Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Marie Carter

Humain(e)

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jeudi 23 août 2012, 14:01:37

Dans ces ruelles sombres du quartier de la Toussaint, on pouvait croiser énormément de prostitués. Oh, il y en avait pour tout les goûts alors pas de quoi se plaindre. Des sales, des moins sales, des droguées, des cleans, des grosses, des maigres, etc... Bref, une bonne population chaude et prête aux concessions pour un peu de fric. Marie tournait un peu dans les environs, les cheveux détachés qui retombaient dans son dos. Elle avait une petite veste rouge transparente en vinyle, un top en corset passant sous sa poitrine et enfin un pantalon très moulant en cuir, taille basse. On voyait sans mal l'élastique de son string dépassé de chaque côté. Il était temps de gagner son pain de fesse !

*Hmmm... Oh, il est mignon lui...*

Marie Carter s'approcha du beau jeune homme qu'elle avait repéré. Autant coucher avec de joli jeunes hommes plutôt que des vieux moches. Elle s'approcha avant d'écarter sa veste en l'approchant, montrant sa poitrine atypique.

"Coucou mon mignon. Est-ce que ça te branche ?"

Ces trois beaux seins s'affichaient devant son futur client, nu et bien présenté. Elle souria de plus belle en agitant un peu, les faisant rebondir.

"C'est des vrais... Seulement 5 000 yen mon chéri... Tu vas voir, je suis super douée ! J'ai un petit appartement trop cosy et agréable... Vient."
- "Je suis libre... et libérée !" -

Edean

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Re : Accostage [PV]

Réponse 1 jeudi 23 août 2012, 16:39:15

Après une journée de cours bien chargé, j’avais pris l’habitude d’aller marcher un peu, mes ailes soigneusement replié dans mon dos, je portais mon éternelle chemise blanche bien repasser, le tissu soyeux recouvrait mes deux ailes blanche afin de ne pas révéler mon origine Angélique aux humains. J’avais aussi un pantalon noir et des bottes de cuir de la même couleur. Sur le trottoir je croisais des gens divers et variée, des presser, des heureux, des malheureux… Ils se fichaient de nos dieux, de nos combat pour leurs survie, ils étaient trop obnubiler par leurs petites vies simulées. Continuant mon chemin, je me retrouvai dans un quartier mal famée que je cru reconnaitre, le quartier de la Toussaint.

Je m’étais pourtant jurer de ne pas revenir ici, devant ce cimetière, la frontière d’entre les mondes était bien mince… j’avalai ma salive et détourna la tête des corps enterré, je ne sus pas trop pourquoi, je m’enfonçai encore plus profondément dans ce quartier de mort ou le banditisme, la drogue et la prostitution coulaient à flot. Soudain j’entendis une voix, féminine il n’y a pas de doute, s’exclamer :

-   Hmmm… oh, il est mignon lui !

Je tournai la tête intrigué, et je vis une jeune femme s’approcher de moi avec un aire coquin, qui je suis obligé de le dire lui allait plutôt bien. Elle était bien faite, ses cheveux descendaient en cascade sur des épaules taillé à la serpe, avec un corps ma fois très attirant, ses habits sexy moulaient ses formes à la perfection. Sa démarche me fit clairement comprendre qu’elle me voulait moi…

A quelque pas de moi, alors que nous nous touchions presque, elle écarta sa veste, dévoilant trois seins…  Trois magnifiques seins. Je ne pus m’empêcher un mouvement de recule devant cette difformité.

-   Coucou mon mignon. Est-ce que ça te branche ?

Passé l’étonnement devant sa différence, je dus reconnaitre que j’avais affaire avec une jolie fille. Un sourire coquin lui étirant ses douces lèvres, elle agita un peu son buste dans le but évident de me coller ses seins sous le museau.

-   C'est des vrais... Seulement 5 000 yen mon chéri... Tu vas voir, je suis super douée ! J’ai un petit appartement trop cosy et agréable... Vient.

