Troublante curiosité [PV Cassidy]

Le sac de Corina trainait sur le sol tandis qu'elle le tirait nonchalamment vers sa chambre. Elle avait son casque sur les oreilles et les yeux rivés sur une feuille chiffonnée : elle suivait simplement le plan que lui avait indiqué la surveillante de garde pour trouver son dortoir. Elle venait à peine d'arriver.

"Hum... Ça doit être ici." Dit-elle pour elle-même tandis qu'elle frappait à la porte.

Devant l'absence de réponse, elle entra et constata qu'il s'agissait d'une chambre vide. Il était tard. Très tard. Et la jeune fille apprécia beaucoup ce fait. Elle avait hate de se reposer et n'avait pas très envie de bavarder immédiatement avec ses nouveaux camarades. Ce qui aurait prolongé bien trop la soirée. Elle balança alors son sac sur un des deux lit de la pièce et se mit à l'aise.

Posant délicatement son casque sur sa table de chevet, elle éventra la fermeture de son sac pour attraper une brosse à cheveux et de quoi se doucher. Défaisant sa tresse d'un geste de la main, elle se dirigea vers les salles de bains - toilettes - communes. Une petite douche ne lui ferait pas de mal. Et elle avait besoin de se rafraichir pour remettre ses idées en ordre avant de dormir.

Les couloirs étaient vides. Tout le monde dormait à poing fermé. Corina n'avait pas de soucis à se faire quand au dérangement : elle aurait les douches pour elle toute seule. Elle déposa ses affaires sur un des lavabos. Elle allait passer aux toilettes avant de se laver histoire de se "libérer" du poids du voyage. Silencieusement, elle ferma la porte derrière elle et s'apprêta à s'installer.

Quand elle entendit quelque chose. Cela ressemblait à un gémissement. Surprise, elle s'arrêta dans son geste et tendit l'oreille - elle ne s'était pas encore assise. Cela continuait, c'était assez silencieux, mais il y avait effectivement quelqu'un qui gémissait dans les toilettes voisines. Cela ne semblait pas s'arrêter. Curieuse, et surtout inquiète, car Corina pensait qu'une élève pleurait, la jeune fille ne perdit pas de temps et grimpa d'un bond le mur qui la séparait de cette personne. Elle s'en cogna le genou.

Une fois coudes et tête installés, elle put voir toute la scène de ses yeux... Elle eut un hoquet de surprise. Il s'agissait bien d'une jeune fille qui gémissait... Mais qui avait un penis et qui se procurait simplement du plaisir. Corina en fut paralysée d'ahurissement.

Le sport… c’était la matière scolaire que j’aimais le moins dans ce lycée. C’était la seule matière ou je devais avoir un pantalon, alors que normalement j’étais en jupe. D’ailleurs les autres élèves de ma classe se posaient des questions à mon sujet mais je n’en avais pas grand-chose à faire. Comme à mon habitude maintenant, je ramassais les équipements utilisés durant le cours, puis j’allais prendre une longue douche… douche qui me fit du bien et bien sûr, comme à mon habitude, mon membre se releva tout seul.

Je décidais cette fois-ci d’aller dans les toilettes, j’aurais moins de chance de me faire surprendre que sous la douche. Je baissais la lunette des toilettes après l’avoir nettoyée un peu avec du papier toilette. Je me mis alors à me branler doucement, adossée au réservoir. Je m’enfonçais aussi un doigt dans mon intimité de manière à prendre plus de plaisir. Je commençais à gémir doucement, tout en continuant de masturber mon pénis et mon vagin, si bien que je n’entendis pas le bruit dans les toilettes voisines. J’avais aussi les yeux fermés.

Je sursautais en entendant le hoquet qui venait du haut. J’ouvris les yeux et les levais vers le haut. Les toilettes du lycée ne fermaient pas en haut, ce n’était que des plaques de bois qui les séparaient. Je rougis en la voyant, elle était mignonne et devait être nouvelle, je ne l’avais encore jamais vue dans l’école…

_ « Tu veux y goûter ? »

Je me levais puis sortit de mes toilettes pour la rejoindre, lui fermant la sortie au passage. Je l’observais et la trouvais à mon goût.

