une forêt pas si paisible [PV Satsumy]

  Mixibnorh avait passé le portail presque sans s'en apercevoir. Plus sensible aux champs magiques que la plupart des êtres vivants, il sentit juste un picotement le parcourir lorsqu'il traversa le portail. Rien n'ayant changé dans la forêt autour de lui, il ne prit pas la peine de s'y attarder. Il était sur la piste d'une terranide qu'il avait vu courir entre les arbres. Après avoir sentit le picotement, il perdit la trace olfactive. Concluant qu'elle avait pris de la vitesse, il accéléra le pas. Il ne s'avouait pas vaincu. Cette petite n'allait pas s'en  sortir si facilement, et elle allait vite réaliser qu'il était lui-même bon coureur.

  Au bout de dix minutes de course dans la direction vers laquelle il l'avait vu courir, et malgré sa vitesse considérable et une profonde attention aux odeurs, il dût se rendre à l'évidence: elle l'avait semé. Il s'arrêta donc un instant et pensa à sa prochaine activité. Il n'était pas du genre très curieux et ne chercha pas  à savoir comment elle s'était arrangé pour s'enfuir. Tout juste se soucia-t-il de se promettre de la poursuivre de nouveau la prochaine fois qu'il sentirait son odeur, avant de la reléguer dans case ''passé'' de son esprit et de se soucier d'un autre sujet d'intérêt. En effet, il vit qu'il était à proximité d'un chemin pavé.

  Il savait que les gens qui se baladaient en forêt préféraient prendre les petit chemins, il songeait qu'il n'aurait pas à attendre longtemps, d'autant moins longtemps qu'il sentait déjà une odeur appétissante. Humaine, assez jeune mais suffisamment adulte, une petite aura magique semblant l'entourer mais rien de dangereux pour autant qu'il en puisse juger d'aussi loin. La jeune femme qui la dégageait semblait s'approcher. On comprend donc qu'il prit rapidement la décision d'oublier la terranide, de s'occuper à la place de cette femme qui approchait, et qu'il se cacha dans un fourré. La lumière baissait et le ciel rougissait, indiquant la nuit qui tombe. Tant mieux, personne ne viendra interrompre la rencontre. 

Cette jeune femme qui s'approchait, et qui chantonnait doucement pour elle même, n'était nulle autre que Satsumy, qui prenait en ce début de soirée un chemin différent pour rentrer du lycée et aller chez elle. La jeune lycéenne était bien loins de se douter de ce qui allait lui tomber dessus prochainement, et étant un peu lasse de l'environnement urbain, elle avait décidée de s'accorder une petite promenade dans l'un des grands parcs se trouvant à l'extérieur de la ville.
Les arbres, les petits étangs, le sol couvert d'herbes, le tout sous un ciel dégagé et ensoleillé, tout cela avait contribué à rendre la jeune femme détendue et joyeuse, et elle songeait au fait qu'il lui faudrait s'accorder ce genre de pause un peu plus souvent.

Avec la nuit qui tombait, Satsumy mettait donc fin à son escapade en forêt, et suivait l'un des chemins pavés qui rammenaient en direction de la ville. Elle chantonnait, et regardait autour d'elle un peu distraite, contemplant encore un peu les arbres magnifiques qui prenaient encore une teinte différente avec le soleil qui se couchait. Elle serait bien restée plus longtemps, mais le parc en pleine nuit n'était pas aussi sûr qu'en plein jour, et devenait un univers dans lequel une jeune étudiante innocente comme elle n'avait rien à faire, pour son propre bien.
Sans qu'elle ne s'en rende compte, elle se rapprochait de Mixibnorh qui s'était habilement dissimulé dans un fourré, et Satsumy ne le voyait pas.

  Lorsqu'elle fut à portée de vue, Mixibnorh concentra toutes ses capacités sensorielles et analytiques sur Satsumy. Il devait en savoir le plus possible sur elle avant de se montrer, car si il s'y prenait de la mauvaise manière, il devra la laisser s'enfuir.

