- Attention !!!
Un sceau d'eau remplit à ras-bord finit sa course sur la tête de Megami qui se prit son contenu sur elle, imprégnant complètement le tissu sois disant peu absorbant, une arnaque que la nephilime n'avait pas prit conscience jusqu'à maintenant, les ouvriers descendirent de leurs perchoirs en amenant une serviette.
- Scusez nous mademoiselle, vous allez bien ? Si vous voulez nous avons des affaires de rechange et une poêle, bon c'est pas des tenues de femmes, mais vous attraperez pas froid.
La personne semblait être le chef du chantier et donc il semblait vouloir s'assurer que Megami aille bien et ne tombe pas malade. Elle ne fit pas assez attention aux gestes des autre ouvrier et se trouva les poignets bloqué dans son dos, un tissus sous le nez humidifié par du chloroforme, elle tenta de se débatre, mais elle n'était pas du tout taillée pour lutter contre des personnes plus fortes, physiquement parlant.
La bande déchirèrent ses fringues, histoire qu'elle ne puisse pas allez loin au cas où le chloroforme agirait moins longtemps, il est connu que des personnes soient plus ou moins résistantes aux médicaments, ce na fut pas le cas de Megami. Elle ne sentit pas la passage d'un portail, qui peut être des fois bien désagréable.
Elle eut un moment où son sommeil fut plus léger et où elle oscilla entre l'assoupissement et le réveille, entendant des brides de phrase.
- Et si ... meurt, on peut pas ... un peu en la ...
- Notre ... veut qu'elle comprenne que ... est bien souvent cruelle, si ... à mourir la commanditaire ... s'en prendre à elle même ...
La suite ne put être entendu et la nephilime tomba dans un très long sommeil.
Se fut la soif et le froid qui la réveilla, elle tenta de bouger, c'est là qu'elle comprit sa situation, elle était nu comme un ver, pieds et poing lié dans son dos, courbant se dernier en arrière, ce qui était une position peu confortable, mais aussi assez humiliante, le froid rongeait sa peau sans scrupule, passant par les trous du sac, on pouvait passer deux doigts dans ceux-ci, laissant ainsi l'opportunité au premier pervers de mater les formes de la demoiselle.
Elle commença à appeler à l'aide, ne sachant pas encore, qu'elle était au coeur d'une forêt, un endroit où personne ou presque n'ira la chercher, sans compter que personne ne la connaissait sur Terra, réduisant toute chance que quelqu'un vienne.
Elle ne fit plus de bruit au bout de six heure, la gorge complètement asséché, le froid se renforçant, laissant sur le corps de la demoiselle des endroits où la peau devenait un peu bleu sous le joug du froid, les poils de sa peau étaient hérissé pour tenter de réchauffer le corps, mais n'étant pas habitué à être sans vêtement elle avait une mauvaise résistance au froid.
c'est alors qu'elle sentit une présence, elle supplia par la pensée que cette personne ou cet animal la libère de ses entraves et l'aide. Elle était prête à tout pour survivre, elle ne voulait pas mourir, elle ne voulait pas encore rejoindre ces parents de l'autre côté.