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Le temps des retrouvailles (White Rabbit)

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Bane

Humain(e)

Le temps des retrouvailles (White Rabbit)

dimanche 21 février 2016, 07:28:56

La drogue est une chose que l’on retrouve partout dans notre monde.  Qu’on soit en Amérique, en Europe ou n’importe où dans le monde, différente sorte sont trouvable.  Un si grand marché pousse plusieurs personnes à essayer de trouver un moyen de se faire de l’argent sur le dos de ceux en manque. Après tout, s’il y a une clientèle, il doit bien y avoir un ou des vendeurs? Si certains font de leur mieux pour offrir un bon produit, mais certains ne font que vendre des produits de basse qualité afin de se faire de l’argent facilement. Dans les cas de la sorte, les produits vendu pouvait souvent causer des problèmes et être très mauvais pour le consommateur. Que ça soit la création d’une dépendance, d’une maladie voir même causer la mort de l’utilisateur.  Même la drogue à des modes, certaines valent plus durant un moment particulier pour différentes raisons, que ça soit la nouveauté, la légalisation, une star qui en consomme ou bien d’autre chose.  Dans les derniers mois, la mode était une drogue liquide, injecté par intraveineuse, nommé venome.  Supposément, elle augmentait la puissance physique et donnait l’impression d’être invincible. Elle aidait aussi à guérir les maladies et même faire partir la douleur de blessures.

Sauf qu’il y avait un tout petit problème dans cette situation : Le venome qui était vendu au Japon n’était pas l’original, mais plutôt une variante baser sur les expériences de certains vendeurs de drogue qui avaient mis les mains sur des papiers parlant de la drogue en question. C’était donc une version moins efficace et vendu par des gens malhonnête, en plus d’être mal doser.   Les conséquences s’avéraient parfois extrême, plusieurs personnes en mouraient ou devait prendre plusieurs jours pour s’en remettre. S’il y avait bien une chose que cette version et l’originale avait en commun, c’était le fait qu’elle causait une grande dépendance.  C’était le paradis pour les vendeurs et ceux qui en créaient dans leur entrepôts : Vendre une drogue qui causait à ceux en prennent de devoir en reprendre, encore et encore.  Rien ne semblait pouvoir briser ce paradis, mais la situation allait changer.

C’était la nuit, la majorité de la ville dormait.  Les fabricants de drogue en profitaient pour travailler, créer les produits qui allaient détruire la vie de plusieurs personnes de la population.  Dans un entrepôt de Seikusu, des hommes étaient au travail.  Alors qu’ils s’appliquaient, un bruit se fit entendre, un grand cognement contre la grande porte en métal de l’endroit.  Tout le monde arrêta et les deux plus musclé approchèrent de la porte, fusils en main. Un autre cognement se fit entendre et la porte plia un peu sous l’impact. Soudain, un dernier coup la fit s’écrouler vers les hommes. Les deux hommes armés reculèrent et quand ils tentèrent de se remettre en place, un géant arriva en courant et les frappas les deux en même temps à la gorge avec ces bras.  Bane venait d’arriver dans l’endroit et tout le monde allait regretter sa présence. Il leva la tête vers les autres hommes.

Je vous donne un choix : Un combat ou la fuite. 

Il avanca vers le groupe, qui était très hésitant. Soudain, un homme pris un couteaux sur une table et s’élanca vers Bane. Il envoya un coup vers l’ennemi de Batman, mais celui-ci bloqua le coup et, tenant la main de l’homme, lui brisa le poignet d’un coup sec.   Trois hommes au sol, trois autres debout, sans compter Bane.  Voulant protéger leur moyen de faire de l’argent, les trois derniers foncèrent sur Bane en même temps.  Bane bloqua un coup de pied et un coup de poing, recevant un coup de coude au visage sans même réagir. Il repoussa ceux l’ayant manqué, avant d’attraper le troisième par la gorge. Il le souleva dans les airs et l’envoya durement le dos contre une table.  L’homme avec le poignet briser voulut se relever, mais reçut un coup de pied en plein visage qui l’envoya dans les vapes.  Les deux derniers hommes voulurent fuir , mais Bane les attrapas par le chandail.

