TERMINÉ | Le chapelier fou et le lapin blanc [PV]

The Mad Hatter & The White Rabbit

Cette lapine, elle est à moi maintenant, prête à se soumettre à mes désirs les plus profonds. Sentir ma présence en elle, c'est comme une vague de plaisir déferlant sur moi. Elle se plie à chaque mouvement, exprimant son désir avec passion. Je suis totalement excité, elle réussit à me rendre vraiment dur. Sa soumission est incroyablement stimulante, et je me sens complètement enivré par elle. Elle est prête à tout pour me satisfaire, à tout pour que je la comble de plaisir. Ses gestes montrent son engagement total, sa volonté de me laisser prendre le contrôle. Je suis captivé par sa réaction à mes avances, son désir évident de s'abandonner à moi. Elle est totalement investie dans ce moment, cherchant à ressentir chaque sensation avec intensité. C'est une expérience enivrante, où le plaisir et la passion se rencontrent dans une explosion de sensations. Je vais lui donner tout ce qu'elle désire, la combler de plaisir jusqu'à ce qu'elle en redemande encore et encore.

« Qui te parle de te laisser... ? Qu'est-ce qui te dis que je ne te veux pas à mes côtés pour l'éternité hein... ? »

 En sentant la provocation audacieuse de Bunny, mon excitation monte en flèche. Je suis captivé par l'idée de la guider vers de nouveaux territoires de plaisir. Lentement, je me rapproche, guidant ma virilité vers l'entrée de son anus. Chaque instant est une explosion de désir et de curiosité, me poussant à explorer de nouvelles sensations avec elle. Quand je m'enfonce en elle, c'est comme si je découvrais un monde entièrement nouveau, chaque mouvement m'entraînant plus loin dans les abysses du plaisir. C'est une expérience intense et captivante, une fusion de luxure et de passion qui m'emporte vers des sommets inconnus. « Je t'interdis de dire que c'est la seule fois, tu reviendras à moi, que tu le veuilles ou non... »  La sensation de la sodomie me submerge d'une onde de plaisir intense. Je ressens une fusion totale avec Bunny, chaque centimètre de contact m'électrisant de plaisir. C'est une expérience à la fois enivrante et captivante, me transportant vers des sommets de jouissance que je n'avais jamais imaginés.

Mes coups de reins deviennent plus enragés, la peau claque violemment à chaque mouvement. Avec une sauvagerie débridée, j'élargis l'anus de Bunny, cherchant à repousser toutes les limites du plaisir. Mes mains se referment sur ses fesses rebondies et musclées, les tenant fermement alors que je grogne de plaisir. C'est une fusion de désir et de domination, chaque instant empreint d'une passion dévorante. Je me laisse emporter par la frénésie du moment, plongeant tête baissée dans un océan de luxure et de satisfaction. « Ton anus m'appartient, ta chatte dégoulinante aussi, t'es à moi... !! » Dans un geste de domination, je lui inflige des fessées salaces, marquant sa peau tout en réaffirmant mon contrôle sur elle. C'est un jeu dangereux mais exaltant, où la frontière entre la douleur et le plaisir devient floue. Je savoure chaque instant de cette démonstration de pouvoir, me délectant de chaque gémissement et de chaque frémissement de son corps sous mes coups. Le temps s'étire jusqu'à ce que je finisse par atteindre le point de non-retour, et je jouis en elle, remplissant son anus d'une abondance de sperme. C'est comme si le monde entier s'arrêtait pour ce moment de pur plaisir, où nos corps ne font plus qu'un dans une explosion de sensations.

