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Home Sweet Home (PV Les Amazones)

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Persée

E.S.P.er

Home Sweet Home (PV Les Amazones)

dimanche 28 juillet 2013, 21:21:26

errières.
« Modifié: jeudi 22 août 2019, 20:38:19 par Persée »

Les Amazones

Légion

Re : Home Sweet Home (PV Les Amazones)

Réponse 1 lundi 29 juillet 2013, 00:59:20

Acté était sur une butte, en hauteur, regardant au loin les montagnes verdoyantes. La Horde se reposait loin du désert ashnardien que les Amazones, après de longues et rudes semaines, avaient fini par quitter. La Horde était épuisée, les vivres manquaient, et la Reine, après quelques hésitations, avait décidé de s’arrêter dans une clairière isolée, près d’un territoire détenu par un seigneur peu courageux, qui avait envoyé au bout de quelques jours une délégation de soldats pour savoir si on venait le piller ou non. Andromaque et plusieurs Amazones avaient reçu les nobles soldats, tout fringants dans leurs élégantes armures chevaleresques. Ils avaient amusé les Amazones, mais eux étaient sûrement plus nerveux qu’autre chose. Plusieurs chevaliers n’avaient de chevaleresques que l’armure, ayant une lourde bedaine. Le représentant du seigneur, le prévôt, avait failli se faire dessus en voyant plusieurs Amazones s’entraîner, et on disait qu’il avait presque été jusqu’à baiser les pieds de la Reine Andromaque, par peur que la Horde ne l’assiège. En réalité, le courageux seigneur avait eu vent de la réputation de guerrières amazones, une réputation savamment distillée par l’Ordre, qui les peignait comme des barbares incestueuses incendiant les villages, pillant toutes les fortunes, et tuant tous les hommes, peu importe l’âge, capturant les plus belles femmes pour en faire des esclaves serviles. Un portrait grossier.

La Reine avait assuré au seigneur que la Horde voulait simplement bivouaquer, et comptait s’approvisionner en vivres et en matériaux. Il fallait du bois pour les feux nocturnes, et Andromaque avait décidé d’appliquer les tâches actuelles : plutôt que de payer, ou de menacer, ses Amazones effectuaient des travaux, soit coupant elles-mêmes le bois, soit en chassant des animaux. C’était une manière, non seulement de s’entraîner, mais aussi de rencontrer le monde extérieur, d’en savoir plus sur ces hommes que les Amazones, fort logiquement, redoutaient toujours un peu, sortant peu de la Horde. Andromaque était, en ce sens, une Reine assez progressiste, car, à sa place, beaucoup de Reines auraient tout simplement extorqué le seigneur. Andromaque était juste moins peureuse que ses prédécesseurs à l’égard des hommes et des autres sociétés.

La Horde était là depuis deux semaines, les ouvrières se reposant, tandis que les réserves augmentaient à nouveau. L’air y était tempéré, agréable, il faisait beau, avec un léger vent qui permettait de ne pas mourir de chaud. Acté se tenait sur une colline, et voyait, au loin, un nuage de poussières se rapprocher.

« Il va trop vite pour être un paysan...
 -  Ces courageux chevaliers n’oseraient jamais venir seuls... plaisanta une Amazone, allongée sur l’herbe.
 -  Alors quoi ? Une Amazone ?
 -  À cette heure ? Et à si vive allure ? »

Ce devait être un messager. Le soleil empêchait de voir, mais une autre Amazone avait déjà déployé son arc. Elle savait se contrôler, et tirerait une flèche devant le cheval s’il ne s’arrêtait pas, en signe d’avertissement. Les Amazones se devaient d’être prudentes. La Horde était toute leur vie, et les sentinelles avaient la responsabilité de les défendre. Une lourde responsabilité. Le cheval se rapprochait, et finit par s’arrêter. Un nuage dissimula alors la vue éblouissante du soleil.

« C’est une sœur... »

Acté la reconnut immédiatement. Elle ne l’avait pas vu depuis des mois, voire même des années, mais c’était bien elle.

« C’est Persée ! »

Persée était une Amazone miraculée, à vrai dire. Elle pleurait des larmes de sang, signe que la Déesse veillait sur elle, et était partie pour un lointain pèlerinage, la tradition amazone, afin de découvrir le monde extérieur, sans aucune assistance amazone. Un périple difficile, mais pour lequel, bien évidemment, on préparait les Amazones. Acté avait été notamment en charge de cette formation, qui incluait notamment un apprentissage sexuel, afin de savoir se défendre en cas de tentative viol. Cet apprentissage avait été pratiqué, et Acté avait ôté à Persée sa virginité féminine. Acté l’aimait bien.

L’Amazone avec l’arc visa le ciel, et tira en l’air. Pour les Amazones, c’était un message de bienvenue. Persée pouvait venir, on ne lui tirerait pas dessus. Acté descendit lentement la colline, accompagnée des deux Amazones. Elles étaient également jeunes, sous sa formation. Persée se rapprochait lentement, et le cheval s’arrêta devant Acté, qui caressa sa crinière.

« Ma sœur, te revoilà enfin... Tu as mûri. »

Le ton d’Acté était évidemment chaleureux. Persée arriva au sol, et Acté l’enlaça dans ses puissants bras, l’embrassant ensuite en plein sur les lèvres. Ce fut un baiser long et ardent. Un pèlerinage n’était pas un rite formel, mais une épreuve dangereuse, où il arrivait que des Amazones ne reviennent jamais. Le soulagement d’Acté était donc fort, et on pouvait sentir des tremblements le long de son corps.

