Ne soyez pas timide... (PV)

Que ce soit de jour comme de nuit, la place publique de Nexus fourmillait toujours autant de monde, à toute heure. Des hommes, des femmes, des créatures, des marchands, des musiciens, des esclaves, et que sais-je encore ? Un univers riche et cosmopolite, qui pouvait nous réserver de surprenante rencontre. L'endroit rêvé pour mettre en pratique la petite idée que j'avais en tête...

Vêtue d'un soyeux kimono traditionnel, largement ouvert au niveau de mon décolleté et assez court pour révéler une partie de mes cuisses, je m'avançais parmi la foule, souriant légèrement. Tout ce beau monde... avec un peu de phéromone, et un petit coup de pouce, il y avait surement moyen de lancer une splendide orgie, ici. Cette idée me plaisait, me plaisait beaucoup même, mais je me contentais de la garder dans un coin de ma tête, ce sera peut-être pour plus tard. Pour l'heure, j'avais d'autre projet, assez intéressant eux aussi.

Ma tenue légère et mes rondeurs avantageuses ne manquèrent pas d'attirer les regards, autant qu'un soleil passant dans un champs de tournesol. Qu'ils viennent, si cela les tente, qu'ils viennent glisser leurs mains dans mon décolleté, palper la tendresse et la fermeté de ma poitrine, caresser du bout des doigts la douceur de mes cuisses. Oseraient-ils, n'oseraient-ils pas ? S'ils ne viennent pas à moi, c'est moi qui viendrais à eux. ♪

Je m'installais sur l'un des rare bancs à être vide, au milieu de la grande place centrale, et regardais les gens passer. Certains étaient tellement pressés qu'ils ne regardaient même pas ce qu'il se passait autour d'eux. D'autre au contraire, flânaient tranquillement, laissant leurs regards errer un peu partout, dans les nuages ou sur les gens. D'autre encore discutaient vivement avec leurs voisins. Et lorsque je relevai les pans de mon kimono, révélant par la même occasion l'absence de sous-vêtement, la plupart des regards se tournèrent instinctivement vers moi, et certains s'arrêtèrent même pour mieux profiter de la vue. Je me sentais épiée, et il ne m'en fallait pas plus pour sentir l'excitation me gagner, j'adorais ça...

Mais jouer les exhibitionnistes en herbe n'était pas suffisant, il m'en fallait plus, bien plus. Je relevais mes jambes et posais mes pieds de part et d'autre du banc, les cuisses largement écartées, dévoilant ainsi sans pudeur les lèvres de mon intimité. Sous les regards choqués ou ravis de ces spectateurs, ma main vint s'y poser d'un geste lent et sensuel, avant d'entamer des caresses plus qu'agréable. Je soupirais d'aise, le visage tourné vers le ciel. Mes joues rosissait légèrement sous l'effet du plaisir, décuplé par le fait que je me donnais littéralement en spectacle. Ma respiration devenait un peu moins régulière, plus haletante, entrecoupée de faible gémissement. C'était vraiment bon... mais pas assez. J'espère qu'ils ne se contenteront pas de me regarder... Peut-être que quelqu'un parmi la foule a lui aussi envie de s'amuser ?

Dur à dire si c'est population qui vous regarde ou si c'est vous qui regardez la population. Autant on peut avoir l'impression d'être seul au monde dans une foule, autant on peut croire que personne ne vous remarque. Theorem passait relativement inaperçu ici. Un terranide de plus dans cette ville était tout a fait normal, qu'il soit esclave ou non. La situation de Theorem était particulière. Plutôt que de servir un seul et unique maître toute sa vie, il avait décidé de vivre plusieurs périodes avec des propriétaires. Parfois un homme ou une femme, parfois seul ou accompagné d'une flopée de soumis et de harem. Il se disait qu'un jour, il s'offrirait à une créature particulière, une personne rare et qui saurait mener Theorem là où il le voulait. Son choix avait été fluctuant, il errait dans Nexus sans que la vie ne semble l'intéresser. Puis calmement, au détour d'un parc luxuriant... Il la vis. Une femme, belle et étrangement séduisante...

Theorem resta un instant planté là, regardant Maëlys. Quelle étrange femme... Elle manquait certainement de pudeur, mais elle ne manquait pas de luxure. L'envie dans ses yeux et sa sexualité débridée l'avait conduite à se toucher, en public, comme ça... La curiosité de Theorem le tiraillait autant qu'elle l'excitait. Quel genre de femme voulait être regardé par tout le monde pendant un acte aussi pur et aussi beau qu'une femme qui se touche. La masturbation féminine avait quelque chose de divin selon Theorem. La félicité ultime d'une femme atteignant l'orgasme par ses moyens, uniquement concentrée sur son plaisir à elle, était magique...

L'Inu approcha. Son corps androgyne, recouvert d'une petite armure souple et incomplète, ses membres et son torse recouvert de toile d'asmoïd semblable à du latex et son ample chevelure rouge recouvrant son regard vert émeraude avait quelque chose de fascinant pour beaucoup de monde. D'abord contemplatif de cette femme aux formes exquises, il s'approcha avec prudence. Il ne pouvait pas décrocher son regard de son corps. Doucement, il arriva au contact et... trop timide pour oser en rajouter, il s'agenouilla devant elle... Quelques minutes passèrent alors qu'il regarda le sexe de la jeune fille tout humide... Puis il approcha son visage. Le bas ventre rayonnait de chaleur, lui renvoyant le doux parfum de l'intimité d'une femme. Sa langue sortit doucement d'entre ses lèvres et il la passa du bas de sa fente où la mouille s'était accumulée à son clitoris. Il répéta le mouvement, lapant tel un chien avant de faire des cercles concentriques sur l'entrée de son vagin. Enfin, son muscle buccale entra dans son antre chaude.

