Times bomb - ft Azalea [abandon]

Le job de détective est parfois bien amusant, entre chasser des assassins, des gangs ou des maris infidèles, y a de quoi faire. Et parfois, des vies innocentes sont brisés au passage, mais bon... Qu'en ais-je à faire ? Faut savoir ses limites et éviter de sauter dans le danger si on tiens à sa vie !
Moi la mienne ? Comme les autres, elle finira bien un moment donnée et j'irais me réincarné ailleurs. C'est l'apanage des dieux hein ? De se moquer de la Mort. Quoi que c'est une amie avec qui j'adore boire des coups sous ma forme divine.

Ahem, revenons en à notre histoire du jour. En ces temps modernes, la criminalité se fait de temps de manières différentes, qu'il faut parfois être aussi fourbes qu'eux. Ont m'avais ainsi donné le dossier d'un certains Carlo Antiguez. Le leader d'un gang mexicain trafiquant d'armes, voir d'humain. Il faisait évidemment du blanchiment d'argent et de drogue.
Hélas le bougre vivait sa petite vie dans un quartier réputé et protéger par un politicien corrompus, celui-ci lui offrait protection en échange... de quoi ? C'était la question qui m'était poser par une veuve. Son mari s'étant fait trouer le crâne parce qu'il avait renverser un verre sur un client de Carlo, dans sa boite de nuit. Lieu qui serait son repaire... Hélas pour lui, se "manque de respect" fut récompenser par la fin de sa vie.

La femme pleurait en me donnant toute ses économies, pour que je le venge, j'étais un détective, pas un assassin, mais si elle avait placer une prime sur la tête de Carlo avec si peu d'argent,  l'heure qu'il est, elle serait certainement mis en pièce. C'est pourquoi elle tentait plutôt de le faire condamner.

Je réfléchissais à la manière de faire quand une de mes enquêtes me revint en tête, hasard ou acte "bienveillant" une de mes proies c'était fait vider ses comptes, perdant ainsi la protection qu'il avait payé. Cela m'avait bien facilité la tâche pour le faire arrêter. Et pourquoi ne pas réitérer la chose ?
Avec cette idée en tête, j'avais poster une demande sur un serveur du black market.

"Bonjour à vous cher camarade frauduleux, j'ai un petit job pour vous. La paie est aussi important que les risques, donc venez pas chouiner vos mères en apprenant ma demande. Je vais aller faire kiffer sa night à un gang, vous êtes prévenus. Ce job ne se fera pas derrière vos ordis, pour ceux qui sont tenter, déchiffrez le code suivant pour le rendez-vous. Tchao !"

Le code était excessivement long pour rien, il entremêlait des sites et des infos incongrus. Seul ceux tenter par l'expérience et assez réfléchit verront une adresse GPS et une heure avec une petite info sur ma tenue. Un manteau de cuire rouge.

Le jour J, je sirotais donc dans un café... un café bien noir à une table vide pour l'instant. Attendant de voir qui serait tenter par l'aventure. Ayant utilisé un téléphone jetable, il n'y avait aucune information à récupérer sur moi, avec ce genre de type, mieux vaut prévoir de ne rien avoir de croustillant sur soi. Et à vrai dire, il n'y avait rien sur moi, pourquoi ? je n'avais pas de dossier, de carte d'identité, ou de site internet. Je me contentais de carte papier pour donner un numéro prépayer. J'étais un fantôme ! ... même si bon, sa me fout aussi dans la merde de ne pas exister aux yeux de la Loi.

Il était dix heures, le soleil était au beau fixe et il y avait peu de client. J'observais de mon seul oeil valide, les personnes présentes, aurais je une proie ou celle-ci n'allait pas tardé ?

Azalea, plongée dans le monde numérique, décryptait un code complexe lié à une nouvelle mission potentielle. Le message crypté, véritable défi pour les initiés, renfermait une adresse GPS, une heure de rendez-vous, et une information sur la tenue de son partenaire de crime, un manteau de cuir rouge. Elle était très curieuse de connaître le contrat...

Azalea sirotait son café noir dans le coin tranquille du café, son regard perçant balayant chaque personne qui entrait. Les réflexes d'une hackeuse, habituée à déchiffrer des lignes de code, se manifestaient maintenant dans l'observation minutieuse des visages. Ses doigts fins tapotaient légèrement sur la table, signe de sa concentration. Elle savait que dans ce monde d'ombres, la moindre erreur pouvait être fatale. Le serveur s'approcha d'elle, mais Aza ne leva pas les yeux de son écran de téléphone.