« Tu l’as fait, ma belle, tu l’as fait... Te voilà devenue une Amazone, maintenant, ma belle, ma belle Persée... »

Elle l’embrassa sur le front, sur le nez, puis sur les lèvres. Le pèlerinage de Persée avait été long. Un pèlerinage pouvait en théorie durer seulement quelques heures ; il se terminait quand l’Amazone estimait qu’il était terminé, et qu’elle avait un objet de valeur à rapporter. Celui de Persée avait été long, d’où une certaine inquiétude pour Acté, qui tenait à Persée. Étant bénie par la Déesse, on savait que son pèlerinage serait long, car elle serait dans l’obligation morale d’apporter un objet de valeur pour justifier de son don. Acté restait donc collée à elle, la bécotant, une attitude qui aurait pu surprendre ceux qui se reposaient uniquement sur les rumeurs amazones.

Entre elles, les Amazones étaient cruelles et intransigeantes, mais elles pouvaient aussi faire preuve de l’amour le plus sincère. L’amour était le seul lien permettant à une famille de rester unie.
DC d’Alice Korvander.

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Persée

E.S.P.er

Re : Home Sweet Home (PV Les Amazones)

Réponse 2 jeudi 03 octobre 2013, 14:37:10

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« Modifié: jeudi 22 août 2019, 20:38:43 par Persée »

Les Amazones

Légion

Re : Home Sweet Home (PV Les Amazones)

Réponse 3 jeudi 03 octobre 2013, 20:23:47

Forgées dans la terre et le sable, endurcies dans la glaise et le sang, les Amazones étaient des femmes dont on disait que le cœur était un bloc d’argile avec un noyau de chair et de larmes. Des femmes fortes et indépendantes, autonomes et fières, qui refusaient toute forme d’autorité autre que la leur. Leur nom était source de terreurs et de colères pour les autres, et tous tournaient la tête quand on annonçait leur présence. Les Amazones, le redoutable peuple de la Déesse-mère, n’étaient pas connues pour se laisser aller, pour faire preuve de sentiments. Leur vie était dure, exigeante, beaucoup mourraient jeunes. Tel était le prix à payer pour servir la Déesse-mère, et une telle vie encourageait naturellement les liens à se tisser, les gens à se rapprocher. La solidarité ne naissait pas dans l’oisiveté et l’opulence, mais dans la douleur et la souffrance. La force première d’une Amazone n’était pas son épée, sa maîtrise de la guerre ou du combat, c’était cette passion qu’elle mettait à se battre, peu importe les circonstances. Elle impliquait toutes ses forces, car elles étaient formées ainsi, à se battre constamment pour survivre. Chaque entraînement était rigoureux et difficile, les blessures étaient monnaie courante, et les larmes ne calmaient pas la dureté des instructrices. Aussi était-il aisé, en parlant des Amazones, de les décrire comme des monstres, des guerrières d’un temps révolu et barbare.

Il était indéniable que la Horde était cruelle entre elle. Cependant, réduire la Horde à ce seul état était une erreur. En s’endurcissant dans la cruauté et la douleur, les Amazones apprenaient à profiter des moments de repos. Les camarades se rapprochaient, elles nourrissaient leurs rêves des exploits de leurs anciennes. Qui n’avait pas écouté la Reine Andromaque conter, au coin du feu, les glorieuses histoires des précédentes Reines ? Ces récits héroïques où les Amazones faisaient exploit de leur talent individuel et collectif pour supprimer des ennemis nettement supérieurs en nombre étaient en effet très populaires.

Acté était à l’image des Amazones : dure, intransigeante, cruelle et sadique, mais également très aimante. Les Amazones à côté d’elle souriaient en voyant la manière dont elle s’était pressée contre Persée, trahissant son désir. Un désir bien naturel. Qui étaient-elles, après tout, pour la juger ? Persée avait reçu le stade le plus difficile de la vie d’une Amazone : le pèlerinage, la rencontre brutale et longue entre une Amazone et le monde extérieur. Un exercice dont certaines ne revenaient malheureusement jamais. Persée y avait passé deux années, deux longues années, ce qui était tout de même assez long pour un pèlerinage. Il allait de soi qu’Acté s’était inquiétée, car elle tenait beaucoup à Persée.

« Prends garde de ne pas trop d'adoucir devant tes élèves Acté, elles pourraient croire que tu te laisse aller, glissa alors Persée, sur un ton mi-amusé, mi-sérieux.
 -  Si on ne peut même pas se laisser aller devant une camarade, Persée... » rétorqua Acté, tout en s’écartant un peu.

Les deux autres Amazones n’étaient nullement choquées. Elles étaient plutôt honorées de voir les premières une sœur revenir d’un long pèlerinage. Vu les objets qu’elle ramenait, et le temps qu’elle avait mis, ce pèlerinage devait être d’importance. Persée allait ainsi pouvoir enfin, après une ultime cérémonie, quitter l’âge mineur, et devenir pleinement une Amazone. Il lui fallait pour cela voir la Reine Andromaque, afin de lui faire part de ses trouvailles. La tradition le voulait ainsi, et la question de Persée se porta donc très rapidement sur l’emplacement de la Reine :

« Peux-tu me mener à notre Reine ? J'ai quelque chose à lui remettre en mains propres. »

Acté fronça les sourcils, curieuse. Généralement, le butin du pèlerinage était remis aux métallurgistes, qui se chargeaient de l’expertiser et de l’inventorier. On ne présentait à la Reine que des objets légendaires, de renom, tellement importants qu’il était inconcevable qu’une autre personne que la Reine puisse les regarder en premier. Acté se demandait ce que Persée cachait.

« Je dois admettre que ceci ne me surprend pas, Persée. Tu es née avec la bénédiction de la Déesse, et je me disais bien que ce long voyage cachait quelque chose. »

Elles avaient beaucoup de choses à se dire, mais ce ne serait pas pour tout de suite.

« Suis-moi. Je reprendrais mon poste ensuite. »

Les deux autres Amazones hochèrent gravement la tête, et Acté se mit à marcher, traversant les petites buttes et collines menant à la Horde.

