Durant une belle journée ensoleillé, les enfants s'amusérent dehors. Les adolescents parlérent ou s'amusérent, eux aussi. Les oiseaux chantérent et le vent soufflait fraichement, ne faisant vibrer que les feuilles des arbres en fleur. C'était un jour où tout les écoles étaient fermées. Mais, malgré que tout le monde s'amusait à l'extérieur, deux jeunes personnes érraient dans la bibliothéque ensoleillée. Une des deux personnes touchait délicatement les livres d'une étagére tandis que l'autre grognait. La jeune personne, touchant délicatement les livres, était une jeune fille à l'apparence d'une enfant de 13 ans. Elle rougit, étant, maintenant, comme une habitude et elle posa deux doigts sur le dessus d'un livre, le tira et le prit avec sa main pour le tirer de l'étagére. Les autres livres tombérent, mais, dés qu'ils tombérent en avant, ils s'arrétérent, formant une piramide. La jeune fille, elle, s'installa à une des nombreuses tables régnant dans cette atmosphére tendue, mais, remplie de connaissances. Le livre que la jeune fille s'apprétait à lire avec un titre en écriture grossiére, mais, charmeur. Sa couleur était en or et la couverture en bleu bordée par des coins d'angles en argent. La jeune fille l'ouvrit, posa le livre sur la table et commença à lire la premiére page quand celle-ci se fit intérrompre grossiérement par une personne, grognant, qui apparut par surprise.
- Bwoooh. Pourquoi tu m'as emmené ici. Lui dit la personne qui n'aimait pas lire
- Je t'ai emmené ici pour que tu puisses renforcer ton mental, Lavi. Répliqua la jeune fille toujours sur sa page
-Bwoooh. Tu sais que je deteste les livres, petite soeur. Reprit le jeune garçon, ayant mit son bras contre la planche qui soutient l'étagére et se tenant sur un pied. L'autre pied était de l'autre côté et, sa jambe, passait devant celle qui soutenait le jeune garçon
- Ce que femme veut, Dieu le veut. A l'impossible nul n'est tenu, mais, à cour vaillant rien d'impossible. Dit la jeune fille sans quitter la page
- Bwoooooh. Tu m'énèrves, tu sais que je comprends rien à tes proverbes ! hurla le jeune garçon qui, frappant la planche de l'étagére, fait tombé quelques livres.
D'un soupir profond, la jeune fille se releva, prit les livres pour les remettre, puis, regarda le jeune garçon en lui disant
- les femmes en viennent toujours à leurs fins. On ne peut exiger de quiconque ce qu'il lui est impossible de faire, mais, avec du courage, il vient à bout de tout. Donc, seul les laches partent et les courageux restent. Répliqua la jeune fille vis à vis de la colére de celui ci.
D'un grognement, le jeune garçon partir, cherchant un livre qui pourrait, éventuellement, l'intéressé ,pour une fois. La jeune fille, quant à elle, finit de déposer les livres là où ils étaient et retourna à son livre. Regardant autour d'elle pour voir si son frére n'était pas là, elle souria avant de rire discrétement. Elle rougissa toujours, vu que c'est une sorte de maladie chez elle.
- Heureusement que je connais bien mon frére et qu'il connait pas les proverbes. Dit la jeune fille suivit d'un rire discret.