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Soirée plutôt libre, enfin. [ Pv Véro ]

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Jason Hayes

Créature

Soirée plutôt libre, enfin. [ Pv Véro ]

mercredi 23 décembre 2009, 03:51:09

Et une autre nuit à placer dans les milles et unes autres.

D'une routine contraignante, la jeune créature redressa petitement son dos en venant s'asseoir dans le tas de matelas qui servaient à lui et à sa jeune sœur de lit ou se reposer. Le tout pouvait sembler un tantinet bizarre ; mais bien que ce lit soit la chose la plus poisseuse, vieille, déchirée de tout ce qui se trouvait dans la pièce ou vivaient les deux Hayes, c'était néanmoins, et de loin, la plus confortable. Ses années à se faire tâter lui aura value le confort nécessaire d'un roi. Les couvertures et les oreillers quand à elles n'étaient cependant que de vulgaires petits draps déchirés. Tout cela pour revenir sur le fait que le loup-garou se levait tranquillement, d'un air plus que marabout alors que la lune venait de sortir, laissant le soleil venir se glisser dans un orbite invisible. Tout en passant sa main sur son front en repoussant ses cheveux tombés dans son visage suite d'une nuit mouvementée, Jason glissa une œillade sur sa jeune sœur endormie à ses côtés. Un faible sourire étira ses lèvres asséchées avant qu'un faible soupire s'expira de ses lèvres à la vue de ses quelques vêtements utilisés comme oreillers et doudou.

« Bordel... » Souffla-t-il du bout des lèvres avant de se lever dans cette pièce mal éclairée, mal chauffée ou voir pas chauffée du tout, inconfortable, bordélique, et cetera... Les yeux légèrement plissés pour mieux voir dans le noir, la créature sous forme humaine marchait calmement vers un tas de linge, en extirpant un jean qu'il enfila sitôt, refermant sa boucle de ceinture par la suite.

En poussant un second soupire fatigué, le loup s'approcha d'une étagère – plus ou moins solide – en ouvrant les portes pour venir prendre divers objets nécessaires. Il ouvrit un premier sac duquel il extirpa une pilule qu'il avala aussitôt sans eau, sans rien. Le goût chimique de l'extasy ne le dérangeait aucunement, à la longue. Sauf que son besoin de boire, lui, allait sans aucun doute le déranger un brin... Boff, peu importe. En reposant le sac sur une étagère plus haute, il prit son boîtier de clopes en le glissant dans sa poche, déposant dans le fond de celle-ci son briquet par le fait même. Toujours en fouillant l'étagère, il prit un couteau qu'il vint glisser dans sa poche arrière, cette même poche qui peinait à tenir sous l'usure. Et il referma les portes en se retournant vers le lit duquel il s'approcha en se penchant par dessus Véronique pour venir déposer un baiser sur sa joue, subtilisant au passage une chemise avec laquelle elle dormait.

Une fois enfilée, il ne fit rien de plus. Sortant simplement de la maison médiocre composée de deux petites pièces. Ou plutôt d'une pièce et demie. Une moyenne dans laquelle ils dormaient, mangeaient, se détendaient et une autre qui leurs servaient à se laver et... Faire les petits besoins, disons le simplement. Jason n'aimais pas réellement laisser sa jeune soeur toute seule à cette heure tardive ; mais le boulot, c'est le boulot. Bien qu'au moins, sa jeune soeur ne soit pas difficile dans le choix de vêtements  : elle lui volaient simplement ses chandails ! Ou parfois, pour lui faire plaisir, le loup achetait un pull.

Et il prit la route, sortant du bordel en saluant au passages les personnes y vivant.
La créature se rendit donc au rendez-vous de la dame d'âge mure, exécutant ses 1001 désirs avant de revenir sans réelle fatigue, cinq heures plus tard. Ce qu'il y avait de bien, avec ses vieilles était qu'elles s'essouflaient à rien... Le triple du prix pour la moitié de l'effort ; c'était une bonne chose. Clope à la bouche, le loup comptait tout en marchant jusqu'à l'habitation ses billets, expirant quelques fois quelques bouffées. « 1300$ pour avoir baisé une vieille peau.. Mrrh... » Et il poussa la porte. Il devait être aux alentours de 10heure du soir et, en haussant un sourcil, il glissa son index sur le bouton pour ouvrir la lumière. « Véro? »

« Modifié: mercredi 23 décembre 2009, 03:59:15 par Jason Hayes »

Veronique Hayes

Invité

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Re : Soirée plutôt libre, enfin. [ Pv Véro ]

Réponse 1 mercredi 23 décembre 2009, 04:29:14

La "maison" était toute sombre. Il y avait longtemps que c'était comme ça, mais jamais Véronique n'aurait cru qu'elle aurait un jour aussi peur dans sa maison à elle. Enfin, si on peut appeler une chambre sans eau chaude, sans lumière, sans calorifère, avec une petit salle de bain et même pas d'électricité une maison, c'était bien cela. Couchée sur le lit de son frère, là où il était sensé se trouvé depuis déjà quatre heures. Sans son frère à ses côtés, comment la petite Inu était sensée dormir? Elle qui était encore toute petite à cause de ses problèmes de croissance, qui avait toujours une taille et une apparence très jeune et qui était toute seule, comment pouvait-elle dormir? Elle avait non seulement peur du noir, mais elle avait peur des fantômes qui poussaient d'horribles sons, saccadées, féminins, ainsi que des râles bizarres. Si les indices ne sont pas assez clairs, elle entendait les gémissements des prostitués et de leurs clients au travers des murs, bon. Soumise au bruit de craquements, d'impacts et de sons adultes, elle ne pouvait faire autre chose que rester là, tremblante de frayeur, sa petite couette remontée sur sa tête, les yeux fermés, terrifiée par tous ces sons. Oh oui, pour elle, juste la nuit, cette maison devenait une vraie cabane hantée. Ce fut les bruits de l'orage qui donnèrent le coup de grâce à l'enfant et elle hurla en pleurant. Elle voulait son grand frère, elle voulait qu'il vienne et qu'il lui dise que tout va bien, elle en avait marre de tout ce bruit, elle qui ne pouvait même pas se défendre contre les autres enfants, comment pourrait-elle se défendre contre les monstres qui peuplaient ses nuits?

Les cris déchirants de la pauvre inu ne dérangeait point le reste du monde, entre ces orages, la tempête et les faux cris de plaisir, tout cela était tout à fait inaudible. La petite s'était alors enrobée dans les couvertures de son lit. Son frère n'était pas là, elle avait peur et elle était seule dans cette petite chambre, dans ses accoutrements légers qui était seulement constitué d'un petit haut de pyjama calinours et une petite culotte pour enfants, tous deux roses. Lorsqu'enfin elle entendit la porte s'ouvrir. Son frère venait tout juste de l'appeler qu'une espèce de boulet de canon venait de lui foncer dedans. Avoir été laissé à elle-même pendant autant de temps, ce fut une vraie torture pour elle. La petite Inu terrifiée serrait la jambe de son frère comme si sa vie en dépendait. Si elle aurait été un peu plus forte, elle lui aurait peut-être broyé la jambe. Elle pleurait, beaucoup, sur la jambe de son frère. Elle avait terriblement peur. Son frère l'avait laissée à elle-même pendant plus de 5 heures et elle ne savait même pas pourquoi. Elle savait qu'il travaillait, mais de là à s'effacer, sans même lui envoyer un message sur son petit cellulaire à forfait minable pour lui dire qu'il serait un peu en retard. Oh oui, là, elle voulait pleurer toute les larmes de son corps, elle voulait aussi lui crier dessus, mais seuls les orages lui arrachaient cris et pleurs. Elle qui avait en plus peur du noir... et qui avait perdu sa chemise-doudou!... que son frère portait...

La pauvre petite avait eu si peur qu'elle en avait mouillé sa culotte, se retenant juste assez pour ne pas que ca coule parterre ou sur son frère. Elle décida de remettre sa crise à plus tard et se précipita vers la salle de torture qu'était la salle de bain. Permettez à votre humble serviteur de vous rappeler que l'eau n'était pas chauffée et donc très froide en hiver ou dans les pannes générales de courant. Elle monta sur son petit pot, se soulagea, jeta sa culotte au linge sale, ouvrit un petit tiroir dont la petite poignée avait fichu le camp on ne sait où, en sortit une nouvelle culotte puis s'approcha de son frère une nouvelle fois. À quoi pouvait-il bien avoir penser pour l'avoir laissée toute seule à cette heure. Ce n'est pas parce qu'elle n'avait pas de garderie demain qu'il devait s'éclipser quand le bon dieu lui chantait une ballade! (référence à la drogue, pour ceux qui n'auraient pas compris.)