_ « De toute façon… maintenant que tu connais mon secret, je vais t’apprendre à fermer ton bec… à moins que tu me promettes de ne rien dire aux autres élèves… et tu m’auras quand tu voudras… »

Je la regardais avec un sourire amusée sur mon visage, j’étais nue et bandais ferme en la voyant. Elle était coincée avec moi…

_ « A moins que tu préfères prendre une douche avec moi… oh, au fait si tu penses à le dire à la directrice ou bien aux secrétaires, ce n’est pas la peine, elles sont aux courant de ma particularité… »

Restée perché sur le muret des toilettes, Corina n'eut pas le temps d'agir le moins du monde. Elle se contenta se péter la gueule en perdant son appuis sous le coup de la surprise. Evitant de justesse de s'assommer sur la cuvette. Ce qu'elle n'aurait pas beaucoup apprécié dans une situation pareille. Elle se releva brusquement et maladroitement en se plaquant dans le coin, la mine déconfite.

"... Ou... Ou alors je cris et je réveille tous le monde dans le dortoir !"

Menaça-t-elle, quelque peu perdue. Quel accueil il fallait dire. Heureusement que Corina ne s'était pas mise encore à l'aise avant d'aller prendre sa douche, autrement elle était sûre qu'elle n'aurait pas eut l'occasion de protester !

Elle rougissait en voyant la tenue d'Ève de sa camarade... Qui visiblement, n'était pas gênée le moins du monde de se trouver dans cette position en face d'elle. Bien au contraire comme semblait l'indiquer sa partie masculine qui semblait presque pointer vers elle. De plus elle se demandait comment elle comptait bien lui clouer le bec...

"...Et tu m'auras quand tu voudras" Cette phrase troublait en particulier la jeune fille qui se sentait bizarre, elle avait soudain très chaud et n'arrivait pas à tenir en place. Elle qui n'avait aucune expérience dans la matière ne connaissait pas le moins du monde les réactions que son corps pouvait avoir et émettait en ce moment même.

"Je... Euh... T'ai entendu gémir. J'ai cru que quelqu'un pleurait." Continua-t-elle en détournant le sujet pour ne pas avoir à répondre à sa question.

Son regard allais du visage de Cassidy à sa particularité masculine. Corina se posait beaucoup de questions. Elle était curieuse de tout ce quelle pouvait apprendre... Mais... Était-ce... Bien ? Il semblait que oui puisque la jeune fille en face d'elle lui demandait et semblait en avoir envie. Il paraissait que cela procurait beaucoup de plaisir...

Je la vis se relever brusquement et maladroitement en se plaquant dans le coin, la mine déconfite.

_ « ... Ou... Ou alors je cris et je réveille tout le monde dans le dortoir ! »

Elle me menaçait, ce n’était que justice vu que je l’avais moi aussi menacer. Puis elle rougit, certainement à cause de ma tenue… enfin mon absence de tenue et du fait que j’étais toujours excitée. Elle me plaisait cette fille, elle avait du cran plus que d’autres de ma connaissance… la regarder me regarder m’excitait encore plus, mes tétons pointaient vers elle tout comme mon appendice masculin.

Je la regardais, je voyais bien qu’elle était un peu troublée, n’avait-elle jamais vue de sexe masculin ? Bon c’est vrai que j’étais un peu particulière avec mes deux sexes, mais j’étais née comme cela et je m’aimais comme j’étais… et là, je vis une chose qui me fit sourire, ses tétons pointaient à travers ses vêtements.

_ « Je... Euh... T'ai entendu gémir. J'ai cru que quelqu'un pleurait. »

Je hochais la tête, car je pouvais le comprendre, si elle n’avait jamais pris de plaisir avec un homme ou une femme… je la regardais toujours en souriant puis je m’approchais d’elle et déposais un baiser sur sa joue.

_ « Tu me plais… tu veux pas jouer avec moi ? A des jeux d’adultes ? Tu m’as l’air appétissante, même si je ne t’ais pas encore vue toute nue… j’aimerais bien prendre une douche avec toi… »

Je déposais un autre baiser sur sa joue, un peu plus proche de ses lèvres tentantes, mon membre pulsant à chaque baiser que je lui donnais.

_ « Tu dois être magnifique dans la tenue d’Eve… »

Puis je l’embrassais tendrement sur la bouche, un baiser chaste…

Aussi chaste fut-il Corina en eut un deuxième sursaut et son sang ne fit qu'un tour. Elle secoua les bras un peu idiotement, n'osant pas stopper Cassidy dans son geste tant elle était gênée et confuse. Elle avait l'impression d'avoir des fourmis dans tout le corps, plus à certains endroits que d'autres. Elle se sentait brûlante.

