko... J'étais loin de penser que t'étais une sacrée perverse, derrière cette timidité.

Taquine, Ayumi faisait exprès de faire rougir sa camarade, et s'aprocha doucement d'elle, la prenant par la taille avec un bras et caressant doucement sa joue du dos de l'autre main.

- T'en fait pas pour moi, mes reins ont déjà subits nombres d'assauts pour me rendre plus endurante. Moi, je me demande plutôt comment elle compte s'y prendre... et surtout avec quoi.

Heureusement, elles étaient arrivées dans un coin sombre et totalement désert, ou personne ne pouvait les surprendre, même si le contraire n'aurait probablement pas gênée la future star du X. S'aidant de la main sur son visage, qui passa sur la nuque de sa camarade, Ayumi se pencha vers sa camarade et embrassa langoureusement celle-ci, explorant longuement sa délicieuse petite bouche humide, sa poitrine plaquée sur celle de Kioko. Après tout, rien ne les empêchait de s'embrasser au moins une fois, avant d'arriver à destination. Mais au bout de quelques minutes, Ayumi fini par découvrir le petit secret de l'étudiante en droit. Un petit secret bien dur et tendu, qui tapait contre son bas ventre. Autant surprise qu'amusée, la plantureuse japonaise se détacha de Kioko, un mince filet de salive les reliant brièvement.

- Oh ? Pour une surprise... C'est loin d'être un simple gode, n'est-ce pas ?

Espiègle, Ayumi se rapprocha de nouveau, sa main droite caressant sensuellement la bosse à travers le jean de Kioko.

- Dis moi... Y'a-t-il possibilité de jouer un peu plus, avant de voir ta Maîtresse, ma belle Kioko ?

Mélinda Warren

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Re : "Et vive le cul !" [Ayumi Ishiyama]

Réponse 10 vendredi 06 décembre 2013, 01:24:51

Kioko était d’accord pour considérer que Maîtresse avait du coucher avec la moitié des élèves du lycée, mais blonde... Pourquoi tout le monde l’imaginait blonde ? Elle avait une belle chevelure châtain, de magnifiques cheveux châtains clairs qu’elle entretenait longuement chaque matin, avec l’aide de plusieurs esclaves. On la peignait généralement pendant une bonne demi-heure, au minimum. Kioko n’eut cependant guère l’occasion de lui en dire plus, car elle se retrouva plaquée contre le mur d’une petite ruelle silencieuse. Rougissant, Kioko venait de comprendre qu’elle avait divulgué à Ayumi des informations sensibles, des points faibles que la jeune femme allait exploiter.

Grâce à sa Maîtresse, Kioko avait compris que les gens timides étaient généralement des pervers, et qu’il y avait une certaine corrélation entre leur timidité et leur perversion, comme s’ils avaient honte des pensées peu chastes qu’ils éprouvaient. Pourtant, avant de rencontrer Maîtresse Warren, Kioko avait été vierge, et conservait ses désirs et ses penchants sexuels uniquement à l’ordre du fantasme. Depuis lors, elle avait eu l’occasion d’accomplir certains fantasmes.

« T'en fait pas pour moi, mes reins ont déjà subits nombres d'assauts pour me rendre plus endurante. Moi, je me demande plutôt comment elle compte s'y prendre... et surtout avec quoi.
 -  Je... Euh... »

La jeune femme déglutit silencieusement, le dos contre le mur, et laissa Ayumi se rapprocher. Elle était incapable de la repousser, et elle accepta donc le fougueux baiser que la jeune femme lui fit, glissant ses mains dans le dos de la femme, se rapprochant de ses fesses. Kioko gémit de plaisir. Hier, elle n’avait pas fait l’amour, et, maintenant qu’elle sentait les seins d’Ayumi contre elle, et, surtout, qu’elle réalisait qu’elles allaient faire l’amour dehors, en pleine rue, Kioko sentit quelque chose la démanger entre ses cuisses. La jeune femme soupira faiblement, se tortillant un peu, épousant les belles formes de sa camarade. Oui, Kioko était une perverse, suffisamment pour avoir demandé à sa Maîtresse de lui offrir un petit quelque chose, un appendice qui se mit à pousser entre ses cuisses. Kioko soupira, et sentit sa verge apparaître, heurtant le bassin d’Ayumi.