"Nuuuuh!" Cria-t-elle en frappant la jambe de son frère de ses petits poings, vraisemblablement courroucée à la manière dont ses oreilles s'étaient rabaissées sur son crâne. Elle cria à tue-tête toutes les émotions qu'elle avait accumulée tout ce temps, martelant la cuisse de son frère de ses mains, changeant les coups de poing pour des claques, qui se calmaient peut à peu.

Épuisée, elle se laissa tomber à genoux aux pieds de son frère et lui serra le tibia avec amour. Le caractère changeant des enfants pouvait parfois être terrifiant. Elle l'aimait, son frère, malgré tout. Elle n'arrivait pas à rester fâchée contre lui plus d'une minute, voir deux, maximum. Elle frotta sa joue sur le jean de son frère, vraiment contente qu'il soit rentré. Maintenant, elle était plus calme et les fantômes ne lui faisaient plus peur. Elle câlina la seule personne qui se préoccupait d'elle et qui lui accordait un minimum d'affection. Elle l'aimait de tout son coeur et pour toujours. Elle ne voulait plus jamais qu'il s'en aille sans elle, quitte à le suivre au travail... ce qu'elle ne fera bien entendu jamais, de peur d'être gênante, mais juste être là, avec son frère, qui la protègera de tout, ça la rassurait.

Jason Hayes

Créature

Re : Soirée plutôt libre, enfin. [ Pv Véro ]

Réponse 2 mercredi 23 décembre 2009, 07:09:38

À peine avait-il soufflé la demande de présence qu'il manqua de cracher sa clope lorsque sa petite sœur accourue tel un boulet de canon pour se précipiter contre ses jambes. D'une main, il retira la cigarette de ses lèvres en l'éteignant contre le cadrage de la porte, refermant celle-ci par la suite en tentent petitement de s'avancer un brin pour ne pas rester dans le passage. Il fallait dire qu'en plus d'avoir du baiser une vieille, d'avoir pris de la E et d'avoir une sœur qui lui pleurait et lui criait toutes les insultes que la bible avait en ses pages : Il devait ensuite être un bon frère et, peut être, la consoler. C'était son travail à pleins temps d'être grand frère, mais une fois gelé, bon dieu que c'était compliqué... Le loup glissa une de ses main sur la tête de la petite inu, lui caressant maigrement les oreilles alors qu'elle s'attelait à la tache de lui réduire les jambes en compote. Les enfants étaient intelligents dans un sens : s'ils ne veulent pas que leur frère parte, ils lui martèlent la jambe jusqu'à ce qu'il ne puisse plus bouger. Niveau torture, elle faisait un pas en avant. Enfin, encore fallait-il que cette petite chienne ait des muscles... On verra, avec les années.

Le temps qu'elle parte se changer, le jeune loup se dirigea vers un coin – bordélique – de la chambre en défaisant les boutons de sa chemise pour venir la jeter dans le tas de linge sale. Il paierait bien quelqu'un pour venir faire le lavage demain ; mais lui, il ne toucherait pas à ça, non merci. Plutôt crever oui.

Ses mires se glissèrent ensuite sur sa petite soeur lorsqu'elle revint à la charge toute nouvellement changée. Un faible sourire taquin étira les lèvres de Jason alors que son imagination prenait le bord.
Pourquoi s'était-elle changée ?
Le voir l'avait-elle excitée ? Oulah, la E qui lui jouait des tours, de vilains tours... Perdu dans ses rêveries perverses ou, sans aucun doute, il imaginait des choses aucunement chrétienne, Véro se laissa enfin tomber pour cesser l'attaque. Enfin !

« Tu tes calmé ma jolie ? » souffla-t-il de sa voix rauque en venant se pencher, poser une main derrière sur le sol et s'asseoir aux côtés de l'inu avant de l'attirer vers lui à l'aide de ses bras qui vinrent se refermer à l'entour de ses bras. Ses jambes se relevèrent un peu de chaque côté de la jeune fille alors qu'elle pouvait clairement sentir une onze d'alcool dans l'haleine de son frère, qui laissait son souffle se poser contre sa peau si douce, si pâle, si... vierge de toute impureté... D'un geste brusque, la créature secoua la tête pour chasser ses pensées insensées avant de glisser une main dans la poche de son jean, ramenant le petit rouleau d'argent devant sa soeur.

« Tas vue ce que j'ai ramassé c'soir avec une vieille? Je la touchais à pleins d'endroits et elle m'donnait ça comme cadeau... Y'en a un paquet, des billets. Tu veux qu'on aille t'acheter des trucs demain ? Tout s'que tu veux ma belle ! »

Il était clair que le jeune homme était et saoul, et gelé comme nue balle. À appeler sa soeur ainsi, bien qu'il lui disait toujours des mots d'amour comme cela... Ce soir, il les disaient d'une façon beaucoup plus déplacé, ce qui n'était guerre très rassurant. « Tas pas trop eue peur sans ton frère adoré...? » Souffla-t-il ensuite, d'un air plus doux et protecteur alors que ses jambes et ses bras se refermèrent contre la jeune chienne d'une façon fraternelle, rassurante.

Veronique Hayes

Invité

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Re : Soirée plutôt libre, enfin. [ Pv Véro ]

Réponse 3 mercredi 23 décembre 2009, 15:56:26

Lorsqu'il lui demanda si elle avait fini, elle hocha de sa petite tête sa réponse, soit oui. La pauvre petite se laissa alors attirer contre son frère adoré, se blottissant contre le torse de celui-ci. Le bonheur qu'elle ressentait quand il était là effaçait totalement sa colère passée, qui n'était qu'une étincelle face à l'énorme amour qu'elle accordait à cet homme dépravé par nécessité. Ses oreille rabattues tout doucement sur sa tête, orienté vers les cotés de celle-ci, prouvait qu'elle était heureuse qu'il soit là, à nouveau. Même s'il voulait lui offrir de s'acheter tout ce qu'elle voulait, ce qu'elle voulait, il l'avait déjà. Elle voulait juste être avec lui, tant qu'il pouvait encore la serrer. Tête appuyée sur le torse de cet homme qu'elle considérait comme fabuleux, car il la faisait vivre tout seul, sans l'aide de personne, la rendant très admirative à son égard, elle laissa couler quelques larmes de soulagement. Maintenant sereine, bien qu'heureuse, elle se dressa sur la pointe des pieds pour lui ravir un bisou. Le bisou familial en question était loin d'être celui où on ne fait qu'effleurer les lèvres de la partenaire, oh que non; il était à l'image de Jason Hayes, le dépravé. C'était un baiser des plus langoureux, dans lequel le ou la partenaire caressait la langue de l'autre. Il a cependant toujours été le baiser du dodo, du lever et du "au revoir" et du "bienvenue à la maison", puisqu'il a toujours été pratiqué par les deux protagonistes de cette histoire frôlant jusqu'à maintenant l'inceste. C'était l'innocence ou la bêtise de Véronique qui l'empêchait de voir le truc qui clochait dans ce baiser.

Un "Nuuuh" timide fut la seule réponse à la question de son frère considérant le fait qu'elle avait eu peur.

Après un moment de cette étreinte dite "fraternelle" par Jason, Véro se défit de lui, sans se précipiter, sachant que son frère, après avoir prit son "médicament", était très susceptible et dangereux, elle alla lui chercher une bouteille de coca, un peu de pain qui leur restait, de la mortadelle, une tomate et une pomme pour les ramener à son frère. C'était souvent ce petit menu qui constituait leur repas quotidien. Elle ouvrit la bouche de son frère, y mit un morceau de pain et un peu de mortadelle et le laissa manger pendant qu'elle retournait chercher des choses dans le petit garde manger. Elle trébucha providentiellement en se prenant les pieds, ce qui envoya son haut de pyjama calinours sur sa tête, dévoilant ses petites fesses et sa petite culotte. Elle grommela, mais pas pour sa pudeur, mais parce qu'elle était tombée. Elle savait marcher, pourtant, alors pourquoi tombait-elle? Elle se donna deux petits coups sur le crâne avant de grimper sur les étagères, prendre les chips de son frère, redescendre et les lui apporter, emmenant en même temps ses fruits à elle. Cette gamine aimait le sucre, mais avec les moyens de son frère, sa source ne se trouvait que dans les fruits depuis un long moment. Il arrivait que son frère lui ramène un gâteau lors de la saint-valentin (provenant des femmes seules qui l'ont payés) et à son anniversaire, mais comme son frère n'avait jamais assez d'ecstasy, elle n'avait jamais assez de sucre, mais elle devait se priver de ses doses favorites. elle s'installa alors devant lui, les jambes écartées, son bol de fruit entre ses cuisses, mangeant tranquillement et proprement.