Cependant, elle déposa délicatement ses mains sur les épaules, dénudées, de Cassidy en la décalant d'elle tout aussi courtoisement. Elle avait la peau très douce constata-t-elle... Elle voulait avant toutes choses débuter par la moindre des politesses.

"Euh je... M'appelle Corina." Tremblota-t-elle.

Elle clignait quelque peu des yeux, encore déboussolée. Son regard fixa les lèvres qui venaient de l'embrasser, d'une finesse toute aussi saisissantes que de belles lèvres pulpeuses. Celle de Corina tremblaient très légèrement.

"Et euh... Ne me considère pas comme de la simple chair ! Et puis je me sens très bien ici."

Ses paroles étaient bien maladroites. Elle pensait être mieux dans ces toilettes qu'ailleurs : c'était plus petit et elle avait l'impression d'être en sécurité dans l'aventure qui lui arrivait. Ou bien était-ce du à la présence de sa camarade, très proche d'elle dans cet espace restreint et qui ne la laissait pas de marbre... ?

Toujours les mains sur les épaules de Cassidy, Corina sentit quelque chose de curieux : elle avait l'impression qu'un liquide s'échappait de ses parties intimes et que c'était incontrolable. Elle inspira d'un coup à cette sensation dont elle ignorait toute la provenance sans quitter des yeux les pupilles de Cassidy qu'elle observait dorénavant.

Elle sursauta à mon baiser chaste tout en secouant les bras comme hésitante à me stopper. Elle semblait gênée et confuse. Puis elle posa délicatement ses mains sur mes épaules, ses mains étaient chaudes et m’excitèrent encore plus. Elle me repoussa courtoisement, tandis que je lui souriais, plus je la regardais, plus je la désirais. Je voyais bien qu’elle n’était pas vraiment insensible à mon charme.

_ « Euh je... M'appelle Corina. »

Ses paroles étaient tremblotantes comme si elle ne se contrôlait plus. Corina… un très jolie nom pour une très jolie fille. Je la vis cligner des yeux, comme si elle était déboussolée. Elle me regardait, ou plutôt elle regardait mon visage tandis que ses lèvres tremblaient très légèrement. De belles lèvres pulpeuses à souhait..

_ « Et euh... Ne me considère pas comme de la simple chaire ! Et puis je me sens très bien ici. »

Je lui souris, c’était vrai que je ne m’étais pas présentée, et je n’avais fait que dire qu’elle me plaisait énormément. Elle avait toujours les mains sur mes épaules. Je sentis qu’elle sentait quelque chose quand elle inspira profondément sans cesser de me regarder.

_ « Je m’appelle Cassidy… je ne te considère pas comme de la simple chaire… ça va ? Tu m’as l’air d’avoir trop chaud… non ? »

Sans attendre de réponse, je lui retirais son haut, puis son chemisier, révélant son soutien-gorge.

_ « Tu as une belle poitrine… plus imposante que la mienne… tu es vierge ? Je vois bien que tu ne sais pas nommée ce que tu ressens, n’est-ce pas ? »

Je fis glisser sa jupe à ses pieds…

"Hey ! Mais qu'est-ce que tu f... Attend humm Mmm..."

Protesta Corina tandis que ses paroles étaient étouffées par son haut que lui retirait Cassidy. Elle n'avait même pas eut le temps d'agir qu'elle se retrouvait maintenant en sous-vêtements devant la jeune fille nue. Elle était vraiment gênée, surtout lorsque Cassidy s'était occupée de sa jupe, car ne sachant pas la provenance de ce qui s'écoulait d'elle et mouillait sa culotte, elle en avait honte. Elle ne voulait pas que cela se remarque.

Elle n'osait toujours pas répondre aux questions de Cassidy. Cela la mettait à la fois mal à l'aise et la rendait étrange. Oh oui, ça elle avait chaud, même la fraîcheur de la nuit et de la pièce n'arrivait pas à lui faire sentir le froid. Avait-elle de la fièvre ? Non, non... Corina était certes troublée, mais pas stupide. Elle débutait à peine la compréhension des choses. Elle savait que c'était du à Cassidy. Et encore une fois : effectivement, elle ne savait pas nommer ce qu'elle ressentait.