« Viens lécher ma bite... Et branles moi avec tes seins... Ensuite, je remplirai ta chatte et ta bouche... »

   

Elle était bien à quatre pattes sur le canapé, en venant écraser sa grosse poitrine, alors que très vite il possession de son cul elle n’avait jamais eu une bite aussi grosse dans cette orifice et elle vient jeter sa tête en arrière en hurlant de plaisir. La langue pendante et les yeux, regardant le plafond, tellement que la sensation Pouvait la faire jouir instantanément rien qu’avec la pénétration, elle se déclenche en même temps qu’il continue à s’enfoncer jusqu’au bout. Elle était en train de respirer fortement et viens on s’accrocher à l’accoudoir du canapé. De temps en temps, elle vient même le mordre pour essayer de canaliser le plaisir dingue qu’elle était en train de prendre alors que elle rougit toujours autant à chacune des paroles du chapelier.

haaaaaan…haaaaaaan chapelier, c’est tellement bon… J’ai jamais connu une telle sensation dans mon cul comment c’est possible d’avoir une bite aussi grosse… Mais c’est pas pour autant que je vais céder…haaaaa

C’était plutôt des paroles en l’air, car plus elle était réticente. Plus le chapelier semble complètement complètement excité par cette situation de devoir la chasser. Elle pouvait sentir les coups de pénétration bien violent dans son cul, qui font des bruits bien sonores dans le bureau, elles continuent de baver de plaisir, et n’arrive pas à se retenir, avant de jouir, sans aucune retenue, et très vite, elle était rejoint par le chapelier dans le sperme déborde de son orifice

, la lapine remue rapidement le pompon qui était à la vue du chapelier, elle essaye de reprendre sa respiration quand elle pouvait, avant de continuer à baisser les oreilles, à chaque ordre, qu’il était en train de lui soumettre sans aucune culpabilité et, avec beaucoup de possession dans l’intonation de sa voix, elle se retourne le corps complètement tremblant, alors que le sperme continue de couler de son cul, elle lui fait de nouveau face en venant comprimé sa grosse poitrine entre ses bras et se mordille la lèvre, envoyant la grosse bite, bien dressée devant elle, dégoulinante de sperme

 Détourne légèrement le visage avant de venir. Placer son énorme poitrine autour de la bite, qui dépasse bien évidemment, vu la taille, et elle commence à me lécher les contours en gemissant de plus belle. Elle savait que intérieurement dès la minute où elle avait posé les pieds dans cette pièce devant lui, elle n’aurait pas le choix que d’être sa propriété et surtout qu’elle le désire sincèrement mais avouer une telle chose pourrait peut-être lui faire perdre l’intérêt qu’il a pour la lapine, elle vient sucer le gland joint avec sa langue dessus. Essaye de me masturber avec ses gros seins, tout cela avec des bruits de ventouse pendant qu’il pouvait bien voir la bouche de bunny bien englober sa queue élève légèrement, les yeux vers lui remplie de honte et de plaisir incommensurable alors qu’elle était en train de remuer de nouveau son cul qu’elle pouvait sentir vide, et frustré, après s’être fait complètement écarté.


mmmmh…mmmmh… si tu veux me revoir, il faudra m’attraper.

[/quote]

The Mad Hatter & The White Rabbit

Je sentais le contrôle absolu, chaque coup de pénétration renforçant mon emprise sur elle. Son plaisir, son désir, sa soumission, tout cela n'était que le reflet de ma puissance sur son être. La voir succomber à la sensation de ma bite massive en elle, entendre ses cris de plaisir mêlés à la douleur, cela ne faisait que nourrir mon ego démesuré. Chaque ordre que je lui soumettais était une démonstration de ma supériorité, de ma domination totale sur sa volonté. Son corps tremblant, ses yeux remplis de honte et de plaisir, étaient la preuve vivante de ma maîtrise. La manière dont elle offrait sa poitrine à lécher, comment elle se soumettait à mes désirs les plus vils, cela ne faisait que renforcer mon contrôle sur elle. « T'as déjà cédé en me laissant remplir ton cul de mon foutre... » Je savais qu'elle était désormais à moi, corps et âme. Son besoin de moi, son désir de me plaire, étaient autant de preuves de ma domination incontestée. Chaque gémissement, chaque souffle haletant, était une symphonie à ma gloire, une ode à ma toute-puissance. La voir se donner ainsi à moi, dans toute sa vulnérabilité, me remplissait d'un plaisir pervers et indéfinissable. Elle était ma création, ma jouet, et je savourais chaque instant de sa soumission. Je savais que rien ne pouvait briser le lien qui nous unissait désormais, que j'étais son maître absolu, son Chapelier fou de désir et de pouvoir.

