Je me lève, tout du moins j'essaie var un terrible mal de crâne attaque sans aucune douceur ma tête, c'est alors que je me rends compte que je ne suis pas dans ma chambre, je regarde autour de moi, ç ressemble à une cellule de prison, je tente de me souvenir de ce qui s'est passé.
C'est alors que les souvenirs me revinrent, j'étais dans une opération pour prouver qu'un type, je ne sais plus son nom, faisait un truc pas net, je me suis fait prendre la main dans le sac et …
- Punaise ça fait mal !!!!
Je tourne le robinet d'eau froide, je sens qu'elle est glaciale, tant mieux, sans hésiter une seule seconde je plonge ma tête dans l'eau, ce qui a au moins me mérite de faire cesser cette douleur le temps que je reconstitue ce qui s'est passé, donc je me suis fait enfermée dans, c'est flou, dans un endroit sombre et ils parlaient de vendre des humains, c'est ça, puis j'ai frappé un drôle de type en armure et il m'a bien maravé en échange. C'est pour ça que mes membres me font bigrement bien souffrir, j'ai jamais était aussi mal depuis le lycée.
-On est réveillé ma mignonne ?ça te dirais un peu de plaisir ?
C'est qui l'autre connasse qui me cause là, ferme là un peu que je réfléchisse en paix …Arrête de me toucher les fesses.
- Vu ton état tu ne pourrais pas dire non, de toute façon les jolies filles comme toi finissent par vendre leurs corps dans cette prison.
Ce fut la phrase de trop, sans le moindre remord je laisse un facette que je déteste prendre l'avantage, la femme se retrouve avec ma main sur sa gorge, serrant sans la moindre hésitation et plaquée contre un mur, malgré la douleur me tiraillant le bras et les jambes, cette prison est glauque, c'est la jungle, il va falloir que je ne laisse aucune occasion pour assoir ma supériorité, sinon je vais mal finir. Et cette migraine qui est encore là.
- ARgh … Pit … tié …
Ha c'est vrai que je serais encore cette pouffiasse, j'éclate sa tête contre le mur, non sans chanceler un peu, mon état n'était pas parfait pour combattre, il va falloir user de ruse pour s'en sortir.
Je pose ma paume sur le boitier électronique et parasite son fonctionnement pour finalement l'ouvrir, ils sont décidément trop con dans cette prison, comme s'ils allaient pouvoir m'arrêter.
C'est en parcourant la prison que je trouve enfin un endroit où il y avait un ordinateur de branché, première chose qui me choque, ce fut les touches, dans une langue que je ne connaissais pas, il va falloir que j'use encore de mon pouvoir. Je le fis marmonnant.
- Putain c'est quoi ce bordel. Je n'arrive même pas à me connecter à internet, ils sont en réseau local ou quoi ?!!!
C'est alors qu'un bruit attira mon attention, je vis une demoiselle, merde, elle va tout faire capoter cette connasse.
- Toi là, approche.
Chiche que cette conne se casse et avec mon état il était sûr qu'elle n'aurait aucun mal à se carapater.