« Elles t’admirent, indiqua alors Acté. Je les comprends, tu es aussi talentueuse que Sœur Tallia en personne. »

Les prêtresses d’un temple avaient affirmé que Tallia avait été bénie de la Déesse. Elle était la guerrière la plus talentueuse de la Horde, concurrencée de peu par Sélène. Chacun de leurs affrontements étaient oniriques, car ils étaient l’occasion de voir deux virtuoses s’affronter ensemble, avec une passion égale, une rage stupéfiante, et un entraînement inébranlable. Deux guerrières de légende. Acté et Persée suivirent un bref petit sentier, à travers quelques arbres, entendant un brouhaha diffus. En traversant la petite forêt, elles arrivèrent devant une vaste plaine.

La Horde était là, s’étendant à perte de vue. Une forêt de tentes, de femmes assises, allongées, s’entraînant, vérifiant les inventaires, les stocks de nourriture, essorant les armes. Un vaste campement où on avait installé provisoirement des enclos pour reposer les bêtes qui servaient à l’élevage. Plus d’un millier d’âmes s’étalaient dans cette vaste plaine, entrecoupée de quelques petits bois. Il y avait des petits ruisseaux, des rivières où on étendait le linge.

« Bienvenue chez toi. »

Acté se mit à descendre. On les repéra vite. Celles qui avaient déjà vu Persée la saluèrent, tandis que les autres, qui avaient entendu sa réputation, l’observaient en murmurant. Persée, dont les alarmes de sang étaient la preuve qu’elle était bénie de la Déesse ; Persée, dont les entraînements intensifs avaient fait d’elle une Amazone très prometteuse. Oui, Persée était de retour ! Les jeunes filles gambadaient pour annoncer son retour, et, peu à peu, la nouvelle arriva jusqu’aux oreilles d’Andromaque, avant même qu’Acté et Persée n’approchent de sa tente.

Andromaque les attendait devant, accompagnée de sa fille, Sélène. Acté connaissait très bien Sélène, et les joues très légèrement rouges de cette dernière indiquaient qu’elle avait probablement du recevoir un élan d’affection de la part de sa mère. L’inceste était une notion qui n’existait pas au sein de la Horde, car le peuple était une vaste famille, où chacun partageait le même sang, celui des filles de la Déesse.

« Persée ! » annonça Andromaque en la voyant arriver.

Elle avait les bras croisés, et parlait d’une voix forte. Aucun sourire ne venait éclairer ses traits durs et fiers.

« Sois la bienvenue chez nous, Persée, nous attendions ton retour. »

Elle hocha lentement la tête, et poursuivit, en décroisant les bras, sur un ton plus convivial :

« À voir tes yeux remplis d’allégresse et de fierté, j’en déduis que ton pèlerinage s’est couronné de succès. Je n’en attendais pas moins de toi. Je pense donc pouvoir dire, sans me tromper, que nous pourrons organiser une cérémonie ce soir. »

La nouvelle déclencha une clameur de joie chez les Amazones proches. Elle témoignait du profond respect que les Amazones avaient à l’égard de Persée, mais aussi, par voie de conséquence, du poids qui pesait sur elle. Acté posa une main sur l’une des épaules de Persée.

« Je te laisse entre les mains de la Reine, Persée. J’ai une surveillance à effectuer. Nous nous reverrons ce soir. »

Acté lui fit une nouvelle accolade, avec un baiser sur les lèvres, et une main qui caressa brièvement ses fesses. Elle s’écarta ensuite, et retourna voir les siennes. La Reine, quant à elle, fit signe à Persée de venir dans sa tente, afin de lui présenter les objets qu’elle avait trouvé.
DC d’Alice Korvander.

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Persée

E.S.P.er

Re : Home Sweet Home (PV Les Amazones)

Réponse 4 lundi 14 octobre 2013, 16:03:00

i
« Modifié: jeudi 22 août 2019, 20:38:54 par Persée »

Les Amazones

Légion

Re : Home Sweet Home (PV Les Amazones)

Réponse 5 lundi 14 octobre 2013, 17:33:10

« Merci ma Reine. »

Andromaque sentit un léger frisson qu’elle reconnut. Au sein de la Horde, et, plus précisément, au sein de la lignée des Reines, une tradition voulait que la fille d’une Reine ne vienne pas directement de son ventre. En effet, chaque Amazone était la fille de la Reine. Par conséquent, le fait que la Princesse soit la fille biologique de la Reine induisait forcément une distinction. Des erreurs du passé, remontant à des millénaires, avaient amené à faire en sorte que la Reine ne tombe pas enceinte, car elle avait en effet une propension plus forte à favoriser sa propre fille, ce qui avait entraîné jadis des problèmes, des contes dont on ne parlait pas forcément aux jeunes cadettes. Cependant, Andromaque devait bien admettre que, même si Sélène n’était pas sortie de son ventre, la manière dont elle la regardait était différente de celle dont elle voyait les autres. Sélène n’avait jamais bénéficié d’un traitement de faveur, dans la mesure où Andromaque n’avait pas cherché à la couver par rapport aux autres. Au contraire, elle avait été bien plus sévère avec elle, afin d’en faire un modèle.

Et Persée... Persée aussi évoquait un écho particulier dans le cœur d’Andromaque. La Reine et Mythilène étaient les seules à savoir que Persée était la fille d’Andromaque, à une époque où Andromaque avait couché avec plusieurs Amazones pour qu’elles tombent enceinte. Il y avait eu plusieurs fœtus, et Mythilène avait fait avorter les autres Amazones. C’était une pratique un peu barbare et cruelle, mais nécessaire, car il ne pouvait y avoir qu’une seule Reine. Pour les faire avorter, on utilisait un filament de poison assez spécial, qui tuait le fœtus. Tous les fœtus étaient morts, sauf celui d’une Amazone, qui avait donné naissance à Persée, bénie de la Déesse. Tasha, sa mère, était morte en mettant Persée au monde, confirmant qu’elle était bénie de la Déesse. Elle était l’une des Amazones les plus talentueuses de la Horde, et la voir de retour soulageait donc la Reine, même si cette dernière savait se maîtriser.