Jamais Véronique ne s'est plainte du manque de confort de l'endroit, jamais elle n'a demandé plus que ce qu'elle n'avait déjà et elle était bien heureuse comme cela. Tant que son frère était là, qu'elle avait un toit sur sa tête et quelques chemises pour se faire une couverture, elle se contentait de cela et cela faisait son bonheur à elle. Elle ne tenait pas à tout perdre ce qu'elle avait non plus, elle voulait conserver ce petit appartement, ce pourquoi elle sert de petite mascotte du bordel ainsi que de fille de ménage. Elle nettoyait les chambres après chaque service durant la journée et elle gagnait quelques pièces de monnaie. Les filles du bordel se servaient d'elle pour étancher leur amour maternel et lui donnait des sous quand elles étaient enfin satisfaite. En un certain sens, elle était elle-même une prostituée, bien qu'à un niveau bien moins élevé que son frère. Avec ces sous, elle pouvait s'acheter des bonbons, des jujubes et autres petites cochonneries pour satisfaire son besoin de sucre, et parfois, elle pouvait chercher pour un nouveau chapeau, qu'elle aimait bien porter.

Jason Hayes

Créature

Re : Soirée plutôt libre, enfin. [ Pv Véro ]

Réponse 4 mercredi 23 décembre 2009, 20:05:07

Tout en lenteur, le loup glissa le rouleau de billet dans sa poche, là ou il était précédemment enfermé. Il irait le cacher plus tard, car dieu sait que dans cet établissement, on ne gardait que très souvent ses pantalons. Donc laisser quelque chose dans ceux-ci se résumait à le perdre, tout simplement. Les femmes de ménages étaient, déjà louches, s'il fallait qu'il laisse des choses traînées, il était sur qu'elles ne se gêneraient pas ; bien malgré la petite chienne de garde trop gentille, trop naïve... Un faible sourire pinça les lèvres du jeune Jason alors qu'il vit sa petite soeur se relever, puis se retourner pour l'embrasser. E plus baiser plus jeune soeur qu'il désirait ne faisait certainement pas bon ménage, ce pourquoi, il glissa tranquillement ses mains sur les hanches de l'inu, caressant celles-ci en s'aventurant quelques fois plus bas, au niveau de son fessier en le tâtant du bout des doigts. Sa langue, taquine, s'amusait à caresser celle de sa jeune soeur alors que ses mains se faisaient un brin baladeuse, sans plus. Ce n'était, en soit, pas véritablement de sa faute allons...!

Il voulu la retenir pour poursuivre cette étreinte sexuellement aguichante de la part de Véro sur son corps, mais n'en fit rien. Il savait se contenir un tant soit peu, de plus, il n'avait pris qu'une seule pilule ce qui lui laissait amplement la tête sur les épaules. Du moins, plus que d'habitude dira-t-on.  Il l'observait faire sans un mot, laissant simplement sa main se passer dans ses longs cheveux en batailles pour les repousser derrière, agissant tel une poupée aux demandes de cette petite hybride. Ouvrir la bouche, fermer la bouche, pencher la tête, relever la tête ; par chance qu'il ne lui achetait pas du maquillage, dieu sait qu'il le regretterait.

Puis, elle chuta.
Cette même chute eue un effet plutôt involontaire sur le jeune loup en soif de nourriture et d'elle. Les yeux de Jason devinrent lumineux un instant alors qu'un très faible grognement s'éternisa dans le fond de sa gorge. Les mires rivées sur les dessous de sa jeune soeur, il détourna les yeux après quelques minutes alors que sa tête ne demandait qu'à exploser sous le déchirement que lui procurait une telle torture psychologique.

Ses mains agrippèrent le coca après l'avoir ouvert, prenant une, puis deux, puis trois bonnes gorgées, la tête penchée vers l'arrière pour faciliter la beuverie. Les chips se firent attaquer ensuite, puis se fit le tour du reste du pain. Il mangeait comme un porc, mais c'était normal, allons. Autant d'activité physique en si peu de temps donnait faim, hm ! « T'pourrais au moins dire autre chose que nuuh tsé, comme... Qu'est-ce que tu voudrais faire ce soir ?.. » Sa tonalité de voix devint plus basse, plus suave vers la fin alors que ses mires vinrent se river plus bas ; complètement entre les cuisses de l'hybride.

L'effet ne se fit pas attendre ; son pantalon devint sitôt trop petit, trop serré. Sans réelle gêne du tout, la créature prit une autre bonne gorgée de son coca en posant une main à son propre entrejambe, le caressant dans un long soupire rauque d'aise. Stupide soeur, stupide pulsions, stupide famille et stupide âge qui lui donnait si envie... D'un geste brusque, il envoya sa canette contre le mur, la laissant se fracasser contre dans un bruit sourd qui, au milieu des gémissements de prostitué, n'était pas si fort que ça. Néanmoins, le regard de la bête en disait beaucoup sur son état actuel. Il avait besoin de quelqu'un, là, tout de suite. Ou alors la bouteille. Son choix fut rapide ; il se redressa sur pieds en emboitant le pas rapide vers le fond de la pièce, ouvrant une armoire en extirpant une bouteille de vodka, tout simplement. Après avoir retiré le bouchon et l'avoir envoyé valsé dans la pièce, il s'envoya une bonne gorgée. « S'tun vrai bordel ici.. Siboire! » Et il envoya un coup de pied sur l'armoire, laissant celle-ci basculer en ne demandant qu'à effondrer sans pour autant le faire. « Tu fous quoi aux putes pour que leur ménage soit aussi pourrit, Véro! » Jason se retourna vers sa soeur en fronçant les sourcils, s'en approchant dangereusement jusqu'à venir se plaquer dans son dos, à genoux, une main posée sur son ventre pour la maintenir contre lui. « Awaye, PARLE »

Veronique Hayes

Invité

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Re : Soirée plutôt libre, enfin. [ Pv Véro ]

Réponse 5 mercredi 23 décembre 2009, 20:58:52

Les attouchements de son frère firent légèrement rougir cette adolescente haute comme trois pomme, mais elle ne fit aucun geste, le laissant faire, sachant que le moindre refus pouvait entrainer une perte de contrôle sur l'éternelle insatisfaction de son frère ainé et aimé. Elle mangeait avec son frère, son gentil grand frère qu'elle aimait tant. Malgré ce silence qui aurait pu mettre n'importe qui mal à l'aise, l'ambiance coulait sur elle comme si elle était protégée contre tous les vices de ce monde. Mais ce moment magique ne dura pas très longtemps. Son frère avait reprit la parole, pour lui reprocher du fait qu'elle ne développait pas son vocabulaire pour s'adresser à lui, ce qui blessa méchamment la pauvre inu, qui baissa les yeux sur son repas pour ne pas supporter un regard de son frère, rabaissant ses oreilles. Ce n'était pas sa faute si elle n'avait pas apprit à parler comme les autres et à mettre les différentes intonalités dans sa voix quand elle poussait ce "nuuh" si dérangeant pour son frère, alors qu'à cette heure, elle ne devait ni manger, ni parler, mais bien dormir. Elle n'avait jamais vraiment parlé durant sa vie, parce que les mots, on ne sait jamais comment les gens vont les prendre. Elle l'avait comprit le jour où un des petits bouseux de la garderie et ses amis lui avaient lancé des jouets pendant la sieste et l'avait ensuite frappée. Elle s'éjecta de ce douloureux souvenir et regarda son frère. Pour lui faire plaisir, pour ne pas qu'il s'emporte, elle releva la tête puis tenta le coup.

"Qu...Qu'est-ce... que tu voudrais... faire ce soir...?" Fit-elle, détournant les yeux alors qu'ils allaient bientôt se vider de larmes. Ce ton, elle le connaissait trop bien. À chaque fois que son frère parlait ainsi, c'est le préalable avant qu'il ne boive et ensuite qu'il se mette à gueuler comme un dingue contre tout. Elle sursauta quand il jeta la cannette contre le mur puis se releva avec son assiette de fruits et alla la ranger avant que son frère ne s'y attaque dans sa future colère. Elle se mit à renifler quand il prit la bouteille de vodka. Là, elle avait très peur. Elle s'éloigna un peu de lui puis focalisa son attention sur sa poupée qui trainait là et s'en empara pour la serrer contre elle, terrorisée. C'était dans ces moments-là qu'elle comprenait que la vie n'était pas facile quand son frère n'était plus lui-même. Il ne l'avait frappée qu'une fois, mais cette fois-là fut celle qui a traumatisé la petite fille pour un long moment. Elle ne voulait pas que son frère boive, mais que pouvait-elle faire contre lui? La vodka, c'était dangereux. Son frère ne tenait pas l'alcool et se soûlait à une vitesse phénoménale. L'instinct de la petite lui disait une chose. "Ne reste pas là". Pourtant, elle n'écouta pas cette voix dans sa tête, trop terrorisé par l'aura que dégageait son frère dans son dos. Elle sentit sa puissante main l'attirer contre lui alors qu'il l'engueulait.

