Dans le parking...[Privé]

Il me faisait mal, beaucoup trop mal. Tout d'abord, il me tire les cheveux, ces cheveux que j'avais passé trois heures à coiffer pour plaire à mon rendez-vous de la soirée, puis il me mord douloureusement, m'insultant sans cesse tout en me plaquant contre le pilier à m'en arracher un cri de souffrance. Il s'était ensuite enfoncé en moi sans la moindre trace de gentillesse, m'arrachant un nouveau cri, plus puissant. Il était bien trop musclé pour que je puisses arriver à le repousser une nouvelle fois et surtout bien trop en colère pour que je puisse simplement espérer à fuir sa force colossale.

Mes mains étaient maintenant sur son torse, lui opposant une force nettement inférieure à la sienne, si crispées de souffrance que mes ongles s'en enfonçaient dans sa chair, laissant perler des gouttes vermeilles de sang. Ma gorge me faisait mal à force de crier, mes yeux étaient vidés de leur éclat, parce que rien ne pouvait les faire briller, ici, la douleur éteignant toutes les lumières que je pouvais percevoir.

-Arrêtez...! Ca fait trop... mal...!

Je sentais chaque coup alors que son sexe heurtait avec violence le col de mon utérus, me faisant encore plus mal. Crispée par cette douleur, ma tête se colla à son torse alors que je me mis à le supplier d'arrêter de me faire du mal, que je n'arrivais pas à supporter, que c'était trop fort pour moi. Mais je savais que mes supplications ne l'atteindrait même pas un tout petit peu. Mêlé à mes cris de souffrance, il y avait quand même une note de plaisir à cause du frottement contre mon point G; vu la taille de son sexe, il y était lui-même un peu forcé, même si son but premier est de me faire regretter ma résistance passée, que j'essayais d'apposer à nouveau, mais le plaisir et la douleur m'empêchaient de me débattre une nouvelle fois, même si j'y mettais toute ma volonté.

Mes cuisses étaient serrées sur les hanches et les cuisses de l'imposant homme, repliées. Au milieu de mes halètements, j'arrivai à dire quelques mots, tendue de partout, suppliant encore une fois mon tortionnaire, les dents serrées par cette horrible douleur, sentant que j'allais bientôt céder, mais pas au plaisir. Les coups de reins de l'homme et les frottements sur mes parois non-lubrifiées de son énorme pénis m'arracha des larmes.

-Vous allez... me déchirer...! Pitié...!

Ses petites mains prirent appui sur la colonne de béton gris, sa peau tendre contre ce revêtement rêche et froid qui l’empêcha de vaciller au moment où ses fines gambettes ne purent en supporter davantage. Après ce qui n’avait été qu’une entrée en matière de violences physiques et verbales, celui contre qui la sensei ne parvenait plus à offrir de résistance efficace, cette brute mâle à la stature incroyable souleva sa victime et la bloqua contre un autre pilier. *Un viol !* Ses yeux noisette se forçaient à ne pas voir l’emboîtement sauvage des deux entrejambes mais elle comprit parfaitement aux traits déformés d’une douleur nouvelle de la jeune femme ce qui se déroulait. Une boule au creux de sa gorge, elle frissonnait à chaque cri, à chaque menace qui retentissait dans le parking désespérément désert mais elle ne pouvait s’empêcher de dévisager la proie du monstre dénudé. Tout aussi impuissante à faire cesser l’agression que l’adulte l’était dans ses tentatives de repousser le violeur, Aya sentit l’humidité de larmes naissantes, larmes de compassion et de honte. Puis surgit la révulsion sous la forme d’un goût désagréable dans la bouche. Elle déglutit mais la saveur persista. Blême, les lèvres privées de vitalité, elle réalisa que la cause en était cette répugnance du dos de l’homme dont les muscles puissants ondoyaient sous sa peau à chacun de ses assauts impitoyables. L’éclair d’une envie de meurtre zébra pour la première fois de sa vie les pensées innocentes de l’adolescente, le goût du sang la submergea et ce sentiment fugitif la laissa plus ébranlée encore lorsque sa soif assassine s’évanouit aussi vite qu’elle avait surgi.