Quoi ? C’est chère ça, sacrebleu, mais ma curiosité me souffla que si cela valait le coup, alors je payerais… Et après tout, la vie est trop courte pour refuser les plaisir de la chaire. J’avançai d’un pas dans sa direction, mon visage tout proche du sien et lâchai en un chuchotement :

-   Ai-je droit à un échantillon gratuit pour me décider ?

Je ne lui laissais pas le temps de me répondre que je la pris par les hanches en faisant remonter mes mains aux doigts fins le long de son corsage. Je déposais un baiser sur sa bouche ouverte pour protester l’embrassant, longuement, ma langue explora sa bouche sans pour autant aller trop loin, il fallait payer pour ça ! Puis je la libérai en tendant une liasse de billet :

-   Va pour ton chez toi, je te suis ma douce.
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.

Marie Carter

Humain(e)

Re : Accostage [PV]

Réponse 2 jeudi 23 août 2012, 18:35:55

-HJ- 5 000 Yen, c'est juste 50€ mon coeur :p -HJ-

Marie Carter se fit embrasser par le client. Heureusement qu'il payait après car son mac veillait sur elle. S'il s'était tiré après ça, il lui aurait appris qu'il faut payer les services des professionnelles. Finalement, le jeune homme était prêt à passer à la caisse. Il lui tendit une liasse que la jeune femme prit calmement en glissant les sous dans son corset. Elle lui adressa un sourire avant de lui prendre doucement la main.

"C'est super, vient là mon chéri. On va passer un bon moment."

Elle l'attira calmement dans une ruelle avant d'emprunter l'escalier réservé aux incendies. Elle aimait passer par là plutôt que les couloirs de la maison de passe qui était délabrés. Ici au moins on avait un visuel sur la foule et on respirait. Elle leva une fenêtre et fit entrer son client, n'ayant pas peur de montrer sa belle poitrine aussi atypique. Doucement, elle se glissa à son tour avant de glisser les billets dans une boîte en métal ayant une fente au dessus. L'appartement était miteux sans faire trou à rat. C'était pourri par endroit, les coin de tapisserie se décollait un peu et le plafond était tâché de quelques traces d'humidité. Le lit était défoncé, à force de travail, mais la prostituée entretenait ce dernier. Les draps étaient lavés tout les lendemain.

"Regarde mon chéri, ce lit c'est notre navette vers le nirvana... Tu embarques ?"

Elle l'amena calmement vers le lit, le faisant monter alors qu'elle retirait ses chaussures, affichant des pieds recouverts d'un bas de résille. Elle défit doucement son pantalon de cuir moulant avant d'abaisser ce dernier, affichant un porte-jaretelle très sexy et un string rouge pour aller avec son corset. Elle retira son blouson de vinyle rouge transparent.

"Je te plait mon mignon ?... Enlève ton pantalon... que je t'offre la friandise de bienvenue... Une bonne fellation... Huhuhu."

La prostituée monta sur le lit à quatre pattes, regardant son amant avant de se mettre assise sur ses genoux, pelotant sa poitrine si rare. Quand elle pouvait, elle embrassait son client avec la langue, sans inquiétude...
- "Je suis libre... et libérée !" -

Edean

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Re : Accostage [PV]

Réponse 3 jeudi 23 août 2012, 20:48:41

Elle prit l’argent et le fourra sous son corset et toujours ravie, avec son petit sourire coquin, elle me prit délicatement la main et me dit joyeuse :

-   C’est super, viens là mon chéri. On va passer un bon moment.

Je la suivis dans une ruelle sombre et un peu glauque. Sans mot dire je la laissai me conduire jusqu’à chez elle, profitant d’une vue imprenable sur le joli fessier de la jeune femme. Nous nous arrêtâmes devant un immeuble relativement petit et délabré, la plupart des vitres étaient brisée et le plâtre s’effritait. Elle me fit monter par l’escalier extérieur, elle leva une fenêtre et me fis rentrer dans la chambre, « ça aurait pu être pire » me dis-je en m’assoyant sur le lit assez propre qui émit un couinement sonore sous mon poids « pourtant je ne pèse pas lourd »… la péripatéticienne rentra à son tour et glissa les billets dans une boite métallique puis me dit toujours avec son petit ton coquin de gamine :

-   Regarde mon chéri, ce lit c'est notre navette vers le nirvana... Tu embarques ?

