Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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on te l'avait dit, petit chaperon rouge, de ne pas aller dans les bois!

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Amy

Humain(e)

Amy était avait toujours été une petite fille très sage et bien élevée. Bien entendu, ses parents prétendaient le contraire pour mieux la rabaisser, mais Amy n'était pas le genre de fille à enfreindre les lois, ni à fourrer son nez là où ça ne la regardait pas.
Aussi, en cette soirée d'automne, quand elle se retrouva seule, à la rue, parce qu'elle avait eu la naïveté de croire à cette petite annonce proposant la location d'une chambre d'étudiant et s'était retrouvée face à une personne mal intentionnée, Amy tergiversa un bon moment avant d'oser pousser la porte de cette vieille bicoque abandonnée au fond du bois.

Elle avait marché toute la soirée, sans but, en pleurnichant sur sa déconvenue. Elle ne pouvait pas retourner demander une chambre à l'internat, il était trop tard pour ça, et elle ne pouvait pas non plus se résoudre à frapper à la porte de son oncle parce qu'elle avait trop peur des conséquences. Pour autant, elle ne savait absolument pas quoi faire.
Ses pas l'avaient amené dans le parc qu'elle avait traversé. Elle n'envisageait pas de passer la nuit sur un banc - quelle horreur! - Mais à l'abri d'un buisson, ou personne ne la verrai, pourquoi pas?

Alors elle avait cheminé le long des sentiers, cherchant un coin tranquille, isolé, pourquoi pas un abri de fortune... Et elle était tombée sur cette vieille maison abandonnée. Rien ne l'autorisait à y entrer. Et si quelqu'un y vivait? Peu probable vu l'état des lieux. Mais si elle appartenait à quelqu'un quand même? C'était mal!
Oui mais voilà, passer la nuit toute seule dans la forêt l'effrayait de plus en plus à mesure que la nuit tombait, alors qu'à l'abri dans ces murs, elle pouvait espérer trouver le sommeil et ne rien rencontrer de fâcheux...

Elle finit par pousser la porte, qui s'ouvrit dans un grincement sinistre. Un carré de faible lumière dispensée par les derniers rayons du soleil couchant s'étala sur un parquet recouvert de poussière, qui étouffa ses pas quand elle entra.

"Il... Il y a quelqu'un?" Demanda Amy dans la pénombre.

conrad hell

E.S.P.er

aucune réponse ne se fit entendre à la question d’Amy, sa voix résonna doucement et se perdit dans les méandres des couloirs de la sinistre demeure mais hélas, si personne ne répondit cela ne signifia pas pour autant que personne n’avait entendu; au coeur de cet endroit, profondément enfouie sous la cave Conrad entendit la voix de cette jeune femme.

Il reposait dans son antre de chair; lieu dissimulé à la vue de tous, endroit de folie et d’horreur; il reposait et dormait sous terre mais la voix de cette humaine lui fit reprendre conscience. tandis que la jeune femme avançait doucement dans la maison, lui sortait lentement de son sommeil; une fois parfaitement reveillé et conscient de la présence d’un être dans la demeure il creusa pour émerger du sol où etait enterré sa cachette.

Se redressant, nu dans la cave, ses bras et jambes etaient longs et courbés comme le seraient les membres d’un animal, leurs extremités se terminant par de longues griffes d’os; sa machoire etait ouverte d’une façon impossible et ignoble, garnie de nombreux crocs à tel point qu’ainsi dans la pénombre on ne voyait de son visage que cette gigantesque machoire.

Peu importe qui pénétrait en ces lieux c’etait un intru qui approchait de son sanctuaire.
Il resta silencieux et immobile tandis qu’Amy semblait explorer la demeure, prenant le temps de la localiser avec precision. Faisant preuve d’une grande souplesse et de discretion il emprunta la gallerie creusée dans les murs et commença à grimper pour rejoindre celle qui etait entrée chez lui.

Il avait transformé l’endroit en un reseau de galleries et de trous dissimulés dans les placards, les armoires et les meubles de la maison de manière pouvoir jaillir de n’importe quel endroit et de disparaitre tout aussi facilement. Cette demeure etait un terrain de chasse dont on ne pouvait sortir que si son propriétaire le voulait bien; et justement les yeux de Conrad se posèrent sur Amy tandis que celle ci franchissait le seuil du salon, dissimulé dans le mur en face d’elle, l’observant depuis un trou dans la peinture accrochée au mur

Amy

Humain(e)