Dans ses oreilles bourdonnaient la supplique que l’enseignante adressa à son tortionnaire et elle eut beau regarder une fois de plus aux alentours, personne n’approchait et pas une voiture ne circulait. L’esprit révolté, l’orpheline nota un changement pour le moins étrange dans son propre corps. Issue de son bas-ventre, une chaleur se diffusait insidieusement. Une chaleur qu’elle ne connaissait que trop bien et qui n’était qu’un symptôme de ses pulsions charnelles de plus en plus difficiles à contenir et satisfaire. Ce qu’elle prenait pour un trop-plein d’hormones, sa perversion et sa honte - secrètement dissimulées aux yeux du monde – s’éveillaient vicieusement en un instant aussi sordide. Elle devait être folle, malade. *NON !!!* Silencieusement elle hurla son désarroi contre la trahison de sa libido, totalement inconsciente de son héritage démoniaque qui ne pouvait rester sourd à l’appel du viol d’une sœur. Protester n’empêcha ni le coton de sa jolie petite culotte de s’imprégner de cyprine ni ses belles cuisses de se frotter avec envie l’une contre l’autre. Crispant son délicat minois, elle abaissa énergiquement ses paupières et couvrit ses oreilles de ses paumes. Aya pria pour ne plus voir, ne plus entendre, ne plus sentir cette chaleur qui envahissait désormais sa douce poitrine, faisant éclore ses tétons contre le précieux tissu du soutien-gorge.

-Hj-Désolé du retard-Hj-

Les suppliques d'Emilia ne l'emeuvait qu'a moitié. Il avait conscience qu'il abimait une marchandise en étant aussi violent mais sur le coup la simple envie de la passer a tabac et de la posséder était suffisante pour le faire agir ainsi. Lui qui disait que la violence était le meilleur moyen de conforter la victime, car après tout, si la victime est oppréssée, elle se place en position de détresse : Ce n'est pas ma faute, c'est la faute du méchant violeur. C'était tout ce que Don voulait éviter. Si il voulait les briser, il devait leur faire comprendre qu'elles aimaient cette situation et qu'elles ne faisaient rien pour se détacher. Ici c'était seulement lui lui et lui qui s'occupait d'Emilia. Si il avait pu avoir un peu plus de conscience pour remarquer Aya sa bonne humeur l'aurait surement tiré du lot, mais pour l'instant il était completement focalisé sur le professeur philips qu'il voulait humilier un maximum pour lui repayer ce qu'elle lui avait fait, car oui, la frapper comme un boeuf dans la poitrine, la tirer par les cheveux et la violenter n'était pas assez pour repayer la douleur qu'elle lui avait causé.

Qu'est ce qu'il était douillet au final.

Mais Don n'avait pas l'habitude de prendre des coups. C'était d'ailleurs la première fois qu'il s'en prenait un depuis enormement de temps. Peut être bien 10 ans. Les coups étaient l'appanage de son arrogance. Il avait voulu aller trop vite, il en payait les conséquences a présent. Alors qu'il commençait a reprendre un peu ses esprits il se rendit compte de la situation défavorable dans laquelle il était: il était allé droit au but et avait loupé les préliminaires. Il allait devoir rattraper ça. Il lança, avec une voix mielleuse encore emplie de rage.

"Pitié? Tu crois que j'ignore ta nature ? Bien au contraire, je sais que toi et ta race aimaient ce genre de traitements et que si j'arrêtait tu me supplierais de t'en donner plus."

Et d'ailleurs c'est ce qu'il fit, se dégageant d'elle il la laissa choir sur le sol, cassée en deux.

"Si tu veux que je continue tu dois m'appeller maître a présent. C'est compris ?"

Il m'avait laissé tomber sur le sol, à nouveau. Non, je n'aimais pas les traitements que je subissais, mais alors pas du tout, mais je ne pouvais pas le laisser prêter attention à ce qu'il l'entoure et le laisser s'en prendre à Aya. Il m'ordonna de l'appeler maître si je voulais qu'il continue, je pourrais donc l'empêcher de remarquer la présence d'Aya si je me soumettais totalement à lui. Mes cuisses étaient rougie et égratignées de partout à cause de l'asphalte, mais je ne m'en plaignis pas. À genoux devant lui, je murmurai les mots qu'il voulait entendre de ma bouche, bien que je ne me doutai qu'il provenait probablement d'un autre monde, vu son exigence.

