Oups, j'ai mis de la crème partout. [Pv Yuka & Ishtar]

Mon dresseur est passé me réveiller plus tôt ce matin là. Alors que le soleil était à peine levé je l'ai senti se blottir dans mon dos. Il m'a enlacé et tout en me léchant le cou m'a murmuré :

"Prête à être vendue ?"

J'ai fais un grand sourire avant de prendre délicatement sa main. Je l'ai amenée au niveau de mon entre-jambe et je l'ai plaquée contre mon sexe en érection. Il l'a empoigné et a commencé à me masturber tandis que je lui répondais :

"Prête je ne sais pas, mais excitée c'est certain."

Mon dresseur avait un don naturel pour exciter ses esclaves, jouant de ses mains pour me mettre en condition. Pendant ce temps son esclave personnelle attendait sagement devant le lit, portant sur son bras mes vêtements pour la vente. Elle était comme moi quelque part, élevée depuis le berceau pour être une esclave fidèle et soumise. Mon maitre avait tellement bien réussi son dressage qu'il avait décidé de la garder pour lui. C'était une jeune-femme aux courbes généreuses et aux longs cheveux noirs, surtout la pire nymphomane que j'ai pu voir de toute ma vie. Elle passait son temps à aller de cage en cage pour se taper tout les esclaves du hangar, sans jamais faire de pause. En la voyant je me dis que j'ai encore du chemin à faire pour être à sa hauteur.

Mon maitre s'est relevé, arrêtant brusquement ses caresses tandis que je me cambrais lubriquement. Puis il a embrassé langoureusement son esclave avant de lui ordonner :

"Aide le à se laver et assure toi qu'il reste excité. Je serais embarrassé s'il arrivait aux enchères tout mou."

Sans dire un mot, l'esclave s'est précipitée, m'a prise par la main et m'a emmenée à la salle de bain. Une fois à l'intérieur elle a verrouillée la porte avant de se jeter littéralement sur moi. Elle m'embrassa à pleine bouche, s'empalant sur mon sexe, frustrée d'être restée à côté du lit à nous regarder tout à l'heure. Nous avons pris notre bain ainsi, imbriquées l'une dans l'autre et baisant comme des animaux. Ne pouvant pas jouir de mon propre chef, mes bourses furent vite pleines à craquer, le trop plein de sperme coulant lentement le long de mes cuisses. C'était assez douloureux, dur à supporter mais, j'avais déjà vu bien pire et je m'imaginais déjà en train de d'éjaculer tout cela devant ma future maitresse.

Après le bain elle m'a aidée à mettre mes vêtements, un costume de servante avec des collants et une jupe tellement courte qu'elle ne cachait strictement rien. Puis elle m'a mise à quatre pattes avant de sortir un chapelet anal pour être totalement sûre que je reste excitée. Les perles étaient assez grosses, les premières ont eut du mal à entrer entre mes fesses, forçant mon anus à se dilater fortement. Perle par perle, le sextoy pénétra lentement en moi, me faisant pousser des gémissements étouffés. Puis mon dresseur est venu me chercher, j'ai embrassée une dernière fois son esclave, puis je l'ai suivi jusqu'au lieu de la vente.

Le trajet fut un véritable enfer, chacun de mes pas faisait bouger le chapelet dans mon anus et provoquait des sensations beaucoup trop agréables. Le trop plein de sperme s'écoulait lentement entre mes cuisses, tâchant mes collants et déclenchant ma folle envie d'aller le lécher. Avant de m'en rendre compte je me suis retrouvée sur l'estrade, le vendeur m'a présentée aux futurs acheteurs, j'étais dans un autre monde, attendant qu'on me laisse enfin jouir. Il m'a placée debout face à la foule, a attrapé le bout du chapelet qui dépassait de mon cul, puis il a dit :

"Tu peux jouir !"

Et il tira brutalement sur le chapelet, le faisant sortir d'une traite tandis que je me jouissais dessus. Je me suis sentie tomber à genoux, à bout de force, avant de lécher mon propre sperme comme hypnotisée par lui. Apparemment le spectacle avait plu et je reprenais petit à petit mes esprits en jouant le jeu. Saluant comme une artiste dont la prestation a fait sensation. Puis le vendeur s'écria :

"Prix de départ pour cette superbe créature, cent pièces d'or !"

Je prenais une pose provocante, faisant ressortir mes fesses avec exagération en me cambrant et léchant mon doigt recouvert de ma semence pour séduire les acheteurs. Histoire de leur montrer mon côté chienne en dépit de mes attributs félins.

Aujourd'hui était un jour comme un autre pour les Karistal à la différence qu'une fois de plus, elles étaient en balade à Nexus, une toute petite part pour affaire mais surtout pour un peu de shoping! La chance leur souriait car leur cadenas à bourse, leur argentier Petyr Baelish était absent pour une raison quelconque mais qui tombait à point nommé! Les jumelles avaient envie d'une nouvelle petite chose à prendre sous leur aile pour jouer et en profiter de A à Z. Cela faisait longtemps qu'elles n'avaient pas eu une ravissante petite neko à câliner, toute peureuse et bloqué devant tant d'amour. Elles avaient déjà visité quelques petites ventes d'esclaves mais ce n'était pas encore ça, il y avait un ou deux esclave qui serait bon à acheter – éventuellement – mais elles préférait louper une ou deux ventes plutôt que gaspiller quelques pièces et regretter ce manque d'argent en ayant la perle rare sous leurs yeux, impossible à avoir à cause d'un manque d'argent. Elles savaient de quoi elles parlaient, ça leur était arrivé plus d'une fois et c'était Mélinda Warren ou l'un de ses sbires qui récolta l'esclave tant désiré.