  La jeune femme était bien comme il l'avait senti: jeune, humaine, belle, une minuscule aura magique insignifiante lui tournant autour. Il ne reconnu pas les vêtements qu'elle portait, ce qui l'amena à penser qu'il s'était beaucoup plus éloigné qu'il ne le croyait. Il ne savait pas qu'il était sur Terre et par ailleurs même si on le lui disait, il ne saurait pas ce qu'est la Terre. Néanmoins, il pût aisément déduire des couleurs vives des vêtements et de la minceur de ses muscles qu'il s'agissait d'une fille de classe aisée dans les standards de Terra. Il l'entendit chantonner et en conclut que la jeune femme était de nature ou au moins d'humeur joyeuse. Elle regardait autour d'elle d'un air absent, ce qui indiquait une personne réservée, pensive. Elle était donc vulnérable et cette histoire risquait de finir en traumatisme si il était trop brutal, traumatisme qui pourrait créer un ressentiment parmi les proches, et donc pour Mixibnorh, un danger.

  Il put la détailler lorsqu'elle passa à quelques centimètres d'elle. Grâce à l'angle privilégié que lui offrait sa position accroupie, il put voir la culotte de la demoiselle. Ceci émut hautement l'hôte de Mixibnorh, il était même sur le point de lui sauter dessus, mais Mixibnorh et l'esprit intermédiaire l'en empêchèrent aisément. Il était encore un peu tôt pour la lui laisser.

 La créature nota que la culotte ne correspondait pas au reste de l'uniforme, qui était pourtant un ensemble homogène. il comprit ainsi qu'il s'agissait d'un objet extérieur à ses goûts propre, qui était obligatoire d'une manière ou d'une autre. Il conclut que la petite longueur de la jupe plissée n'était pas une coquetterie. Il remarqua en revanche que le tissu de la culotte était fin, souple et faisait ressortir les reliefs qu'ils devaient cacher, en plus de quoi elle devait être facile à enlever. À partir de cette observation, l'esprit intermédiaire échafauda une théorie qu'il fallait vérifier rapidement.

  Mixibnorh la laissa dépasser un peu le fourré où il se dissimulait, puis il surgit. Sans laisser à la demoiselle le temps de se retourner, il l'agrippa aux épaules, la souleva légèrement pour qu'elle n'ait pas de contact avec le sol, la plaqua contre lui, s'assurant que ses fesses rebondies sentent la bosse de son entrejambe. Il amorça un petit mouvement du bassin d'avant en arrière, frottant son sexe sur   l'intimité de la jeune femme, en observant les réactions de Satsumy d'un œil curieux.

 Puis il la posa, serra les jambes légèrement avec celles de sa captive entre-deux, la verge calée entre les cuisses de l'innocente, lâcha Satsumy de sa main droite pour faire courir celle-ci sur son coté,  puis il l'embrassa sur sa nuque. La main libre glissait soigneusement, partant de du bas du dos, remontant sous la chemise, du bout des doigts, les omoplates avant de finalement de se mouler sur le sein de sa victime sans la presser.

Satsumy continuait à chantonner et à marcher doucement, tout en ne prenant pas vraiment attention à ce qui se passait autour d'elle, car se regard se promenait dans les hauteurs, regardant les feuillages des arbres parsemant les côtés du sentier qu'elle empreintait.
C'est ainsi qu'elle passa juste à côté de Mixibnorh sans s'en rendre compte, et sans se rendre compte qu'avec ce chemin désert et la nuit tombante, elle était une proie extrêmement facile à prendre.

Elle entendit soudainement un bruissement dans un des fourrés qu'elle venait juste de dépasser en marchant, un bruit suffisament fort pour que cela la fasse sursauter de surprise, car on aurait dit quelque chose de suffisament gros qui venait tout juste d'en bondir, et elle avait la désagréable sensation que quelque chose ou quelqu'un se trouvait derrière elle.
Bien avant qu'elle n'aie même le temps d'amorcer de se retourner, elle sentit une paire de mains masculine la saisir au niveau des épaules, sous ses aiselles, et la soulever comme une poupée de chiffon.

-Hey ! Mais que...

Un peu trop naïve pour se douter sur le coup qu'elle avait à nouveau affaire à un violeur, cette réalité se fit toutefois rapidement une place dans son esprit lorsqu'elle sentit que l'homme qui la soulevait la palquait contre lui. Surtout, ses fesses se trouvaient plaquées contre l'entrejambe de cet homme, qui commença à bouger son bassin de façon à frotter son sexe contre la culotte blanche que portait Satsumy. Elle commença donc à se débattre.

-Non ! Lâchez moi !