J’avais dit un choix, pas la possibilité de changer en court de route.

Il fit tomber vers l’arrière un des deux avant d’attraper l’autre par la tête et l’envoyé durement contre un mur.  Il prit ensuite le dernier encore conscient et lui asséna un violent uppercut. 

Une fois que tout le monde fut hors d’état de nuire, il les traina un à un à l’extérieur du bâtiment avant d’y retourner.  C’est ainsi que la destruction de l’endroit se déroula petit à petit, avec Bane qui détruisait les tables, renversait les comptoirs et enlevait tout le nécessaire pour faire la drogue, sans prêter attention à l’arrivée de quelqu’un. De toute façon, qui pourrait l’arrêter?

White Rabbit

E.S.P.er

Re : Le temps des retrouvailles (White Rabbit)

Réponse 1 samedi 27 février 2016, 12:30:33

Tout le monde était, d’une manière ou d’une autre, drogué. En réalité, on aurait même pu dire que la drogue, au sens large du terme, était typiquement humaine. Au sens strict, on pouvait concevoir la drogue comme une sorte de stimulant, de produit, naturel ou synthétique, qui déclenchait une addiction chez une personne, la rendant accroc au dit produit, et altérant progressivement ses facultés mentales et physiques. Cela, White Rabbit l’admettait comme la drogue au sens dur. Mais, en élargissant un peu la notion, on se rendait compte que tout, potentiellement, pouvait être une drogue. Qui y avait-il, profondément, de différent entre le toxicomane réclamant sa dose et le fanatique religieux se scarifiant devant son rituel ? Entre le junkie qui se piquait et le fan hardcore qui ne vivait plus que pour être auprès de sa star, qui, au demeurant, se foutait probablement de lui comme d’une guigne ? La Lapine avait remarqué à quel point les hommes aimaient être addict’, comme si une addiction leur donnait une raison de vivre.

Fascinant, n’est-il pas ?

Depuis sa poutre, en mangeant une pomme d’amour, White Rabbit pensait à cela en voyant, en contrebas, une sorte de fou furieux démolir à coup de poings toute une installation de drogue. Elle le vit saisir une cuve, le broyant entre ses mains épaisses, et le balancer contre une grosse machine. C’était un laboratoire de drogue, ressemblant, à peu de choses près, à ces laboratoires servant à créer des drogues de synthèse, comme la méthamphétamine. Les trafiquants qui exploitaient ce laboratoire rajoutaient cependant, dans leur drogue, quelque chose de spécial, qui appartenait au gugus qui était en train de s’exciter comme un gorille furieux, au risque de déranger les voisins : le Venom. Ces types, toutefois, n’étaient que de simples revendeurs, appartenant à la Mafia russe. Ils n’avaient rien à fournir, et Bane n’avait rien à leur dire. Il voulait juste faire passer un message.

White Rabbit, en effet, connaissait cet individu, ce Bane. Quand White Rabbit était sortie de sa prison, elle avait voyagé dans les quatre coins du monde, et, quand elle en avait entendu parler de Batman, elle avait décidé de se rendre à Gotham City, où elle avait étudié un peu la ville. Elle y avait contacté Bane, et, malgré les réticences de l’homme à travailler avec une femme en tenue de bunny girl, elle avait pu le convaincre de participer à un jeu amusant. C’était White Rabbit qui avait aidé Bane à tenter de prendre sa revanche sur Batman, en organisant une émeute au sein d’Arkham. Bon nombre de détenus s’étaient évadés, et White Rabbit avait décidé de jouer avec Batman, jusqu’à l’amener sur une île. Pour elle, Batman était une sorte d’Alice, et elle, le Lapin blanc, guidant sa Alice dans une histoire dont on ne comprenait, ni les tenants, ni les aboutissants. Batman était tombé sur Bane, et, après un combat redoutable au bord de la falaise puis sur une plage, Batman avait triomphé de son ennemi.