Persée, Andromaque et Sélène s’isolèrent dans la tente, Sélène tirant le drap pour la fermer. Des bougies brûlaient dans les coins, éclairant la pièce. Il y avait un petit fauteuil et une bibliothèque près d’un bureau, avec de nombreux livres. On ne les trouvait nulle part ailleurs que dans la Horde : il s’agissait des mémoires des Reines, une compilation ancestrale des autobiographies des différentes Reines, un important savoir. Fréquemment, il fallait que plusieurs Amazones recopient le contenu de ce savoir ancestral, afin d’éviter que les cahiers, trop usagés, ne s’effritent. Il y avait aussi une table, dans un coin, avec, dessus, une énorme carte de Terra, qu’Andromaque et les autres Amazones du conseil se servaient pour diriger la Horde, en fonction des points de repos, des différents temples d’Artémis... Il y avait également, au milieu de la pièce, l’énorme peau de bête d’un massif grizzly, qu’Andromaque avait tué il y a des années. Un combat redoutable, qu’elle avait fait dans la forêt, en compagnie d’une autre Amazone, pour sauver une caravane. Le grizzly s’était reçu une dizaine de flèches dans le corps, et Andromaque avait réussi à l’achever de justesse, enfonçant sa lance dans sa gorge, le transperçant. Le cadavre du grizzly s’était écrasé sur elle, manquant l’étouffer, avant qu’on ne puisse le renverser.

Sélène restait dans un coin, tandis que la Reine se mit face à Persée. Si cette dernière venait la voir en personne, c’est qu’elle avait un objet particulier à lui remettre. Persée, de manière très cérémonieuse, alla même jusqu’à se mettre à genoux en lui tendant une belle épée.

« Ma Reine... Je vous ai rapporté ceci, qui vous revient de droit. »

Andromaque fronça les sourcils. Elle reconnaissait les runes parcourant la lame, des arabesques évoquant la magie amazone.

*Serait-il possible que... ?!*

Elle n’arrivait pas à y croire, et, lentement, sa main attrapa la poigne de l’épée, la soulevant. Immédiatement, les runes se mirent à luire d’une intense énergie, et l’épée sembla comme s’animer. La lame se mit à étinceler, reconnaissant la descendante de la Première Reine des Amazones, Harmonie la Nymphe, qui, en ayant été enfantée par Arès, avait donné naissance aux Amazones. La lame étincela, provoquant des bouffées de vent qui firent virevolter les cheveux d’Andromaque, avant que les runes, progressivement, ne se calment, continuant malgré tout à briller. Andromaque donna quelques moulinets.

« Cette épée... Je la reconnais... Lysippé fut la dernière à la tenir... Lysippé-La-martyre, morte en repoussant des Elfes Noirs avec cette épée sur le parvis du Temple d’Artémis... On dit que son corps baignait au milieu d’une marée de cadavres. Son sacrifice a permis de sauver des centaines d’Amazones, et son épée n’avait jamais été retrouvée... »

Les souvenirs de crête histoire remontaient à l’esprit d’Andromaque, qui continuait à parler  d’une voix absente, ses yeux figés sur l’épée :

« Cette épée, dit-on, a été offerte par Artémis à Harmonie, quand il a appris qu’elle était enceinte d’Arès... Un cadeau pour la naissance de sa fille, forgée par Héphaïstos lui-même. Cette épée ne réagit qu’au contact de la Reine, de celle qui a été bénie par les Déesses pour diriger la Horde. »

L’épée n’avait rien produit au contact de Persée, car, bien qu’elle soit sa fille, cette dernière n’avait pas été bénie au sein du temple pour devenir la Reine.

« C’est l’épée des Amazones, Persée... Aussi longtemps que vivra la Horde, cette épée la protègera. Elle donne à la Reine des Amazones le pouvoir d’Artémis, car la lame a été forgée avec le sang d’Artémis dans la forge divine d’Héphaïstos. La Reine Lysippé savait qu’elle ne survivrait pas face aux Elfes Noirs se rapprochant du temple, et l’épée des Amazones lui a permis d’occire des centaines d’ennemis, jusqu’à ce qu’elle finisse par succomber. »

Andromaque revenait peu à peu à la réalité, et planta l’épée sur le sol, devant Persée.

« Relève-toi, Persée ma sœur. »

Elle attendait que Persée obtempère. Le cœur d’Andromaque bouillonnait de joie et de fierté. Ce que Persée venait de faire était l’une des plus belles choses qu’on pouvait offrir à la Horde.

« Tu es l’élue d’Artémis, Persée. Il n’y a désormais plus de doute. Artémis t’a donné à nous pour que tu rapportes l’épée des Amazones. Je suis fière de toi, Persée. »

Elle félicita Persée en se rapprochant d’elle, et posa chacune de ses mains sur ses joues, puis l’embrassa chaudement. Un tendre et long baiser, où elle montra à Persée tout le talent qu’elle avait dans ce domaine. Elle l’embrassa donc voluptueusement, puis retira ses lèvres, en lui souriant légèrement.

« Tu mérites toute ma gratitude, Persée, et je connais une très bonne manière de l’exprimer... »

Elle l’embrassa encore, faisant signe des yeux à Sélène de se rapprocher, qui se glissa dans le dos de Persée, la caressant également.

« Tu es notre gloire, Persée, murmura Sélène dans son oreille, l’embrassant ensuite dans le cou. Notre gloire... »
DC d’Alice Korvander.