-Mon... maître...

Dis-je avec soumission avant de m'approcher de son sexe de me mettre à le lécher du bout de la langue, puis je me mis à lui sucer les testicules pour qu'il ne puisse s'intéresser à rien d'autre que moi, évitant ainsi une mauvaise expérience à mon élève. Le goût était horrible, dégueulasse, mais je n'avais pas le choix. Mes mains caressaient la peau rude de ses cuisses intérieures pour augmenter les sensations orientées vers son sexe, le stimulant avec tendresse alors que je me chargeais de l'ingrate tâche de lui accorder le plaisir.

Heureusement, il y avait un peu de cyprine sur son membre, parce que je n'aurais jamais pu supporter ce goût. Aussi délicatement que je ne l'aurait fait pour le sexe d'un puceau ou d'une pucelle, je pris son pénis en main puis je soufflais doucement sur son méat enduit de pré-sperme. Lentement, je le portais à mes lèvres et je l'y enfonçai, prête à tout pour protéger mon élève. Un viol n'était pas une bonne manière de lui apprendre le sexe, il fallait à tout prix qu'il ne la remarque pas. D'une main, je me mis à malaxer ses couilles pour lui donner plus de sensations. J'avais maintenant une affreuse envie de vomir mes tripes, parce qu'Aya me regardait, qu'elle voyait ce que je faisais et qu'elle ne saura jamais que c'était pour elle que je m'occupais de cet écoeurant. Maintenant, j'enlace sa taille, comme si j'aimais ce que je faisais et l'homme à qui je le faisais, enfonçant à plusieurs reprises le membre énorme de mon "maître" dans ma gorge pour ensuite reculer et le lécher, l'enfoncer et enrouler ma langue autour de son pénis une nouvelle fois. Pour l'exciter davantage, je simulai des petits gémissements de plaisir.

Indifférente au tumulte de la jeunette, une gouttelette de sueur perla le long de la tempe de celle-ci, roulant  le long de la joue et faisant frissonner Aya quand elle s’immisça sur la peau rosée de son cou. Ses douces lèvres frémirent et s’entrouvrirent, exhalant un chaud soupir et impossible de les retenir, les mains cessèrent de masquer les yeux, se posant, bras croisés, sur les épaules. A quoi bon se cacher la vue ou boucher ses oreilles quand inexplicablement, elle ne visualisait que trop bien la scène, son esprit l’accablant d’images sulfureuses, se riant des barrières de chair qu’elle essayait d’imposer à sa libido qu’elle ne pouvait qualifier que de malsaine.

Là, à quelques mètres à peine, Phillips-sensei, belle et troublante en dépit ou grâce à sa nudité vulnérable et meurtrie, se tenait maintenant aux pieds du colosse qui après l’avoir sauvagement labourée se remettait à lui parler rudement et lui imposant un étrange ultimatum. Il offrait à sa victime la possibilité d’arrêter cette torture ! Les prunelles noisette s’arrondirent de surprise devant ce revirement et ignorant son intimité en feu, sa paire de seins gonflée de désir, Aya reprit naïvement espoir pour l’enseignante, ne se rendant pas compte qu’il ne s’agissait que d’une malveillance supplémentaire de la brute. La consternation figea l’adolescente alors que troublant le terrible silence, le murmure de soumission de la belle adulte résonna. Son cœur bondit, se révoltant et elle dévisagea celle qui venait de se plier au cruel ultimatum, cherchant son regard, espérant la soutenir. *Quel…Quel Monstre !* Une bouffée de chaleur la colla plus encore au pilier, une joue brûlante contre le béton tandis que fascinée elle fixait l’énorme sexe masculin vers lequel se tournait les mains et la bouche de la prof. Aya avala, gorge sèche mais langue baignant dans la salive car oui elle salivait ! *Quelle horreur !* elle salivait devant ce spectacle et pire, son corps semblait vouloir se jeter sur le pénis, l’écraser entre ses doigts et l’emboucher profondément dans sa gorge. *Que…que m’arrive-t-il ?* Sa tête tournait doucement, il régnait une température infernale à présent et la moiteur de son entrejambe, ayant atteint un point de non-retour s’étendait très avant le long de ses cuisses et imprégnait même sa rosette secrète. Totalement fascinée elle contemplait cette fellation ; la première qu’elle voyait de sa vie tout comme elle découvrait un authentique pénis.

