Une douche mouvementé [pv Selene]

Selene regarda l’homme s’approcher avec anxiété. Lorsqu’il fut à porté, elle se figea prête à frapper mais celui-ci empala sa main de lui-même sur l’arme de Selene. Cet être était immortel et insensible à la douleur. Il avait donc un avantage non négligeable. Elle était prête à se défendre mais que faire contre quelque chose qui ne peut ni mourir, ni être neutraliser.
Elle émit un cri de surprise et de protestation lorsqu’une main se posa sur son corsage et lui arracha sans ménagement. Heureusement, elle avait un soutien gorge en satin noir orné de petits rubans violets entrelacés. Il s’agissait du dernier rempart qui protégeait sa poitrine des lubricités de cet homme. Selene tenta de le rouer de coups. Ce n’était pas des coups sans force, muent par le désespoir. L’immortelle appliquait des coups précis et « habituellement » mortels mais ici ils n’avaient pas plus d’utilité que les frappes d’un enfant.

Les larmes commençaient à couler sur les joues de Selene qui désespérait. De plus les intentions de ce jeune homme étaient parfaitement claires ; il voulait abuser d’elle et elle n’avait aucun moyen de l’en empêcher. Elle allait être violée dans cet endroit sordide, dans l’enceinte même du lycée et par un élève. Elle était coincée entre le mur et cet homme ; ne pouvant presque plus bouger, elle cessa de se débattre. L’homme en profita pour l’embrasser. Selene émit un petit cri étouffé et détourna la tête pour qu’il sorte de sa bouche. Par pudeur, elle couvrit sa poitrine avec ses bras et se recroquevilla contre le mur pour se soustraire le plus possible aux caresses de ce monstre.

S’il vous plait ne me faites pas de mal monsieur, supplia-t-elle d’une petite voix.

Selene avait été violé bien trop de fois pour pouvoir être comptabilisé. Ces viols avaient contribués à ses problèmes psychologiques et ses réactions étaient imprévisibles lorsqu’elle revivait ces moments de souffrance et d’humiliation. L’immortelle avait perdu toute sa morgue et sa suffisance. Elle ressemblait à une gamine apeurée avec ses grands yeux écarquillés et les larmes qui ruisselaient sur ses joues. Tout en sanglotant, elle se laissa tomber au sol. Puis soudain les pleurs s’arrêtèrent net.

Elle lança ses jambes et enserra celle de son agresseur. Les chevilles de celui-ci prisonnières du ciseau que formaient ses jambes, elle n’eut qu’à rouler d’un demi-tour sur elle-même pour faire tomber son adversaire. Mais au lieu de s’arrêter là, elle continua de rouler afin de briser les genoux de l’homme.
Puis elle se releva vivement et se rua sur la porte de sortie… son salut.

S’il vous plait ne me faites pas de mal monsieur

Quelle paroles ridicules de la part de cette jeune prof alors qu'il n'y a même pas 10 minutes, elle me "tua" et pointai une dague vers mes yeux. Ces paroles, je voulais les lui faire ravaler, après avoir défier un immortel on ne s'en sort pas comme sa. Je la regardai avec tant de pitié, et elle me regardait tout en pleurant.

(pensées)*N'importe quoi, rolala alors je fais quoi maintenant *soupir*

(démon dans mes pensées)*mais viol là, elle l'aura bien chercher cette grosse pute.

(ange dans mes pensées)* laisse la partir, regarde elle pleure, tu sais que t'as gagné Keni, laisse la c'est le meilleur que tu peut faire en tant qu'ange*

Je m'apprêtait  a la laisser partir, j'avais trop pitié de cette pauvre femme. Soudain, ces larmes s'arrêtèrent, elle me regarda droit dans les yeux toujours avec ces yeux impassibles d'expressions, je me dis encore que cette femme était très bizarre et j'avais raison de me méfier d'elle, elle enserra mes jambes avec les siennes, ces jambes toutes fines et douces au regard, elle roula sur elle même et me fit tomber par terre et me brisa les genoux, quelle douleur, j'avsis l'intention de la laisser partir et elle me casse les genoux. Vêtu de son seule soutien-gorge, elle se pressa vers la sortie qui était derrière moi.

(démon dans mes pensées)*tu vois cette salope t'as fais un croche-patte alors que t'allais la laisser, ferme cette porte avec ta magie et viol cette folle.

(ange dans mes pensées)*.....*

Je prononça une formule à peine inaudible pour fermer la porte à double tour et la renforcer avec du béton pour qu'une personne à part moi ne puisse l'ouvrir, je me soigna les jambes encore avec une formule, puis je me releva plus déterminé que jamais à la violer pour que plus jamais elle n'essaye de m'affronter.

-Hu, hu, hu, Hun, Hun, Hun, HAHAHAHAHAHAHA *rire machiavélique*, eh bien alors chère professeur, auriez vous oubliez que je suis un ange.

*Je me jette sur elle en lui enlevant son soutien-gorge, je l'embrasse langoureusement en la plaquant contre le mur et lui bloquant les deux mains*

Selene courait vers la porte tout en sortant les clés de sa poche. Elle enfonça la clé dans la serrure si vite qu’elle faillit la briser. Enfin, elle était sauvée…

La clé ne fonctionnait pas, elle vérifia précipitamment si elle ne s’était pas trompée de clé et elle paniqua lorsqu’elle se réalisa que ce n’était pas le cas. Un rire terrifiant la figea sur place. Elle se retourna et vit que le garçon était indemne… C’était impossible. C’était injuste ; elle n’avait aucune chance de gagner. Des larmes de frustration commençaient à perler au coin de ses yeux et elle serrait les dents alors qu’elle voyait approcher son tortionnaire. Un ange ? S’il parlait des volatiles qui étaient sensés servir dieu, elle ne se rappelait pas avoir lu quelque part qu’ils étaient adepte du viol. Il s’agissait plutôt d’une erreur de la nature.

Elle vida l’air de ses poumons lorsque le jeune homme la plaqua contre le mur. Selene poussa un petit hoquet de surprise lorsque son soutien-gorge fut arraché. Elle commença à se défendre du mieux qu’elle pouvait en se débattant, mais son violeur lui immobilisa les mains… C’était fini, elle ne pouvait plus rien faire pour empêcher ce qui allait se produire. Ce monstre allait communier avec elle contre son plein gré.

AU SECOURS !!, hurla-t-elle, espérant que quelqu’un qui passerait par là puisse l’entendre.

L’homme la fit taire en forçant le sanctuaire de ses lèvres. Il n’y avait aucun plaisir dans l’agression. Seulement le dégout et l’humiliation. Cependant, elle avait cessée de se débattre ; énerver son agresseur ne lui vaudrait que des coups qui rendraient l’expérience encore plus douloureuse. Elle n’allait pas lui faciliter la tache pour autant. Selene resserra donc ses cuisses pour interdire l’accès à son intimité. Même si ses défenses n’étaient pas très difficiles à percer, c’était toujours ça de prit. Elle était pourtant obligée de laisser ses seins vulnérable à la lubricité de son agresseur car ses mains étaient toujours entravés.