Je m’étais levé, me demandant si je devais l’aider à se déshabiller. Calmement elle me reconduit vers le lit, me rassoyant, en un couinement du lit usée, je la regardai enlever ses chaussures à talons, sans elles elle était plus petite que moi de trois centimètres. Puis tout en gardant une gestuelle calculée, sensuelle, elle abaissa son pantalon de cuir révélant des dessous ma fois à croquer, ensuite elle retira son blouson rouge entrouvert et me dis enjoué :

-   Je te plais mon mignon ?... Enlève ton pantalon... que je t'offre la friandise de bienvenue... Une bonne fellation... Huhuhu.

Elle monta sur le lit à quartes pattes en me regardant droit dans les yeux, ses cheveux retombaient sur ses fesses rebondies. En érection, je défis ma ceinture et enleva mon pantalon, mon pénis se dressa comme un I. Puis elle s’assit sur mes genoux en m’embrassant langoureusement je posais une main sur les seins droit et gauche. Nos langues dansaient ensemble  en un menuet énamouré, s’entortillant l’une sur l’autre. Je rompis cette folle embrassade pour prendre en bouche le sein central, je mordillai le téton dressé. La prostitué me pris alors le pénis entre ses doigts et ainsi commença notre ascensions vers le septième ciel…
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.

Marie Carter

Humain(e)

Re : Accostage [PV]

Réponse 4 jeudi 23 août 2012, 21:21:11

La jeune femme sentit que le client était intéressé par sa triple poitrine. Elle lui adressa un franc sourire en voyant qu'il aimait ça. Il n'était pas très bavard, mais elle connaissait ça. Après tout, pas tout le monde avait envie de causer pendant l'acte. En douceur, elle découvrit son membre. Il était dur comme du bois et dressé comme un I. Avec tendresse, elle posa ses mains chaudes dessus avant de l'empoigner doucement. Le client en profita pour sucer le téton central de sa poitrine en empoignant les latéraux. Marie soupira d'aise en se laissant faire, caressant les cheveux de son client.

"Là c'est bien mon chéri... C'est très agréable... Hmmm... Tu les aimes mes gros seins ?"

Elle s'en doutait mais elle voulait entendre sa voix. C'était bien plus agréable. La prostituée attendit qu'il termine avant de le faire se coucher confortablement. Une fois qu'il fut installé correctement, elle se mit à traiter sa verge convenablement. Elle se mit face à lui, ventre sur le matelas avant de lécher son pénis de la base jusqu'à la pointe, frottant sa douce langue dessus. Une fois que son pénis fut tout glissant de salive, elle lui souria.

"J'adore le goût de ta verge... Je vais l'avaler tout entier."

La prostituée à trois seins glissa ce barreau de chair entre ses lèvres avant de le laisse glisser doucement dans sa gorge. Elle avala ce pénis de plus en plus, tenant toujours la base de ce sexe. Elle descendit d'avantage avant de sucer ce sexe en gémissant d'aise. Marie en prit d'autant plus avant de finalement avoir le nez touchant le bas ventre de son amant. Elle fit plusieurs vas et vient avant de sortir le pénis de sa bouche, amenant la queue du jeune homme entre son sein de gauche et le central, bougeant doucement.

"Et comme ça ? Hmmm ?... Fais-moi entendre tes doux gémissements de plaisir mon beau."
« Modifié: vendredi 24 août 2012, 14:12:45 par Marie Carter »
- "Je suis libre... et libérée !" -

Edean

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Re : Accostage [PV]

Réponse 5 vendredi 24 août 2012, 14:53:20

Tandis que je malaxais sa triple poitrine si exotique, Ma compagne caressa doucement ma verge. Elle soupira d’aise en effleurant délicatement mes cheveux argentés :

-   Là c'est bien mon chéri... C'est très agréable... Hmmm... Tu les aimes mes gros seins ?

