Mission ... Sauvetage ? [ PV Stephen Connor ]

^{'' Aidez-moi quelqu'un ! ''}

Cette voix, c'était la voix d'une personne en détresse ! Une touche de peur dans la voix, un petit étouffement pendant que tu cries ces quelques mots, une pression contre les cordons vocaux comme si tu allais pleurer. C'était exactement un appel à l'aide ! Jamais je n'aurais fais confiance à cette voix si je le savais ce qui m'aurait arrivé. Je n'étais pas trop naïve, pas d'un seul grain ! Mais ma vocation en tant qu'agente de la B.S.A.A de l'association des S.T.A.R.S ( Section Tactique Armée pour Recherches et Sauvetages) m'avait appris et d'ailleurs j'en avais fait le serment : que lorsque quelqu'un appel à l'aide, c'est vital ! Je dois aller à son secours immédiatement au risque qu'un être humain meurt. L'être humain est une personne importante et il ne faudrait pas perdre une vie ou qu'elle se fasse changer en zombie causé par le virus-G ! Tout d'un coup, tu commences à te sentir faible, tu t'assoies, mais là, la douleur est trop grande sur ton cœur ! Tu crois que c'est une crise cardiaque et là tu t'arrêtes au bon milieu de la pièce, tu ne penses soudainement plus, tu ne vis plus et une faim te prend comme cela d'un claquement de doigt. Il faut que tu manges, de la chair fraîche ! Voilà comment tu deviens un zombie. Mais, je n'allais pas laisser tout cela se produire. Moi, Jill Valentine, j'en ai fais le serment et je tiendrais ma promesse même s'il faudrait que j'y donne ma vie ! Les cris tenaient toujours leur ténacité : '' au secours '' , '' j'ai mal '' et compagnie suivait leur route et devenait de plus en plus claire ! Même que les cris faisaient de l'écho. Je pris mon arme sur la ceinture de mon uniforme d'agente de la B.S.A.A et l'apportais droite au cœur. L'écho se faisait nettement plus fort lorsque j'arrivais proche d'une espèce de petit tunnel en demi-cercle. On pouvait apercevoir ma silhouette dans l'entrée de celui-ci. Je plissais les yeux pour apercevoir à travers la couche de brouillard qu'il y avait dans l'air. Je finis par voir une silhouette d'homme, tête vers le sol. Il semblait mal en point vue de loin. Je courrais maintenant.

« Tenez bon ! J'arrive ... et voilà ! »

Je m'accroupis vers l'homme qui exprimait des gémissements de douleur. Je le retournais et plaçais ma tête contre son torse pour voir si le cœur battait toujours. Il avait un rythme normal ... Mais alors ? Était-il vraiment souffrant ?

- Ah salut ma jolie. En fait tu vois je n’ai rien du tout mais puisque je t’ai sous la main je vais profiter de toi tu comprends .

Quoi ? Il n'avait rien ? Pourtant il semblait avoir une légère cicatrice dans le coup causé par un zombie, je le sentais, ça sentait le cadavre. Je me fis prendre par les épaules et plaquer sauvagement au sol me causant bien de la douleur, il me tenait cloué au sol avec sa grande force. Je retournais ma tête vers la gauche et remarquais les os d'un cadavre. Je retenais un cri et stupeur puis je tentais premièrement de lui donner des coups de pied pour me défaire de sa prise, mission impossible #1 ! De lever les bras ? Mission impossible #2. Il était trop bien baraqué pour moi, même si j'avais une bonne force et une flexibilité un tendinet hors de du normal, trop fort. Je le regardai d'un regard à moitié frustré mais à moitié effrayé. Il avait une petite barbichette sur le bout de son menton et un dur regard. Il déclarait sans fausse modestie.

- Eh j’ai touché le gros lot dis-moi !

Ça, c'était de trop, de quoi me mettre en colère ! Je lui donnais sauvagement un cou de tête et lui cracha au visage, de la jolie salive sur la joue, quelle bonne manière j'avais. Il l'avait mérité. Je souhaitais a tout prix prendre la poudre d'escampette !

« Mais mon espèce de connard ! Tu vas me laisser partir oui ou merde ?! On n'abuse pas de la gentillesse des gens comme cela ... Je ... Je vais crier et un des zombies va venir te dévorer !»

Ma poitrine trop volumineuse s'écrasait contre le torse de mon agresseur tout à fait mignon je devais l'avoué. Je clos un œil sous la douleur que cela me procurait sans la petite touche d'excitation qui éveillait mon cœur qui battait à cent mille à l'heure. Sa force était trop surnaturelle pour être celle d'un humain après tout ! Il avait un corps de boxer, mais tout de même, il était trop musclé pour être un humain. Je me demandais s'il n'avait pas pris la même injection d'Albert Wesker qui lui donnait une force surhumaine. Quoique, c'était quelque peu absurde car même cela l'aurait tué ! Heureusement, mon coup de tête avait fonctionné, il semblait un peu grogner mais ... il n'avait pas mal ?!