Il a crié.

Ce fut cela qui rompit le contrôle de l'inu sur elle-même, ce contrôle fragile qui l'empêchait de pleurer et de crier quand son frère était là. Faisant fi de ce contrôle, elle devint toute molle et pleura. Elle pleurait, s'excusant, ne voulant pas que son frère ne se fâche, se débattant juste assez pour tomber par terre. Aussitôt libre, elle se mit à ramasser tout ce qui trainait, enfournant les choses dans le petit panier qu'elle se faisait avec son chandail, très rapidement, effrayée, dévoilant sa petite culotte dans son empressement. Là, elle ne pouvait plus du tout parler. Elle avait trop peur, bien trop stressée pour dire ne serait-ce qu'un seul mot autre que "Nuuh". Elle tirait derrière elle une chemises et un pantalon de son frère, les mettant dans un sac. Elle chuta à nouveau, son psychisme tombant à zéro, le stress étant trop élevé. Elle restait là, sur le sol, recroquevillé, les mains sur la tête. Pourquoi fallait-il que tout aille si mal en cette nuit d'orage? Elle qui ne voulait jamais rien, qui ne demandait rien, qui faisait son possible juste pour que son frère soit content d'elle et qu'il soit heureux, la voilà couchée sur le sol, les fuites du plafond coulant sur elle. Pourquoi elle?

Elle regardait son frère dans les yeux, maintenant, de nouveau debout, laissant un flot incontrôlé de larmes couler sur ses joues. Elle revint vers lui puis lui serra une jambe, cachant son visage contre sa cuisse. Elle regarda son seul ami, la seule personne qui l'aimait. Elle était prête à tout pour qu'il lui pardonne, qu'il se calme, qu'il lui dise qu'elle est une bonne fille, qu'il est fier d'elle. Elle était fatiguée. Elle avait treize ans. Son corps était celui d'une gamine de trois. Elle voulait juste retourner dormir, quitte à se faire manger par les fantômes. Son regard vide se leva pour rencontrer ceux de son frère. Son stress avait atteint son paroxysme, elle risquait de craquer à tout moment, mais elle était là, toujours proche de son frère, son tortionnaire et son protecteur.

"Véro fera mieux la prochaine fois, Onii-san, c'est promis." Murmura-t-elle d'une voix éteinte. Le stress tombait, doucement, son regard reprenait son éclat. Elle tenait dans sa main le pantalon de l'homme, tenant l'une des siennes de l'autre, se dressant sur la pointe des pieds pour frotter tout doucement sa joue sur cette main rude, qui l'avait pourtant toujours rassurée quand elle avait peur. "Véro veut pas qu'Onii-san soit fâché contre Véro. Véro travailler encore plus dur, pour Onii-san." Ajouta-t-elle d'un ton frôlant la supplication, d'une voix qui ressemblait davantage à cette pleurnicharde d'Inu mouilleuse de culotte.
« Modifié: mercredi 23 décembre 2009, 21:41:49 par Veronique Hayes »

Jason Hayes

Créature

Re : Soirée plutôt libre, enfin. [ Pv Véro ]

Réponse 6 jeudi 25 février 2010, 04:27:05

Douleur.
La tête enflée par tant de choses contradictoire alors qu'en fait, le tout était tellement simple. Pourquoi boire quand on avait le remède face à nous? Amour... Bien malgré qu'il se savait salaud, Jason savait ce qu'il éprouvait pour cette petite pleurnicheuse, il l'aimait bien malgré tout. Oh oui, il l'aimait peut être même un peu trop au goût de tous... Alors que sa poigne se défit de la petite inu lorsqu'elle vint se débattre, le corps du loup vint se laisser tomber assit au sol, dos contre le mur alors que ses toutes petites pupilles observaient les mouvements saccadés de sa petite soeur en pleurs. Le souffle pesant entre ses lèvres, il haletait presque sous toutes ses pulsions retenues mais pourtant bien claires. Elle bougeait ici, puis là, ramassant diverses choses qui créaient le bordel de cette chambre miteuse. En d'autres mots ; ce n'était pas la faute de cette petite chienne si leurs maison avait toujours l'air si merdique, elle l'était de nature. Quant bien même mettre du papier peint si les murs ne tiennent qu'à un fil?

Il aurait pu se calmer, là, tout de suite en sortant de la chambre pour aller dans celle voisine. Ce n'était pas bien compliqué, il savait un moindrement... Très, très moindrement se contrôler lorsque son entrejambe ne prenait pas le contrôle de sa tête en état de boisson. Mais... La chute de l'inu le retourna dans cette obsession du sexe. Un faible grognement vint alors s'éterniser durant de longues minutes dans la gorge du loup, créant une ambiance autour, avec tout ceci, petitement pesante. Ses mires étaient quant à elles rivées sur les fesses de sa petite soeur, valsant parfois sur ses cuisses lorsqu'elle bougeait rapidement, trop rapidement pour tenter de lui redonner le sourire. Ranger si, ranger ça.

Et une deuxième chute...
Cette fois, ses iris devinrent rouges, l'alcool bougeaient à une vitesse phénoménale dans les veines de l'homme adossé au mur, le grognement beaucoup plus lourd. Sa chevelure rousse glissait sur son visage alors qu'il arquait la tête à gauche, puis à droite, tentent de se donner une, peut être, meilleure vue sur ce qu'il désirait. Les canines pressées contres sa lèvre inférieure, il tenait, très mal mais il tenait... Droit comme une barre métallique, dans tous les sens du mot, Jason observait sa jeune soeur de se regard lubrique, constant alors qu'il n'émet aucun son, tentent de taire ses grondements pour ainsi, ne pas effrayer sa proie. Car oui, désormais, Véro n'était plus qu'une inu, c'était... Son Inu... Plus que tout..

« Ca va.. »
Vint-il souffler tout bas, le ton de voix ramolis par l'alcool et tout le reste qu'il avait pris. Son dos se redressa très lentement en extirpant un très faible soupire de douleur. « J'crois qu'on devrait tout les deux aller s'coucher... »

Sans plus de cérémonie, le loup se releva dans une posture chancelante et instable, tendant les bras pour cueillir sa petite soeur dans ceux-ci, la serrant contre lui d'un geste tout naturel, bien qu'il y avait un je-ne-sais-quoi de...Plus. Son corps se déplaçait avec mal, mais sans tomber grâce au ménage express de la petite chienne mouilleuse de culotte qui facilitait donc la démarche vers le lit détruit, vieux, mais ô combien confortable. Son corps entier vint se laisser tomber sur les drapès, retenant toujours Véronique dans ses bras telle une cage sans faille, avant de ramener se regard salace sur elle dans un sourire malveillant.
« Véro... Tas été très, très gentille de ramasser tout... tout... Jason va te donner.. une récompense...» Son ton de voix, vers la fin, se fit déjà plus suave, plus intime alors qu'il se tenait au dessus de sa petite soeur. Son bassin collé au sien, il vint descendre une main en la glissant sous la chemise de l'inu, commençant sitôt à peloter son sein contre sa paume, pinçant le téton du bout de ses doigts dans des mouvements bien précis, malgré la très, très petite douceur qu'il exerçais pour ne pas faire fuir la petite.
« Elle aime, Véro...? Elle aime ça? » Souffla-t-il alors que sa respiration devenait plus présente, plus lourde, commençant à frotter son entrejambe toujours enfermé dans son pantalon contre l'intimité de la jeune fille presque à vue, écartant un peu ses cuisses à l'aide de sa main libre pour faciliter la caresse désireuse.

Veronique Hayes

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Re : Soirée plutôt libre, enfin. [ Pv Véro ]

Réponse 7 jeudi 25 février 2010, 13:17:12

Le petit coeur de l'Inu cessa son rythme effréné quand son frère lui dit que tout allait bien, de son souffle qui empestait l'alcool. Cette odeur putride, Véronique la connaissait très bien, puisque son frère buvait très souvent, ce n'était pas nouveau que son haleine soit désagréable. Son petit nez sensible aux odeurs se retroussa légèrement alors qu'elle plaquait son visage au torse du jeune homme. Sans se préoccuper des étranges regards que son frère lui adressait, elle le laissa la prendre dans ses bras, regardant le sol s'éloigner sous ses pieds. Toute gentille et douce, elle se blottit contre son frère ainé aux yeux bizarrement écarlates. Elle aimait son grand frère, beaucoup, mais parfois, quand il buvait et prenait son "médicament contre la tristesse", il avait toujours du mal à se contrôler. Elle fut contente de retrouver son petit lit aux cotés de son frère et se glissa sous la large veste qui lui servait de couverture.