Voyant le gland disparaître dans la bouche sensuelle de la sensei, ses doigts glissèrent sous sa veste, défaisant deux boutons de chemise et se mirent à caresser fiévreusement un mamelon. Honteuse, ayant la sensation de s’humilier et d’insulter l’enseignante en agissant ainsi, elle ne pouvait malheureusement rien contre ce besoin qui la consommait tandis qu’à quelques mètres à peine, cette vigoureuse queue si désirable était choyée par Emilia dont les formes féminines la mettaient en émoi. Curieusement elle n’avait pas remarquée cette autre queue, d’une nature bien différente, qui prenait naissance dans le dos de Phillips-sensei.

Et pour l'instant le plan d'Emilia fonctionnait a le perfection et Don quand a lui était trop occupé a déchainer sa rage pour remarquer les troubles d'Aya devant la scène. Et franchement, c'était une chance pour elle, Don n'aurait pas rechigner a ramener les deux prises a la maison. Pour le moment le marchand d'esclave triomphait avec un fin sourire sur ses lèvres et commençait a voir la succube céder sa véritable nature. Il ne se méfiait pas, si elle le mordait il rentrerais dans une rage tellement folle qu'il la battrait surement jusqu'a la tuer. Don n'aimait pas faire du mal aux femmes, mais il n'était pas habitué a la douleur non plus dans ce genre de situations, il aimait dominer, pas être dominé. Il aurait surement détecté quelque chose de louche si Emilia n'avait pas été une succube, après tout c'est dans la nature de ces créatures :quand on établit qui est le maître il n'y avait plus qu'a les laisser devenir des monstres de luxure et en profiter un maximum. Mais don ne comptait pas en rester là, pas du tout, la punition était d'ailleurs seulement sur le point de commencer...Mais pour le moment il allait briser cet égo qui serait déplacée dans un marché aux esclaves

"Tu te débrouille bien, mais je sais que tu as ça dans le sang."

Lui dit il alors qu'il la laissait faire en croisant les bras sur sa poitrine, il lança a Emilia

"Mais ne crois pas t'en tirer a si bon compte après ce que tu m'a fais, sache que tu m'obeira pour le restant de tes jours, et qu'a présent, tu es ma chose et de toi..."

Il la saisit par les cotés de la tête et s'enfonça dans sa bouche

"JE FAIS CE QUE JE VEUX !"

Et d'un seul coup il se mit a avancer a son propre rythme, lui baisant littéralement la bouche et l'empechant de reprendre son souffle pour finalement aller de plus en plus vite et la retenir contre lui alors qu'il jouissait au fond de celle ci dans un râle de libération.

Et voilà qu'il recommençait. Définitivement, il était vraiment en colère. Il m'avait prise par la tête puis s'était enfoncé dans ma bouche si profondément que je pouvais plus respirer, mais l'air n'était pas un problème pour moi. Ce qui le fut, cependant, c'est le moment où il vida son sperme dans ma gorge, ce liquide duquel je ne m'étais jamais plainte me leva le coeur alors que je m'arrachais à sa prise pour vomir mon dégoût. Le sol était couvert d'un mélange de céréales que j'avais pu manger ce matin et des fluides séminaux de cette brute sans cervelle. Une femme normale aurait eu la gorge assez élargie pour contenir un verre d'eau au grand complet sans avaler. Je toussai violemment pour chasser les résidus de mes voies respiratoires puis j'essuyai mes larmes de souffrance. Pourquoi cet homme ne se satisfaisait pas et qu'il ne partait pas par la suite? Vraiment, il m'énervait au plus haut point. Et ma seconde question était "pourquoi cette idiote d'Aya était-elle toujours là!?" alors que je m'efforçais de lui faire une porte de sortie? Est-ce qu'elle avait envie de prendre ma place, où quoi?