Elle en rougit davantage, gênée, et se mordilla les lèvres... Ce qui, toutefois, ne sembla nullement déranger sa partenaire, qui se mit à la masturber, caressant cette bosse se formant à travers son jean.

« Dis moi... Y'a-t-il possibilité de jouer un peu plus, avant de voir ta Maîtresse, ma belle Kioko ? »

Kioko soupira, fermant les yeux, puis hocha lentement la tête, avant de raffermir sa prise sur le corps de la femme.

« Je ne voudrais pas... Te présenter à ma Maîtresse sans... Sans m’assurer de tes performances... »

Elle esquissa un léger sourire, qu’elle voulait complice, puis commença à défaire le haut de son jean, le faisant glisser. Dessous, elle portait un shorty rouge, déformé par la présence de son membre. Kioko jeta un coup d’œil inquiet autour d’elle, mais il n’y avait personne. Elle s’humecta les lèvres, guidée par ses pulsions, et retourna Ayumi, la plaquant contre le mur, où elle se servit de ce dernier comme appui pour pouvoir la pénétrer, écartant légèrement son bout de tissu pour avoir accès à son intimité, qu’elle pénétra sans grande hésitation, soupirant de plaisir, s’affalant contre le corps de sa partenaire.

Ce faisant, Kioko commença lentement à remuer, donnant quelques coups de reins en soupirant de plaisir.

« C’est... C’est bien plus qu’un simple gode, A... Ayumi… C’est… Un… Humm… Un cadeau de ma Maîtresse, haaann… »

Kioko remuait rapidement, son érection s’accroissant dans le vagin de la femme. Elle posa une main sur sa nuque, et remonta l’autre, cessant de maintenir les cuisses d’Ayumi, pour presser l’un de ses seins.

« Dis-moi... Combien... Combien de fois tu... Haaa... Tu as... Fait l’a... L’amour... »

Elle se demandait surtout combien de zéros il fallait mettre après le premier chiffre.

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Ayumi Ishiyama

Humain(e)

Re : "Et vive le cul !" [Ayumi Ishiyama]

Réponse 11 vendredi 06 décembre 2013, 14:07:20

- Je ne voudrais pas... Te présenter à ma Maîtresse sans... Sans m’assurer de tes performances...

A sa grande surprise, Kioko pris alors les devants, retirant d'elle-même son jean serré, qui dévoila une magnifique bosse sous un boxer, preuve que le membre enfermé à l'intérieur était tendu et incroyablement excité. Avec une gourmandise non feinte, Ayumi se lécha les lèvres en le prenant en main, avant de faire quelques vas et viens dessus. L'étudiante en droit, galvanisée par leurs solitudes et les avances de sa camarade, semblait avoir laissée tombée le masque de la timidité, pour laisser place à une personnalité plus perverse, plus joueuse... mais également impatiente. Car bien qu'Ayumi aurait adorée prendre ce membre tendu en bouche, en pazzuri, Kioko elle, choisit à la place de pénétrer sa chate délicieusement juteuse de mouille, sans perdre une seule seconde de plus, en la retournant dos au mur. Visiblement, cela devait faire un moment qu'elle n'avait pas baisé et les deux jeunes femmes gémissement de concert lors de la pénétration.

- C’est... C’est bien plus qu’un simple gode, A... Ayumi… C’est… Un… Humm… Un cadeau de ma Maîtresse, haaann…

Kioko débuta alors de lents vas et viens en elle, se plaquant contre les opulents seins de son amante. Puis, une fois bien en elle, sa camarade accéléra le mouvement et, bientôt, la rue silencieuse fut remplie de doux gémissements et de bruits mouillés, fortement érotiques. Kioko s'amusa à prendre en main l'un des seins d'Ayumi, à le palper sans vergogne, tandis que cette dernière de son coté, ne se gênait pas pour plaquer ses mains sur le délicieux cul de son amante, pressant les fesses l'une contre l'autre, les écartant, alors qu'une de ses jambes s'était retrouvée par-dessus l'épaule de Kioko pour faciliter l'accès à son antre des plaisirs.