La voix étrangement suave de son frère vint alors caresser les oreilles de l'inu, qui, en entendant le mot "récompense", pensait qu'elle allait recevoir des sucreries, mais l'étau de ses bras refermés sur elle lui firent savoir qu'il avait bien autre chose en tête, bien qu'elle ne savait pas quoi... avant qu'une chaude et douce main vienne caresser son ventre pour monter doucement vers ses seins. Son visage se teinta de frayeur alors qu'il la pelota doucement à son sein gauche. Un frisson parcourut sa chair quand son frère pinca son petit téton, lui arrachant un "nuuh" un peu stressé. Mais ce n'était rien comparé au moment où il fit glisser son membre toujours contenu dans sa prison de tissu entre ses cuisses pour le frotter à son intimité. Elle trembla de frayeur et tenta de se défaire de la prise de son frère. Elle n'avait jamais voulu que cela se passe comme cela. Oui, elle aimait son frère, d'un amour incestueux, mais c'était bien trop soudain pour elle. Elle se débattit, effrayé par le changement de son frère. Elle avait peur qu'il lui fasse du mal dans cet état. "Véro pas vouloir! Arrête!" Supplia-t-elle, à voix basse pour ne pas alarmer les autres.

Oh, ce n'était pas la première fois que Jason lui faisait des attouchements de ce genre. Quand ils prenaient leur bain ensemble, il l'avait toujours "lavée" d'une manière très perverse et incestueuse, comme en lui "nettoyant" la vulve et qu'il entrait, mine de rien, un doigt entre les grandes lèvres, ou quand il la serrait dans ses bras pour coller son sexe au petit corps de sa soeur. Celle-ci n'y avait à ce moment-là pas vraiment prêté attention, c'était un jeu qui revenait si souvent qu'elle n'arrivait pas vraiment à y voir la moindre malveillance de la part de son frère chéri. Jason était un salopard aux yeux de bien des gens, sauf à ceux de sa petite soeur, même s'il lui avait un jour, quand il était très très ivre, demandé de le masturber sous la douche. C'était des choses qu'une vie de merde pouvait provoquer chez un mec désillusionné qui a du vendre son corps pour une petite soeur qui ne grandirait peut-être jamais puisqu'elle avait bientôt franchit le cap des seize ans et qu'elle n'était même pas plus haute que sa cuisse.

La jeune inu se débattit dans les bras de son frère et parvint à se glisser hors de son étreinte, s'abimant un peu la peau sur les griffes du lycanthrope et se jeta vers la porte. Elle tenta d'atteindre la poignée, mais sa petitesse ne le lui permit guère. Elle n'atteignait pas la petite boule de fer qui pouvait la libérer de ce cauchemard. Elle n'aurait jamais cru que cela se passerait ainsi. Son frère avait toujours gardé ses distances avec elle, quand il était plus ou moins saoul, et tout à coup, il est très direct avec elle. Elle avait entendu parlé du sexe à l'école, comme la plupart des enfants finissant la petite école, mais pour son grand malheur, elle savait aussi que cela faisait très mal pour les filles et, compte tenu qu'elle avait déjà lavé le corps de son frère, elle savait très bien la différence de taille entre son orifice vaginal et le membre épais de son Jason chéri.

Désespérée, la petite se mit à courir partout, renversant meubles et lampes dans sa frayeur. Elle se blottit contre un coin de mur et ferma les yeux, rabattant ses oreilles sur son crâne et se couvrant la tête de ses petits bras. Elle allait passer un sale, très sale, quart d'heure, aucun doute là-dessus.
« Modifié: vendredi 26 février 2010, 02:59:24 par Veronique Hayes »

Jason Hayes

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Re : Soirée plutôt libre, enfin. [ Pv Véro ]

Réponse 8 dimanche 04 avril 2010, 02:48:32

Un lourd grognement s'extirpa sitôt de la gorge du loup lorsque sa jeune soeur commença à se débattre, frôlant ainsi, malgré l'envie de se soustraire de l'emprise de son frère, un peu plus son corps contre son entrejambe désireuse de la sienne. Les mains du loup tentèrent de clouer Véronique au lit sous lui, mais perdirent face à la rapidité de cette inu à prendre la fuite. Son corps vint alors se retourner petitement, laissant son fessier se poser contre les drapés alors que ses iris rougeâtres ne quittaient pas les mouvements saccadés de Véro, lui créant une confusion maladroite. Le regard vaguement embrouillé par tant de gestes en un si petit laps de temps, un second grognement plaintif siffla entre les lèvres de Jason, cette fois plus fort, plus lourdement que les précédentes fois. Ses griffes vinrent alors se glisser contre une couverture non loin, tirant celle-ci lentement vers ses hanches pour la cueillir, redressant dans ce mouvement léger, son corps de manière animale tout en laissant son dos arqué vers l'avant, une main balancée dans le vide. Si l'apparence était humaine, la mentalité quant à elle ne l'était guère. Tel un lion captivé par la beauté de sa lionne, il s'élançait avec lenteur vers sa soeur en quête de sortie, laissant de petits soupirs vaguer hors de ses lèvres entrouvertes.

Le loup déposa alors sa main libre sur l'épaule de Véronique, enfonçant presque ses griffes dans la peau de celle-ci pour ainsi, maintenir une poigne sûre sur cette prisonnière qui ne cherchait que l'évasion.
« Cesse de te débatr'rre... Je ne te ferr'rrai pas de mal.. » Laissa-t-il glisser entre ses lèvres, le souffle plaqué contre la nuque de sa jeune soeur. Un faible ronronnement s'extirpa ensuite, laissant sa langue pendre un instant pour venir, tout doucement, se glisser contre cette nuque dénudée de vêtement. Avec lenteur, elle dégustait chaque parcelle voilée par quelques mèches rousses, ne frôlant que quelques fois ses canines, sans pour autant les y enfoncer. « T'ais-je déjà fait mal..Petite soeur'rr Adorr'rrée...? » Grognait-il de manière salace dans le creux de ses petites oreilles de chien, enfonçant parfois une parcelle d'une entre ses dents pour la mordiller, la caresser. Caresse qui n'était néanmoins pas que posée la, son autre main détentrice de couverture vint se poser sur le ventre de l'inu, par-dessus le petit pull qui lui servait si souvent de vêtement simpliste.
Et il vint forcer les choses, tirant d'un geste sec la petite vers lui, paume plaquée à son petit ventre plat pour ainsi l'attirer contre son propre torse. Il était clair qu'en ce moment, le frère était loin en cette tête remplis de simple pensées lubriques, mais il n'en était pas moins un salaud en tout temps. Simplement, ce soir, l'envie, l'alcool et la dope était plus forte... Bien plus forte... Cette fois, il ne la laisserait pas partir. Ses mains vinrent toutes deux se plaquer contre le ventre de Véro en serrant le drapé contre celle-ci en la soulevant tout en se soulevant lui-même. Si débattement il y avait, force il doublait.

Peut être était-ce trop de supporter tant de femmes en mal d'aimer tous ces jours ou il jouait la poupée avec elles, ou peut être avait-il simplement besoin de cette partie dégoûtante de cette vie pourrie. Peu importait réellement en ce qui concernait la raison de ce travail qu'il faisait, la réelle réponse était que ce job salace était le plus payant d'entre tous, et qu'à ses yeux, cette inu qu'il tenait trop fermement méritait le plus beau des château. Mais alors, fallait-il qu'elle l'écoute...
Dure dans ses gestes, il retenait sa soeur par le ventre, la jetant littéralement sur le lit défait, brisé et poisseux alors qu'il vint commencer à se dévêtir face à elle, ne laissant que son sous-vêtement par manque de temps, il ne voulait pas la laisser s'échapper à nouveau. Sitôt le pantalon retiré, Jason vint s'agenouiller sur le lit en plaquant ses chaudes paumes sur les chevilles de sa petite soeur, la tirant en sa direction.

N'y avait-il donc pas de bienveillance en ce couple incestueux ? Aucune dira-t-on présentement, mais qui sait en temps antérieurs. Peu importe en ce moment, le loup désirait ce qu'il voyait, le loup avait soif de ce qu'il sentait, le loup déposa ses mains sur les épaules de l'agneau pour la tenir contre le lit et referma ses jambes contre les cuisses de la proie pour l'emprisonner. Aussitôt, les traits du loup vinrent se radoucir, retirant l'une de ses mains d'une épaule de sa soeur pour venir approcher ses doigts de son visage, frôlant quelques mèches pour les tasser un peu. « Je t'aime Véro, tes la seule à me comprendre.. » Vint-il chigner en enfonçant sa tête dans le cou de l'inu, le front apposé contre le drap sous eux-deux. Et... Il ne bougeait plus, presque comme un mécanisme d'une porte gardant sa prisonnière à l'intérieure mais qui n'avait en elle les capacités de torture. Le souffle chaud de son haleine se plaquait contre le haut de son épaule et le bas de son cou, laissant ainsi son corps reposé sur celui de la petite chienne, sans mouvements. « ...M...mais je tiens plus.. » Susurra-t-il à demi-mots, la tonalité de voix tremblante sous la douleur qu'étai de se retenir à ne pas la prendre là, tout de suite.