En général, si ce n'est pas trop long, elles assistent aux premières ventes avant de partir si ce n'est pas intéressant, trop banal et donc peu intéressant. Mais finalement, elles ne risquent pas d'être déçu du voyage vu ce qui allait les attendre au prochain stand pour cette vente si exceptionnelle! En pleine ville ennemie, il y avait bien sûr leur garde du corps aussi grand et robuste qu'un véritable ours qui lui vaut son surnom de Nounours depuis qu'elles sont toutes petites. Au moins personne n'osait vraiment les embêter ou leur barrer le chemin. Observant le petit mot du vendeur à l'intention des acheteurs potentiels, elles voyaient donc que personne n'a été vendu pour le moment, le show débutait à peine! Bien, en voyant cette adorable petite chose en tenue de maid se présenter devant la scène et jouir de toute son envie fut si aguichant qu'elles avaient déjà envie de lancer un prix sans même connaître la somme de départ! Et voir cette jolie neko lécher sa semence en montrant ses petites fesses lui donnait sérieusement envie de lui mettre un collier personnalisé autour de son cou! Mais donc, la jolie soubrette était soit une futa, soit un travesti. Des futas, elles en avaient déjà quelques-unes mais un travesti, pas vraiment. L'occasion de voir si un neko mâle pourrait réussir à mettre en cloque une neko? Au moins, elles pourraient enfin avoir leur bébé neko – même si ce n'est pas le leur. Un rêve qui ne tombait jamais pour elles...

La vente commençait bien, cent pièces d'or, déjà? C'est dans ses moments là qu'elles aiment leurs richesses! Il fallait commencer doucement mais surement. Yuko adorait voir les autres lancer leur enchère et une fois que cela se clame, elles les écrasent en annonçant toujours plus! Elle n'avait pas tout l'or du monde sur elle mais une belle petite somme au moins.

« Cent dix pièces d'or! Je la veux celle-ci... elle sera parfaite. »

Oui, c'est un mâle mais si elle est travestie, c'est bien pour une raison alors Yuko la voyait déjà comme une femelle et non un mâle. Que les mendiants se jettent sur le prix pour le faire grimper qu'elle puisse mieux écraser ses vermines. Non loin d'elle se tenait une étrange dragonne noire. Elle avait de la classe mais est-ce qu'elle sera une concurrente? Vu son allure, elle pouvait surement rivaliser avec elles, reste à savoir si elle est une adversaire ou non?

-HJ- J'espère que cette entrée en la matière te plaira -HJ-

Ishtar n'avait pas vraiment besoin de faire du lèche-vitrine. Elle claquait des doigts et on lui apportait tout sur un plateau dans la seconde. Ses moindres caprices étaient remplit en un instant et pour tout avouer, elle avait une armada de serviteurs qui faisaient tout à sa place. C'est aussi ça le confort de la richesse. Mais des fois, on peut avoir envie de nouveauté. Sortant du marché aux animaux exotiques pour faire de la cuisine expérimentale dans son palais, elle venait de faire l'acquisition de deux magnifiques dauphins en pleine santé. Pour les éduquer ? Pour les regarder nager ? Non... Pour les manger. Pourquoi Ishtar mangerait du porc ou du boeuf ? Les humains mangent tellement de cochons qu'ils deviennent compatibles avec eux... On est ce qu'on mange. Manger les espèces les plus évolués devenait de facto le seul moyen de garder un minimum de sa richesse génétique et ne pas la diluer avec des races inférieures. Même manger de l'humain la rebutait à cause de leur alimentation... Mais bon, elle arriva sur la place où une esclave était vendue... Non un esclave, un travestit. Elle s'approcha, curieuse, avant de regarder la présentation de ce dernier. Intriguée, bien qu'elle ait déjà des centaines de travestis ou de transsexuelles dans ses rangs, celui-ci lui plaisait bien.

« Cent dix pièces d'or! Je la veux celle-ci... elle sera parfaite. »

Qui avait dit ça ? Une jeune fille d'une duo, certainement des jumelles, qui voulaient en faire l'achat. Deux cochonnes roses qui achetaient un terranide ? Parce qu'elles se pensaient supérieures peut être ? Les pauvres... On n'achète pas un travestit juste pour l'exposer ou s'amuser un peu avec. Tout ceci est bien différent quand on sait ce qu'ils veulent et c'est exactement ce que pensait Ishtar. Entouré de quelques serviteurs de son royaume pour sa protection, bien qu'Ishtar n'en avait nullement besoin, elle se glissa dans le dos des jeunes filles avant de faire signe au vendeur sur l'estrade.

"J'en donne 180 pièces d'or..."

Dit-elle avant de soudainement poser ses mains sur les deux fessiers des jeunes filles, sous leurs jupes. Leur petit sursaut de surprise fut aussitôt accompagné d'un couinement car Ishtar venait d'enfoncer son majeur dans leur anus à toutes les deux. Ses gants en permanence huilés avec soin et tout en latex de haute qualité, entra en elles sans aucun problème. Avec adresse, elle pressa son index vers le vagin des deux jeunes filles pour les stimuler d'avantage et leur prise les empêchaient aussi de se retourner totalement.

"Et si je vous achetais aussi toutes les deux, mes belles ?..."