- Dis-moi... Combien... Combien de fois tu... Haaa... Tu as... Fait l’a... L’amour...

Avant de lui répondre, Ayumi l'embrassa de nouveau, plus sauvagement, faisant également plus de bruit, laissant s'écouler de la salive sur leur menton respectif, durant de longues minutes, avant de lui répontre, taquine.

- Je... Je baise au moins... Haaaa... Deux fois par... Haaaa... Par jours... de... depuis plusieurs... années...

Le reste de leurs ébats ne fut que bruits mouillés et gémissements de plaisir, se laissant toutes deux aller au plaisir, excitée de forniquer au beau milieu de la rue, et d'avantage encore en imaginant être prises sur le fait par un groupe de jeunes. Ayumi fini même par soulever son mini haut, libérant ainsi pour de bon ses seins à l'air libre, les tétons douloureusement tendus vers l'étudiante en droit.

- Baise moi bien fort... K... Kioko... Haaaa... V-Vide toi dans ma petite... cha-tte de... hmm... De dépravée...

Mélinda Warren

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Re : "Et vive le cul !" [Ayumi Ishiyama]

Réponse 12 dimanche 08 décembre 2013, 02:14:06

Toute timide qu’elle était, Kioko était aussi une femme entreprenante et vive, suffisamment pour avoir réussi à percer en droit, une matière traditionnellement assez hostile aux femmes, au Japon. Pour persévérer, c’était donc qu’elle avait en elle des ressources qu’elle ne soupçonnait pas, ressources que sa Maîtresse avait su exploiter, et qui se manifestaient parfois sous l’effet du sexe. Kioko n’était pas une femme dominante au lit, loin de là, mais elle savait tout simplement ne pas réagir comme une prude. Elle répondit avec joie au baiser d’Ayumi, gémissant de plaisir, remuant un peu son bassin en elle, enfonçant sa verge aussi loin qu’elle le pouvait dans le corps d’Ayumi, avant de la ramener, pour l’enfoncer encore. Oh, elle se doutait bien qu’Ayumi était aux antipodes des femmes vierges, mais elle voulait se faire une idée... Ce qu’Ayumi fit, en lui disant qu’elle avait une moyenne hebdomadaire de deux coups par jours... Ce qui faisait donc environ plus de 700 fois l’amour par an... On devait donc atteindre les plusieurs milliers, et ça, c’était excitant. Ayumi ne chômait pas, mais rejoindre sa Maîtresse allait sûrement lui permettre de gonfler encore plus son record. S’il pouvait y avoir ici quelque chose d’assez triste, avec son sexe tendu, et son envie de la baiser, Kioko ne le sentait pas. Lui faire l’amour en public, en sachant que n’importe quelle personne pouvait la voir, effrayait Kioko autant que ça l’excitait... L’effrayait, parce qu’elle ne voulait pas avoir une réputation de pute, en sachant que, pour un avocat, la réputation était fondamentale ; l’excitait, parce que coucher avec sa Maîtresse, et, surtout, la voir coucher avec d’autres, lui avait permis de constater combien il était grisant de faire l’amour en se sentant observées.

Ayumi enleva son court débardeur, finissant toute nue, plaquée contre le mur, et Kioko soupira accentuant ses rythmes. Elle avait relevé chacune de ses jambes, l’une après l’autre, pour écarter son jean, et n’avait plus, sur elle, que sa chemise et son soutien-gorge. Une chemise qui était en piètre état, alors que Kioko, tout en la prenant, entreprenait d’ôter les boutons de sa chemise, d’une main fébrile. Tout d’un coup, ce vêtement agréable et confortable était en train de l’étouffer, et elle continuait à voler des baisers à sa partenaire.

« Baise moi bien fort... K... Kioko... Haaaa... V-Vide toi dans ma petite... cha-tte de... hmm... De dépravée... »

Devant cette demande, Kioko sourit, et donna un autre coup, qui envoya le bassin d’Ayumi heurter le mur.

