(libre) Une ombre en ces lieux sombres.

En cette nuit sombre... Dans les terres des contrées du chaos... Se profilla une ombre... Une homme vétu de noir marchait en ces lieux, sa cape sombre claquant au vent tel un pavillon sombre...

Je me demande quel est ce lieu...

Cet homme se nomme Alexander Nikolaevich Her, un E.S.P.Er munis des pouvoirs du Qwaser de fer. Il n'avait aucune arme...Sur lui tout du moin. Le sol de ces contrées désertées de toutes vie était en fait riche en fer. Ce qui ferais de cette endroit un champs de bataille idéal pour lui si l'on venait à l'attaquer.

Il rit un peu, voyant un animal de taille imposante au sol, ilposa un genoux à terre et y déposa sa main, le sol se fissurant pour faire sortir les roches fereuses, tout le fer s'assemblant dans sa main droite. Il se redressa alors et joignit les deux mains, les écartant lentement l'une de l'autre, une barre de fer brulant se formant peu à peu, soudain il décalla brusquement ses mains, formant une sorte de faux. Il sauta sur le côté, esquivant un coup de patte de la bête avant de faire glissé sa jambe droite vers l'arrière et la bloquée, élancant sa faux vers le ventre de la bête, la traperçant au coeur, le sang s'étallant au sol, et surson visage. Il retira la faux et la fit disparaitre avant de reprendre sa route.

Nous continuions notre errance, allant aux quatre vents, sans but précis. Nous recherchions la puissance, toujours plus de puissance, toujours plus de défis. Nous étions un Dieu. Nous étions fort. Il faisait nuit noire ce soir-là, et les rayons de la lune filtraient à peine au travers des nuages. Le souffle glacial du vent nous revigorait, et nous profitions à cœur joie de ce système que nous avions nous-même élaboré, et qui était parfait, car il nous laissait libre. Mais très vite un évènement vint perturber le calme de la nuit.
La bise amenait à nos narines l'odeur du sang, et nous succombâmes soudains à nos instincts les plus primitifs, ceux qui faisaient de nous autant un Démon qu'un Dieu. Attiré par une curiosité que nous savions malsaine et dangereuse, nous ne pûmes résister à l'appel de ce liquide rouge et chaud, et très vite, nous atteignirent le lieu du crime.

Perché sur un haut talus, nous virent la scène: le sol ouvert, une créature colossale morte, et son assassin, maculé de sang, qui cheminait à quelques mètres de là, comme si de rien n'était. Mais la voix d'Ayonn, lointaine au fond de notre esprit, résonnait, et ne cessait de répéter du sang, du sang, avec toujours plus de hargne, toujours plus de frénésie. Mais comme d'habitude, toute tentative de résister à cet appel primal était vain.
Nous cédâmes à la violence, la brutalité et la furie.

Du dioxygène se rassemblait au creux de notre main, alors que des vents ascendants nous soulevaient du sol en silence. Arrivant au-dessus de sa proie, nous étions la mort elle-même qui planait de façon funeste sur cette âme errante. La lumière était trop faible, notre ombre se distinguait à peine des autres, notre souffle se mêlait à celui du vent hurlant. Et nous fondîmes vers lui, tel un oiseau de proie sur son gibier, sans aucun bruit.
La première chose qu'il put voir de nous était notre dos: nous posèrent nos pieds juste devant lui, entravant son chemin. Sans crier gare, nous fîmes alors volte-face, plaquant contre son visage la petite boule d'air qui s'était condensée tout ce temps contre notre paume. Et nous la fîmes éclater vers lui.
Le relâchement d'air était si intense, soudain et violent qu'il le repoussa à plusieurs mètres. Nous n'avions pas donné de tir de sommation. Nous voulions juste tuer un individu fort. Car nous étions le meilleur. Invoquant à notre main notre cimeterre, nous riions:

- Héééhéhéhéhé! Du sang, du sang! Du sang!

Nous n'avions aucune humanité dans ces moments-là. Nous étions pire que des bêtes sauvages. Mais nous étions vraiment fort. Et ce qu'il venait de subir n'était qu'une simple mise en bouche.

Le Qwazer ne vit pas la sphere lui arrivé dessus et recula de quelques mètres. Il frappa le sol du pied et plusieurs petits couteau métalliques fusèrent vers le point d'origine de la sphère, il en saisi deux en courant vers son agresseur, les lançant vers lui avant de former une faux de fer, le terrain était bourré de fer, il fit résonné les atôme de fer sous son ennemi et des piques de fer méllé à de la roche jaillirent sous ses pieds, Alexander poursuivit sa course vers lui, il ne pouvait simplement pas se concentré sur le Qwazer à ce moment, il avait déjà les couteaux à contré ou esquivé, puis les piques qui venaient de sortir sous ses pieds.