« Je saurais où tu trouves. Je te traquerai jusqu'à ce que tu m'avoues m'appartenir, jusqu'à la fin des temps. Tu n'auras aucun répit, tu es ma chose, petite salope... »

Chaque mouvement de ses seins, chaque expression de plaisir sur son visage, ne faisait que confirmer ma domination sur elle. Elle était mienne, pour toujours, et je comptais bien profiter de chaque instant de cette possession. Je ressens une excitation intense qui parcourt tout mon corps lorsque je glisse ma bite entre les seins moelleux de Bunny. La chaleur de sa peau, la douceur de sa poitrine, tout cela amplifie mes sens, faisant monter en moi un désir irrépressible. Chaque mouvement de va-et-vient entre ses seins enflamme mes sens, me procurant une sensation de plaisir à la fois délicieuse et sauvage. Sentir ma bite humide glisser entre ses obus est une expérience divine, chaque centimètre de ma peau en contact avec la sienne m'enivre de plaisir. La pression de ses seins autour de ma verge, la sensation de ses mamelons sous mes doigts, tout cela m'emporte dans un tourbillon de sensation inouïe. Je suis captivé par la vue de ma bite disparaissant et réapparaissant entre ses seins, tandis que je sens la tension monter en moi à chaque mouvement. « Han... PUTAIN ! » Chaque giclée de sperme qui jaillit de ma verge est comme une libération de toute tension accumulée, un déversement de plaisir pur et absolu. Je sens le liquide chaud et visqueux s'étaler sur la peau douce et satinée de Bunny, formant des traînées nacrées sur ses seins généreux. Chaque éclaboussure de sperme est un témoignage de ma jouissance débordante, une offrande à la déesse qui m'a transporté au sommet du plaisir.

Je me sens comblé, apaisé, alors que les dernières gouttes de sperme quittent ma verge et se mêlent au mélange déjà étalé sur ses seins. Je suis rempli d'une profonde satisfaction, d'un contentement absolu, sachant que j'ai donné à Bunny tout ce qu'elle désirait et plus encore. Je me sens reconnaissant pour cette expérience, reconnaissant d'avoir pu explorer les limites du plaisir avec elle, et je sais que ce moment restera gravé dans ma mémoire pour toujours. Je ressens un frisson de domination parcourir mon être alors que je retire brusquement ma verge de entre ses seins, privant Bunny de cette source de plaisir. Je la vois, là, étendue devant moi, ses seins encore nimbés de mon sperme, attendant mes prochaines directives avec une docilité presque palpable. Sans hésitation, je l'attrape par les cheveux et lui administre quelques claques cinglantes sur les joues, marquant sa peau de ma volonté incontestée. Chaque claque de ma bite est un rappel de ma puissance, un signal de ma domination absolue sur elle. Je vois la marque rouge laissée par mes mains sur sa peau pâle, et cela ne fait qu'attiser davantage le feu de ma luxure.

« Je veux remplir ta chatte alors grimpes sur moi à califourchon, c'est un ORDRE... ! »

   
Lorsqu’il y signifie qu’il mettrait tout en œuvre pour la traquer ou qu’elle soit et la attiré par les choses. S’il faut pour la coller contre sa bite, elle pouvait sentir son corps se glacer des froids à cette déclaration. Elle se mordit la lèvre quand elle n’avait pas la grosse bite dans sa mouche, mais très vite elle revient à la Provost par obligation à cause de la main du chapelier, qui, apparemment, ne tolère pas la moindre rebellions de sa part, elle continue de couiner à chaque fois que le globe vient au fond de sa gorge. Elle était obligé de faire quelques apnées pour pouvoir encaisser la taille monstrueuse qui fait de lui le plus grand prédateur sexuel qu’elle a connu.