Un goût fort mais agréable, une chaleur torride et quelques bruits pervers furent les réponses des sens de Theorem, bien affûtés par sa nature canine. Il voulait s'offrir à cette femme... Lentement, sa langue effectua des vas et vient avant de pousser plus profond, amenant sa langue contre le point G de cette belle femme. retirant sa langue un instant pour reprendre son souffle, de la mouille reliant sa langue à la chatte de la jeune femme, il amena sa langue plus bas, caressant l'anus de la jeune femme avant de laper de nouveau. Il repasserait à l'attaque, ses mains gantées de latex caressant les cuisses de la jeune fille. Theorem se moquait bien d'être observé désormais, sa queue de chien se balayant de gauche à droite souplement. Il la regarda, de ses grands yeux verts.

"Ca vous plait ?... Je m'appelle Theorem..."

Mon corps se déhanchait lentement, sous l'effet du plaisir. La sensation d'excitation qui m'envahissait croissait, devenait de plus en plus intense, à mesure que mes doigts effleuraient mon petite bourgeon de plaisir. Je balayais la foule du regard, certains étaient sidérés, mais ne parvenaient pas à se défaire de leur perversité, continuant à lorgner sur le spectacle que je leur offrais. D'autre encore avait dégainé leur épée de chair, profitant de la scène pour la caresser, sans avoir le courage de venir me la présenter. Personne ne semblait avoir assez de cran pour venir à moi, y prendre part, et partager avec moi ce délicieux moment. Personne, sauf cet étrange inconnu, qui s'installa à genoux devant moi... Je ne parvenais pas à savoir s'il s'agissait d'un homme ou d'une femme, derrière cette longue chevelure rousse, même si je penchais plutôt pour la première option. Mais ses attributs et son allure docile n'y trompaient, il s'agissait d'un terranide, un Inu même. Et sa manière de me lécher...

* MMMMMMHHH !!

...était vraiment fabuleuse ! Mes cuisses s'écartaient et mon corps se cambraient, de la cyprine s'écoulait de mon sexe, réclamant à sa langue de continuer ses caresses. Je frémissais à chacun de ses mouvements, gémissant mon plaisir, mes joues étaient en feu, rose d'excitation, c'était tellement agréable...

* Oh... continue, Theorem... tu fais ça si bien...

Le plaisir de plus en plus intense m'obligeait à resserrer mes cuisses, autour de son visage. Je caressais doucement ses cheveux, l'encourageant à continuer. Je couinais de plaisir, qu'importe les regards que me lançait la foule, je comptais bien en profiter un maximum, je ne me retiendrais pour rien au monde... Je sentais sa langue se glisser à l'intérieur de mon intimité, se tortiller, me caresser de l'intérieur, j'adorais, c'était si bon...

* Mmmh, j'aime beaucoup...
* Mais, sais-tu ce qui me ferait davantage plaisir ? Quelque chose de plus virile qu'une langue...

Il leva les yeux vers elle pour voir son visage. La femme qui s'offrait au plus audacieux semblait sacrément en chaleur. Elle en voulait encore et toujours plus. Le jeune Inu aimait ça, car enfin il était en présence d'une femme qui n'avait même pas besoin de donner son nom pour avoir de la dévotion de la part de Theorem. Doucement, il retira sa langue du bas ventre de la jeune femme, de la salive reliant encore sa bouche au corps de la jeune femme. Elle voulait du plus viril ?... Et bien c'était assez soudain, en effet.

"D... D'accord..."

Le jeune guerrier se redressa, toujours face à elle. Il ne voulait pas voir la foule, tout ce qui l'intéressait, c'était elle. Doucement, il poussa le latex de sa tenue recouvrant son entre-jambes, à savoir l'équivalent d'une culotte. Il sortit sa double verge. Ses deux pénis superposés s'extirpèrent sans mal. Doucement, il approcha son double pénis d'elle et se coucha contre cette belle femme. Son visage s'engouffra dans la grosse poitrine de Maëllys alors que son double pénis entra en elle. Celui du dessus entra sans mal dans le vagin de la belle femme, et celui du bas fut guidé dans la sortie étroite qu'elle possédait. Heureusement qu'il avait léché ici. Une fois en elle, il débuta le vas et vient. Ses mouvements étaient lents et amples. A son premier vas et vient, il se contenta de guider la moitié des 15cm de ses pénis dans le corps de la jeune femme. Un soupire et il se retira jusqu'à la limite de son gland. Il se rabaissa en lâchant un petit cri de plaisir. Ses deux queues s'enfoncèrent dans le corps de la jeune femme jusqu'à la garde. Son vas et bas ventre se colla à celui de son amante. Doucement il se recula de nouveau, tout doucement. De la mouille les reliaient. En douceur encore, il arriva au niveau de la couronne des glands et se renfonça de nouveau, lâchant un grand soupire qu'il étouffa dans les seins de la belle femme. ses mains s'agrippèrent souplement à ses hanches alors qu'il léchait entre les seins de l'humaine. Il garda son double sexe bien enfoncé en elle quelques secondes avant de reculer de nouveau, un poil plus rapidement. La foule de derrière pouvait voir le dos de Theorem, mais aussi son derrière moulé par le latex. Theo gémissait alors qu'il léchait les seins de l'humaine, suçant ses tétons alors qu'il s'enfonçait de nouveau en elle en couinant délicieusement... Il adorait ça...

"Han... C'est bon... Tu es vraiment belle..."