Maintenant, bien des années après, White Rabbit retrouvait son premier allié, toujours aussi furieux. Cependant, elle se manifesta quand Bane balança une table, qui heurta sa poutre, la déstabilisant, amenant White Rabbit à lâcher sa confiserie... Qui alla tomber sur la tête de Bane, rebondissant dessus.

« Hey ! Sale brute ! » s’exclama-t-elle.

White Rabbit se redressa, et sauta en contrebas. Malgré la distance, qui était bien de six bons mètres, elle arriva sur le sol sans difficulté, en ployant les jambes. Elle connaissait les accès de rage de Bane. Le Venom était une drogue puissante, mais qui altérait les facultés mentales. Plus Bane en utilisait, et plus il pétait les plombs. Or, de base, l’homme était un véritable stratège militaire, car, pendant son enfance à Santa Prisca, il avait énormément étudié, et lu un grand nombre de livres, ce qui, à bien des égards, en faisait un homme très accompli.

« Il n’y a pas à dire, Bane, tu es aussi... Virulent... Que dans mes souvenirs. »

Bane n’était pas qu’un simple super-vilain, c’était aussi un meneur d’hommes. Et il avait un sens strict de la discipline. Quand il s’agissait de tuer des mercenaires indisciplinés, il le faisait à mains nues. White Rabbit l’avait vu fair,e fracassant le corps d’un homme, lui explosant les dents, broyant ses os, perforant ses muscles sous ses coups de poings et ses coups de pied. C’était une façon assez hideuse de mourir, en fait.

Restait une question à se poser : qu’est-ce que White Rabbit fichait ici ? Mais, avant de se la poser, elle lui posa une question, tout en marchant un peu, évidemment de manière sensuelle, et c’est ainsi que, dos face à lui, en bombant un peu ses fesses, elle lui posa, nonchalamment, cette question, en tournant la tête de côté :

« Est-ce que je t’ai manqué ? »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

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Bane

Humain(e)

Re : Le temps des retrouvailles (White Rabbit)

Réponse 2 vendredi 25 mars 2016, 02:37:37

Bien des choses avaient essayé de calmer la rage de Bane ou de l’empêcher de faire ce genre d’acte. Que ça soit la police, Batman, d’autre criminels….mais une pomme d’amour qui lui tombe à la gueule? C’était une première fois.  Il se tourna la tête pour regarder la chose au sol quand il entendit quelqu’un atterrir au sol. Il se redressa rapidement pour voir… une femme habillée en bunnygirl? S’il fut confus sur le coup, il eu rapidement de cette personne, White Rabbit. Après tout, même s’il ne serait pas reconnu pour sa mémoire photographique, comment oublier une femme tentant d’être criminelle en étant habillée de la sorte? Elle était unique dans son monde, le genre de rencontre qu’on ne fait qu’une fois. Du moins, c’est ce qu’il pensait à l’époque, mais maintenant, sur un autre continent, dans un contexte totalement différent, il était de nouveaux en sa présence.

C’était deux styles totalement différents qui se rencontraient.  Bane était un géant, capable de détruire un humain normal sans même devoir prendre de sa drogue. Sa puissance rivalisait avec celle des super humains et il avait combattu contre certains des personnes les plus dangereuses que ce monde avait à offrir. Tandis que celle se tenant devant lui n’était pas une combattante, c’était une manipulatrice de première, capable de faire croire à n’importe qui bien des choses et qui trouvait toujours un moyen d’obtenir ce qu’elle voulait. Lui-même, malgré l’habit ridicule de la demoiselle, avait fini par accepter de participer à son plan. Bane était lui aussi une personne capable de diriger des groupes de personnes et il était considéré comme étant un grand intellectuel, mais il ne manipulait pas les gens de la même façon que Rabitt. Celle-ci se servait plutôt de ces charmes et d’une certaine aura particulière qu’elle avait.