« T’en... T’en fais pas pour ça, ma... Ma salope, je... Haaaan... J’vais te baiser... Bien... Hummm... Fort ! »

Elle réussit à retirer sa chemise, et se sentit mieux, continuant à la prendre, à remuer son bassin. Le soutien-gorge suivit également, et les deux femmes finirent par se retrouver nues dans la ruelle, la queue de Kioko continuant à perforer l’intimité de sa partenaire. Oui, ce n’était sûrement pas la première queue qu’Ayumi s’enfilait, mais ce ne serait clairement pas la dernière. Kioko, en revanche, se demandait si elle avait déjà été prise par une femme membrée... Vu sa réaction, assez normale, l’absence d’hurlements hystériques, Kioko était tentée de croire qu’elle avait déjà du, avec ses milliers d’aventures sexuelles, se taper une ou deux hermaphrodites.

Au bout de quelques minutes de ce doux régime, Kioko finit par sentir le courant venir, et s’abandonna dans le corps d’Ayumi, balançant des chapelets de sperme dans son corps, soupirant et gémissant longuement.

« Haaa... Haaaa... Haaaaa, si c’est bon, hummm !! »

Et il n’y avait pas d’autres mots à sortir que celui-là : c’était bon !

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Ayumi Ishiyama

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Re : "Et vive le cul !" [Ayumi Ishiyama]

Réponse 13 dimanche 08 décembre 2013, 13:26:23

- T’en... T’en fais pas pour ça, ma... Ma salope, je... Haaaan... J’vais te baiser... Bien... Hummm... Fort !

Pour ça, Ayumi avait pleinement confiance en elle. Son vagin dégoulinait tellement de cyprine qu'une petite flaque s'était formée sur le bitume. Mais contrairement à ce que Kioko pouvait croire, il s'agissait bien de sa première relation sexuelle avec une hermaphrodite. Elle était seulement perverse pour être d'avantage excitée que terrorisée. D'ailleurs, pour qu'elle raison une femme aussi addicte sexuellement devrait avoir peur de ce genre de chose ? Son amante continua de longuement la prendre, avec force, accélérant de plus en plus la cadence, alors que cette dernière avait fini par se dévêtir totalement à son tour. Son cul tapais de plus en plus fort contre le mur en brique, et plusieurs filets de salive coulaient paresseusement sur ses seins, qui remuaient en rythme. Ayumi braquait son regard dans celui de sa partenaire, ne la lâchant pas des yeux, jusqu'à ressentir des flots de foutre ravager son intimité.

- Haaaa... Haaaaaaaaaaaaan...

Bon sang, elle adorait cette sensation de se faire remplir par un liquide chaud, alors que son intimité était aussi brulante qu'un volcan en éruption. Ayumi eu plusieurs soubresauts en sentant la chaude semence se déverser dans son antre, frissonnant délicieusement de sentir le corps en sueur de sa partenaire contre elle. Cependant, malgré son état de forte excitation, Ayumi n'avait elle, toujours pas atteint l'orgasme. L'inconvenant d'être habituée à se faire baiser, son corps en demandait beaucoup plus pour atteindre l'extase.

- Haaa... Haaaa... Haaaaa, si c’est bon, hummm !!

- Par... Parle pour toi... Haaa... Haaa... J'ai... pas encore jouis... moi...


Et sans plus de cérémonie, Ayumi se détacha du mur pour allonger Kioko sur le bitume, dans la flaque de mouille, avant de s'empaler sur son sexe dressé vers le ciel étoilé. Désormais dans une position de dominante, la jeune femme se mit à littéralement danser sur le bas ventre de sa camarade, d'avant en arrière, de haut en bas, cambrée de manière à avoir le visage tournée vers le ciel et ses lourd sein tombant en direction de la bouche de Kioko. Son cul remuait avec force et ses gémissements de plaisir regagnèrent bien vite en intensité.

- Ça... Ça c'est...Haaaaan... Le pied...

Sa salive s'écoula de nouveau hors de sa bouche, comme chaque fois qu'Ayumi était envahis par des vagues de plaisir, pour finir directement dans le gosier de Kioko. C'était sans doute crade pour certain, mais particulièrement excitant dans le cas présent. Et avec tout le sperme qui était encore en elle, la belle grosse bite de sa camarade n'en glissait que plus aisément en elle. Ayumi ne comptait pas s'arrêter avant d'avoir droit elle aussi, à sa jouissance.