-Tu es une petite sauvage ma belle, ça me plaît tu sais. C’est moi qui vais te dévorer !

Il était trop tard, ou presque, pour que je tente de m'évader en douce. Il pressait sa main contre mon sein droit le caressant à travers de ma tenue. Elle ne m'avantageait pas tellement cette fois-ci, oui certes elle était superbe pour faire mes acrobaties et courir plus vite, mais elle mettait trop en valeur mon doux corps. Je mordis ma lèvre en exprimant des gémissements qui ressemblait plutôt, à vrai dire, de petits couinements tout aigus qu'une souris que l'on maltraiterait ferait ! Il le lâchait quelques secondes et par la suite forçait ma main à aller se plaquer contre son sexe.

Mais... Wow ! Là, j'étais vraiment impressionné ! Son sexe était si dur et même assez gros que ma main, étant tout de même petite, n'arrivait pas à l'entourer tout de seule. Mon corps était si fragile que l'on aurait peur de me briser en deux en me faisant une accolade. Le démon à l'allure appétissante m'embrassait dans le cou et le mordillait, je levais les yeux au ciel. Stephen embrassait maintenant et léchait le bout de mes lèvres m'arrachant un regard fiévreux d'envie. Il fallait mettre fin à cette comédie maintenant, tout de suite ... Right now !

- Écoute-moi ma belle, il n’y a personne d’autre ici, obéis- moi gentiment et tu verras ce que je peux t’offrir !

Il semblait y prendre goût, me voir embarrasser et geindre de la sorte. Mais le petit jeu serait bientôt fini ! Je regardais à ma gauche maintenant, ou le cadavre n'y était pas et je pus m'apercevoir mon arme, à mes côtés que j'avais dû lâcher lorsqu'il m'avait plaqué au sol, je glissais le plus subtilement possible ma main et l'atteind enfin pendant qu'il continuait ses baisers pas si doux qu'avant. Je mis mon canon vers sa tête. D'ailleurs, je me trouvais un peu stupide car mon fusil n'était pas chargé ! J'espérais qu'il ne le remarquerait point.

« Ok mon beau, tu sais vraiment pas à qui tu as affaire mais je vais résumer cela clairement. Je m'appelle Jill, j'ai 24 ans et je n'obéis pas aux ordres de n'importe qui mais seulement de mon commandant. Et à ce que je sache ... tu les pas ! Voici mon offre, tu te dégages je te laisse en vie... d'accord ? »

Je faisais un sourire par tellement gentil à ce moment. J'étais dans tous mes états !

Mais ... Pourquoi ne semblait-il pas effrayer lorsque mon canon, froid comme la glace, se posait sur son crâne ? Il était chaud, était-ce moi qui lui faisais cet effet ? Malgré ma force d'agente de la B.S.A.A, je ne pouvais rien faire, mon chargeur était vide en plus, je laissais tomber celle-ci lorsqu'il déchirait nonchalamment le haut de mon uniforme. Je regardai le tout de bas mais ne pus pas voir son sexe qu'il avait sorti grâce à mon aide puisque mes seins étaient bien trop encombrants ! Mais il ne se gênait pas pour amener ses lèvres à un de mes tétons que lorsqu'il les palpa, devint aussi pointé et dur que son membre que je pouvais sentir sur mon ventre. Je semblais honteuse, je détournais le visage. Il semblait amusé de ma réaction, je ne l'étais pas... Mais ses lèvres faisaient un excellent travail qui m'arrachait soudainement un cri d'extase lorsqu'il le mordillait un peu. Malgré moi, je branlais avec sans difficulté le membre excitant de mon agresseur. Il disait tout d'un coup, qu'il était un démon. Au début, trouvant cela absolument ridicule, je ne peux m'empêcher un ricanement. Il ne semblait pas rigoler lui, pas le moindre petit sourire sur son joli minois. Mon visage s'aggravait et j'haussais un sourcil quelque peu moqueur.

«Un démon ? Mais c'est absurde ... c'est ... c'est grotesque ! »

J'étais sérieuse ! Très sérieuse même si la réaction du " démon " ne me prenait pas au sérieux lui. Ça me frustrait. Je le regardais pas dans les yeux, il s'approchait de ma bouche avec son sexe tout d'un coup, sûrement pour me faire payer. Stephen trouvant mes seins trop encombrants à son tour fit passer son membre durcit entre mes seins me donnant un air de sainte-nitouche tout d'un coup. Ce que je n'étais pas en fait. J'avais eu quelque autre expérience, mais je ne vous en dirai pas plus ! Il approchait maintenant ma tête vers son sexe d'une main pour m'inciter à prendre celui-ci dans ma bouche. Mais je ne commençais jamais par cela, je commençais premièrement par lécher son gland sensuellement. Je l'entourais de ma langue assez agile. Au moins, il avait l'air d'apprécier ! Et ensuite, je m'attaquais au festin engouffrant le pénis de Stephen dans ma bouche pour y faire des va et viens.

