Sora n'eut pas le temps de comprendre ce qui lui arrivait. Magikya s'était brutalement réveillée, et semblait avoir lancé un sort quelconque. Il sentit en revanche son pénis grossir dans son pantalon, au point d'être à l'étroit dans cette prison de tissu. Mais ce n'était pas la seule chose qu'il sentait de différent. Sa queue de loup lui semblait plus maniable, mais également plus sensible... Il eut un choc en la regardant : à son extrémité pointait un autre pénis de fort belle taille. La magie, cependant, lui réservait une dernière surprise... Sora avait l'impression d'avoir plusieurs bras, mais il ne comprenait pas d'où lui venait ce sentiment... Jusqu'à ce qu'il essaye de bouger ces bras illusoires. L'arbre qui se tenait derrière Magikya réagit aussitôt, suivant les désirs de sa pensée. S'en était trop d'un coup pour le terranide, qui sentit sa conscience se laisser complétement submerger par ce que lui disait son instinct... Et son instinct lui disait de bien profiter de la situation.
Rapidement, il ordonna à l'arbre de se saisir de la pauvre jeune femme, laquelle se retrouva pendue, les bras et les jambes liées par des branches. Néanmoins, à l'inverse des marchands, Sora ne serra pas trop les liens, les ajustant ce qu'il fallait pour qu'elle ne puisse pas bouger, mais sans plus. Puis il l’inclina sur le dos et écarta ses jambes. Pour son confort, il fit jaillir une branche en forme de fourche, qu'il fit glisser au niveau de son bassin pour la supporter, puis il l'éleva à hauteur de son visage.
De là, il avait une magnifique vue sur l'intimité de la demoiselle. Ses grandes lèvres, gonflées par le plaisir, s'écartaient légèrement, et un peu de cyprine s'écoulait de cette fente, glissant le long des cuisses. Sora commença par insérer un doigt dans son jardin secret, et commença à rechercher les zones les plus érogènes de son intérieur. Dans le même temps, il rapprocha son visage et s'attaqua à son bouton d'amour, qu'il dégagea à l'aide de sa langue, avant de le titiller de plusieurs coups secs.
Finalement, il écarta les petites lèvres à l'aide de son second doigt, et engouffra sa langue aussi profondément qu'il le pouvait dans l'orifice. Il se mit alors à lécher vigoureusement les parois internes, stimulant les zones érogènes. Le nectar de la jeune magicienne coulait maintenant à flots, et Sora la sentait convulser. L'orgasme ne devait ps être bien loin...