Je regardai cet homme, ce Don, qui me violait. Avec un soupir de désespoir, je léchai le sexe humide avant de me redresser, me coller à lui, comprimant mes seins contre son torse. Je me mis à l'embrasser dans le cou tout en me frottant contre lui, son sexe entre mes cuisses sur lequel je frottai le mien. Ma queue se mit à se frotter contre ses bourses pour lui accorder davantage de plaisir. Je me demandais vraiment comment j'allais pouvoir m'en sortir. Je ne voulais pas devenir l'esclave de qui que ce soit, moi, je voulais continuer d'enseigner à mes élèves comme à mon habitude et oublier toute cette histoire. Mes mains remontèrent le torse de cet inconnu qui se prenait pour mon maître pour aller s'arrêter sur sa puissante mâchoire, glissant ensuite dans son cou pour l'enlacer alors que je l'embrassai avec "envie" sur les lèvres, l'attirant contre un des piliers de pierre contre lequel je me blottis, prête à subir d'autres châtiments jusqu'à ce que cette abrutie d'Aya se décide enfin de bouger et de foutre le camp avant que ce monstre ne l'attrappe et lui fasse subir la même chose qu'à moi. Je me dressai sur la pointe des pieds, me hissant sur lui avec mes jambes pour lui murmurer à l'oreille les mots que tous les hommes adorent entendre.

-Oh, mon maître, prenez-moi, je vous en prie...

S'il croyait vraiment que j'allais devenir sa chose, il se foutait un doigt dans l'oeil. Dès que Endô fout le camp, je me jurai de défoncer le cul de l'esclavagiste avec ma queue. Il n'allait pas y échapper, je le détestais et le maudissais.

Mais bien sur que Don y croyait, une fois qu'il aurait fini avec elle, en bonne succube qu'elle était elle serait completement accroc et ne pourrais pas se détacher de lui, elle aurait beau essayer de retrouver un partenaire normal, il hanterais ses rêves...En tout cas c'était ce dont il était persuadé, en bon esclavagiste qu'il était. Il aurait peu de mal a regagner sa vigeur avec le travail que faisait Emilia. Il allait la dévorer et n'en laisser rien. L'esclavagiste gagnait en arrogance. Que pouvait elle faire de toute manière ?Ses pouvoirs étaient désactivés et il aurait largement de quoi la maitriser le cas échéant. L'esclavagiste allait profiter du moment présent, ne se doutant pas qu'Emilia essayait juste de protéger un de ses élèves...D'ailleurs si il avait su celà aurait pu être drôle...L'esclavagiste avait de la vigueur a revendre et il ne se privait pas pour laisser emilia prendre les devant pour le moment, bien que bientôt il allait la remettre a sa place, car après tout c'était lui le maître, ça serait dommage que la succube finisse par croire qu'il était tombé sous son charme comme tous les humains.

"Oserais tu me dire ce que j'ai a faire esclave?"

Fit il alors qu'il se dégageait de l'étreinte d'Emilia et la couchait a quatre pattes pour la prendre sans aucune douceur, son sexe étant redevenu aussi dur que du roc, car après tout c'était bien pour celà que les succubes étaients célèbres non ?Il la saisit par la queue pour appuyer ses coups de reins en elle, tirant sur celle ci pour s'enfoncer plus profondement en elle a grand coup de bassin alors qu'il la dominait. le corps de don ruisselait de sueur tout autant que celui d'Emilia et l'esclavagiste prenait un grand plaisir a aller et venir en elle, ne se génant pas pour profiter de toute la place qu'il avait, il lança d'ailleurs

"Tu pensais serieusement pouvoir échapper a ton destin ?"