Personne ne répondit à son appel. Amy se sentit un peu rassurée, mais pas tout à fait. Elle se sentait mal à l'aise de violer un lieu qui ne lui appartenait pas, même si les circonstances l'y obligeaient...
Précautionneusement, à la manière d'une petite souris, Amy traversa l'entrée, ses pas soulevant de petits nuages de poussière qui venaient danser dans les rayons venant de la porte restée ouverte.
Peu à peu, ses yeux s'accoutumaient la pénombre. Dehors, le vent faisait bruisser les feuilles des arbres, et à l'étage, un claquement régulier semblait provenir d'un volet mal fermé ou d'une branche frappant un carreau.
Elle traversa un couloir, entra dans la cuisine dont elle testa le robinet d'eau qui ne fonctionnait pas, preuve supplémentaire que la maison était sans occupant. En quittant la pièce, elle butta dans une vieille chaise qui se fracassa au sol et se disloqua tant son bois était rongé par les vers. Amy poussa un cri, ce qui lui fit avaler une grande goulée d'air chargée de poussière et de particules de bois. Elle se mit alors à tousser, et quitta la cuisine courbée en deux, secouée par une violente quînte de toux. Elle fit ainsi quelques pas, et, quand elle se redressa, la main posée sur le chambranle d'une porte, elle remarqua qu'elle avait atteint le salon.

De vieux fauteuils faisaient face à une cheminée.

*Je pourrai dormir ici et peut être même allumer un feu dans l'âtre* se dit Amy. Et elle s'approcha de la cheminée devant laquelle elle s'accroupit, petite silhouette chétive, à peine plus grande qu'un animal, cherchant au milieu des cendres des vestiges de buches, peut être des brindilles, pour allumer un feu.
Elle fit un tas de ce qu'elle avait trouvé comme combustible, et gratta une allumette pour l'embraser. Une flamme modeste se leva, éclairant faiblement la pièce et y dessinant des ombres démesurées et inquiétantes.

Elle resta ainsi quelques instant à contempler son petit feu et s'apprêta à chercher quelque chose de plus gros à faire brûler.

conrad hell

E.S.P.er

Conrad prit le temps d’observer l’inconnue qui avait pénetrée chez lui, au travers des fissures et des trous dans les murs et les plafonds; détaillant les actes et les réactions de cette humaine qui se révela n’être qu’une jeune femme perdue à la recherche d’un abri. Elle devait être desesperée pour être entrer ici, il avait choisi cette maison en particulier pour sa disposition isolée et le malaise qu’elle eveillait dans les gens.

La jeune femme fit mine de vouloir se faire un feu, il l’observa avec amusement tandis qu’elle se mit à fouiller la maison en quête de bois; il lui apporta son aide en déplaçant quelques tas de bois utiles pour elle sans être vu. Finalement, après plusieurs essais elle réussit à allumer un debut de feu et s’asseya pour en se rechauffer un moment; il en profita pour sortir de sa cachette, s’immisçant hors d’un trou tel un sinistre serpent.

il se redressa lentement, devoilant une ombre grossissante des plus lugubre à la lueur des flammes. Il se glissa vers elle tandis qu’elle se réchauffait, ecartant ses bras prêt à l’attraper, ses griffes s’entrechoquèrent dans des cliquetis.

« petit papillon entré dans ma maison, dis moi donc quel est ton nom ?»

sa voix résonna dans la demeure, glutural et cacophonique, comme si plusieurs personnes parlaient d’une même voix difforme. Ainsi dressé dans la pénombre il avait tout d’une vision de cauchemars, seuls ses crocs et se griffes etaient visibles à la lueur du eu de cheminée

Amy

Humain(e)

Une voix s'éleva dans la pénombre. Une voix rauque et effrayante, qui semblait résonner dans les airs. Amy se sentit glacée de terreur et se retourna précipitamment pour regarder autour d'elle.

Dans la lueur du petit feu, elle vit simultanément plusieurs choses qui semblaient si improbable qu'elle resta tétanisée sur place, se demandant si elle n'était pas entrain de faire un cauchemar, ou d'avoir une vision... ou peut être quelqu'un lui faisait-il une farce?
Des crocs et des griffes gigantesques, sinistres, luisant dans la pénombre.
Elle n'attendit pas d'en savoir plus et poussa un véritablement hurlement de terreur en s'enfuyant de la pièce à toutes jambes.
Elle était trop paniquée pour se souvenir de l'agencement des pièces et de la direction à prendre pour sortir de la maison, et repassa par la cuisine dans laquelle elle s'était trouvée quelques minutes avant.
Elle trébucha sur la chaise qu'elle avait fait tomber auparavant et s'étala le nez dans la poussière. Battant des mains et des jambes comme une proie dans un collet, Amy chercha à se relever en criant de plus belle.

conrad hell

E.S.P.er

La reaction qu’eut la jeune femme à sa vision resonna en lui et le plongea dans l’euphorie; il pouvait sentir pleinement la terreur et l’horreur qui la figeait sur place et c’était comme une drogue pour lui. Il profitait du moment, avançant lentement et prenant son temps; Amy prit finalement ses jambes à son cou, traversant les pièces de la maison à toute vitesse et hurlant à pleins poumons.

