Le réfectoire était bien calme, un calme qui ne pouvait durer bien longtemps.
- Connard rend moi mon dessert sinon je te défonce ta tronche.
- Ha ouais ?! J'attends que ça, mais t'es même pas capable de me tordre le petit doigts.
S'en suivit la formation de deux groupes, sous le regard effrayé d'élèves cherchant à partir le plus vite possible. Kiyoshi était quand à lui assit à une table et mangeais tranquillement un sorbet fraise-pistache-orange, il allait manger une petite fraise au sommet de son dessert quand une fourchette passa devant lui, il n'avait même pas eut peur, pourtant il savait qu'avec ses pouvoir bridés, il était aussi vulnérable qu'un humain classique, cela eut comme unique conséquence de lui laisser échapper un soupir.
- C'est encore à moi de régler le problème.
Le travelo se lève et fouilla le frigo pour trouver deux bouteilles d'eau où le liquide frôlait les 6°C, puis il s'approcha des deux fouteur de merde.
- Si vous régliez ça en vous lançant un défi ... Je sais, celui qui boit le plus rapidement sa bouteille d'eau.
Il eut un sourire amicale pour que la paix revienne, mais cela ne se passa pas comme prévu et fut même repoussé en arrière, il se releva en massant ses fesses endoloris et poussa u autre soupir avant de saisir la nuque des deux imbéciles.
- Vous ferriez mieux de quitter cette endroit et régler ça dehors avant que je m'énerve.
Les deux perturbateurs eurent des sueurs froide, une rumeurs avait circulé comme quoi le président du club de cosplay avait envoyé au tapis le meilleur des kendoka du lycée pour avoir déchiré un livre auquel Kiyoshi tenait particulièrement.
- Ou .. Oui je crois ...
- Que l'on ... va faire ... ça
Tout le monde quitta le réfectoire, laissant le travelo tout seul, il soupira uen nouvelle fois en se disant qu'il avait sans doute fait une bourde, mais bon au moins il aurait la paix.
Il sortie de son sac un livre nommé : Le labyrinthe des secrets. L'intrigue en elle-même n'était pas en soi intéressante, mais les personnages avait du style, sans compter le message caché que l'auteur avait voulut faire passer. De sa main libre, c'est-à-dire la droite, il saisit la cuillère pour prendre un peu de glace et l'amener à sa bouche, se délectant du goût, tout ça sans quitter la page du livre.