Je relâchais le téton que je mordillai afin de lui répondre, mais avant que je puisse esquisser un mot, elle me poussa en arrière m’allongeant sur le lit. Allonger sur ce lit moelleux, mon pénis dresser tel une lance, les caresse de la prostitué se firent plus violentes. Puis s’allongea le ventre sur le matelas couinant et, tenant toujours mon sexe entre ses doigts, sa douce langue vint se poser à la base de ma hampe et remonta adroitement le long de ma verge pour finalement se poser sur le bout de mon gland. Elle recommença plusieurs fois, jusqu’à me déclarer d’une voix ou cette fois perçait un désir non feint :

-   J'adore le goût de ta verge... Je vais l'avaler tout entier.

Ses lèvres se posèrent sur mon gland et commencèrent à descendre le long de ma hampe. Je me mis à ronronner quand la péripatéticienne se mit à sucer mon membre, l’avalent toujours plus profondément jusqu’à avoir le nez sur mon pubis. Je sentis la chaleur devenir insupportable, nous quittions l’atmosphère terrestre, mais le chemin vers le Nirvana est encore long. Elle sortis mon sexe de sa bouche et le pris entre deux seins.

-   Et comme ça ? Hmmm ?... Fais-moi entendre tes doux gémissements de plaisir mon beau.

Et empoignant ses seins, elle les fit caresser mon pénis. Elle voulait me faire gémir ? Elle y réussit…

-   Magnifiques… ils sont magnifiques… déchaine toi ma belle…

Elle eut un sourire malicieux et poursuivis, faisant balancer ses seins de plus en plus rapidement sur ma queue. Je ne me contrôlais plus, ressentant un tel plaisir que j’éjaculai, aspergeant ses seins de liquide séminal. Elle eut un sourire amuser et se pencha sur moi pour m’embrasser, je sentis ses mains chaude étreindre mon sexe qui se redressa encore plus droit que jamais… je passai mes mains dans le dos de la prostitué suivant la courbe que décrivait sa colonne vertébrale tandis qu’elle m’embrassai fougueusement…
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.

Marie Carter

Humain(e)

Re : Accostage [PV]

Réponse 6 vendredi 24 août 2012, 16:52:06

Elle venait à peine de débuter la masturbation du jeune homme avec ses seins que ce dernier vint rapidement juter. Le sperme chaud se déversa sur sa poitrine si spécial, la faisant sourire. Elle embrassa son client tendrement avant de se reculer un peu, laissant au jeune homme le loisir de voir ses trois seins, tâchée de blanc. Doucement, elle passa un doigt sensuellement sur sa poitrine, récoltant du sperme avant passer délicatement son index sur sa langue, déposant la semence de l'ange. Elle souria perversement en gardant les yeux mi-clos. D'une voix sensuelle, elle ajouta.

"Ton sperme est délicieux... Mais tu es venu un peu vite... Je me sentirais mal de te laisser partir avec si peu. Alors je vais te laisser le choix..."

La prostitué en prit un peu plus, léchant encore la semence avant de se saisir d'un mouchoir à côté, s'essuyant la poitrine avant de jeter ce dernier dans une corbeille. Doucement, elle passa ses pouces sous l'élastique de sa culotte, la faisant descendre en douceur. Sous la dentelle noire, elle révéla un vagin imberbe, un petit anneau discret au clitoris. Quand elle la tira, un fin filet de cyprine la relia à sa culotte. L'odeur de sa chatte devint présente alors qu'elle retira sa culotte, regardant son client.

"Je t'ai fait plaisir en suçant ta queue... Et si tu léchais ma petite fente ?... Comme ça, je jugerais que tu as remboursé ton erreur et tu pourras me prendre..."

Elle garda sa culotte dans la main avant de montrer la tâche humide.

"Regarde mon coeur, tu m'as tellement excitée..."

Elle lécha le tissu pour en récolter sa propre mouille, avant de la jeter sur l'entre-jambe de son amant. Elle lui souria avant de s'asseoir dans un fauteuil, écartant les cuisses en pelotant sa poitrine. Le regard plein de luxure, elle l'invita d'un geste de la main.