Il ne quitta pas sa proie des yeux, s’élançant dans les couloirs tel un predateur agile et affamé et rapidement la jeune femme totalement paniquée s’ecroula au sol, se prenant les pieds dans une chaise. Amy se releva mais ne put s’enfuir d’avantage, Conrad lui attrapa la cheville et la souleva du sol comme si la jeune fille ne pesait rien; la suspendant tête en bas si haut que son visage arriva à hauteur de celui d’Amy, lui permettant de plonger ses yeux ingurgités de sang dans les siens avec un air de bête en furie.

La peur de la jeune femme sentait si bon à cette distance qu’il ne put s’empêcher de presser son visage contre son corps, respirant son odeur, goutant sa peau de sa langue inhumainement longue de son cou jusqu’entre ses jambes. Dominé par ses instincts et ennivrés par les pheromones tout ce qui comptait pour lui etait de satisfaire ses besoins et le premier de ses besoins etait la curiosité

« tu n’as pas répondu à ma question petit papillon, que fais tu donc dans ma maison »

Amy

Humain(e)

Alors qu'elle tentait désespérément de se relever en se débattant dans un nuage de poussière et de fragments de bois moisi, Amy sentit ses entrailles se glacer de terreur quand une main se referma sur sa cheville et la souleva du sol.
Sa petite jupe plissée répondant aux lois de la gravité dévoila sa petite culotte de coton, pendouillant jusqu'à la lisière de sa poitrine. Amy essaya de se débattre et de se dégager mais sa maigre force n'avait aucune comparaison avec celle de son agresseur et elle s'agitait inutilement.

Elle sentit et vit alors le visage de la créature se pressé contre elle, humant bruyamment son odeur, et sa langue, comble de l'horreur, difforme appendice, se déploya sans fin, imposant son contact humide et répugnant sur la peau de son cou, jusqu'à son entrejambe, ce qui fit hurler la gamine.

Après quoi, il répéta la question qu'il lui avait posé précédemment.

Amy crut qu'elle serait incapable de répondre, il lui fallut d'ailleurs s'y prendre à plusieurs reprises pour parvenir à sortir un son de sa gorge nouée par la peur :

"Je... je me suis perdue... je ne savais pas... s'il vous plait, je vous en prie... laissez moi partir!"

Ces paroles s'accompagnèrent de hoquets et de sanglots désespérés...

conrad hell

E.S.P.er

C’est avec un certain amusement que Conrad observait la jeune femme hurler et se debattre inutilement, ressentant sa peur devenir panique tandis qu’il parcourait cette peau jeune et douce de sa langue; passer sous ses vêtements ne fut en rien difficile vu la manière dont il la tenait, lui saisissant les deux jambes de ses mains sa langue se fraya aisèment un chemin sous le mince bout de coton et vint se frotter contre l’intimité d’Amy, laissant une large trainée de salive ce faisant.

Il humecta et goûta autant sa fente que son petit trou, lui dechirant sa culotte au passage pour pouvoir mieux en profiter;  la pauvre fille ne pouvait rien faire pour se degager, suspendue tête en bas à hauteur de son entrejambe elle ne pouvait pas rater son membre en train de grossir, celui ci remuait comme si il etait vivant, fretillant tel un serpent en se rapprochant de son visage

« l’araignée ne laisse jamais partir le papillon qui s’est prit dans sa toile, pourquoi devrais je te laisser partir ?»

Le goût de la jeune femme lui montait à la tête, il retira sa langue d’entre ses cuisses et la relacha sans douceur, la laissant tomber au sol en lui arrachant sa jupe au passage

« je ne te laisserais pas partir avant d’avoir satisfait ma faim, reste à savoir si ce sera ma faim de chair ou ma faim de viande»

Il prit un petit moment pour l’observer, admirant ce petit cul qui remuait devant ses yeux tout en lui laissant une certaine liberté; libre à elle de fuir ou de vouloir parler sachant que le premier choix serait bien plus douloureux pour elle. Il s’amusait déjà en imaginant ce qu’il allait faire.