Se débattre n'eu toutefois pas beaucoup d'effet, car la jeune femme était loin de disposer d'une force physique suffisante, le seule effet que cela eu vraiment fut de remuer d'avantage son corps contre celui de Mixibnorh. Celui-ci la posa au bout d'un court moment, mais ne la lâcha pas pour autant. Il portait un long pantalon en toile assez ample, ce qui laissait l'opportunité à son sexe dressé de se glisser entre les cuisses de Satsumy.
Par ailleurs, tout en continuant à maintenir la jeune femme contre lui d'une main, il glissa son autre main sous sa chemise, caressant sa peau jusqu'à arriver à hauteur d'un de ses seins, ce qui ne laissait aucun doute quand aux intentions de cet homme.
C'est par ailleurs à ce moment que la légère aura magique de Satsumy, que Mixibnorh avait pu sentir, commença à prendre de l'ampleur. Cela n'était nullement dangereux pour lui toutefois, tout juste cela allait augmenter de façon considérable sa libido.

-Arrêtez ! Lai...laissez moi partir !

-Hey ! Mais que...

  Sa voix trahissait de la surprise. Logique, évident même. Pas de quoi réfléchir dans cette réaction qu'il avait souvent saisie les autres fois. Là où il fallait noter quelque chose, c'était la réaction qu'elle eut lorsqu'il fit ce contact indirect entre leurs intimités. Elle avait réagit comme à une décharge électrique, ne réalisant que tardivement ce qu'un homme pouvait lui vouloir en l'abordant de cette manière. Pourtant la réaction demeurait violente. Un précédant malheureux?  Se serait-il trompé pour la première fois de sa vie dans la marche à suivre?

-Non ! Lâchez moi ! cria-t-elle, avec un accent de désespoir qui semblait confirmer ses craintes. Pourtant, il y avait un élément discordant dans ce tableau. En effet, si elle se débattait, elle le faisait d'une manière particulière. Probablement sans même en avoir conscience, elle se balançait d'elle-même d'avant en arrière, accentuant de fait la stimulation contre laquelle elle semblait lutter.

Lorsqu'il eut remonté la mains jusqu'au sein de Satsumy, il se concentra pour sentir à travers le soutien-gorge si le tétons de celui-ci s'était durci. Il plongea alors la main vers la culotte pour vérifier toute humidité éventuelle de celle-ci. l'aura magique se manifesta à ce moment-là.

 Dans son malheur, Satsumy avait un peu de chance. si Mixibnorh avait été une création volontaire d'Aphrodite ou une créature de la terre, la réaction de celle-ci aurait été si violente que Satsumy n'aurait certainement pas survécut à la nuit qui venait. Heureusement, Mixibnorh et l'esprit intermédiaire n'étaient pas aussi sensibles à cette malédiction.

  Cependant, Yukikiyo, lui, en sentait pleinement les effets (allez, prends-la!), et pressa de toute sa volonté pour y satisfaire. La chose fut si soudaine qu'il put arracher la culotte avant que tout contrôle soit repris par ses deux autres esprits. Même après que le contrôle relatif fut retrouvé par eux, il commença à caresser les lèvres du bout de l'index, action prématurée, mais minimum en dessous duquel on ne put le restreindre.
 
-Arrêtez ! Lai...laissez moi partir !

Mixibnorh, bien qu'occupé avec son hôte turbulent, nota l'hésitation qui sonnait curieusement. Le ton semblait déjà moins suppliant, et l'hésitation avait ponctué le moment où le doigt avait atteint la zone sensible.(tu vois, elle n'attend que ça! Prends-la vraiment!) il décida donc de poursuivre son travail (JE T'AI DIS DE TE LA FARCIR, TU VA LA LASSER AVEC  TES MANIÈRES ! ELLE VEUT QUE TU LA REMPLISSE DE TON PHALLUS!) mais Yukikyo, mut par un pouvoir trop puissant pour se contrôler, plaqua la main droite sur le bassin de la jeunette, arracha tous les boutons de la chemise de la main gauche, puis retira son soutien-gorge d'un coup sec. Enfin il plaqua ses mains sur les seins, appuyant joyeusement dessus.