Veronique Hayes

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Re : Soirée plutôt libre, enfin. [ Pv Véro ]

Réponse 9 dimanche 04 avril 2010, 04:07:27

Il s'approchait, Véronique entendait le plancher miteux de l'appartement craquer sous la masse de son frère. Elle se mit à griffer le mur, vaine tentative pour blesser l'ouie fragile de son frère. Soudainement, elle sentit les griffes de son ainé s'enfoncer dans son pull puis dans sa chair, lui arrachant un cri de souffrance. Elle avait peur, elle avait mal.  Elle aimait son frère, alors, pourquoi lui faisait-il ça à elle? Il lui disait d'arrêter de se débattre, qu'il ne lui ferait pas de mal, mais elle savait qu'il mentait, il mentait parce qu'il mentait toujours. Jason était un manipulateur et un prédateur, autant parce qu'il la désirait que parce qu'il était lui-même lycanthrope. Le loup est un dominant, et Jason faisait partie de la catégorie des mâles alpha. Rien ni personne ne contestait les désirs d'un membre de cette race et catégorie, et l'insoumission de véro ne ferait qu'exacerber, tôt ou tard, les désirs de dominance de son frère. Elle sentit alors sa culotte glisser de ses cuisses. Le manque d'argent de ce duo étant flagrant, il arrivait qu'elle porte des sous-vêtements trop grand pour elle et elle sut alors qu'elle était aussi cuite que des frites.

Lancée sur le lit qu'elle heurta brutalement, lui arrachant cris et pleurs, elle se mit à supplier son bourreau d'arrêter, tentant de se débattre malgré la croissante et puissante pression que ce dernier exercait sur son abdomen pour l'immobiliser. Elle tenta de lui dire qu'elle l'aimait et qu'elle ne voulait pas que tout ce qui faisait office de relation entre eux s'achève dans la douleur, mais tout ce qui avait jaillit de cette bouche d'enfant terrorisée, c'est un "Nuh" aiguë. Elle vit alors son frère se dévêtir dans un strip-tease loin d'être provocant, mais imposé. Elle put ainsi voir très clairement la bosse qui s'était formée sous le vêtement. Son sexe était dur et droit, pas besoin d'être bien maligne pour savoir que l'envie de s'accoupler pressait les hormones de son frère chéri. Elle savait qu'elle était perdue au moment où il la monta, la maintenant contre le lit de ses puissants bras et de son corps, son membre appuyé contre son ventre alors que le reste de son corps l'empêchait de lui envoyer des coups de pieds. Il s'était penchée sur elle, puis lui avait parlé à l'oreille, mais l'enfant ne pigea pas un seul mot. Elle était concentrée sur le pénis turgescent de son frère qui lui paraissait menaçant et dangereux alors qu'il lui disait qu'il n'en pouvait plus. Elle savait qu'il allait la violer, elle savait qu'elle allait souffrir, qu'elle allait être abaissée.

Le problème d'une enfant âgée de 14 ans qui était forcée de vivre dans un corps de gamine, c'était qu'elle développait éventuellement deux personnalités. La première était douce et enjouée alors que l'autre recelait tout ce qui faisait d'une adolescente une adulte future. Véronique aimait son frère, et quelques parts en elle, une autre tête pensait qu'elle désirait faire l'amour avec lui. Ce coté lui faisait peur et elle tentait de le refouler. Mais maintenant, elle sentait SON homme contre elle, qui lui disait qu'il l'aimait, qu'il allait la baiser, avec ou sans son consentement. En elle, une grande intelligence et débrouillardise sommeillait, mais elle devait vraiment trouver un moyen d'y faire appel. Soudainement, elle remarqua que ses mains étaient plus ou moins libre... et elle s'empara d'une de ses grosses billes pour s'attaquer sans douceur à son salopard de frère, lui balancant la boule de verre dense dans les parties intimes avec un cri de désespoir, se débattant comme elle le pouvait. Elle tenta par tous les moyens de se faire violence et elle crut y arriver quand ses épaules furent libérées grâce à leur agilité... mais alors qu'elle allait se défaire de son frère, son pull s'arracha totalement d'elle, se fendant et se déchirant pour la laisser nue; les pans inférieures du vêtement étaient coincés sous les genoux de son ainé!

Elle était nue. Nue comme un ver. Ses hanches étaient au niveau du visage de son frère parce qu'elle avait tenté de s'enfuir par le haut. Elle était nue. Elle ne pouvait plus s'enfuir. Sortir nue dans la rue serait de la folie, et dans le monde dans lequel elle et son frère vivaient, les violeurs ne manquaient pas. Son frère gagnait la partie, mais certes pas la guerre. Elle savait qu'il allait la traiter de toutes sortes de noms pour la dénigrer et l'affaiblir moralement puis qu'il allait essayer de la briser comme dans les livres pornos qu'il avait acheté pour laisser voguer son esprit dépravé.

Elle recula, se couvrant de ce qu'elle avait de son pull ruiné. Elle pleurait, un sourire désespéré sur les lèvres, prise de hoquets. Elle faisait des bruits bizarres avec ses lèvres, elle avait du mal à respirer, son petit corps secoué était parcourut de frissons et de sueur. Elle avait peur, et le pire, dans cette maison, il n'y avait pas d'ustensile dans la cuisine avec lequel elle aurait pu s'arracher la vie et se sauver de la honte. Elle était fichue.

Jason Hayes

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Re : Soirée plutôt libre, enfin. [ Pv Véro ]

Réponse 10 dimanche 04 avril 2010, 04:33:48

Et dire qu'il se forçait à ainsi tenter de se contrôler..
Alors que le lycan respirait lourdement contre le cou de sa jeune soeur, il la sentie petitement bouger, ce qui n'était pas réellement surprenant vue la tournure de la soirée plutôt agitée. Il savait qu'elle avait peur, le parfum qu'elle dégageait ne lui était que trop familier, ces pulsions, ce rythme cardiaque, ces petits ''nuh..'' aigu et plaintif qu'elle lançait ; il ne fallait pas la tête à papineau pour comprendre la peur dans le corps de l'adolescente enfantine. Inspirant, expirant... Inspirant, expirant... Le calme, l'envie, la drogue, l'amour, l'inceste, le... Le coup. Cette fois, ce fut un grognement bestial et fort qui sorti de la gueule du lycanthrope près d'exploser d'impatience et d'agacement. Sa patte toujours sous forme humanoïde vint se plaquer contre son visage en serrant ses canines aiguisées contre l'un de ses doigts, le mordant pour contenir sa rage qu'il désirait épuiser sur sa jeune soeur mais qui, pour rien au monde, ne pouvait se résoudre à la frapper comme une vulgaire esclave.

Quelques gouttes de sang vint poisser le matelas tout aussi poisseux alors que les yeux du loup étaient devenus jaunes clairs, très clair, prouvant une perte de contrôle qu'il voyait éminente mais qui, visiblement, était contenue. Bien que salopard et abusivement saoul, Jason ne pouvait se résoudre à se transformer dans l'état qu'il était, prendre sa soeur sous forme animale tirait de la folie, déjà qu'ainsi il lui ferait mal, comment imaginer la baiser avec le double de grosseur? Il risquait de lui faire tant mal que même la dope ne pouvait lui faire perdre autant la tête. Les crocs avancés, il mordait avec force son index jusqu'à ce que ses yeux reprirent leurs teintes rougeâtre, preuve d'une perte de contrôle certes, mais beaucoup moins dangereuse pour la petite inu, quoi qu'elle en pense. La main couverte d'un sang clair et fraîchement déversé, le loup plaqua ses paumes contre les draps, cherchant à reprendre un certain appuis pour retourner à la chasse. Cependant, le pull de sa soeur coincé sous ses genoux et elle ainsi gigotante et désespérée, le clochard de la pièce d'à côté un peu trop voyeur par les trous dans le mur lui-même pouvait deviner ce qui allait se passer. Un petit crak suivit d'un déchirement sonore.
Le nez au dessus du jardin défendue de la petite chienne, la langue du loup ne pu rester enfermé entre ses lèvres, tombant de celles-ci pour pendre face à cette vue que trop aguichante. Il haletait presque, tel un animal face à la plus belle des vue, ou animalement parlant, face à l'os le plus gros jamais mangé!