- Finalement tu la veux, je suis heureux que tu comprennes.

Il était lent et flattait mon corps avec douceur me procurant mes frissons qui parcourraient mon corps de haut en bas. Lorsqu'il l'approchait (son sexe) je pus l'observer avec plus de temps avant de me mettre à la tâche bien entendu. Il était très ... large. Je me demandais même si cela allait entrer dans ma gorge ou quelque part d'autres. Et voilà qui me donnait des ordres. Il m'ordonnait d'ouvrir ma bouche pour donner place à son membre et lui donner un accueil chaleureux. Je le faisais, mais son engin n'entrait pas tout dans ma bouche alors avec retenue, je le suçais de ce que je pouvais. Il ne semblait pas assez comblé qu'il entrait son membre jusqu'au fond de ma gorge. Je sentais mes yeux sortir de leurs orbites tout d'un coup. Je criai avec celle-ci dans la bouche. Quelques larmes coulaient sur le côté de mes yeux mais aussi de la salive du côté gauche de ma bouche. Il continuait sans arrêter. Je n'en pouvais plus donc sans gêne je mordis son membre férocement qui lui arrachait un cri. Il tombait de douleur sur le côté alors, c'était une belle occasion pour moi de filer en douce. Par contre, le côté de son corps était toujours contre moi. J'essayai de ramper et réussi à faire quelque centimètre de rampage mais, furieux, il prenait mon bassin pour me ramener à lui. Je ne voulais pas y retourner bon sang !

« Mais ... NON ! Lâche-moi à la fin ! Je ne suis pas ton repas ! »

Je sentais le membre bien dur du démon contre mon fessier. Je gémissais le sentant poussé dans celui-ci, mais là était la question. Est-ce que j'allais finir par me faire avoir et prendre part à mon tour au plaisir ? On allait surement bientôt le savoir. Il venait encore palper ma poitrine, je crois qu'elle lui plaît bien. Mais à vrai dire je n'avais jamais vu aucun homme ne pas les apprécier ! Je sortis la langue de plaisir lorsqu'il s'amusait avec mon auréole au bout de mes seins voluptueux. Je me sentais ridicule, prendre plaisir à ses attouchements. Mais j'y étais pour rien, mon corps me trahissait je le sentais.

Quelques mots plus tard, le démon plaçait ma main contre son sexe qui celui-ci prenait bien de l'espace, j'étais à quatre pattes. Je ne tenterais peut-être plus jamais de m'évader de peur de recevoir un coup de poing bien placé. '' Han ! "' gémissais-je lorsqu'il commençait habilement à jouer avec mon entre-jambes qui était déjà bien humide. Il s'amusait avec mon clitoris de sa main gauche, je serrais les dents pour m'empêcher un peu de crier de mon plaisir. Il me demandait, vers mon oreille, que je lui demande de me prendre, il prenait ma nuque. Je murmurais trop bas que je désirais qu'il me prenne. Il ne trouvait pas cela assez convaincant au début alors je m'écriais.

« Prenez-moi ! Prenez-moi, je veux être prise par tous les trous maintenant ! Je veux gouter au plaisir ! »

Même moi je m'étonnais de ses paroles. Il devait être convaincu, c'était sûr !

Pitié, merde, venez m'aider quelqu'un ! Il se moquait de moi c'était certain. Il devait trouver cela amusant comment je me retenais pour ne pas gémir. Je cherchais à travers le brouillard, un point, seulement pour penser à d'autres choses, peu importe si je pensais au vide ! Mais pensez par pitié à autre chose que ses mains qui me pelotaient et tripotaient tout mon corps sans, ou presque, aucune douceur. Je devais être en enfer. Il y avait de la brume, un démon qui me prenait de ma position et qui riait de mes agissements. Pour une fois, ou presque, je me sentais inférieure. Tellement inférieure ! Tel le minuscule grain de sucre qui était entreposé dans le bac de sel.

Ses paroles que j'avais prononcées avant, elle n'était pas si sincère, je me sentais honteuse et très refermé contre moi-même. Je me maudissais lorsqu'il déchirait le reste de ma combinaison. J'étais nue, devant le regard cruel de ce monstre qui tenait son sexe devant mon entre-jambes. Il allait entrer, je le sentais, il était presque en feu tellement il était chaud ! Il murmurait à mon oreille avec sa voix puissante en commençant à entrer son large et long membre dans mon intimité :

- Tous les trous, commençons par celui-là alors.