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Persée

E.S.P.er

Re : Home Sweet Home (PV Les Amazones)

Réponse 6 lundi 14 octobre 2013, 18:18:32

k
« Modifié: jeudi 22 août 2019, 20:39:05 par Persée »

Les Amazones

Légion

Re : Home Sweet Home (PV Les Amazones)

Réponse 7 lundi 14 octobre 2013, 20:11:48

Andromaque était suffisamment humble pour savoir qu’elle n’était pas la plus belle des Amazones. Il existait quantité de femmes qui étaient plus belles qu’elle, et c’était tout à fait normal. Contrairement à la plupart des Amazones guerrières, Andromaque était âgée. Elle avait la quarantaine, ce qu’on ne remarquait pas trop, en raison de son excellente condition physique, des entraînements réguliers qu’elle faisait, et des potions qu’elle prenait. La beauté était un élément fondamental pour la Horde, car, après tout, la Première Amazone descendait d’une nymphe, et Artémis elle-même était une Déesse à la grande beauté. Cependant, bien que n’étant pas la plus belle, coucher avec Andromaque était un honneur, car elle était la Reine, et ne s’offrait pas à n’importe qui. Quand elle avait décidé de tomber enceinte, elle avait été voir les ouvrières amazones les plus talentueuses. La femme qui avait porté Sélène, par exemple, était une excellente armurière, qui tannait les armures avec efficacité. La manière dont elle les confectionnait avait sauvé la vie à bien des sœurs.

La Reine comprenait donc l’engouement de Persée, le plaisir instinctif qu’elle ressentait, qui était aussi visible que le nez entre les deux yeux. Persée était d’une légendaire beauté, et, plus que cela, c’était la perspective avec l’élue d’Artémis qui provoquait l’excitation d’Andromaque... Ainsi que de coucher avec sa propre fille, mais c’était une chose qu’elle ne pouvait pas avouer. L’inceste n’avait jamais été sanctionné au sein de la Horde, et il n’y aurait pas eu de sens de le faire, car, au sein de la Horde, il n’y avait pas de distinctions à établir entre ce que les autres appelaient la « société » et la « famille ». Ces notions étaient creuses pour les Amazones, qui considéraient que la société était une famille, ou n’était rien du tout. Depuis l’aube de la Horde, les Reines enseignaient que la Reine devait former sa fille au sexe, et qu’il n’y avait rien de plus excitant que de la faire jouir en personne, de lui faire atteindre son premier orgasme... Chose qu’Andromaque avait faite avec Sélène, plus ou moins. Sélène avait perdu sa virginité avec la Princesse de Sylvandell, mais Andromaque était également là. Les autres sociétés, marquées par la doctrine hypocrite de l’Ordre Immaculé, ne pouvait pas comprendre ce fonctionnement.

Persée répondait avec engouement à son baiser, et la Reine le poursuivit donc, tout en sentant l’une des mains de Persée caresser l’un de ses seins. Elle essayait aussi de faire plaisir à Sélène, en envoyant une main caresser les fesses de Sélène, dont on disait qu’elle avait l’un des plus beaux fessiers de la Horde. Persée, bien qu’en infériorité numérique, comptait bien agir également.

« Mon petit cul te plaît, hein, ma sœur ? souffla Sélène dans l’oreille de Persée. Je dois admettre que c’est réciproque... »

Sélène et Andromaque entreprirent alors toutes les deux de déshabiller Persée. Sélène s’attaqua au bas, lui ôtant son pantalon, et Andromaque lui enleva sa tunique. En une dizaine de secondes, Persée se retrouva toute nue, un spectacle ravissant pour les yeux. Elle était une ode à la beauté, à croire qu’Aphrodite avait aussi veillé sur elle. Andromaque avait cessé de l’embrasser, en souriant en la voyant, sentant un désir la traverser, un désir bien féminin. Elle pencha sa tête, et embrassa la peau nue de Persée, à hauteur du torse, tandis que Sélène venait lui embrasser le dos, glissant le long de sa colonne vertébrale, leurs têtes venant à se déplacer. C’est de cette manière que la bouche d’Andromaque vint sucer l’un des seins de Persée, tandis que Sélène, en pliant les genoux, atteignit les belles fesses fermes de Persée, qu’elle se mit à malaxer avec chacune de ses mains, les pressant vigoureusement, avant d’approcher ses lèvres. Elle les embrassait, mais se concentra surtout sur sa croupe, la léchant, fourrant sa langue entre ses fesses, glissant sur la raie sombre, frottant sa peau en soupirant de plaisir.

Andromaque, quant à elle, faisait preuve de tout son talent sur le sein de Persée, qu’elle suçait et mordillait, ses lèvres, ses dents, et sa langue, s’activant le long du téton de la belle Amazone aux cheveux argentés. L’une de ses mains caressait tendrement la hanche de Persée, la grattant très légèrement, et l’autre malaxait son autre sein. Persée avait retrouvé une relique sacrée des Amazones. Coucher avec la Reine était la moindre des choses qu’elle pouvait recevoir en récompense pour ce tribut incroyable.
DC d’Alice Korvander.

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Persée

E.S.P.er

Re : Home Sweet Home (PV Les Amazones)

Réponse 8 mardi 15 octobre 2013, 15:16:09

m
« Modifié: jeudi 22 août 2019, 20:39:15 par Persée »

Les Amazones

Légion

Re : Home Sweet Home (PV Les Amazones)

Réponse 9 mardi 15 octobre 2013, 15:55:02

Persée était en train d’être traitée royalement. Elle était prisonnière de deux Amazones légendaires : la Reine, et la fille de la Reine, soit une future Reine. Andromaque comprenait qu’elle avait du mal à suivre, et se contentait pour l’heure de subir. C’était, en réalité, tout à fait compréhensible. La Reine l’aimait bien, elle l’aimait même follement. Persée était l’élue d’Artémis, sa fille, un présage qui n’était pas arrivé depuis des générations... Et elle avait ramené l’Épée des Amazones, ce qui était une preuve que son destin était tracé par l’encre des Dieux. Andromaque jouait avec ses beaux seins, le suçant et le tirant, tandis que Sélène s’amusait avec ses fesses. Sélène avait toujours aimé la sodomie. Andromaque avait commencé par ses fesses chez la Princesse de Sylvandell. Sélène était alors allongée sur le corps de la Princesse, quand Andromaque avait glissé son sexe entre les fesses de sa fille, la faisant hurler et gémir de plaisir... Un souvenir magnifique. La bouche d’Andromaque s’activait sur le sein de la belle, et les mains de Persée, lentement, réagirent en défaisant ses cheveux, les faisant tomber le long de son dos.