C'était ce qui le rendait fou. Cette maladresse qui faisait d'elle l'être la plus charmante sur terre, à ses yeux. Si parfois il avait été dur envers elle, ce n'était pas sans penser à l'amour qu'il lui vouait. « Véro.. » Souffla-t-il entre deux expiration lourdes, posant une main en avant, suivit de l'autre alors que son dos ondulait sous la démarche animale qu'il entreprenait. Lente, très lente, le torse gonflant sous chaque inspiration, le souffle rapide, lourd, chaud, pesant... Qu'importait le synonyme ; il était en érection et son désir quant à lui ne demandait qu'à venir. Un grognement bestial vint alors s'éterniser pendant de longues minutes dans le fond de sa gorge, gardant ses iris rouges rivées sur les lèvres interdites de sa soeur, s'en approchant toujours à quatre pattes sur le lit. Un pas, il avançait. Deux pas, il s'approchait. Trois pas, il la frôlait. Quatre pas, il l'emprisonnait. Sa main poisse de sang qui lui ferait avoir un mal de chien quant cette poussée d'adrénaline allait partir vint se déposer sur la nuque de l'inu, la forçant à rester en position alors que le lycan vint s'approcher encore plus, un pas encore, pour plaquer ses lèvres juteuses de son propre sang contre celles désirables, mais moins que celles d'en pas contre lesquelle son sexe dressé se pressait au travers du tissu – ultime barrière -.

Sa langue vint glisser entre ses lèvres sans rien demander, se faufilant entre ses dents si elles lui posaient barrières et si elles le mordaient, il gémissait d'un plaisir immense pour finalement aller s'enlacer contre celle de Véronique, la cajolant dans un baiser poisseux sous le sang et la bave entremêlée. Une main posée fermement contre sa nuque, l'autre vint alors glisser contre celles de la petite inu, tentent de défaire le pull déchiré de ses petits doigts en glissant les siens entre dans une infime douceur bien qu'en réalité, il ne désirait qu'aller plus vite. Sa langue roulait contre celle de la petite, l'enlaçant, la palpant parfois avec la sienne, laissant ce baiser au goût plus ou moins.. Dégoûtant être la source de cette rapidité, puisqu'en bas, il ne pouvait pas encore y aller.

Une fois le pull jeté au loin, le lycanthrope prit l'une des mains de la petite chienne pour l'amener de force à son sexe dressé et pressé contre ses lèvres. « Aime moi... » Avait-il grogner, implorant entre deux inspirations, entre deux coulisse de bave ensanglantée.

Veronique Hayes

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Re : Soirée plutôt libre, enfin. [ Pv Véro ]

Réponse 11 dimanche 04 avril 2010, 05:53:52

Elle hurla de frayeur, infatigable. Mais ici, tous les cris passaient pour des cris de jouissance. Son esprit fragile se broyait lentement à chaque geste de son frère. Elle avait si peur... son frère la dévisageait comme si était un simple objet. Elle avait souvent rêvé que son frère chéri venait l'embrasser tout doucement pour ensuite venir lui prendre doucement les fesses pour lui retirer sensuellement sa culotte, comme elle l'avait vu le faire avec d'autres femmes venue auparavant dans cette même chambre pour leur dose de luxe. Elle avait vu un peu de tout de la sexualité au cours de sa courte vie. Son frère lui en avait fait pratiquement un cours, mais ce qu'elle savait, c'était surtout ce qu'elle avait vu. L'amour. Ca semblait si doux et si tendre dans les films au cinéma. Le héros qui embrassait une femme gémissante et frissonnante, qui l'emmenait ensuite dans une belle chambre d'hôtel avant que la scène ne soit coupée dans un baiser de la demi-nudité. Véronique s'était toujours imaginée ainsi. Elle avait toujours rêvé d'être déviergée dans la douceur dans les bras de son frère adoré. Pourquoi tout devait aller si mal? Pourquoi devait-elle être malheureuse dans un événement qui allait à jamais marquer sa sexualité? Elle avait besoin de tendresse, elle réclamait ce droit, mais Jason ne semblait pas l'écouter.

Elle vit son frère mi-possédé par sa lycanthropie s'approcher d'elle, la caresser d'une manière perverse et désagréable. Elle se sentait toujours de plus en plus sale et l'envie de sauter dans la douche pour se frotter avec le gant de bain jusqu'au sang se faisait de plus en plus pressante, mais son frère la tenait bien dans son emprise mentale et psychologique. Si elle s'enfuyait maintenant, il n'aurait de cesse de la manipuler. Il savait très certainement que jamais elle n'irait porter plainte à la police parce qu'il était la seule personne qu'elle avait et qui l'aimait. Il lui avait arraché son pull et l'avait lancé au loin pour revenir vers elle en souillant sa nuque de sa main poisseuse de sang, ses cheveux par la même occasion. Des larmes de désespoir suppliaient le jeune lycanthrope de s'arrêter, de redevenir gentil, mais la raison reviendrait-elle à un loup en profond manque d'affection et de tendresse? Non. Certainement pas. Tout allait si mal, tout était si confus pour eux, sauf la certitude que cette nuit, Véronique perdrait sa virginité aux mains de son frère et que celui-ci allait faire d'elle une amante non consentante, ou du moins, qui n'était vraiment pas charmée par cette idée dans la situation présente.

Un baiser. Un baiser de sang. Un baiser de fougue. Un baiser d'amour? Peut-être. Le sang de son frère... le sang de Jason coulait dans sa bouche avec sa salive, sa langue se frottait à la sienne avec une voracité canine, l'empêchant de mordre pour se défaire de ce contact. Malgré la violence des gestes de son frère, une légère humidité, toute fraîche, se dégageait de l'intimité de la gamine entravée, qui s'abandonnait presque à ces caresses. Ses tout petits seins même pas éclos devenait tout durs, leur pointes, douloureuses. Elle était amoureuse d'un homme qui allait lui faire beaucoup de mal. Durant ce baiser, ses petites mains posées sur les avants-bras de son frère enfoncèrent leur griffes dans la chair de cet amant non désiré.

Soudainement, il lui prit la main et le posa sur sa verge. "Aime-moi..." avait-il demandé d'une voix rauque. La petite n'avait maintenant plus le choix. Si elle refusait, il lui dirait qu'elle ne l'aime pas assez pour lui faire du bien ou alors qu'elle n'était qu'une petite garce hautaine. Elle ferma ses petits yeux et glissa sa main dans le caleçon de son frère pour saisir son pénis et le caresser lentement de bas en haut, comme elle avait vu les autres dames le faire. Mais contrairement à elles, elle n'était pas du tout heureuse et n'en tirait absolument aucune satisfaction. Non, son visage était ruiné par ses larmes incessantes et sa bouche était un horrible rictus malheureux. Elle sentait l'horrible odeur d'un sexe mal lavé émaner du slip.

"P...prendre...douche...?" demanda-t-elle malgré sa grande nervosité ainsi que sa peur.

Jason Hayes

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Re : Soirée plutôt libre, enfin. [ Pv Véro ]

Réponse 12 dimanche 04 avril 2010, 06:28:00

Un bain, certes, ils en auraient bien besoin ainsi poisseux de sang.
Mais cette petite main, douce et fragile qui caressait maladroitement sa verge le rendait fou, tout aussi fou qu'il puisse être en cet instant maudit par sa proie. Son désir de domination était omniprésent et malgré les plaintes et les pleurs de sa jeune soeur, semble-t-il que cet égoïsme Lycanthrope était plus forte, bien plus forte que tout. Tout sauf... D'un geste sec, comme tous les autres durant cette lutte à la luxure, Jason vint stopper le mouvement – ô combien plaisant – mais non désiré de la part de l'inu en pressant sa paume de main contre le poignet de la sienne. Ses lèvres vinrent à se retirer des siennes, laissant un léger filet de bave suivre la route de son visage qui se reculait, jusqu'à se fendre à mi-route pour tomber rejoindre la mince poitrine de Véro. Le regard du loup, jusqu'à présent teinté de cette couleur rougeâtre était plongée contre le visage de sa soeur, de son amante de toujours. Puis, un faible sourire eut enfin étiré étroitement les lèvres du loup, créant malgré le sang dans son visage, quelque chose d'un peu moins... Apeurant. Bien que l'alcool et la dope était toujours en ses veines, il la regardait avec amour, un amour incestueux et pédophile, mais un amour tout de même.