Alexander lâcha un hurlement en fesant un saut en l'air, afin d'attiré son attention, il ne connaissait pas sa force et compta donc le débordé avec plusieurs attaques, le sang de la bête sur lui commençant à planer autour de lui tel une petite tornade de sang, il recula la faux et l'abaissa vers l'ennemis, un coup puissant et précit, mais n'ayant pas pour but de tuer, enfin pas pour but principale en tout cas. Cete bourasque de vent l'avait déstabilisé et il voulait en savoir plus, quitte à utilisé un second élément, car en effet, depuis les événement au japon, il avait découvert un livre, un livre antique sur les Qwazers qui disait que ceux dépassant le niveau 3 pouvaient éspérés maitrisé un second âtome, il en avait choisit un, et non des moindre, mais il ne comptait pas l'utilisé dans l'immédiat.


Visiblement il voulait tuer alors soit. Le combat serait sans pitié. Durant son saut, Sasha avait fait vibrer les molécules de fer dans le sol, elle chauffaient lentement, très lentement, si bien que son ennemis ne s'en rendrait compte qu'a son premier pas. Le sol s'enfoncerait en une sotre de sable mouvant bouillant, comme de la lave semi durcit. Il se savait maître du terrain, mais ne compter pas sous estimé l'ennemi ou lui offrir une breche, fondant sur lui tel un aigle dont les serres étaient sa faux.

- Hyaaaa !

Si les pauvres petites lames qu'il nous avait envoyées avaient disparu à mi-chemin grâce à un simple phénomène d'oxydation rapide, les longs dards de fer qui jaillirent de sous nos pied nous surprirent et nous obligèrent à sauter. Nous fûmes néanmoins entaillé à la cuisse plus profondément que de raison, et la surprise nous arracha un sourire satisfait face à une telle initiative. Notre regard revint vers notre adversaire pour le voir bondir vers nous, une faux en main. Mais si n'importe qui se trouvait déstabilisé en l'air, sans aucun appui, nous nous trouvions fort à notre aise, et décidâmes de prendre cet humain à son propre jeu. Sa lame de métal s'abaissait vers nous, mais éviter était bien trop stupide alors que cet idiot avait la garde grande ouverte. Nous tendîmes notre main libre vers lui.

- Come closer!

Le soucis d'une faux, comme de toutes les armes longues, était sa vulnérabilité à distance proche, alors qu'elle était faite pour frapper à mi-distance. Le vent que nous faisions souffler de derrière lui vers nous l'extirpa de ce sang tourbillonnant et nous l'amena, bien trop près pour que sa faux ne s'abatte sur notre tête. Il était à présent au corps-à-corps, la garde grande ouverte, le vêtement croché dans notre poigne.

Et nous le renvoyâmes vers le sol. Accompagné d'un courant d'air tourbillonnant à haute pression qui s'enfonçait au creux de son abdomen comme une lance, ou une étrange foreuse à bout rond. Il s'écrasa par terre, et nous nous jetâmes à sa poursuite, la lame devant nous pour l'achever.
Mais nous nous arrêtâmes brusquement en le voyant s'enfoncer dans le sol peu à peu. Ainsi, il avait piégé le terrain? Ingénieux. Si nous l'avions suivi, nous aurions fini enseveli avec lui. Et nous n'aimons pas être enseveli. Si le ciel était notre terrain de jeu, il semblait avoir une certaine emprise sur le sol en dessous de nous. C'était un duel entre le firmament et la terre ferrugineuse. Mais il nous avait amusé, et nous décidâmes de lui offrir une mort digne, s'il ne mourrait pas de sa propre attaque. Vous savez comment naissent les orages? Par la friction d'une grande quantité d'air. Nous allions faire tomber la foudre sur cet homme et son sol conducteur, tout comme Zeus l'aurait fait. Parce que nous étions tout aussi capable que Zeus lui-même.