« Ça ne rentrera jamais ! ARRG ! »

Il était entré d'un coup sec dans mon intimité m'arrachant un cri de douleur, des larmes coulaient contre mon visage qui devenait de plus en plus moite. Sa queue était si volumineuse, même trop ! Il tirait mes cheveux et me donnait encore un autre ordre. Il me demandait de remuer mon cul lorsqu'il me baiserait encore plus fort dans quelques secondes. Au début, je refusais. Mais ensuite il me tirait encore plus ma soyeuse chevelure en arrière me faisant encore crier. Il me menaçait ma foi ! Je finis par obéir aux ordres bougeant mon cul, doucement, mais surement.

Il était vraiment sadique. Il s'excitait lorsque je souffrais, c'était horrible à voir malgré le fait que ses coups de reins devenaient de plus en plus agréables. Je sentais mon intérieur frotté tellement son membre prenait de la place. J'étais raide, au début, j'étais toute crispée telle une tortue qui voudrait entrer chez elle. Entré dans sa coquille pour ne pas faire face au danger. Le danger maintenant, c'était le démon derrière mon qui me claquait les fesses tout en me baisant fougueusement. Je me cambrais lorsqu'il tirait de nouveau ma chevelure brune. La brume m'aveuglait même un peu, mes yeux vert foret commençait à ne plus distinguer le reste du paysage. Je devenais folle, enfin, il allait finir par me rendre folle !

Il s'accélérait toujours de plus en plus chaque seconde ou chaque minute. Je remuais toujours en mordant ma lèvre jusqu'aux sangs. Elle ne pissait pas le sang, mais une ou deux gouttes de sang vinrent mettre un gout de saler dans ma bouche venant titiller mes bourgeons gustatifs. Soudainement, il se penchait contre moi, m'écrasant presque complètement de son poids. Il me baisait comme un animal qui se frotterait sans gêne sur la visite. Puis quelques instants passé, il était debout, avec son nez dans mon cou et moi dans ses bras. Il n'arrêtait pas et ma petite chatte brulait d'envie de plus en plus.

Je criais de plaisir maintenant, je m'appuyais sur le mur l'aidant plus aisément avec ses coups brusque, je balançais mon postérieur de haut en bas ne voulant plus m'arrêter. Il jouait avec ma perle rose de son index et de son pouce, il le roulait entre ses doigts. Je n'en pouvais plus, j'allais jouir, il se frottait contre mon point G ultra-sensible en me malaxant une fesse de son autre main. Il me grognait une insulte, je ne la vis pas de tel, je soupirais à mon tour après ces quelques mots, je ressemblais à une vraie chienne en chaleur, j'étais pathétique !

- Espèce de salope !

« Oooh ... Oui ! Je suis une vraie salope ! Haan ! »

Bang, bang, bang, bang ... Tous les coups de son gland qui tapait violemment sur le col de mon utérus, je les entendais tellement je n'étais plus là ! J'étais perdue, je n'étais pas perdue dans l'espace, mais bien dans l'univers de mes pensées ! On aurait dit je regarder le mur avec intérêt, mais non. J'étais simplement concentrée. Concentrée à ne pas jouir si vite. Mais c'était si difficile ! Il était doué ce démon et je ne devais pas être sa première victime. Je sentis des frissons contre sa peau puisque ses poils de ses bras se hérissaient lorsque j'avouais que j'étais une grosse chienne, qui voulais juste se faire baisé.

Je m'accrochais au bras de mon agresseur agréable. Je lui griffais les bras avec mes ongles vernis, quoiqu'ils soient un peu courts, je lui serrais les poignets et cambrais les orteils d'excitation. Il allait encore plus profond. J'entendais le son de son bas-ventre qui claquait contre mon fessier, c'était bien l'extase pour tous les deux. Enfin, je crois, après tout c'est ce que disaient les grognements et compagnie qui sortaient de la bouche de Stephen qui me le prouvait bien, j'en étais d'ailleurs bien comblé !

- C’est bien petite pute. Mais si tu veux que je te défonce bien fort, tu vas devoir me supplier.

Supplier . Mais il était rendu dingue ou quoi . Il voulait voir à quel point j'en avais envie. Putain ce n'était pas question donc, sans gêne, j'accélérai mes coups de hanche en voulant encore plus. J'en voulais, Dieu que j'en voulais ! Il rigolait derrière moi en voyant à quel point j'étais décidé à ne pas m'arrêter. Il avait raison après tout... Je penchais ma tête vers son cou continuant de remuer mon joli petit cul en son honneur, je marmonnais à son oreille de mon accent anglais.