Satsumy n'aurait jamais du traîner aussi longtemps dans le parc, et en conséquence elle venait de tomber sur une personne qui avait tout l'air d'un détraqué sexuel. Elle avait beau tenter de se débattre, cet homme avait une force tout à fait capable de la maintenir contre son gré, et il commençait à être vraiment très insistant et direct dans ses caresses forcées. Autre problème, il n'y avait à cette heure probablement plus personnes dans cette zone éloignée du parc, aussi n'y aurait-il personne pour se porter au secours de la jeune lycéenne, qui était seule avec son agresseur.

Ce dernier glissa sa main au niveau de la culotte de Satsumy, qui poussa un cri en sentant cette main au niveau de son intimité. Elle se débatait autant qu'elle le pouvait tout en essayant de fermer ses cuisses, mais diable, il avait une force sur-humaine !

-Mais lâchez moi ! AU SECOURS !

C'était peine perdue, car il n'y eu aucune réponse à cet appel à l'aide. Au même moment, l'homme arracha d'un seul coup la petite culotte blanche que portait Satsumy, lui arrachant un nouveau cri de détresse, puis il glissa à nouveau sa main entre ses cuisses qu'elle fermait pourtant. L'index se son agresseur se mit à la caresser, détaillant le contour de ses lèvres intimes, ce qui lui envoya des ondes de plaisir involontaires au travers de son corps.
Puis l'homme lui arracha sa chemise ainsiq ue son soutien-gorge, laissant la plus grande partie de ses vêtements à l'état de lambeaux. Satsumy ne portait alors plus que sa jupe, ses longues chaussettes blanches et ses souliers, autant dire pas grand chose. Si Satsumy continuait à essayer de se libérer en se débattant fortement, son corps la trahissait malheureusement une nouvelle fois sous les caresses forcées de son agresseur. Elle commençait doucement à mouiller, et ses seins se durcissaient petit à petit, signe évident d'une excitation sexuelle qu'elle n'avouait pas.

Mixibnorh commença à s'inquiéter de la réaction de Yukikiyo lorsque celui-ci avait dépassé ses conseils en arrachant la majorité des vêtements de la belle. Il était incapable de comprendre ce qui lui était arrivé, son esprit étant trop simple pour saisir les concepts les plus simples de la chimie humaine, et les réclamations de son hôte lui semblaient une simple passion, comme il aurait pu aimer collectionner les feuilles, ou monter des maquettes. Il ne comprenait pas les pulsions qui entouraient ces actes.

 plus inquiétant encore, la demoiselle  semblait détester la situation (Mais non, Mais non, elle se le cache, mais la petite garce adore se prendre un homme. D'ailleurs tu dois être sauvage avec elle, sinon elle ne sent plus rien). Il n'avait pas sentit la pointe du sein se durcir, et son intimité semblait encore sèche. Si elle ne s'excitait pas plus vite, il faudrait la relâcher. Pas de problème en temps normal, l'hôte aurait simplement maugréé, mais là, il devenait complètement imprévisible, et assez énergique pour la violenter davantage.

(TU PEUX FAIRE MIEUX QUE CA, NON? TU TE COMPORTE COMME UN PUCEAU,LÀ! DE L'ACTION!)

 Dans ces considérations  déjà alarmantes, Yukikiyo avait prit une décision qui dépassait encore les deux autres volontés qui l'habitaient. En quelques gestes, il parvint à retirer son pantalon sans lâcher la jeunette, et Mixibnorh ne put que le stopper qu'au moment où il allait pleinement la pénétrer. Les deux sexes étaient néanmoins en contact, le pénis longeant le sexe de sa partenaire. Mixibnorh sentit alors quelque chose qu'il n'espérait plus: la cyprine inondait doucement le sexe de Yukikiyo. BOUGE-TOI ! TU VOIS BIEN QU'ELLE NATTEND QUE TON PENIS, QU'ELLE VEUT LE SENTIR JUSQU'AU FOND D'ELLE-MÊME, JUSQU'À LA DOULEUR! Il eut alors une intuition.

La prenant par les poignets, il la retourna face à lui, prenant soin de récupérer ses pieds et de les retenir derrière les genoux. ainsi positionnée, son vagin était à quelques millimètres du corps érigé. Maitrisant l'hôte, il laissait le choix à la demoiselle, tout ce qu'elle aurait à faire pour continuer était  qu'elle amorce un simple simple coup de rein. Ainsi elle serait pénétrée, prouvant son envie, et il aurait toute la caution qu'il lui fallait.  torture psychologique? Ça, ca me plait!

  Il lui fit un sourire d'invitation.