On peut en effet dire que je suis très…virulent, jeune demoiselle.

Il avait dit sa phrase en s’étirant, montrant d’avantage les muscles de ces bras, non pas pour faire son show-off, mais tout simplement pour se dégourdir un peu.  Après tout, causer autant de destruction n’était pas si facile. Bon, oui, pour lui ce l’était, mais il restait un minimum humain tout de même! Il était donc en train de regarder la femme qui semblait lui préférer le tourner le dos en bombant le fessier, fessier que Bane regardait d’un œil, aimant bien la vue mais ne voulant pas se laisser déconcentrer il préférait ne pas y porter une attention totale.

Ne surestime pas l’importance que tu as à mes yeux, jeune demoiselle. Je ne peux pas réellement dire t’avoir oublier, tu es une personne unique si sa peux te faire plaisir.

Bane la quitte des yeux un moment, attrapa une boite de matériels et la balance durement contre un mur, détruisant tous les contenants à l’intérieur. Il se retourne de nouveaux vers la femme.

Sans nécessairement dire que tu m’as manqué, je  n’ai aucun problème à revoir une vieille connaissance. Même si tu n’arrives pas dans un moment opportun pour une discussion entre deux amis.  Je ne sais pas ce que tu fais de tes temps libres après l’échec de ton plan à Gotham , excepter probablement manipuler n’importe qu’elle homme que tu vois à te donner ce que tu veux et à passer des soirées de débauche dans ton habit,mais personnellement je continu ma mission contre les revendeurs de venom et j’aimerais bien pouvoir m’occuper de cette endroit sans me faire déranger.

Bane était bien des choses, être un homme très sérieux était une chose le représentent très bien. Il n’appréciait pas vraiment les pertes de temps et les jeux.  Même s’il trouvait la femme de son goût , il n’appréciait pas nécessairement de se faire déranger. Il continua donc de détruire des objets sur sa route, les broyant , les lançant contre les murs ou en les frappants.

Voyant qu’elle était toujours là, il poussa un soupir de découragement et retourna la voir.

Bon, que fais-tu ici exactement? Tu sais très bien ce que je suis capable de faire, alors que fais-tu dans un endroit de la sorte et pourquoi ne me laisse-tu pas tranquille?

Il la regardait maintenant en lui accordant toute son attention totale. Son regard passait sur tout le corps de la femme. Elle était belle , bien bronzer et mise en valeur par son costume, mais en ce moment, elle était surtout très agaçante.

White Rabbit

E.S.P.er

Re : Le temps des retrouvailles (White Rabbit)

Réponse 3 mercredi 30 mars 2016, 02:21:54

Ils avaient travaillé ensemble à Gotham. Une première expérience qui, pour White Rabbit, avait été comme un baptême du feu. Quand elle était sortie de son coma, et qu’elle avait découvert ce nouveau monde, elle avait appris l’existence de ces types en costume. Beaucoup de gens semblaient les voir comme des légendes urbaines, ou comme des phénomènes médiatiques, si ce n’est comme des expériences gouvernementales, mais le fait est que le 21ème siècle, selon leur calendrier,  était un siècle de défis et de nouveaux enjeux. Elle avait revisité en quelques mois une histoire vieille de plusieurs millénaires, qui, mondialement, s’était caractérisée par la construction et la structuration d’États solides et souverains. Et le nouveau millénaire semblait amorcer un changement, un affaiblissement des États au profit d’autres pouvoirs, régionaux ou civils. L’Histoire était ainsi, un mouvement de balancier permanent entre la confrontation des pouvoirs publics et privés. Ce nouveau siècle était marqué par la peur du terrorisme, par le fantôme de deux conflits mondiaux et d’une guerre froide, par la menace latente d’une société post-apocalyptique, et par le délitement des États, dont les justicier et les super-héros en étaient l’expression. Ils étaient une sorte de réponse de la société civile face à l’échec répété de leur dirigeants à assurer leur protection et leur sécurité. Et quel meilleur endroit que Gotham City pour voir cela ?