Puis très vite, il vient gicler dans sa gorge pour retirer la bite et en mettre sur sa poitrine. Le sperme dégouline du coin de célèbre avant qu’elle ne ferme un œil pour ne pas recevoir dedans les bras en dessous ses gros seins pour bien lui montrer la surface à repeindre avec sa semence, elle avait la langue pendante et un œil qui le regarde bien cambré vers l’arrière. Elle essaye de retrouver sa respiration après s’être fait baiser la gorge. Comme ça elle pose l’une de ses mains sur son cou. Pour masser un peu, elle pensait pouvoir s’échapper à ce moment-là et rentrer dans sa petite vie tranquille, mais il en avait pas encore fini avec elle.

haaaan…chapelier …pitié…haaaan…

Elle rougit violemment et l’intonation du chapelier qui lui avait donné l’ordre était bien formel et c’est comme si son corps devait réagir. Du tac au tac. La soumission lapine prend le dessus, alors qu’elle vient contre lui en serrant les dents et vient frotter ses gros seins, plein de sperme contre son torse, elle pose ses mains sur ses épaules et n’arrive même pas à le regarder droit dans les yeux, tellement qu’il est magnifique et qu’elle risque de sombrer dans son regard, alors que sa chatte était en train de se frotter contre sa grosse bite, elle se mordit la lèvre et continue à se frictionner. En espérant que cela à détourner son attention.

haaan…chapelier… Tu sais que nous sommes sur mon lieu de travail, et que le temps que tu me réserve est bientôt écoulé dans quelques minutes, le propriétaire est plutôt un cheval sur les horaires que l’on passe avec les CLIENTs

Elle sait pertinemment que ce discours n’aura aucun effet sur lui, car si il le désire, il l’a fait démissionner pour lui mettre une laisse qu’il attacherai avec plaisir à sa ceinture

The Mad Hatter & The White Rabbit

Cette petite lapine croit vraiment que ses pitoyables excuses vont m'arrêter? Elle se fourre le doigt dans l'œil jusqu'au coude si elle pense pouvoir m'échapper aussi facilement. Elle est à moi, entends-tu bien? À MOI! Je vais la pourchasser jusqu'aux confins de l'univers pour la sentir trembler sous mes caresses, pour la voir gémir sous ma domination. Elle est faible, cette lapine, elle n'a aucune chance contre moi. Et quand je la rattraperai, je lui ferai regretter chaque putain de seconde où elle a osé me défier. Sa petite bouche va devenir mon jouet, ma poupée, ma putain. Je vais lui faire avaler chaque goutte de plaisir que je désire lui donner, et elle va adorer ça, n'est-ce pas? Sa résistance n'est qu'un feu de paille face à ma volonté de fer. Elle va se soumettre à moi, comme elle le fait maintenant, et elle va le faire avec plaisir. Ses protestations ne sont que des sons creux, des murmures insignifiants dans le vent. Elle appartient à mes désirs les plus sombres, à mes pulsions les plus sauvages.