Dans son esprit, elle ne s'était jamais imaginée une situation pareille, présentées comme tel. Lorsque Cassidy parla de sa poitrine, elle eut le réflexe de se protéger, en croisant les bras. Bien qu'elle ne se sentait pas réellement agressée, simplement mal menée comme si une voiture l'avait choppé au passage... Bien évidemment cela eut pour effet d'augmenter les formes de ses seins.

Elle observa ceux de Cassidy en récupérant une voix moins tremblante :

"Tu n'as rien à m'envier je t'assure. La tienne est aussi très jolie."

Lorsqu'elle eut émit ce compliment, elle se fit la remarque que ce n'était peut-être pas la peine d'accélérer les choses. Elle avait eut l'impression que de l'électricité courrait dans tout son corps lorsque la rouquine lui avait frôlé les hanches. Et maintenant elle avait l'impression d'être une véritable pile. Une pile un peu trop chargée. Elle utilisa alors son meilleur outil pour garder son self contrôle : L'humour.

"Et bien voilà, nous sommes à quasi égalité maintenant !"

Cela manquait de pepse comme réponse. Mais elle n'arrivait pas à ajouter quelque chose qui corresponde aux évènements qui se produisaient dans ce cabinet de toilette.

"Enchantée Cassidy," continua-t-elle en serrant un peu plus sa poitrine pour qu'elle puisse se trouver encore des mots à ajouter. "Mais... Désolée... Je crains ne pas être sûre de tenter ces jeux..."

Son estomac se tordit un peu, de la même manière que lorsqu'elle se cachait derrière des affirmations fausses. Son esprit, du moins son conscient, se contredisait avec son corps. Ce qui avait tendance à briser l'harmonie de sa personne et la gardait troublée... De plus, elle n'arrivait pas à faire le moindre pas pour se diriger vers la sortie ne sachant pas réellement si elle voulait avancer.

Je voyais bien qu’elle était gênée, surtout lorsque je vis qu’elle mouillait sa culotte. Elle était excitée par ma simple présence. Je lui souriais gentiment tandis qu’elle tentait de cacher ses seins. Oui, elle devait être vierge, je passais ma langue sur mes lèvres d’une manière sensuelle.

_ « Tu n'as rien à m'envier je t'assure. La tienne est aussi très jolie.
_ Merci, ma belle… »

Je la regardais toujours, elle était vraiment alléchante, ses formes superbes, ces courbes quasi-parfaites… oui, elle me plaisait énormément…

_ « Et bien voilà, nous sommes à quasi égalité maintenant ! »

Pas exactement, elle avait encore ses sous-vêtement, pas pour longtemps si j’arrivais à mes fins. Ça réponse était un peu molle. La voir comme cela, me fit commencer à mouiller aussi.

_ « Enchantée Cassidy. Mais... Désolée... Je crains ne pas être sûre de tenter ces jeux... »

Je lui souris doucement et gentiment avant de lui relever sa tête et de l’embrasser à nouveau d’un chaste baiser.

_ « Je suis aussi enchantée, Corina… tu n’es pas tentée ? Pourtant, ton corps, lui, est drôlement tentée par ce genre de jeux. Je vois que tu mouilles ta culotte, c’est naturel, c’est parce que tu es excitée… tu dois avoir très chaud non ? »

Doucement, je passais les mains derrière elle et lui dégrafais son soutien-gorge.

_ « Tu sais, c’est naturel d’être attirée par les autres, moi je suis attirée par toi… et comme tu peux le voir, je suis très excitée… par toi… »

Je lui caressais doucement ses seins d’une manière sensuelle, tout en déposant un nouveau baiser sur les lèvres, cette fois-ci en envoyant ma langue essayer de chercher celle de Corina…

"Je suis aussi enchantée, Corina… Tu n’es pas tentée ? Pourtant, ton corps, lui, est drôlement tenté par ce genre de jeux. Je vois que tu mouilles ta culotte, c’est naturel, c’est parce que tu es excitée… Tu dois avoir très chaud non ?"

"Naturel..." Retint Corina, qui ne savait pas si elle devait être soulagée ou si elle devait s'en vouloir de ne pouvoir rester décente devant sa camarade. "Encore chaud ? Dans cette tenue ? Ce serait surprenant n... Non ?"