« Hum... Ton cul est magnifique, Persée... » glissait Sélène en embrassant son postérieur.

Il était certain qu’elle allait se faire prendre par là... À vrai dire, Persée allait avoir une belle récompense, une délicieuse promesse en attente de ce qui lui arriverait lors de la cérémonie au temple d’Artémis. La Horde allait devoir infléchir sa route pour filer vers un temple, afin d’organiser le plus rapidement possible la cérémonie, qui ferait officiellement de Persée une Amazone. Pour l’heure, Andromaque s’amusait avec ses seins, et opta pour l’autre, le léchant également en le pressant, relevant parfois les yeux. Voir le visage heureux et ravi de Persée, les frissons traversant son corps, était un véritable régal. Sélène aussi se faisait évidemment plaisir, à mordiller les fesses tendres et fermes de l’Amazone. Elle écartait chacune des fesses de Persée, et léchait sa rondelle avec le bout de sa langue, ce petit trou étroit qui l’attirait, réveillant en elle des frissons intimes et intenses.

Andromaque et Sélène continuèrent ainsi à exciter Persée pendant plusieurs minutes, jusqu’à ce que Persée se mette à mouiller. Andromaque la sentit s’humidifier, car elle avait une certaine expérience de la chose, et elle libéra alors les deux seins bien tendus de Persée. La belle Amazone, comme toutes les Amazones, avait reçu une formation sexuelle durant son enfance, et arrivait donc à se retenir. Ses joues pâles s’étaient très légèrement rougies, et il fallait voir les délicats frissons de son corps, la manière dont ses lèvres se tirait, pour voir la manière dont elle était excitée. Andromaque esquissa un sourire, fière d’elle. Les Amazones formaient leurs cadettes à dominer le sexe, là où, par hypocrisie, les autres sociétés laissaient les individus se débrouiller avec des pulsions qui les dépassaient totalement. Le viol n’existait ainsi pas entre les Amazones, car le sexe était entre elles un rapport naturel et sain. Par ailleurs, cette formation leur apprenait surtout à savoir se défendre en cas de viol, étant donné que, sur les sentiers et les voies de Terra, le risque premier pour une belle femme était de se faire violer... Mais, pour une Amazone digne de ce nom, le viol n’était pas un risque, mais une aubaine, un moyen de profiter de l’état d’excitation de son agresseur pour le tuer.

La Reine, sans rien dire, se mit alors à genoux, et vint lécher l’intimité de Persée, très brièvement, récoltant seulement un peu de sa cyprine, s’en humectant les lèvres, avant de se redresser, et d’embrasser à nouveau Persée. L’une de ses mains vint attraper les cheveux pendant ce temps les cheveux de Sélène, afin de l’inciter à se redresser. Délaissant le fessier de la femme aux cheveux argentés, Sélène se releva, et retourna frotter ses seins contre son dos, les enfonçant, perpétuant un rite de séduction amazone ancestral, qui consistait à danser avec sa poitrine sur le dos de la femme qu’on voulait séduire.

« Tu goûtes très bien, Persée... Maintenant que tu es échauffée, mets-toi à genoux, ma belle, il est temps de voir de quoi tu es capable... »

Andromaque et Sélène se comprirent instantanément, et se déshabillèrent promptement devant les yeux de Persée. Leurs vêtements tombèrent à même le sol, et Persée put voir les deux Amazones, totalement nues. Elles avaient des hanches solides, un ventre plat, des muscles élégants qui accompagnaient leurs formes. Deux belles femmes, puissantes, désirables. Elles se tenaient devant Persée, qui, en étant à genoux, était à hauteur de leurs bassins.

« C’est grâce à la Chamane Echepylé que nous n’avons plus besoin des mâles pour nous reproduire. Elle était bénie de la Déesse Artémis, Persée, comme toi, et c’est elle qui a changé la destinée de la Horde en inventant la formule qui permet de donner aux Amazones la capacité de procréer. »

Devant les yeux de Persée, Andromaque et Sélène firent pousser leurs verges. Leurs traits se crispèrent légèrement sous l’effet de la douleur que ce processus entraînait toujours, mais, au bout de quelques secondes, deux belles verges apparurent, tendue set impatientes, en érection, pointant le visage de la femme.

« Échauffe-nous, maintenant, Persée... Puis nous te ferons l’amour. »
DC d’Alice Korvander.