Regarde-moi dans les yeux, cette lapine. Vois la puissance qui coule dans mes veines, la détermination qui brûle dans mon regard. Elle n'a jamais rencontré un prédateur comme moi, et elle ne s'en remettra jamais. Maintenant, qu'elle fasse ce qu'elle sait faire de mieux. Qu'elle m'obéisse. Qu'elle me donne tout ce que je veux, sans poser de questions, sans rechigner. Elle est née pour servir, pour être utilisée, pour être possédée. Et ce soir, je vais faire d'elle ma putain, ma jouet, ma soumise. Alors, qu'est-ce qu'elle attend, cette lapine? Qu'elle vienne à moi. Qu'elle se soumette à sa destinée. Et qu'elle me laisse lui montrer ce que ça fait d'être sous la coupe du Chapelier. « Je ne partirai pas tant que j'aurai remplis tout tes trous de mon sperme. T'es MON objet... » Alors que ses seins, marqués par les éclaboussures de sperme, pressent contre mon torse, je sens mon désir s'enflammer davantage. D'une main ferme, je guide mon membre durci vers l'entrée de sa chatte, explorant chaque courbe et chaque pli avec une détermination palpitante. L'excitation électrise l'air entre nous, alors que nos corps s'unissent dans une danse passionnée et débridée.

Je m'enfonce lentement en elle, savourant chaque centimètre de sa chaleur accueillante. La sensation de son intimité serrée enveloppant ma queue me submerge de plaisir, chaque mouvement me rapprochant un peu plus du sommet de l'extase. Nos souffles s'entremêlent dans un rythme envoûtant, nos mouvements synchronisés témoignant de notre connexion profonde et irrésistible. « Ce ne sera jamais qu'une seule fois White Rabbit... Ce sera une infinité de fois pour l'éternité... » Son bassin s'anime au rythme de nos désirs entremêlés, guidé par l'élan de nos passions ardentes. Dans cette danse sensuelle, nos âmes fusionnent en un écho d'éternité, chaque mouvement conduisant nos êtres vers l'extase ultime. La douce symphonie de nos souffles entrelacés se mêle au frisson de la passion déchaînée, tandis que nos corps se perdent dans la félicité de l'instant présent. Avec un geste impétueux, je lui administre une série de fessées, chacune résonnant comme une déclaration enflammée de désir. Puis, dans un élan passionné, je l'attire à moi et l'embrasse avec une intensité dévorante, nos lèvres se fondant dans une étreinte passionnée qui transcende le temps et l'espace. Sans retenue, j'enfonce ma langue dans sa bouche, partageant un baiser fougueux et débordant de passion. La sensation de notre salive mêlée ajoute une dimension supplémentaire à notre échange, rendant chaque instant plus intense et enivrant.

   

Elle ne pourrait pas lui échapper, ça le sait pertinemment. C’était peine perdue. Elle devait jeter les armes et s’abandonnais à lui, quelque soit les circonstances. Bunny était pétrifiée devant le charisme du chapelier. Le pouvoir qu’il était en train d’exercer sur elle ne faisait que grimper son adoration pour lui et lorsqu’il vient guider sa grosse queue contre sa chatte, elle ne peut s’empêcher de lâcher des gémissements de plaisir pour se cambrer davantage. Puis, dès qu’il s’enfonce en elle, il achète sa tête en arrière et descend en même temps pour bien le sentir écarter les parois de son intimité, jusqu’à ce que le gland viennent de s’écraser contre le fond de sa chatte.

Haaaaa…chapelier haaaaaaaa…cette grosse bite…mon dieu…haaaaaaa…

Alors qu’il se laisse submerger par ses émotions, elle était sur le point de lui en demander encore et très vite. Elle plaque sa main devant la bouche pour ne pas que ce mot ne vienne à sortir avant qu’elle ne commence à monter et descendre sur sa grosse queue, en faisant claquer son cul contre ses couilles, sa poitrine était en train de rebondir dans tous les sens. Alors qu’elle sort de nouveau sa langue en le regardant dans les yeux, cette fois-ci, pour se perdre dans ses yeux rouges, elle vient l’embrasser aux joint avec sa langue et dévore littéralement le moment qu’il était en train de lui offrir les coups de pénétration, recommence à être sonore Dans la pièce , elle remue très vite son pompon, ce qui est à l’indicatif sur son état d’excitation