Ilmurmura un petit "Bingo" et ferma le poing, au moment ou il avait saisi le vetement, la faux l'avait frolé quand il était retombé au sol, lacerant juste un peu son habit à l'épaule, Alexander avait détaché un fin morceau de fer qui s'était logé sur son épaule, le bout de fer se mit à prendre une forme de croix et s'enfonça dans l'épaule du dieu, quand il s'enfonça, une fontaine de sang jaillit de son épaules pour former rapidement deux petites épées de sang qui, attiré par le sol devenu un aimand énorme, quoi que fondant, s'enfonçèrent dans son ventre, car il eût beau être rapide, il fût asser rapide pour se retourner, mais il était déjà trop tard car les lames de sang avait déjà mordues la chaire.


Elle poursuivèrent leurs cours vers le sol, Alexander posa une main au sol et un bloc de roche se forma, recomponsant les roche en fusion blindé de fer qui refroidit au contact du courant frais que le dieu avait ammené, il finit donc eclater contre la roche, les lames traversant son ventre pour se planté dans la roche, clouant le dieu surprit par cette attaque innatendue à la roche, en plus de s'enfoncer encore. Alexander aprocha, il marche sur le sol comme un vrai sol, car il pouvai durcir les atomes de fer dans la roche pour evité le "magma" et se dirigé vers le dieu. Il posa un pied sur son torse et saisi les manches des lames de sang avaant de les arrachés de son corps et le fixer, il n'allait ni le tuer, ni l'humilier en le laissant agonisé ici, il stoppa son hémoragie en contractant le sang coulant autour de la plaie et le durcissant, puis, il sourit, il pensait que c'etait, tout comme lui, un Qwazer, un qwazer d'O2. Il le prit sur le dos et s'éloigna du champ de bataille avant de le poser au sol et le regarder.


- Le sang comporte 5g de fer. Et ce fer, je le controle à ma guise, si je voulais, je pourrais le chauffer et donc faire bouillir ton saang jusqu'a implosion de chaqun de tes organes et de tes veines, mais je n'ai aucune envie de te tuer, mais plutôt de faire de toi un allié, j'ai tout de suite remarqué que tu contrôle l'O2, tu es bien le premier que je vois capable de faire ça.

Alors qu'il extirpait les lames de sang de notre corps blessé, nous restions immobile, tacite, stupéfait. Nous avions repris nos esprit, la fureur s'en était allée. Cet homme nous avait calmé, comme refroidit. Il posait son regard sur nous. C'était indisposant, mais nous laissions faire. Il semblait avoir perdu sa combativité, et nous transporta comme si nous n'étions plus en état de bouger. Notre épaule nous faisait souffrir, sans doute un Mortel serait en effet en piteux état. Il nous fit asseoir par terre, et fit un commentaire déplacé.


- Le sang comporte 5g de fer. Et ce fer, je le contrôle à ma guise, si je voulais, je pourrais le chauffer et donc faire bouillir ton sang jusqu'à implosion de chacun de tes organes et de tes veines, mais je n'ai aucune envie de te tuer, mais plutôt de faire de toi un allié, j'ai tout de suite remarqué que tu contrôle l'O2, tu es bien le premier que je vois capable de faire ça.

Nous fîmes la moue, haussant les sourcils, lui assénant un de ces regards qui signifiait notre total je-m'en-foutisme. Pensait-il nous impressionner avec ça? Nous nous relevâmes sans aucun problème, sans le quitter des yeux, puis répliquâmes en le prenant au jeu:

- Le plasma distribue l'oxygène dans tout ton organisme, nous pouvons donc le meurtrir en le supprimant. Il y a ça, faire exploser tes poumons remplis d'air, t'étouffer... Enfin...

Nous lui fîmes comprendre que si nous avions voulu le tuer sans combattre, nous l'aurions fait à l'instant où nous avions posé notre regard sur lui. Et pour le prouver, le cadavre de l'immense créature explosa en lambeaux, répandant son sang sur plusieurs mètres. Dépressurisation instantanée. Comme se jeter dans l'espace sans scaphandre.

- Est-il nécessaire d'ajouter que créer un mur d'air pour bloquer ton misérable coup de faux était aussi une option? Les épées de sang nous ont entaillé le ventricule gauche. Nous devrions être par terre à subir notre hémorragie interne, plutôt que de converser avec toi.

Nous étions démangé par l'envie d'ajouter qu'un Dieu est naturellement immortel, mais ce serait accuser la bassesse de notre comportement, et flatter son égo que de nous avoir ainsi pris au dépourvu. Nous continuâmes néanmoins:

- Il est habituel pour les gens comme nous de rallier les gens qui s'en montrent dignes. Mais ne nous prend pas pour ton subordonné, nous te sommes infiniment supérieur, pauvre âme. Dis nous quel est ton but.