« I would not implore you son of a bitch ! »

Sur ces mots, il se retirait de moi. Zut, je devais avoir gaffé. Ou pas puisqu'il m'agenouillait devant lui pour que je me nourrisse de son sperme qui allait surement bientôt jaillir de cet orifice au bout de ce membre excité devant mon nez. Il branlait ce monstre devant ma bouche qui ne s'ouvrait pas tout de suite, je voulais le faire patienter ce chien qui avait osé me forcer à le sucer auparavant. Je m'amusais à voir sa réaction lorsque je faisais semblant de mettre son sexe dans ma bouche.

Impatient, il prit mes cheveux et entrait d'une façon sec au fond de ma gorge son joli sexe. Lorsque je fus prête, je faisais mon job à la perfection entourant de la langue son Stephen junior avec agilité. Comme si j'avais fait cela toute mon entière vie, à chaque seconde et chaque minute. Je jouais et massais ses couilles pendant ma fellation. Après quelques coups bien profond dans ma gorge, je sentis cette texture salée et sucrée qui explosait dans ma bouche et ça n'arrêtais pas de sortir. J'avalais presque le tout, le reste, je le recrachais au pied du démon aux yeux dès maintenant plissés. Il avait joui dans ma gueule et je faisais un visage de tentatrice. Quel beau duo l'on devait faire à cet instant !

Bingo ! Enfin, il semblait apprécier mes coups de hanche. Il semblait aussi beaucoup surpris. Quoi le Texan ? Ta jamais voyait une humaine avoir tant de flexibilité et de talent . J'étais super-déçu lorsqu'il se retirait de mon intimité en feu, cette minette voulait du plaisir putain ! Je lui fis savoir avec un genre ''Oh ... on arrête tout de suite ? "' mais l'Américain en avait pas fini. Il fit place à la fellation.

- I’ll make ya fuckin’ beg for it !

« Oh yeah, show me your rage! »

Ce moment où nous nous parlions sensuellement en anglais était TRÈS excitant pour moi, j'étais tout de même fière de ma nationalité. Lorsque, quelques minutes plus tard, je recrachais un peu de son sperme et il semblait TRÈS déçu. Je ne voulais pas le décevoir donc je pris le sperme au pied de Stephen entre mes doigts et les léchais avec gracieuseté mais aussi, ma sensualité, était à faire tomber des tas d'hommes à mes pieds.

Je crois que cette avance avait bien fonctionné, il semblait me désirer tellement fort ! Il me prenait le bras sauvagement. Je souriais d'une manière coquine à son égard. J'avais un regard "' quoi ? tu me désires tant que cela . ''. Ouais ! Ma récompense était arrivé, je pus enfin voir ses beaux abdominaux lorsqu'il retirait son chandail. Ce qu'il était musclé ma foi ! Il embrassait mon cou, je caressais ses cheveux. Ils étaient doux et ils sentaient très bon. Je les reniflais un peu et il se défait de mon coup venait à mon oreille pour susurrer.

- J’espère pour toi que personne ne passera.

« Mais, y a personne qui peut passer ... c'est impos... Aaah ! »


Il entrait dans ma chatte une fois de plus avec cette énorme bite. Pendant que je parlais auparavant, il avait levé ma jambe droite donnant libre accès à cet orifice lubrifié par ma cyprine au gout si doux. La brume semblait se dissiper quelque peu, on pouvait mieux voir mes formes alléchantes. Il y allait doucement, mais même si c'était doux je ne pouvais m'empêcher de m'apercevoir à quel point celle-ci pouvait être grosse, néanmoins je gémissais un peu moins fort que d'habitude.

« Elle est si ... han ... si ... oh... imposante ! »

Stephen semblait bien fier de mon comportement lorsque je ne laissais plus une goute de sperme à ses pieds. Il grognait tel un chien content qui agiterait sa queue d'excitation pour avoir une gâterie ! Quelle belle métaphore je venais de faire en penser, c'était rigolo ! Je me retenais même pour ne pas rire en fait, le démon m'aurait surement pris pour une belle dinde !

 Lorsque je fus en position pour qu'il entre son sexe imposant en moi, je gémissais. Il mordillait d'une manière bien habile mon cou. Je griffais son dos nu. Je gémissais, de petit couinement de plaisir mais lui, il en était excité ! Cela promettait d'être si chaud. Il allait de plus en plus fort tandis qu'il me violait ( ah non, ne pas violer j'étais consentante ! ) mon intimité d'une façon rude et agréable à la fois. Il me grognait quelque mot soulevant ma deuxième jambe. Oh Dieu que c'était bon !

- Tu n’attendais que ça, hein petite salope . Que je te pilonne comme le petit jouet que tu es !?

«Oui j'attendais... j'attendais... Aaaah ! Ah plus fort, plus fort encore ! »

Il semblait excité, il était prêt à me faire crier, à me faire jouir. Je sentais mon point G frotter contre son sexe. Je fis un visage d'extase, de pleine extase... Pourquoi ? J'allais simplement jouir. Je jouissais à l'instant même couinant de plus en plus fort. Il sortit sa langue pour que je la lui lèche à l'air libre. Avec plaisir putain ! Tout pour ce mec !