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Re : "Et vive le cul !" [Ayumi Ishiyama]

Réponse 14 lundi 09 décembre 2013, 02:53:35

Se « décharger »... C’était le mot fréquemment utilisé par Maîtresse Mélinda, ou par les clients du harem. Il fallait se « décharger » dans deux endroits : soit dans le corps d’une femme, soit sur ce dernier. Sauf demande expresse du client de voir sa dame lécher le sol, on avait coutume de considérer qu’une goutte de sperme qui touchait le sol était une goutte de perdue, du gâchis. Coucher avec les prostituées de Mélinda était toujours très enrichissant. Elles étaient extrêmement talentueuses, et pouvaient autant agir en parfaites petites soumises, qu’en dominatrices, sans la moindre hésitation. Kioko savait que, pour beaucoup de lycéennes de Maîtresse, les prostituées de cette dernière représentaient une sorte d’idéal pervers. Ce n’était pas que les filles avaient envie de finir prostituées, non, simplement qu’elles voyaient en elles l’idéal de la femme forte, du sexe fort, celle qui contrôlait le sexe sans la moindre difficulté, et pouvait faire jouir ses amants sans avoir à se forcer. Et Kioko était suffisamment clairvoyante pour savoir que le sexe était au cœur des relations sociales, quand bien même on se refusait à l’admettre.

Jouir faisait toujours autant plaisir à Kioko. Il y avait indéniablement une forte différence entre le plaisir sexuel masculin et le plaisir sexuel féminin. Quand la jouissance approchait avec un sexe masculin, c’était comme un courant sur le point d’exploser, comme si tout votre corps était en train de souffrir, et de vouloir expulser ce truc qui remontait dans vos entrailles. Maintenant que Kioko venait de jouir, elle se sentait nettement plus sereine... Sans l’effet de la magie et de la technologie tekhane, Kioko, qui n’aurait de toute manière pas pu avoir de sexe masculin sans ça, aurait vu tout désir sexuel partir instantanément. Au lieu de ça, son érection resta dure, et Kioko lui avoua n’avoir pas encore joui.

*Curieusement, ça ne m’étonne pas... Cette femme a une expérience sexuelle beaucoup plus forte que moi...*

Kioko se sentait toutefois encore très excitée, et aurait été déçue de s’arrêter immédiatement. Profitant du fait qu’elle venait de jouir, Ayumi la poussa alors, et Kioko s’étala au milieu de la ruelle. Elle se fit légèrement mal au dos, mais cette douleur se dilua dans l’océan de plaisir que constituait la danse d’Ayumi. Au-dessus d’elle, l’élégante femme se mit à danser, à s’empaler vigoureusement sur son vit, sans la moindre hésitation. Elle semblait tellement heureuse que de la salive coulait entre ses seins. Une vision magnifique !

« Ça... Ça c'est...Haaaaan... Le pied... »

Kioko lui sourit, et posa ses mains moites sur ses hanches. Elle avait chaud, et sa queue continuait à la démanger, tandis que des filets de sperme glissaient en tournoyant le long de son chibre, avant d’effleurer le sol.

« Haaa... Oh ouais, Ayumi... Humm… Danse, ma belle, danse sur moi… »

Elle était vraiment belle, d’une redoutable beauté, qui était en train de réchauffer le cœur de Kioko. La jeune femme ne se lassait pas de ce spectacle, et, au bout de quelques minutes, un second orgasme s’approcha. Elle balança de nouveaux filets de sperme dans le corps chaud de la femme, en gémissant, basculant sa tête en arrière en soupirant,. De la salive s’échappait également de ses lèvres, et ses mains se crispaient sur la peau douce et chaude de la femme, qui devenait légèrement collante. Ayumi avait une véritable peau de bébé, douce, chaude, magnifique.

« Tu es endurante, toi, hum... C’est si bon de jouir en toi... Tu es née pour ça, Ayumi... »

Kioko se fit la remarque que sa phrase était un peu idiote : l’être humain était naturellement né pour le sexe, vu que c’était ainsi qu’on se reproduisait.

Pour le coup, elle avait hâte d’aller la présenter à sa Maîtresse !

DC d’Alice Korvander.

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