« Excuse ton frère con, Véro... » Avait-il dit alors, brisant ce silence – peut être – réconfortant que véronique aurait pu apprécier. Sa main jusqu'alors posée contre son poignet vint le relâcher, puis se déposer sur la cuisse mince et petite de la chienne, venant la caresser avec une toute nouvelle douceur, passant ses doigts fins tout près de son genoux jusqu'à haut de sa cuisse, frôlant cette peau désirable avec cette finesse qui, plus tôt, aurait du être utilisée pour dompter la chienne mouilleuse de culotte. Puis, calmement, dans cette danse qu'il avait calmé jusqu'à présent, le Lycan vint se redresser un peu pour venir s'asseoir sur le lit, dos au mur en tirant sa petite soeur vers lui pour l'asseoir sur le haut de ses cuisses. Et, bien que son sexe était droitement dressé, il ne la pénétrait pas. Bien sûr, elle pouvait sentir toute sa virilité contre sa propre intimité mouillée, mais il l'avait assise de sorte qu'elle le touchait, mais qu'il ne la brisait pas. Pas encore.

Il avait oublié à quel point elle était tout pour lui. Autant était-elle jeune et agaçante qu'elle était belle et attachante. Malgré ce sang qui poissait leur lit et leurs corps, le loup ne désirait pas quitter cette pièce pour se doucher – bien qu'il en aurait eu bien besoin -, il ne pouvait pas attendre plus longtemps. Ou plutôt, la force qu'il utilisait présentement à rester maigrement en contrôle sur ses pulsions bestiales étaient telles qu'il se devait de focaliser toute son attention sur sa soeur maintenant dos à lui, assise sur lui. Ses bras vinrent enlacer son corps pour le coller à lui, posant ses mains sur le ventre de Véronique, poissant une partie de son corps, une autre partie de son corps. « Excuse moi, excuse Jason d'avoir été violent, j'veux pas te faire mal, j'veux pas te faire pleurer, mais j'veux plus que tout ça... J'veux... J'veux ma Véronique... » Vint-il souffler dans le dos de l'inu en commençant à frotter sa joue contre sa nuque, tâchant ainsi celle-ci de son propre sang, sans pour autant démontrer un quelconque agacement de cette tâche.

Tout en frôlant sa peau du bout de ses doigts, Jason vint glisser ses mains sur le ventre plat de sa proie plus ou moins chouchoutée en ce moment. Il se faisait doux, moins brutal et moins pervers. Quoique sur ce point, il n'avait pas tant changé ; mais plutôt que de penser à lui, présentement, il se concentrait sur elle. Tandis que l'une de ses mains restait contre son ventre à jouer petitement près de son nombril, l'autre quant à elle... Vint descendre un peu, puis un peu plus tout en caressant chaque parcelle du corps enfantin de sa soeur. À l'aide de ses propre cuisses, il vint écarter les siennes toujours tout doucement, dans une lenteur séduisante, pour venir glisser tout aussi lentement, son index entre les lèvres interdites. Sans aller trop vite, il vint retirer sa main pour caresser plus haut la toison, puis redescend pour retourner entre ses lèvres et, cette fois, pincer la petite bille dénommée clitoris entre  son index et son pouce, commençant à frotter celui-ci entre ses deux doigts lentement, puis plus rapidement en glissant un de ses doigts plus bas, près de la fente de son vagin. Son autre main ne laissant pas la jeune Inu sans le sous, elle pressait sa paume contre des parties moins intimes de son corps, notamment son ventre, puis sa hanche pour monter alors jusqu'à sa petite poitrine et s'y arrêter. Salaud manipulateur ou réellement en contrôle sur son corps? Peu importe, il était doux, non? Jason prit alors le sein dans sa main libre tandis que l'autre masturbait toujours aussi prestement le clitoris de l'inu, commençant à le palper gentiment tout en le pressant dans sa main pour ainsi, le caresser.

Cette fois, cependant, son ton de voix devint un peu plus autoritaire, malgré ses gestes doux.
« Bouge tes hanches pour me faire plaisir aussi. »

Veronique Hayes

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Re : Soirée plutôt libre, enfin. [ Pv Véro ]

Réponse 13 dimanche 04 avril 2010, 07:50:24

Elle ne comprit pas ce qui venait de se passer. Son frère était jusque là violent et agressif, et maintenant, il faisait preuve d'une douceur qui serait digne des rêves de princesse de toutes les gamines de 14 ans qui avaient un corps et un esprit de 4-5 ans. Qu'est-ce qui l'avait ainsi calmé? Véronique ne lui connaissait pas de scrupule ni de règle de conduite, mais un instinct de mâle alpha. Il lui demandait pardon, mais après ce qu'elle avait ressentit et la peur qui lui habitait le coeur, elle ne pouvait pas se permettre d'y croire, maintenant. Pourquoi lui faire confiance? Elle n'avait aucune raison réelle. Elle aimait son frère, mais celui-ci semblait avoir aimé lui faire du mal. Elle savait qu'il n'avait toujours pas perdu sa libido, mais au moins, il n'allait pas être aussi agressif qu'elle ne l'aurait cru. Dos à son frère, son sexe moite collé à celui, dur et épais, de ce dernier, elle ne put cependant qu'apprécier les caresses qu'il lui procura de ses membres dextres. Elle qui avait une peau sensible aux caresses et surtout dénuée de poil, sauf pour sa petite queue qui s'agitait avec joie sur l'abdomen de son frère, elle ne put contenir ses gémissements lorsque ses mains se posèrent sur ses seins et sur sa vulve. Elle avait cru jusque là qu'il était redevenu le frère gentil et attentionné qu'elle connaissait.

Elle fut démentie, néanmoins. Jason n'avait toujours en tête que le sexe. Sa voix était autoritaire et ne laissait pas place à la discussion, mais elle aurait voulu croire que les choses se passent autrement. Comme quoi elle n'était finalement qu'un jouet entre ses mains et qu'obéir semblait être la seule solution sensée, le petit bout de femme se servit de ses jambes et de sa queue pour faire un mouvement vertical du bassin, frottant son intimité à celle de son ainé. De toute façon, elle en était à un point où rien de tout cela n'avait d'importance. Elle n'avait déjà plus sa fierté ni même de pudeur, son amour l'en avait lui-même privé. Elle gardait la tête basse, les yeux clos, tentant de trouver un peu de réconfort dans les bras de son frère, mais rien n'y faisait; elle avait de la peine, point final, et rien ne pourrait la consoler. Elle resserra doucement les cuisses sur la turgescence sexuelle de son frère pour lui accorder encore plus, essayant de profiter du plaisir partiel que lui procurait le sexe. Malheureusement; une gamine de son âge peut-elle réellement apprécier le sexe alors qu'elle est à peine pubère? Et à même là, son corps est petit et fragile, elle pourrait à peine supporter le coït et elle redoutait salement.

Comment être sûre qu'il allait rester gentil et tout? Comment être sûre qu'il n'allait pas soudainement la retourner, la plaquer au lit pour ensuite entrer en elle sans son consentement? Trop de question se bousculaient dans la tête de cette triste gamine qui essayait tant bien que mal de trouver une solution. Finalement, elle décida d'agir comme elle l'entendait et elle se défit de son frère pour le regarder dans les yeux. Sans même lui demander son avis, elle sauta du lit et se précipita vers la salle de bain, seule partie de la maison qui semblait être plus ou moins propre et activa la douche. Elle sentait l'horrible odeur de sexe de vieille femme et de pénis malpropre mélangé à sa propre odeur, combinaison qui la poussa à aller vers la cuvette pour régurgiter ce qu'elle avait avalé depuis ce matin. Cette odeur pestilentielle envahit très rapidement la pièce et la gamine se jeta sous l'eau chaude pour la retirer d'elle, prise de haut-le-coeur. Roulée en boule dans la douche, la petite se mit à penser. Qu'allait-elle faire, maintenant? Voulait-elle vraiment se soumettre à son frère et lui donner sa virginité alors qu'il n'y avait que le sexe de présent dans son petit crâne? Il était prêt à lui faire l'amour sans même se purifier le corps des fluides des autres! Elle n'était pourtant pas un simple jouet dans lequel il pouvait enfoncer son pénis! Elle était un être humain, ou du moins, presque, elle avait le droit d'être respectée et libre de souillure!

L'eau chaude lui fit du bien. La chaleur de ce liquide apaisait son esprit tourmenté par les images succédées de cette tentative presque ratée de viol de la part de Jason. La chaleur qu'elle avait besoin, la chaleur de la tendresse et de l'amour sincère, cette chaleur qu'il lui manquait, était légèrement remplacée, ce qui l'aida à supporter l'odeur de son propre corps. Elle put laver son visage et ses cheveux, nettoyer son intimité et ses fesses en pleine quiétude. si son frère avait réellement besoin de cette partie de jambes en l'air, alors, il ne manquerait pas d'entrer dans la douche pour satisfaire ce "caprice" de sa soeur cadette. Elle se bouchait néanmoins une oreille pour éviter que l'eau y entre et se nettoyait l'autre avec une petite éponge. Elle évitait de pleurer et graduellement, ses yeux redevinrent d'un blanc rassurant. Elle ne pleurait plus.


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