- Tu m’excites espèce de salope, crie pour moi, crie !

« Oh yeah! Fuck me hard, harder son of à bitch ! I'm you're slut ! Aaaah ! GOD ! »

J'avais jouis, la cyprine avait coulé, j'étais essoufflé, le haut de mon corps s'écrasais contre Stephen impuissante que j'étais.

Griffe, griffe le petit cou de mon agresseur, j'étais en pleine excitation, en plein extase même ! Je mordais sa lèvre inférieure sensuellement la léchant de temps à autre. Je voyais qu'il avait du mal à bouger dans cette position, je décidais de lui donner un petit coup de main non regrettable. Je bougeais une fois de plus mon bassin bien proportionné de plus en plus vite qu'un orgasme s'approchait de moi. Il souriait de mes expressions, j'imagine que je devais avoir une gueule de salope ! D'habitude, lorsque je faisais une expression comme telle, mes agresseurs prenaient un réel plaisir à prendre une photo de cela. Au moins, Stephen ne le faisait pas, ça faisait du bien ! Éviter de se retrouver sur l'internet pour une fois ! Je continuais d'hurler de plaisir.

- Like that uh? You Fuckin’ slut!

« Mm 'yeah ! »

Je prenais sérieusement goût de me faire prendre par ce démon très attirant! Je ne regrettais plus d'être venu à son "' secours " . Lorsqu'il se déversait en moi, j'allais lui demander s'il était stérile. Mais je me résignais, ce liquide chaud hantait mon entre mouiller de mon nectar. Même si j'avais déjà eu mon orgasme, il continuait. Ma minette était vraiment en feu ! Je lui demandais d'arrêter, mais il ne s'arrêtait pas, il était sans pitié. Que j'aimais cela !

Il me reposait au sol doucement, wow, de la douceur pour une fois ! Il ajoutait qu'il n'avait pas fini de son accent sexy de Texan. Il me demandait si j'avais été déjà été baiser dans mon petit anus serré. Je secouais la tête négativement. Oui je le savais que j'avais dit : « Prenez-moi ! Prenez-moi, je veux être prise par tous les trous maintenant ! Je veux gouter au plaisir ! », mais j'étais à moitié sincère et une peur entrait en moi lorsqu'il caressait mon deuxième orifice.

Il massait mon cul, je gémissais, la routine ! Je ne pouvais pas me lasser de sentir ses mains me tripoter de partout pendant que le sperme de Stephen s'écoulait de mon intimité principale. C'était chaud, c'était sensuel et je reprenais mon souffle de la dernière activité avant qu'il m'ordonne de nettoyer se membre qui m'excitait temps et qui venait de me labourer la chatte.

- Tu ferais bien de me faire jouir vite, des bruits de pas approchent. Ce serait embarrassant pour toi de te faire gauler en train de sucer ma grosse bite, pas vrai .

«Oui ... Ce serait gênant ... »

Donc pour éviter cela, je commençais une fois de plus une fellation. Il semblait les apprécier pour m'en demander plus ! Je léchais de tout son long son énorme bite et la rentrais dans ma bouche pour lui faire une fellation rapide pour éviter que quelqu'un ne les voie à l'acte.

Mon visage de pute déçu avait bien eu l'air de plaire mon agresseur et mes coups de langue et mais va et viens avec sa queue dans ma petite bouche aux lèvres pulpeuses semblait lui plaire deux fois plus ! Je me hâtais à la tâche. C'est petite menace de bruit de pas me faisait paniqué. Je ne voulais pas que quelqu'un nous voie, ou tout simplement me voie dans un tel état. J'avais chaud et quelque goute de sueur venait couler le long de mon visage angélique. Angélique ... mon visage ? Bien sûr! Mais angélique mes réactions, mes actions et mes intentions ? Pas du tout !

Je continuais mon beau travail jusqu'à temps qu'il arrête pour me pencher encore vers le mur, me donnant un appui. Tandis que lui s'appuyait contre mon anus serré, étroit, vierge. Tout ce que vous voudrez comme terme ! Je tentais de m'enfuir. Ma promesse de tout à l'heure ne tenait pas. Je n'avais jamais été baisé dans ce trou et je ne voulais jamais le tenter ! Mais le diable en arrière de moi rattrapait mes bras me tirant vers lui commençait à entrer son gland dans cet orifice.