La pauvre jeune fille n'avait décidément pas de chance, encore que le terme de mauvais karma soit bien plus approprié en la situation présente. Tout ce qui lui restait de vêtements étaient sa mini jupe, ses chaussettes ainsi que ses petits souliers, le reste était étalé un peu partout autour d'elle, jonchant le sol et en lambeaux. Rentrer chez elle serait une vraie épreuve dans pareille tenue, mais pour le moment, ce n'était pas son problème le plus urgent.
Son agresseur refusait toujours de lâcher prise, la jeune fille se débattait pourtant assez fortement, mais il avait une telle poigne qu'il la maintenait très aisément. Satsumy sentit un frisson de panique la parcourir quand elle se rendit compte que l'homme avait retiré son pantalon, et frottait son membre dressé contre son intimité qui était bien malheureusement mouillée. Son corps la trahissait une nouvelle fois, elle n'avait as envie de se faire violenter à nouveau, mais une partie d'elle même dans son inconscient ne désirait que ça, le hic, c'était qu'elle refusait de l'admettre. On efface pas aussi facilement toute une vie d'éducation prônant la chasteté avec un simple coup de rein au bon endroit.

Elle se trouva par la suite retournée, faisant face à son agresseur. D'un point de vue tout à fait objectif il était beau, et musclé, le genre de mec dont pas mal de lycéenne pourrait rêver d'avoir comme petit ami. Seulement au vu de la situation, Satsumy n'avait bien entendu pas la même approche.
En temps normal, le coup de bassin censé l'empaler sur le membre de Mixiborh ne serait jamais venu, elle en aurait profitée pour se détacher de son agresseur et tenter de lui échapper. Par contre, ça ne se passe pas comme ça quand on a une malédiction divine sur soi, absolument pas comme ça.
Poussée par une force inconnue, et qui n'émanait nullement de sa volonté propre, le corps de Satsumy fit ce mouvement que Mixibnorh attendait. Satsumy fut si surprise qu'elle ouvrit grand la bouche sans toutefois laisser échapper le moindre son, les yeux grands ouverts alors que le sexe de l'homme s'enfonçait dans son vagin qui était chaud et humide à souhait.

De son côté Mixibnorh ne pouvait pas vraiment deviner ce qui se produisait, mais il avait ce qu'il attendait, et les ondes aphrodisiaques qui émannaient du corps de Satsumy se faisaient de plus en plus importantes.

Elle avait fait son choix: elle ne regrettera pas la nuit qu'elle venait d'accepter.
après l'avoir sentit  partir en avant sur son sexe, il la plaqua contre un arbre, la retenant d'une mains tandis que l'autre parcourais son corps.

 Même si il n'avait pas réalisé qu'il avait été trompé, il comprit aux hurlements de la jeune femme qu'il n'y avait qu'une partie d'elle-même qui acceptait. il amorça un mouvement d'avant en arrière, pénétrant l'antre intime de Satsumy aussi tendrement qu'il le pût. il passait la main sur son coté, le plus calmement possible.  son impatience grandissait et pourtant il se disait qu'il n’avançait pas dans son idée de lui faire accepter le sort auquel elle avait inconsciemment consenti. il prit une décision qui satisferait Yukikiyo et violenterait moins la jeune femme.

il se mis genoux devant elle, prenant soin garder ses poings dans les mains, puis plaqua ses bras sur les cuisses de la jeune femme, et entrepris le grand nettoyage de cyprine, la tête sous sa jupe plissée, avant de mordre doucement cet organe sensible qu'il avait devant lui. jugeant à ses réactions Satsumy aimait clairement  sans le savoir le rôle de victime et en ce sens elle allait être comblée.

il se releva, montant la langue jusqu’à sa bouche qu'il força dans un baiser sauvage. il luttait mieux les ondes en contournant le cours. il ne la violentait pas réellement, mais s'assurait qu'il en aurait pour son argent.

 il la retourna sans prévenir face à l'arbre. il tenait à avoir les superbes fesses de Satsumy sur ses reins pour en reconstituer la parfaite rondeur. ayant les deux mains libres, il agrippa les seins pour la tirer en arrière. il commença à pénétrer, plus fort cette fois que la précédente, plaquant son corps contre celui de Satsumy pour le lui faire sentir. il aurait préféré qu'elle succombe pour pouvoir la prendre à quatre pattes.