Elle n'avait pas fini sa phrase lorsque Cassidy lui retira son soutien gorge. Elle plaça ses mains devant elle, comme si elle voulait stopper Cassidy, mais son effervescence l'empêchait de la repousser ou de lui dire non. La rouquine vint frôler alors son corps contre ses mains pour venir dégrafer le sous-vêtement.

Les mains de Corina caressèrent légèrement les seins qui vinrent se placer d'eux-mêmes dans ses paumes. Elle constata qu'ils étaient en érection et pointaient. Elle baissa les yeux pour voir ce qu'il en était pour les siens : surprises ! Ils l'étaient eux aussi. Rien ne l'aidait à être discrète.

Mais il fallait bien qu'elle se l'avoue, elle ne faisait vraiment rien pour. Elle était intéressée elle voulait que quelque chose se passe malgré cette soudaineté incroyable et son désarmement total. Surtout lorsque Cassidy commença à caresser ses seins d'une manière sensuelle. Un nouvel arc électrique passa son corps.

C'était bon... Elle n'avait pas envie que cela s'arrête... La jeune fille venait de découvrir le premier d'un de ses points sensible. Elle en frémit et en perdit sa réflexion se laissant totalement faire. Ses mains glissèrent très légèrement sur les côtes de sa camarade...

Elle était étrangement détendue, mais n'arrivait pas encore à agir pour lancer les choses. Elle était un fruit bien mûr qui ne manquait plus qu'à être cueilli sans qu'elle ne s'en rende compte. Lorsque Cassidy l'embrassa, elle se laissa faire sans broncher. Ses mains passèrent dans le dos de la jeune fille lorsque son corps se rapprocha, frôlant le début de ses fesses.

Lorsque la langue de Cassidy chercha la sienne elle se fit quelque peu timide. Elle en toucha le bout, en découvrit la texture, la mouvance, tentant de se joindre au mouvement, ne sachant pas comment entrer dans la danse.

Elle était totalement hypnotisée par le corps de Cassidy qui s'offrait à elle, son coeur battait rapidement, son sang bouillonnait tandis que sa raison divaguait sans aucune barrière. Elle trouva difficile d'aller plus loin que le cercle de ses dents pour explorer à son tour la douce bouche de sa camarade dans ce baiser qui lui faisait perdre tout son esprit.

Elle serra d'un coup la rouquine contre elle, la plaquant contre son corps, sans pour autant l'écraser, pour y avoir enfin accès dans un très léger gémissement de plaisir. Elle était très douce et délicate dans le baiser qu'elle rendait mais aussi dans des caresses circulaires qu'elle donnait au niveau des fesses. Cassidy sentait bon, elle devait avoir déjà prit sa douche. Et sa peau était agréablement douce...

Dans son geste, la verge de Cassidy se plaça entre les jambes de Corina, sans pénétration, mais dans un effleurement qui lui chatouilla le clitoris au travers de sa culotte, une zone inexplorée pour l'adolescente et qui eut raison de toute opposition qu'elle eut put apporter... Elle arrêta le baiser dans un crispement de plaisir et gémit.

_ « Naturel... Encore chaud ? Dans cette tenue ? Ce serait surprenant n... Non ? »

En voulant m’empêcher de lui retirer son soutien-gorge, elle posa ses mains sur mes seins, je gémis doucement. Puis je me mis à lui caresser ses seins dont les tétons étaient déjà en érection. Je la vis se cambrer légèrement, mon sourire s’accentua. Elle semblait apprécier mes caresses que j’accentuais toujours, tout en l’embrassant. Elle passa ses mains dans mon dos frôlant le haut de mes fesses. Je frissonnais de plaisir, mon membre pulsant non loin de son ventre.

Ma langue alla chercher celle de Corina qui me le rendit timidement, son bout de langue touchant la mienne. Je commençais alors un ballet torride avec sa langue, la caressant, la cherchant, la trouvant… cette danse linguale était devenait intense. Je continuais aussi à lui caresser les seins, pinçant de temps en temps les tétons durs de Corina.

Elle me serra d’un coup contre elle, plaquant son corps contre le mien sans m’écraser. Elle gémit en même temps que moi… sentir ses seins contre les miens fit pulsait encore une fois mon membre, ce qui me fit gémir un peu plus fort. Elle me caressait doucement les fesses ce qui m’excitait de plus en plus, je mouillais, la cyprine coulant sur mes jambes. Mon membre se plaça entre les jambes de la jeune fille, je gémis encore une fois. Elle arrêta le baiser pour gémir plus fort.