Fit il alors qu'il allait et venait en elle a toute vitesse

"Tu es une succube, tu es faite pour éprouver ce genre de plaisirs, tu es déjà esclave de ton désir. Quelle folie de croire que tu pouvais t'intégrer parmi les humains, tu as surement du t'amuser avec enormement d'eux non ? Saloperie de monstre. Grâce a moi tu sera là où tu le mérite : derrière une cage a écarter les jambes."

Il était si agressif, et je souffrais de le sentir aller et venir en moi sans la moindre parcelle de gentillesse, m'envoyant rencontrer le pilier de pierre, m'assommant presque. Je sentais sa main crispée douloureusement sur ma queue, ce qui me faisait hurler de souffrance, et aucune chance que je n'éprouve le moindre plaisir avec ça. Ce qui importait à mon corps, c'était les émotions perverses des hommes qui le prenaient et des femmes qui le caressaient, alors que cet espèce de colosse sans la moindre matière grise ne me prenait qu'avec sa colère et son arrogance déplacée. Non mais me menacer de m'installer dans une cage les jambes écartées, il devait être dingue! Ca ne me dérange pas d'être nue en public, en fait, ca m'excite, mais le faire sous la contrainte, alors là, non! Je me mis donc à me débattre furieusement. Ma queue pointue alla entailler le torse de mon bourreau et je le repoussai de mes pieds avec brutalité.

Malheureusement, j'étais nue et il fallait absolument que je trouve des vêtements. Ce connard les ayant trop proche de lui pour que je les récupère, surtout que je n'aurais pas le temps, je m'empressai d'ouvrir une serrure de voiture avec mes griffes et d'entrer, malgré la souffrance que causait ses ailes à cause du siège. Je ne sais pas comment ce trou d'uc a réussit à me priver de mes capacités de déguisement, mais j'espère pour lui qu'il est résistant. Je tentai alors de démarrer la voiture par les deux fils de contact caché derrière le volant. Seulement... quelque chose venait de sauter sur le capot de la voiture, fracassant les vitres. Aussitôt, je fus expulsée de la voiture par une force inconnue et je m'affalai sur le sol, gémissant de souffrance alors qu'un "je ne sais pas du tout quoi" me sauta dessus et me maîtrisa au sol.

"A...À L'AIDE!" hurla-t-elle, maintenant qu'elle était éloignée de cette ***** d'Aya.

Don hurla sous la douleur et cria laissant Emilia s'enfuir sur le coup tandis qu'il se levait sans prendre le temps de se rhabiller et courrait après la jeune femme. Celle ci eut alors le temps de crocheter une porte et de s'engouffrer dans une voiture avant de se manger quelque chose et de s'éjecter. Ce quelque chose était le maudit pilier contre lequel il l'avait déjà fracassé sans le vouloir, elle avait réussi a se dégager, mais malheureusement en mettant le contact la voiture avait démaré d'un coup, l'envoyant contre le pilier, Don arriva jusqu'a elle tandis qu'elle appellait a l'aide et s'entrepris de récompenser Emilia comme il se devait : Par un coup de pied dans les côtes.

"Tu n'as toujours pas compris ?"

Fit l'esclavagiste avant de la saisir par les cheveux et de la tirer jusqu'a son propre véhicule, celle ci n'était surement plus en état de s'opposer a lui après avoir traversé un pare brise, elle était couverte d'ecorchure. Don la ramena alors a sa voiture et la laissa contre la jante d'une roue alors qu'il fouillait dans la boite a gants et qu'il se retournait et plaquait un mouchoir imbibé de liquide sur Emilia.

"Bonne nuit mon ange."

Lui lança t'il d'un air sarcastique alors qu'il l'observait perdre connaissance sous le Chloroforme.

Lorsqu'Emilia se reveilla elle était fermement menotée a un chevalet de torture sur le dos, toujours nue, ses griffes avaient été soigneusement limées et ses jambes écartées laissaient pendre sa queue fourchue retenue fermement sur un bord de la table.

"Rebonjour, démon. J'espère que tu as bien dormi."

Lança Don qui se trouvait a présent devant Emilia, sourriant, une hache a la main

"Je m'en serais voulu que tu rate ce moment."

Fit il alors qu'il levait la hache bien haut, prêt a l'abbatre sur la queue de la succube pour la trancher net.