Amy

Humain(e)

Ce que vivait actuellement Amy était certainement pire que le pire de ses cauchemars. D'ailleurs si elle avait déjà fait de tels cauchemars elle se serait inquiétée...
Toujours suspendue tête en bas à la merci de ce... cet... individu, la fillette se débattait tant bien que mal mais ses coups ne portaient pas et semblaient plutôt aider son agresseur dont elle sentit bientôt la langue s'immiscer sous le tissus de sa petite culotte. Elle poussa un véritable cri de terreur quand l'appendice tiède et visqueux se glissa entre ses lèvres, poursuivant sa course jusqu'à son petit œillet qu'il pénétra au passage. Mais comment diable sa langue pouvait-elle être aussi longue?
Amy n'en était plus à se poser ce genre de questions. Habitée d'une terreur pure, elle ne réagissait plus que par l'instinct, c'est à peine si elle l'entendit lui répondre... une histoire d'araignée, de faim de chair et de viande... 
Aussi quand elle tomba brutalement au sol, ses jambes se ramassèrent, comme mues d'une vie propre, et elle tenta de s'enfuir à toutes jambes dans le dédale des pièces de cette maison croulante.
Elle n'avait plus aucune notion d'orientation et elle y voyait à peine maintenant que la nuit était tombée. Elle se cognait contre un mur, une porte, un meuble, repartait, poussait des cris d'effroi, sanglotait, courrait de plus belle... Son poursuivant semblait être partout à la fois...

conrad hell

E.S.P.er

Ainsi donc la jeune femme prefera prendre la fuite, la peur et la panique prenant le dessus sur toute autre forme de pensée ou d’idée; il l’observa se redresser et partir loin de lui avec un sourire, la suivant du regard tandis qu’elle fuyait tant bien que mal dans les ténèbres. La pauvre se cogna partout, percutant les meubles alors qu’elle errait dans la demeure desormais plongée dans le noir; Conrad s’amusa à la poursuivre, de plus en plus amusé et excité par la peur de sa proie.

Usant de ses capacités et de sa connaissance de la demeure, il s’amusa à la poursuivre et à lui faire peur; la poussant, lui faisant perdre l’equilibre, il ne cessait d’attiser la terreur de sa victime en jouant avec elle comme le ferait un chat avec une souris prise entre ses griffes, déchirant ses vêtements un peu plus à chaque contact. Lorsque le jeu commença à le lasser il se décida à attraper la jeune femme alors que celle ci venait de percuter une table basse avec son pied; son mouvement fut aussi vif que l’attaque d’un serpent, saisissant Amy par la nuque avant de lui plaquer le visage sur le sol, le choc amortit uniquement par la moquette

« ça suffit petit papillon, le jeu est finit»

Ce qui semblait être des tentacules s’enroulèrent autour de ses jambes et de son bassin, maintenant son corps au sol avec force

« et j’ai particulièrement faim»

Amy

Humain(e)

La tête lui tournait à force de tourner en rond, de se cogner et de se relever comme le papillon affolé que son agresseur avait décrit en elle.
Ce fut presque un soualgement pour elle que de se retrouver plaquée au sol. Après l'échec de sa tentative de fuite, vînt la résignation. Elle se laissa tomber avec un sanglot et se tînt immobile et tremblante, tandis que deux membres de chair non identifiables s'enroulaient autour de ses jambes jusqu'à sa taille. Tout mouvement aurait été maintenant inutile, et dans le soudain silence qui suivit la déclaration de la créature, on entendait que les reniflements et sanglots impuissants de la fillette. Et au fond de ces sanglots, un mot à peine ébauché, qui revenait dans la saccade de sa respiration "pitié... pitié... pitié..."

conrad hell

E.S.P.er

« pitié...»

Conrad relacha sa prise  et se redressa, observant avec une excitation perverse la jeune femme tremblotante et immobile; celle ci etait litteralement dévorée par la peur et cette peur ne cessait de rendre Conrad encore plus excité et bestial.

« je ne comprend pas ce mot petite fille»

Les tentacules s’enroulèrent fermement autour de la taille d’Amy et il la traina sur le sol et l’emmena jusqu’a un de ses passages; il déplaça le meuble, révélant un trou béant dans le mur et y entraina sa victime. Il la jeta à travers le trou, Amy fit une chute d’un mètre mais le choc fut amorti par le sol constitué de terre boueuse; dans le noir total la pauvre fille ne se doutait pas de qui l’entourait. Elle pataugeait desormais au milieu d’ossements et d’organes, entourée par des cadavres collés aux murs et de restes humains gisants dans la boue.