« Tu parles d’une chasseuse de zombies, tu es qu’une bouffeuse de bites. »

« Ne ... ne rentre pas là ! C'est ... aïe ! Ça fait mal putain ! »

Il tirait toujours sur mes bras. Je sentais mon anus se dilater, je criais de douleur. Simplement de douleur ? Peut-être pas ! Un peu de salive qui coulaient sur le côté de mes lèvres m'en disait un peu sur cela. Je blasphémais quelque insulte à l'intention de Stephen qui commençait à faire se vas et viens dans mon petit trou.

« Et encore ces bruits de pas ! Qui sait, peut-être est-ce une bonne chose ? Je pourrais te prêter à la personne qui arrive ! » Disait-il une touche d'amusement dans son ton de voix.

« T'es juste un malade ! Jamais je ne me mettrais ... Ah ! C'est si ... serré ... Ça fait mal ! »

Quoique je ne puisse voir son visage de connard, d'excitant démon à barbiche, d'après les bruits de gorge qu'il faisait et les gémissements rauques qu'il provoquait à chacun vont et viens qu'il entamait, je me disais qu'il pouvait bien prendre son pied ! Si ? Eh bien, si je n'avais pas raison, il simulait bien le salop ! Moi, je ne simulais pas du tout ! Pourquoi simuler de prendre son pied ? Je le prenais vraiment avec enthousiaste ! Jusqu'à temps qu'il s'approche de mon petit anus qui n'avait jamais été visité. Ça, j'ai toujours conclu que c'était une sortie et non une entrée ! Mais la tête dure de ce démon ne me laisserait pas partir avant d'avoir tout pénétré en fait. J'étais trop affaiblie par mes pulsions que j'avais du mal à me dégager de son étreinte d'homme surnaturel. Alors, vu que je n'étais pas résumé a faire de grand mouvement, je ne faisais qu'entrer mes ongles courts dans sa peau, le griffant pour évacuer le trop de mal qui envahissait mon cul et le long de ma colonne vertébrale.

Il commençait déjà à entrer que j'exprimais un grand râle. Un cri plutôt, un tout petit cri aigu disons ... mignon à croquer ! Il allait finir par me briser en deux ! Me déchirer le corps en deux ! Moi, je trouvais pas ça mignon du tout quoi ! Ça s'explique bien hein . Ça grosse verge essayait d'entrer, chaque centimètre de son membre se battait pour entrer dans mon trou étroit et le ramoner par la suite. J'entrais mes ongles de plus en plus dans ses poignets. Ça ne lui ferait pas mal puisqu'il était fait fort ... Mais bon, mon but, ce n'était pas de lui faire mal, plutôt de lui faire arrêter ce supplice. Mais ce n'était pas son genre. Il ne pensait pas au mal qu'il infligeait à autrui, il pensait à son plaisir ... Ah, quelle espèce d'égoïste de mon coeur que j'aimais bien ! Oui je suis étrange, mais sincèrement,who really motherfucking cares ?   

« Ne t’en fais pas ma belle, ça ne te fera pas mal longtemps. » Riait-il, continuant à entrer sa verge en moi, encore une fois, d'un trou différent.

« Tes ... Tes qu'un gros connard ! Mhaaan ! » Gémissais-je lorsqu'il fut au fond et qu'il commençait à mettre mon petit trou en feu. Stephen était vraiment excitant comme démon ... Quoique au début, je n'aurais pas hésité à lui coller balle au front, je le trouve maintenant si irrésistible ! Sa monstrueuse verge allait maintenant plus doucement ... Pour qu'il ne jouisse pas tout de suite ! Je sentais mon petit trou s'élargir à chaque coup de bassin, pour ma part, depuis qu'il avait lâché mes bras, je griffais la terre mouate du sol criant de plaisir mais tout de même de douleur. Je bougeais mon gros cul malgré moi, ce qui dû lui faire un énorme sourire sur son beau visage endiablé. Il se plaquait contre moi, caressant ma poitrine et mon petit clitoris qui commençait à être bien gonflé. Je prenais tellement mon pied avec lui, c'était incroyable ce qu'il pouvait me faire ressentir ! J'en salivais même, sortant la langue, cherchant de l'air.

« Fuck, how did you get a body like that ! » Ah, je le voyais venir là ... Croyait-il que les Américains étaient tous des bouffeurs de fast-food et compagnie ? Hummm, il se trompait alors ! Vive l'entrainement.

« I'm an agent! What other way could I have? » Lui répondis-je, grognant de plaisir. J'étais vraiment une petite chienne quoi ! Finalement, les bruits de pas s'arrêtaient, je me retournais, voyant deux hommes debout, visiblement pas du tout ajunt ! Mais c'était tout de même gênant ! D'ailleurs, Stephen arrêtait soudainement de me labourer le cul pour aller leur parler. Moi, je ne voulais pas ! Je lui agrippais la main, agenouillé au sol lui répétant que je ne voulais pas de ça ! Mais il semblait s'en foutre totalement, il leur disait que j'étais une petite chienne à prêter ... Quoi ?!