La ville toute entière était rongée depuis des décennies par la criminalité organisée, la corruption, la pègre, et par une sorte de folie ambiante. Le justicier masqué, ce Batman, avait fasciné White Rabbit, qui avait longuement hésité afin de choisir envers qui s’amuser. Superman avait été son premier choix. Un homme invincible, sorte de Dieu moderne indestructible, mais elle avait finalement opté pour Batman. Pour cela, White Rabbit s’était renseignée, et avait ainsi eu vent du projet de Bane. Bane, un mercenaire, terroriste, seigneur de guerre, qui voyait en Batman son rival, sa Némésis. Bane, dont le rêve était de vaincre Batman, et de le remplacer. Bane, qui avait brisé la chauve-souris une fois, avant de se faire douloureusement massacrer par Azraël, un second couteau. Une forte humiliation pour ce guerrier, qui, depuis lors, envisageait sa revanche. À cette fin, il avait même été se rapprocher, brièvement, de la fameuse Ligue des Ombres, mais avait fini par envisager toute une stratégie, assez similaire à celle qu’il avait employé la première fois : affaiblir Batman et ses alliés en libérant tous les détenus et les cinglés. Une tâche à laquelle White Rabbit avait joyeusement contribué, en usant de ses pouvoirs magiques.

Elle avait trouvé cette scène follement excitante. Au-delà du costume, ce qui avait attiré White Rabbit, c’était que Batman soit réputé être le plus grand détective du monde. Il avait été monstrueusement plaisant de le trimballer dans tout Gotham, faisant de lui sa Alice, à la poursuite de la queue du lapin blanc, plongeant dans les méandres de la folie de la ville. Le final avait été à la hauteur de ses attentes : un combat de gladiateurs, entre Bane et Batman, affrontement que Batman avait gagné. Depuis lors, lui et White Rabbit ne s’étaient plus revus, et pour cause. Bane s’était servi d’elle, et elle s’était servie de lui. Rien de plus. Rien de moins.

Jusqu’à maintenant, en tout cas.

Réalisant que la jeune lapine se refusait à partir, Bane, excédé, se retourna vers elle. Elle croquait désormais dans une pomme d’amour, en le dardant d’un regard mielleux.

« Oh oui, je sais… Je sais tout ce dont tu es capable, mon petit Bane, et c’est ça qui est amusant, n’est-ce pas ? Toi, le grand dur, le grand costaud, tu ne sais t’en prendre qu’à des faibles et des minables… Mais, dès qu’on s’attaque aux choses sérieuses, tu échoues misérablement. Combien de fois as-tu essayé de vaincre Batman, hum ? À chaque fois, tu l’affrontes indirectement, cherchant à l’affaiblir par des stratégies, et tu échoues toujours… Maintenant, on te vole même ton précieux Venom. »

Elle jouait avec le feu en le narguant, mais elle lui sourit ensuite, en jetant sa pomme d’amour sur le sol.

« Mais, fort heureusement pour toi, j’ai amélioré mes performances depuis notre dernière rencontre. Et j’aime cette brutalité dont tu fais preuve, alors… Je pense qu’il est temps pour toi de l’exercer. »

Elle sourit encore.

« Je sais comment remonter jusqu’à Batman. Batgirl est à Seikusu, et je sais où elle se cache. Alors, soit tu peux continuer à taper sur des clowns, soit tu peux me suivre pour remonter jusqu’à elle, et ainsi attirer Batman. »

White Rabbit se rapprocha ensuite de lui, sensuellement, en roulant des hanches.

« Je peux te mener à elle, mais il y a un prix pour cela… »

Elle rajouta ensuite, en souriant légèrement :

« Un baiser. »
DC d’Alice Korvander.

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