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Persée

E.S.P.er

Re : Home Sweet Home (PV Les Amazones)

Réponse 10 mardi 07 avril 2015, 12:36:42

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« Modifié: jeudi 22 août 2019, 20:39:27 par Persée »

Les Amazones

Légion

Re : Home Sweet Home (PV Les Amazones)

Réponse 11 mardi 07 avril 2015, 13:38:29

Le plus grand plaisir d’Andromaque était en train de se dérouler en ce moment... Faire l’amour avec ses deux filles. Persée avait réussi toutes ses épreuves, sans aucune surprise. Dès sa naissance, il n’avait fait aucun doute, en soi, qu’elle deviendrait une Amazone. Persée avait toujours visé au-dessus. Elle ne voulait pas juste être une guerrière, elle voulait devenir une femme légendaire. Elle et Sélène étaient faites pour régner ensemble. Dans leurs veines circulaient le sang d’une Reine, le sang de toute une lignée de Reines depuis l’aube des temps, depuis que la Horde était Horde. Andromaque était donc ravie de pouvoir leur faire l’amour. Il y avait longtemps qu’elle avait attendu ce moment, très longtemps, et, par conséquent, elle ne voulait pas le gaspiller en allant trop vite. La belle femme aux longs cheveux d’argent se tenait à genoux devant elles, consciente de ce qu’elle devait faire, de ce qu’il fallait faire. Andromaque prenait son temps, retardant le moment où elle et Sélène allaient la pénétrer mutuellement. Ce moment serait le point d’orgue de leurs retrouvailles, et la Reine ne voulait pas sauter les étapes. Persée était une femme d’une telle beauté qu’il fallait la savourer pleinement avant de la relâcher.

Ses belles mains vinrent ainsi les masturber. Les sexes de Sélène et d’Andromaque étaient déjà bien durs, bien tendus, déjà prêts à s’engouffrer dans le corps de l’Amazone, ce corps qu’elle savaient onctueusement préparé avec leurs langues. Mais c’était si bon... Et, outre le plaisir en lui-même, Andromaque voulait voir de quoi Persée était capable. Elle voulait voir les talents de la jeune femme à l’œuvre. Le sexe était quelque chose de fort chez les Amazones, une chose qu’il fallait savoir maîtriser, autant que l’art du combat ou de la guerre. C’était l’art du sexe, tout simplement, et, avec sa faible expérience sexuelle, Persée allait peut-être pêcher ici... C’était ce qu’Andromaque voulait vérifier.

Les mains de Persée caressèrent ainsi les verges des deux femmes, qui étaient collées l’une contre l’autre. Sélène soupirait de plaisir, et sa bouche venait parfois se pencher vers celle d’Andromaque. Les deux femmes s’embrassaient tendrement, avant de regarder la belle Persée. Ses mains glissaient sur leurs sexes. Persée était motivée, Andromaque le sentait, et elle le comprenait très bien. La belle devait se sentir honorée de coucher avec la Reine et avec sa fille. En effet, si Sélène couchait fréquemment avec d’autres Amazones, Andromaque, elle, ouvrait plus rarement ses cuisses. Il ne fallait pas y voir l’expression d’une quelconque honte, c’était juste parce que la Reine avait un emploi du temps lourd. Elle voyait le sexe comme quelque chose de bon et de simple, de jouissif et d’heureux. Pourquoi en avoir honte ? Persée n’avait nullement à se sentir rabaissée en suçant le sexe de Sélène.

« Haaa...
 -  Hmmmm-hhhmmmm... »

Oui, Persée était effectivement douée. Tout en suçant la queue de Sélène, elle masturbait encore celle d’Andromaque, sa main l’empoignant, glissant d’avant en arrière dessus. Sélène et Andromaque continuaient à s’embrasser, leurs langues se titillant, leurs mains venant agripper et caresser les cheveux de Persée. Les trois femmes se faisaient ainsi mutuellement l’amour, et Persée alterna rapidement, finissant par prendre la verge turgescente d’Andromaque dans sa bouche. Persée masturba ainsi à son tour le sexe de Sélène, ses doigts glissant sur sa salive. Andromaque avait rompu son baiser, et regarda Persée, observant sa belle bouche remuer d’avant en arrière.

« Là, ma belle... Hmmm... Continue, Persée, continue, haaaan... »

La bouche de l’Amazone glissait d’avant en arrière, et, sous ce rythme, Andromaque elle-même finirait par jouir. En soupirant longuement, elle finit par s’écarter, retirant son sexe de la bouche de la femme. Son vit était tout chaud, comme un serpent sur le point de mordre. Elle soupira longuement, et amena aussi Sélène près d’elle. La main d’Andromaque alla alors se saisir de la verge de sa fille. Sélène soupira quand Andromaque serra sa prise sur son chibre, le redressant un peu.

« Oh oui... Persée, tu as une bouche magnifique... Et tu vas maintenant recevoir ta récompense. Relève-toi, ma belle... »

Sélène s’approcha ensuite de la femme. Comme pour sa mère, elle était très excitée, et, contrairement à elle, beaucoup plus vive et plus énergique. Il fallait bien avouer que la Princesse n’avait pas l’expérience de sa mère. Ses mains se posèrent sur les hanches de Persée, et elle l’embrassa goulument, enfonçant sa langue dans sa bouche, et posa ensuite une main sur sa tête, avant de poser l’autre sur le bas de son dos, puis ensuite sur ses fesses. Son sexe caressait le bassin de Persée, et Sélène appuya sur son postérieur, avant de rompre leur baiser.

« Appuie-toi sur moi, Persée... »

Elle voulait que Persée enroule ses jambes autour de sa taille. Pendant ce temps, Andromaque se déplaça dans le dos de Persée, et caressa à son tour ses hanches, tout en voyant les deux mains de Sélène se poser sur chacune des fesses de Persée. Ce faisant, Sélène la pénétra, son sexe disparaissant en elle... Puis Andromaque approcha son membre gonflé de la rondelle de Persée.

Les choses sérieuses venaient de commencer, et Persée se retrouva prise en sandwich entre les deux femmes...
DC d’Alice Korvander.