Elle commence à danser de manière pornographique sur le corps du chapelier et ne peut plus retenir ces hurlements de plaisir à l’idée de savoir que le sperme du chapelier va inonder sa chatte sans aucune retenue et que durant ces chaleurs elle espère ne pas tomber enceinte tout de suite, elle pose ses mains sur ses épaules pour être bien stable et prendre appui sur lui. Elle s’empale vulgairement sur sa grosse bite, ça va qui déforme facilement sa chatte on pouvait voir les contours de celle-ci en relief sur son bas-ventre tellement qu’elle était baisse longue

Haaaaa…oui…remplissez ma chatte de lapine salope… Je n’ai jamais connu ça avec autant d’intensité

[/quote]

The Mad Hatter & The White Rabbit

Mon petit lapin, tu as besoin de quelqu'un pour te montrer qui est le maître ici. Tu trembles devant moi, impuissante face à mon charisme et à ma puissance. Tu veux être possédée, dominée, et je vais te donner ce que tu désires. Je sens ton corps réagir à mes caresses, tes gémissements de plaisir m'excitent davantage. Je vois dans tes yeux la soumission totale, et je vais en profiter pleinement. Ma queue, dure et imposante, est prête à te combler. Je sens ta chatte mouiller d'excitation à l'idée de me sentir en toi. Tu es à ma merci, et tu adores ça. Quand je t'enfonce enfin, tu te cambres sous l'effet du plaisir, suppliant silencieusement pour plus. Je te regarde dans les yeux, capturant chaque expression de désir sur ton visage. « JE suis ton dieu ! Aucun ne saura te faire jouir comme je le fais ! » Tu me supplie de te baiser plus fort, de te posséder totalement. Et je le fais, te prenant avec une force qui te laisse haletante et avide de plus. Tes cris de plaisir résonnent dans la pièce, et je me délecte de chaque son. Tu es à moi, entièrement mienne, et je vais te montrer ce que ça signifie d'être sous mon emprise.

Je sens tes mouvements devenir de plus en plus sauvages, ton corps se mouvant contre le mien dans un désir insatiable. Tu m'embrasses avec passion, ta langue explorant la mienne dans un tourbillon de désir. Tu te livres complètement à moi, me montrant à quel point tu veux être possédée. Et je te prends, te baisant avec une intensité qui te laisse complètement épuisée mais complètement satisfaite. Tu es ma petite salope, ma chose, et je vais te baiser jusqu'à ce que tu ne puisses plus tenir debout. Tu cries mon nom, suppliant pour plus de plaisir, et je te donne tout ce que tu désires. Tu es à moi, pour toujours et à jamais. Et je vais profiter de chaque instant de notre passion dévorante. « Et c'est que le début... !! » Mes lèvres s'emparent de tes gros seins, les couvrant de salive comme un animal en chaleur. Je les lèche, les mordille, les suçote avec voracité, te laissant sentir toute la force de mon désir. Tes mamelons se dressent sous mes attentions, et je les attrape entre mes dents, les tirant doucement pour te faire gémir de plaisir.

Je te regarde dans les yeux pendant que je te dévore, capturant chaque expression de plaisir sur ton visage. Mes mains parcourent ton corps, te caressant avec une fermeté qui te laisse haletante et avide de plus. Je veux te posséder complètement, te montrer à quel point tu es à ma merci. Je continue de te manger avec une passion dévorante, te donnant tout ce que tu désires et plus encore. Tu te tortilles sous moi, suppliant pour plus de plaisir, et je te donne tout ce que tu désires. Tu es ma petite salope, ma chose, et je vais te baiser jusqu'à ce que tu ne puisses plus tenir debout. Et je vais profiter de chaque instant de notre passion dévorante. Mes doigts s'insinuent entre les courbes de ton cul pendant que tu rebondis sur ma grosse bite. Je te sens te contracter autour de moi alors que je te pénètre profondément, et en même temps, je caresse ton anus avec fermeté. Tu gémis de plaisir sous mes attentions, tes mouvements devenant de plus en plus frénétiques. Mon corps se raidit alors que je sens l'orgasme monter en moi. Ma bite se contracte, pulsant de plaisir alors que tout mon sperme jaillit de moi. Chaque jet est puissant, inondant ta chatte de ma semence chaude et épaisse. Je te sens te contracter autour de moi alors que tu atteins toi aussi l'orgasme, nos deux corps se mêlant dans un tourbillon de plaisir et de passion.