"Vient mon lapin... Comble-moi avec ta langue... Et tu pourras même m'enculer, hmmm..."
- "Je suis libre... et libérée !" -

Edean

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Re : Accostage [PV]

Réponse 7 samedi 25 août 2012, 14:23:55

-   Ton sperme est délicieux... Mais tu es venu un peu vite... Je me sentirais mal de te laisser partir avec si peu. Alors je vais te laisser le choix…

Tandis qu’elle léchait goulûment son index recouvert de sperme, la prostituer se leva et s’essuya sa triple poitrine. Je voulais la retenir sur ce lit, j’en redemandais. Sensuellement, elle fit glisser son string le long de ses cuisses, mon membre se redressa quand l’odeur du beau sexe arriva à mes narines. Retirant sa culotte elle me dit d’un ton coquin en me regardant droit dans les yeux :

-   Je t'ai fait plaisir en suçant ta queue... Et si tu léchais ma petite fente ?... Comme ça, je jugerais que tu as remboursé ton erreur et tu pourras me prendre…

Génial… Je devais faire un cunnilingus à une pute vraiment génial… La prochaine fois je me retiendrais plus longtemps et puis zut…

-   Regarde mon cœur, tu m'as tellement excitée, dit-elle en me montrant la tache humide sur sa culotte.

Ensuite elle lécha son string avant de le jeter sur mon sexe en érection. Souriant toujours, elle s’assit sur un fauteuil et écarta les cuisses, laissant sans protection un vagin des plus glabres. D’après mes quelques compagnes que j’ai eues dans ma courte vie, je suis plutôt bon lorsqu’il s’agit de faire jouir les femmes. Elle me posant un regard qui invitait à la luxure et d’une voix sensuelle me dit :

-   Vient mon lapin... Comble-moi avec ta langue... Et tu pourras même m'enculer, hmmm...

Ça commençait à m’intéresser tout ça ! Je sautais au sol devant elle, et me penchant sur la prostituer, je l’embrasai puis déposai des doux baiser sur sous cou, avant de m’agenouiller en léchant ses seins, son ventre, son pubis. Enfin je posai ma bouche sur ses lèvres intimes, insérant ma langue dans son vagin. Je remuai délicatement ma langue sur sa vulve, mes mains effleuraient ses cuisses, elle rejeta la tête rejeta la tête en arrière en un gémissement de plaisir. Ma langue explorait son vagin aussi loin qu’elle le pouvait, puis alla jouer avec son clitoris au délicieux petit gout salé. Alors que je caressai sa petite fleur, les gémissements devinrent des cris de plus en plus intense rythmant mes coups de langue, je le sentais, elle jouirait…
« Modifié: dimanche 26 août 2012, 16:14:10 par Edean »
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Marie Carter

Humain(e)

Re : Accostage [PV]

Réponse 8 lundi 27 août 2012, 10:03:26

Marie Carter caressa les cheveux de son amant en couinant de plaisir. Oui, ce beau petit ange savait y faire avec sa langue. Il passait sa langue juste là où ses nombreux clients avaient passé leur sexe. C'était aussi une façon pour Marie de tester la docilité de ses clients. Doucement, elle croisa ses chevilles derrière la tête du garçon, le contraignant à continuer. Sans échappatoire, elle se laissa lécher avant de lâcher un grand soupire. Oui, elle allait jouir. Pelotant elle-même sa triple poitrine d'une main alors qu'elle appuyait son autre main sur la tête de son chéri, elle soupira encore d'aise. Son client se laissait faire et semblait aimer ça... Et si jamais... il aimait aussi avoir une femme entreprenante et un brin dominatrice et salace... Autant pimenter le jeu et voir ce que ça donnait.

"Hmmm... Tu lèches si bien mon mignon... Ca te fait quoi de passer ta langue là où une demi douzaine de bites sont passés depuis ce matin ?"