« Putain Stephen ! Tu délires ! Arrête ! » Il ne me prêtait même pas attention ... Mais quelle tête d'enflure ! Il empoignait mes cheveux de sa main, m'attirant vers lui. Je lui frappais les cuisses de mes poings. Mais ... Il était vraiment fou de vouloir me faire ça ! Il m'intimait de marcher, au sol, à quatre pattes. Y'était pas question ! Il rêvait en couleur ! Mais sa claque sur ma fesse me renversait sur les genoux et sur mes mains. Sous le regard sévère et ricaneur de Stephen, je m'avançais vers les deux hommes visiblement saouls. Je dézippais un des jeans des deux, fourrant son sexe dans ma bouche et entame une fellation. Il s'exclamait à son ami.

- Putain ... Mec... Elle est vraiment bonne !

- Ah ouais ? Laisses-moi l'essayer aussi alors ! Hoquettais l'autre approchant sa verge de ma bouche, je prenais les deux en mains pour leur sucer chacun leurs tours leurs verge, toujours honteuse pensant à ce que je faisais. C'est du vrai délire.

Vraiment, qu'est-ce qui m'arrivait ? Obéir à un tel connard, ce n'était pas digne de moi bien entendu, une agente douée et apprécier par son commandant ... Effectivement, si celui-ci me voyait, je ne saurais pas que serait sa réaction. Peut-être la surprise, ou alors de l'admiration. Ou bien, comme tout homme qui se respecte, une érection soudaine et le regard sur moi. Oh, la honte que je vivrais, je ne voulais même pas y penser. Même si présentement je vivais une situation très semblable, ce n'était pas si grave, je le faisais pour ne pas subir un sévice par ce démon diablement sexy. Même si c'était connu que ce genre de créature (comme dans les livres) était beau, Stephen dépassait la norme. Je ne pouvais m'empêcher de fantasmer tout de même sur lui. Disons que moi-même, en ce moment, je me trouvais extrêmement absurde et je me sentais comme une salope. Après tout, je n'avais même pas hésité à sauter sur les deux jeunes hommes saouls devant moi sous l'ordre du démon de la luxure en personne. Enfin, façon de parler puisqu'il m'avait sauté dessus quand j'avais cru que celui-ci était en détresse ! Prochainement, dans mes missions, je devrais être moins naïve et y penser deux fois avant de sauter sur l'occasion de sauver quelqu'un. Mais, grâce à ma grande bonté, je suis tombé sur Stephen. Il fallait dire que je prenais mon pied. Et je suis sérieuse ! C'est rare que je sois satisfaite du côté sexuel. J'avais déjà eu un conjoint dans le passé, mais il ne m'allait pas du tout. Je ne l'ai pas seulement largué pour cela, je ne suis pas une méchante fille, mais il ne fallait pas être comme les autres. Les gens disaient que faire l'amour à un vampire, c'était extraordinaire. Mais le faire avec un démon, c'est plus que parfait mesdames, je vous l'assure ! C'est a essayer.

Ah le salaud par contre, il était en train de se venger, faisant mine de vouloir entrer dans mon intimité. Je n'aurais pas dû le faire attendre, car là, c'est moi qui voulais me faire baiser, sauvagement par sa queue de rêve. Quoi, je suis vulgaire ? Et alors qu'est-ce que ça peut bien vous faire ? Je voulais me faire baiser avec un tel hardeur, que le lendemain, je ne pourrais plus parler tellement j'aurais crié de plaisir. Je voulais me faire ramoner la chatte, devenir fou. Mais je gardais tout de même mon masque de pudique jeune femme. Non, je n'étais pas coincé, je voulais simplement garder ma dignité ! Lorsque Stephen entra en moi, je criais de plaisir avec cette queue en bouche, ce qui dû faire du bien à l'homme que je pompais. Il avait même profité de ce crit pour me faire une gorge profonde et tenant ma tête pour continuer de me faire sucer et aussi accélérer ma cadence. Ce n'était pas déplaisant ... Sauf lorsque celui-ci vint dans ma bouche, l'autre se mit directement dedans ! Ma réaction ? Je m'étouffe et sans plus attendre je lui mords doucement, mais tout de même violemment la queue le faisant hurler de douleur. Je m'extirpe de Stephen qui me tient tout de même toujours les hanches pour recracher le sperme de ma bouche. Combien de litre avait-il envoyé en pleine gueule.

« Vraiment connard ? Tu crois que j'aime m'étouffer avec le foutre d'un inconnu ?! Franchement, faut être borné pour croire cela !  »

J'avais dit cela, sans gêne, mais j'attendais avec un peu de chair de poule la réaction de mon beau diable pendant que l'autre gars grognait, sur le sol tenant son pénis en main. Qui était, vraisemblablement, toujours au garde-à-vous.