 « HAN ! Ouais ! Bordel de... ! »

   


Bunny était complètement au bord du gouffre. Elle devait lâcher ses convictions face au chapelier qui était censé cesse en train de répéter. Quel était sa propriété désormais qu’elle aurait nulle part où aller, sans qu’il ne vienne la chercher. Le surplus d’autorité dont il fait preuve c’est la chose que le petit lapin blanc cherche désespérément dans ce Nouveau Monde, il n’avait pas trouvé chaussure à son pied et a fallu que ce soit le chapelier qui prenne les choses en bas pour lui rappeler où était sa place entre ses cuisses, elle continue de hurler pour jeter ses dernières forces dans cette bataille, puis elle vient jouir dès le moment où le sperme se met à inonder sa chatte de manière abondante. Il est clair qu’avec ses chaleurs il y avait 50 % de chances qu’elle soient enceinte. mais heureusement elle avait pris la pilule avant, mais elle ne le dira pas

Elle pouvait sentir son corps trembler de toute part complètement complètement ébranlé par la jouissance du chapelier ainsi que la sienne en simultané. Elle passe ses bras autour du coup du ténébreux, en venant respirer, comme une petite lapine en chaleur en lui léchant l’oreille, alors que son pompon était en train de remuer, doucement . il était clair qu’elle allait avoir du mal à assumer le reste de son boulot pour la soirée, en espérant surtout vu l’heure qu’elle n’aurait pas de surplus avec un autre car elle voulait absolument garder le sperme de son propriétaire bien au fond de son intimité

Haaaan…chapelier… Je pense que je n’ai pas besoin de te demander quand est-ce que l’on va se revoir… Si tu veux me kidnapper, je finis dans une heure…

Elle était peut-être présomptueuse pour s’avancer qu’elle resterait chez lui pour la nuit voir même plusieurs jours mais après tout pourquoi pas et si ce n’était pas le cas elle se mordrais la lèvre car elle pouvait sentir une partie de son âme se faire aspirer par le ténébreux, elle se redresse lentement pour faire sortir la bite dans un bruit de ventouse elle se recule de lui avant de s’asseoir en face sur le canapé, en écartant bien ses cuisses pour lui montrer l’œuvre de sa grosse bite sur chacun de ses trous. Un alors qu’elle avait toujours les oreilles de lapine en soumission, elle finit alors par se relever, et se penche pour prendre la grosse queue dans sa bouche et dans sa gorge pour faire quelques va-et-vient afin de le nettoyer .

Ce petit moment intime est alors interrompu par un bruit de tambour à la porte. C’était l’un des gorilles du patron qui vient voir ce que faisait la lapine, car ça faisait déjà un très long moment qu’elle était entre les griffes du chapelier. Mais d’un côté c’était tout à fait légitimes car il avait payé une très grosse somme pour passer ses retrouvailles, sans aucune intervention . Bunny rougit elle attrape le reste de ses vêtements et remet son string qui vient se gorgée de mouille et de sperme. Puis finalement elle le retire pour venir le mettre dans la poche du chapelier. Ne manière même avec tout le monde aurait vu la semence d’un homme en rut, dégouliner de sa chatte et de son cul. Alors pourquoi s’en cacher ? Elle retourne vers lui pour l’embrasser une dernière fois en se frottant contre lui, elle pouvait déjà sentir une sorte de dépendance qui émerge mais elle essaye de la mettre de côté après avoir salué convenablement son propriétaire, bunny retour alors dans la grande salle pour aller en coulisse, voir si elle avait un autre créneau de danse…


————————-TERMINÉ