Elle lâcha un petit rire en observant la réaction de son client. Cela la fit jouir et enfin elle lâcha un soupire d'aise. Faisant un petit pat pat sur la tête de son client, elle le laissa repartir avant de lui sourire. Se relevant à son tour, elle attrapa ses fesses en douceur. Embrassant son cou, elle lui susurra en silence.

"Tu es trop mignon... J'ai envie de m'amuser... Tu veux pimenter un peu le jeu ? Je ne te ferais pas payer plus..."

Calmement, Marie récupéra son string sur le lit avant de le tendre à son amant à souriant. Rient qu'à voir son expression, on comprenait qu'elle avait une idée derrière la tête.

"Et si tu l'enfilais pour voir, mon mignon ?"
- "Je suis libre... et libérée !" -

Edean

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Re : Accostage [PV]

Réponse 9 mardi 28 août 2012, 17:27:01

Je léchais toujours sa vulve quand elle croisa ses jambes derrière ma tête, me collant la bouche sur ses lèvres intimes une de mes main caressant doucement ses fesses. Elle m’agrippa par les cheveux appuyant quelque peu. Moi j’enfonçais un peu plus ma petite langue dans ce vagin imberbe, la faisant se tortiller un peu. Elle me parla entre deux gémissement, mais je ne compris rien à ce qu’elle voulait dire, elle eut un rire qui se termina  par un cri de plaisir, qui ma fois ressemblais plus à un couinement. De son vagin gicla alors son délicieux nectar dont je m’abreuvai à la source, puis lorsqu’elle commença à tarir, je me relevai en souriant, si elle savait à qui elle faisait l’amour…

 S’agrippant à mes fesses elle déposa juste un petit baiser sur mon gland qui lui braquait le visage. Puis elle se releva à son tour et m’embrassant au cou me susurra à l’oreille de sa voix suave :

-   Tu es trop mignon... J'ai envie de m'amuser... Tu veux pimenter un peu le jeu ? Je ne te ferais pas payer plus…

Qu’allait-elle m’inventer comme distraction ? Elle se pencha au-dessus du lit, pris son string et me le tendit, avec un sourire pervers.

-   Et si tu l'enfilais pour voir, mon mignon ?

Hein ? Je regardai la culotte, la pris et la renifla, elle sentait la femelle à plein nez,  et si je lui faisais bouffer plutôt ? Sa pourrait être marrant à voir… Une Pute étranglée avec son string… Je souris, mais mon expression avait changée du tac au tac et de petit chienchien me voilà transformer en loup. J’avais même été sympa avec elle en la faisant jouir, elle aurait dû continuer ma masturbation et me laisser la prendre. Cependant elle était bien belle pour une prostituée et tuer une telle beauté aurait été contre nature. Décider à lui laisser une chance de terminer son boulot je jetai le string de l’autre côté de la pièce…

Je la pris par les épaule et la plaqua contre le mur comme si elle ne pesait rien et je lui dis de ma voix profonde :

-   Ecoute ma belle, tu t’es vanté d’avoir été baisé par une demi-douzaine de bites, mais je suis sûre qu’aucune d’elle ne t’a fait autant plaisir sans t’avoir encore pénétrer… Maintenant imagine tes deux cuisses écarté et fourré de mon membre tout chaud…

Tout en parlant je caressai sa poitrine et frottai délicatement mon sexe sur sa jambe, quand j’eu finit, je l’embrassai langoureusement. La langue qui venait de lécher son intimité s’enroulait autour de la sienne en une danse folle…
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.

Marie Carter

Humain(e)

Re : Accostage [PV]

Réponse 10 mercredi 29 août 2012, 16:10:24

Marie Carter ne sût trop comment réagir. Au lieu de se prêter au jeu ou de décliner tout simplement celui proposé, Edean la plaqua sévèrement contre le mur. Il y avait des cas quotidien de prostituées tabassées et frappées... Mais elles ne pouvaient riposter pour la plupart et ça n'intéressait pas les flics. Alors quand elles pouvaient, c'était à grand renforts de maquillage qu'elles cachaient leurs bleus. Mais encore aujourd'hui, Marie ne s'était pas faite tabasser. Peut être ce soir ça allait venir. La violence que manifesta Edean lui fit vraiment peur et elle était à deux doigts de lui demander de partir... L'excitation de la prostituée brutalisée venait de descendre en dessous de zéro et la peur serrait ses tripes. Elle aurait pas cru que sous ce visage d'ange, un fou furieux ne se cache...