_ « J’ai l’impression que ton corps réclame beaucoup plus… »

Je m’écartais doucement d’elle puis je lui retirais sa culotte avant de la faire s’assoir sur la lunette des toilettes. Je m’agenouillais entre ses jambes tout en lui caressant ses cuisses.

_ « Je vais te donner un peu de plaisir avant de te faire doucement l’amour… »

Je lui fis une douce caresse sur le visage avant de reprendre celles-ci sur ses jambes. Puis j’approchais ma bouche de ses lèvres intimes que je léchais doucement tout en caressant sa perle d’amour. Ma langue entrait doucement en elle avant de ressortir tout aussi vite.

Corina frissonna a chaque fois que Cassidy lui pinçait les seins. Cela la faisait haleter. Elle ne comprenait pas vraiment pourquoi alors qu'elle ne faisait aucun effort particulier. Elle nota le liquide qui s'écoulait doucement le long des jambes de sa camarade. C'était sans doute la même chose que ce qui s'écoulait d'elle. Elle apprécia le fait de provoquer du plaisir, bien que cela fut involontaire.

Elle était pris d'envies incontrôlables : elle voulait toucher, caresser, sentir... C'était ce que lui dictait son corps, qu'elle ne contrôlait plus et ce que auquel elle obéissait. Cela lui provoquait une bien trop agréable et nouvelle sensation. Elle avait des palpitations dans le bas de son corps.

"J’ai l’impression que ton corps réclame beaucoup plus… "

L'adolescente observa Cassidy, béate et se laissant faire. Même la porcelaine glaciale de la lunette des toilettes n'arrivait pas à descendre la température de son corps, elle ne le sentait même pas.

"Je vais te donner un peu de plaisir avant de te faire doucement l’amour…"

Si faire l'amour était encore plus plaisant que le plaisir et désir que pouvait lui faire ressentir Cassidy, elle n'osait même pas l'imaginer. Elle se contenta de frisonner encore. Elle observa avec interrogation sa camarade s'abaisser au niveau des cuisses.

Elle n'avait pas imaginer non plus que les relations pouvaient passer par l'oral de cette manière. Et lorsqu'elle en découvrit la sensation elle faillit écraser Cassidy entre ses cuisses par un crispement de jouissance. Heureusement elle su se retenir et éviter ainsi de gêner la jeune fille. Mais par pur instinct elle plaça ses mains dans les cheveux roux.

Elle pouvait difficilement atteindre tout autre partie du corps dans une position pareille. Et elle était surtout en train de retenir ses cris pour ne pas alerter les élèves qui devaient dormir. Elle aurait voulu elle aussi jouer de ses mains le long de la peau de sa compagne. C'était une découverte qui en valait sans doute la peine.

Mais pour le moment elle se contentait d'apprécier, aussi silencieusement que possible. Car cela lui était vraiment difficile à la manière dont on jouait avec son clitoris.

Corina serra ma tête entre ses jambes durant un cours instant avant de me relâcher. Elle plaça ses mains dans mes cheveux, ce qui me fit frissonner de plaisir. Je la sentais retenir ses cris de plaisir, ce qui m’excitait d’autant plus, mon intimité produisant un peu plus de cyprine qui coulait sur mes cuisses. Je continuais de lécher avidement ses lèvres intimes, enfonçant de temps en temps en profondeur ma langue pour la retirer tout aussi vite. Ma main lui caressant doucement son bouton rose avant de le pincer délicatement pour le faire ressortir.

Finalement, je me mis à le lui suçoter avidement tout en lui caressant ses parois vaginales pour l’exciter davantage. Il me tardait de lui faire l’amour, mais je voulais d’abord lui donner un peu de plaisir, qu’elle comprenne que cela faisait de ressentir cela.

Je m’écartais un peu pour pouvoir voir son entrejambe, j’écartais ses lèvres intimes pour regarder à l’intérieur. Un sourire apparut sur mon visage en voyant qu’elle était encore vierge.

_ « C’est bien ce que je pensais… tu n’as jamais connu d’homme, n’est-ce pas ? »

Je me relevais tout en me remettant à lui caresser son clitoris d’une main. Je me mis à  lui suçoter se tétons bien dresser tout lui caressant le cou de ma main libre avant de la faire descendre sur son dos, passant mes doigts très légèrement sur la colonne vertébrale. Mon membre viril frottait sa cuisse.