Conrad arriva jusqu’a elle sans un un bruit

« d’autres avant toi ont aussi dit ce mot...aucun n’a su expliquer ce que c’etait»

Il tournait autour d’elle sans faire de bruit, sa présence devenant oppressante alors qu’il frolait la peau de la jeune fille de ses appendices tentaculaires avec pour unique but de l’effrayer encore et encore; tout comme un drogué  cherchant à avoir une plus grosse dose, il pouvait craquer et la ravager à tout moment

Amy

Humain(e)

Amy fut entrainée, trainée au sol par les tentacules de la créature. Tout ceci était si horrible, si irréel, alors que ses sensations la ramenaient brutalement à la réalité, qu'elle se trouvait totalement confuse et désorientée, presque dans un état d'hébétude.
Son regard inexpressif enregistrait les mouvements du sol sous son visage, là un couloir, ici une porte. Un raclement sur le sol, un meuble qu'on pousse, une ouverture grisâtre et la faible lumière qui s'éloigne, qui s'éloigne, alors qu'elle bascule dans un trou. Le temps parut un instant suspendu. La sensation de chute la projeta une seconde dans l'univers du rêve, de ceux où la chute vous ramène à la surface du réel. Un instant seulement elle eut l'espoir de se réveiller. Sa cheville ploya douloureusement sous elle. Son corps s'écrasa sur une surface molle, mouvante. Un contact froid et visqueux partout autour d'elle, la panique, est-ce de la boue ou du sang? Des objets durs comme des pierres, mais plus légers, un peu partout autour d'elle, qui s'entrechoquent.
Toutes les incohérences de cet environnement et les questions qu'elles soulevaient, obligeaient Amy à rester en conctact avec la réalité, elle qui aurai préféré à nouveau fuir dans cet état d'hébétude passive qu'elle avait ressenti auparavant.
Et puis la voix de la créature, toute proche d'elle. Il ne comprenait pas ce mot. Quel mot? Et tout à coup Amy s'aperçut qu'elle continuait d'expirer "pitié" à chacune de ses respirations. Elle cessa aussitôt qu'elle en prit conscience.
Non, bien sûr qu'il ne savait pas ce qu'était la pitié!

Sa voix lui avait permis de le localiser, mais des frôlements à peine audibles lui indiquaient qu'il bougeait. Chaque fois qu'elle pensait savoir où il était, elle entendait le son se déplacer, et des contacts furtifs la faisaient sursauter comme un animal en cage.
La pression montait en elle, elle ne contrôlait plus sa panique. A bout de nerfs, elle poussa un hurlement, se jeta droit devant elle, mains en avant pour amortir le moindre contact, et chercha à s'enfuir à l'aveuglette dans le noir. Quelque chose la fit tomber dans la boue, elle se releva, repartir, rechuta à nouveau, et fondit en larmes.

conrad hell

E.S.P.er

Apparement la jeune femme ne supportait pas ce qui arrivait, il pouvait sentir ses émotions en contradiction, ses sens en ébullition mais il pouvait surtout sentir la peur et la panique prendre le dessus sur tout autre chose. Visiblement à bout de nerfs, elle poussa un hurlement et se jeta droit devant elle à la recherche d’une sortie comme tant d’autres avant elle; Il avait espéré un peu mieux d’elle et fut sensiblement déçu par ce comportement si faible et si humain.

Elle trébucha sur une jambe en décomposition et s’écroula au sol, elle se releva bien vite et continua sa folle course; elle pleurait et gémissait, terrorisée et finalement Conrad en eut assez. Il patienta quelques instants et profita d’une nouvelle chute de la part d’Amy pour intervenir, la plaquant au sol en appuyant sur son dos d’une main tout en arrchant ce qui pouvait lui rester de vêtements.

Elle pataugeait nue dans la boue et le sang, au milieux d’ossements et de restes humains; elle ne pouvait rien voir de l’horreur qui l’entourait mais l’odeur et le contact de sa peau avec ce qui l’entourait ne laissait que peu de place au doute, Conrad lui laissa le temps d’apprecier et de réflechir à ce qui l’entourait tandis qu’il se plaçait au dessus d’elle.

« le jeu ne fait que commencer petite, j'ai envie de m'amuser»

La jeune femme eut à peine le temps de sentir  quelque chose glisser sur ses fesses que Conrad s’enfonça dans son anus dans un profond coup de rein, son membre força le sphincter difficilement vue la taille mais la sueur, le sang et la boue aidèrent; cela prit un certain moment avant qu’il ne soit entièrement en elle mais sa prise ne faiblit pas, lui ecrasant la tête dans la boue d’une main

« petit orifice serré, je vais bien en profiter avant de te dévorer»


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