-   Ecoute ma belle, tu t’es vanté d’avoir été baisé par une demi-douzaine de bites, mais je suis sûre qu’aucune d’elle ne t’a fait autant plaisir sans t’avoir encore pénétrer… Maintenant imagine tes deux cuisses écarté et fourré de mon membre tout chaud…

Bon, ses paroles lui firent moins peur mais... Il allait devoir s'excuser pour avoir été si méchant. Son roulage de pelle n'allait pas suffire... et il devait le savoir au vu du peu de réponse que Marie donna comme mouvement de langue à se baiser. Elle s'éloigna un peu de lui avant de sortir 25 000 yen de la boîte en métal, soit la moitié de ce qu'il avait donné pour venir.

"Tient mon coeur... Je ne fais pas les grosses brutes. Si tu veux taper sur quelqu'un, tu vas ailleurs... Mais si tu me promet d'être doux à l'avenir et de ne pas me faire de mal, on continu."

C'était clair et net. On ne jouait pas avec elle. Et en cas de soucis, elle appelait Bruce, le gros brs qui surveillait les filles dans cet immeuble. C'était une baraque et ceux qui tapaient les filles se faisaient passer à tabac dans les règles de l'art. Une bonne bastonnades et il fallait deux semaines d'hosto pour s'en remettre. Mais Marie n'en était pas venu jusque là pour le moment et elle voulait que ça reste.

"Alors, tu seras doux maintenant ?"
- "Je suis libre... et libérée !" -

Edean

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Re : Accostage [PV]

Réponse 11 mercredi 29 août 2012, 18:28:07

La prostituer (je ne connais toujours pas son petit nom.) reçu mal mon baiser, bien loin de m’énerver cela m’amusa, œil pour œil, dent pour dent. N’empêche que je lui ai fait peur en la plaqua sur le mur, j’aurai peut-être dû l’allonger sur le lit, au moins le matelas aurait amortis le choc. Pourtant ce n’était pas le but, le but c’était qu’elle comprenne que je ne suis pas qu’un toutou docile auquel on fait les numéros qu’on veut. Si je voulais lui faire mal je l’aurais charcuté avec mon petit couteau suisse… elle se dirigea vers la boite en métal à l’autre bout de la pièce et en sortis des billets, qu’elle me tendit et me dit d’une voix craintive :

-   Tient mon cœur... Je ne fais pas les grosses brutes. Si tu veux taper sur quelqu'un, tu vas ailleurs... Mais si tu me promets d'être doux à l'avenir et de ne pas me faire de mal, on continu.

Pauvre petit femelle apeurée, durant sa carrière (si peut appeler ça une carrière) elle a dû se faire tabasser plus d’une fois. Elle a beau avoir trois seins, elle restait une simple humaine et réflexion faite, j’y étais allé peut être un peu fort… Je m’approchai d’elle avec un sourire qui se voulait rassurant, pris tendrement sa main tendue et referma ses doigt sur les billets en chuchotant calmement :

-   Je ne voulais pas te faire bobo ma puce excuse moi, garde ton argent, j’ai profité d’un service que j’ai payé. Je ne t’ai toujours pas pénétrer, mais je crois avoir assez profité de toi, si tu me dis de m’en aller je m’en irai…
-   Alors, tu seras doux maintenant ?
-   Oui, comme un agneau…

Sur ces mots, je retournai m’allonger sur le lit, mon pénis toujours dresser vers le plafond.

-   Votre monture est avancer mademoiselle, vous n’avez plus qu’à la chevauchez si le cœur vous en dit. Au fait vous avez un nom je présume, qu’elle est-il ?
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.


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