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Persée

E.S.P.er

Re : Home Sweet Home (PV Les Amazones)

Réponse 12 mardi 07 avril 2015, 15:10:33

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« Modifié: jeudi 22 août 2019, 20:39:38 par Persée »

Les Amazones

Légion

Re : Home Sweet Home (PV Les Amazones)

Réponse 13 mardi 07 avril 2015, 18:59:14

Même si Andromaque avait sous son autorité un grand nombre d’Amazones, elle avait toujours suivi Persée avec attention. Elle savait ainsi que la belle Amazone aux cheveux blancs avait été initiée à l’art de la sodomie, un art ô combien délicat et subtil, par Acté. Elle savait que Persée et Acté étaient très proches, ce qui ne gênait nullement Andromaque. Acté était une guerrière émérite, une Amazone forte et brave, qui avait toutes les qualités qu’une Amazone se devait d’avoir. Elle était une excellente amie et une superbe formatrice, qui avait donné naissance à plus d’une dizaine de beaux bébés. Elle avait donc déjà sodomisé Persée, et Andromaque n’avait donc aucun scrupule à la prendre ainsi, sans aucune autre préparation préliminaire que sa langue remuant dans son fondement pour l’humidifier, et la salive de Persée sur sa verge. De plus, Sélène était déjà en train de la prendre, et, avec le gros chibre que Sélène avait, ce coït devait être... Sensationnel. Andromaque, quant à elle, sentait bien qu’elle allait se faire plaisir. La famille était désormais complète, et sa verge s’enfonça dans les fesses de Persée...

« Hnnnn... » soupira alors la Reine.

Comme on pouvait s’y attendre, le cul de la belle Amazone était très étroit, et Andromaque dut repartir en arrière, et revenir à l’assaut à plusieurs reprises. Et, Dieu, que c’était bon ! Andromaque se pinça les lèvres, mais ne put échapper ce soupir de s’échapper, un soupir qui était un mélange de douleur et de plaisir, mais surtout de plaisir. Il fallait le sentir ! Là, tout contre elle... Le fondement de Persée était lentement attaqué par la verge d’Andromaque, et elle remuait d’avant en arrière, prenant appui sur les hanches de la femme, en grognant. Son sexe avait terriblement mal, et, en ce moment, confirmait tout à fait le caractère violent et brutal du sexe. Contrairement à ce qu’on pouvait croire, le sexe, ce n’était pas que de la douceur et des caresses. Il y avait aussi, dans le rapport sexuel, une forte dose de passion et de violence. Le nier, ce serait nier une évidence fondamentale, ce à quoi Andromaque, en femme lucide, se refusait.

Lentement, son membre s’enfonçait en elle, et Sélène était d’un grand secours, car les coups de reins que sa fille donnait, en prenant appui sur les belles fesses de sa sœur, avaient pour effet d’enfoncer davantage le corps de Persée sur la verge d’Andromaque. Persée, quant à elle, submergée par le plaisir, griffa douloureusement Sélène, ce qui amena ses mains à se crisper sur le postérieur rebondi et agréable de Persée, et à gémir, son front venant se coller au sien.

« Pe... Persée, haaaa... !! »

Loin de la restreindre, cette douleur subite galvanisa encore plus l’excitation de Sélène, qui redoubla d’effort. Andromaque, peu à peu, s’enfonçait dans le corps de Persée, dont les parois internes se faisaient à sa présence. Ses mains se déplacèrent ensuite pour malaxer les seins de Persée, tout en y trouvant un bon appui pour commencer à donner des coups de reins.

« HAAAAAAAAAAAAA.... !! HAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Andromaque reprenait son souffle à chaque coup de reins, tout en remuant d’avant en arrière. Les jambes de Persée ne touchaient maintenant plus le sol, offrant un superbe tableau, celle d’une belle femme, d’une glorieuse Amazone, prise par deux autres. Sélène allait parfois l’embrasser sur les lèvres, tout en remuant ses fesses de l’intérieur vers l’extérieur, facilitant ainsi le membre d’Andromaque, membre qu’elle caressait parfois du bout des doigts. Évidemment, c’était sa mère qui avait ôté à Sélène toutes ses virginités : le vagin, l’anus, ou encore la bouche... À chaque fois, l’impérial membre de la Reine était passé sur son corps, conformément à ce que la tradition prévoyait. Une relation incestueuse qui était tout à fait normale pour un peuple pour lequel il n’existait aucune dissociation entre l’unité familiale et l’unité sociétale.

Persée était prise entre les deux femmes, et, peu à peu, l’Amazone se faisait fort de montrer son expertise et sa maîtrise. Parfois, les deux membres s’enfonçaient en elle jusqu’à la garde, comprimant alors Persée entre les deux corps chauds et en sueur des femmes, et se retiraient ensuite, avant de reprendre, balançant cette magnifique poupée de gauche à droite. Belle et forte guerrière, elle supportait et appréciait à merveille le divin traitement qu’elle était en train de subir.

Leur amante finit par user de ses mains, en posant une sur l’un des seins de Sélène, amenant cette dernière à gémir, et l’autre sur l’une des fesses d’Andromaque, afin de la plaquer davantage contre son corps.

« Pe... Petite gourmande, haaaa... !! » haleta Andromaque en souriant.

La Reine amazone continua bien évidemment ses coups de reins, remuant d’avant en arrière. Son sexe s’enfonçait bien loin dans le cul de Persée, s’enfonçant parfois si loin que ses bourses claquaient contre les doigts de Sélène, avant de se reculer. Elle recommençait ensuite à la prendre, tout comme Sélène. La Princesse embrassait Persée, et, comme on pouvait s’y attendre, Sélène jouit la première fois. Elle avait moins d’expérience qu’Andromaque, après tout, et il fallait bien avouer que Persée l’avait bien préparé. Elle jouit donc dans le corps de Persée, et les deux femmes continuèrent encore à la prendre, pendant de longues et de longues minutes.

Il fallait, après tout, célébrer dignement le retour de Persée au sein de la Horde.
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Persée

E.S.P.er

Re : Home Sweet Home (PV Les Amazones)

Réponse 14 vendredi 25 décembre 2015, 18:56:39

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« Modifié: jeudi 22 août 2019, 20:39:48 par Persée »


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