"Un autre café, s'il vous plaît," murmura-t-elle, gardant son ton calme et imperturbable.

La salle était baignée de lumière, mais l'ombre planait sur le visage de la hackeuse. Elle décrypta chaque regard, évaluant chaque personne qui pourrait être l'énigmatique camarade frauduleux. Ses yeux, habitués à scruter les codes et les failles de sécurité, étaient maintenant fixés sur les visages, cherchant le moindre signe d'intérêt.

Soudain, un homme au manteau de cuir rouge attira son attention. Il semblait déterminé, scrutant les lieux avec une intensité similaire à la sienne. Aza sourit, reconnaissant le signe de la compréhension. Son partenaire potentiel. Elle se leva avec grâce, ajustant sa veste en cuir noir et tira encore plus sa capuche sur sa tête. Le ballet des ombres commençait, et Azalea était prête à danser avec son complice dans les ruelles du cyberespace.

Sans un mot, Azalea s'installa en face de lui. Le bruissement des discussions ambiantes et le bourdonnement du café se mêlaient à l'électricité palpable entre les deux complices. Elle inclina légèrement la tête, un geste subtil, mais chargé de signification dans leur univers de non-dits. Les yeux d'Azalea, doré, paraissaient révéler une confiance tacite en la compétence de son acolyte. Elle était prête à dévoiler les compétences de son monde numérique pour compléter les talents de son partenaire dans le monde réel.

"Ce code... était bien trop simple à déchiffrer"

Alors que je venais à peine de me poser et commander, une personne se mit en face de moi avec son propre café. Fine, cachant en partie son visage avec sa capuche. Je ne doutais pas longtemps de qui, ou plutôt de si la personne ne se trompai pas camarade. Vue son premier commentaire, j'en souris un brin amuser.

- Bonjour. Peut-être, mais souvent ce sont les choses les plus simples qui peuvent être caché aux yeux de tous avec un subterfuge plus compliqué. Si on suivait les liens qui semblait être caché, on aurait pu se perdre à chercher la suite de Philomathie par exemple. ... Sa me ferait presque rire si avec ça, quelqu'un trouvait un trésor dont je n'aurais même pas conscience.

Sur cette réponse, je pris tranquillement une gorgée du liquide chaud, glissant le long de mon œsophage, c'était bien agréable.
Ayant un petit cartable avec moi, je le posais sur la table et l'ouvrit lentement, pour ne pas l'inquiéter de ce qui pouvait s'y cacher, toutefois celui-ci était assez plat pour qu'elle n'ai pas délirer sur une potentielle arme dedans.

- Là dedans, il y a les informations sur ma cible. Je préviens une dernière fois, je m'attaque à un mafieux, si vous ne voulez pas risquer votre peau. Alors ne regardé pas et allez-vous en. Sinon... Je serais ravie d'avoir le nom de ma partenaire de travail. Pour ma part, je me nomme Levy, enchanté.

Je n'avais rien de plus à dire pour l'instant, lui laissant le choix d'allez plus loin ou abandonner, vérifiant si aucune autre personne n'avait trouvé, ou était tenter. Il y avait quelques regards, mais était-ce de simple curieux ? En tout cas, nombreux sont les hackeur qui, désoler du stéréotype, ne sont bon qu'assit sur une chaise, tranquille chez eux. C'est aussi pourquoi je donnais un lieu de rencontre en physique et rappelais la dangerosité de ma mission.

Parce qu'il fallait y allez physiquement ! Et donc risquer de se faire agresser, voir torturer si on était choper.
A l'intérieur, ce trouvait un portfolio, avec des informations sur notre mafieux, ses origines, ses études et enfin, des informations sur sa position et ce sur quoi il traffiquait, il avait des noms de complice, mais aucune évidence, juste des propos... de personnes maintenant "disparu". C'est pourquoi je ne cherchais plus de témoin, mais des preuves physiques/virtuelles qui me permettrait de le faire tomber, lui et ses collaborateur.

J'observais la personne, était-elle fake ? J'avais le coup un jour, un témoin envoyant une "doublure" à sa place, qui lui ne savait rien et... c'était fait buter d'ailleurs. Résultat, le vrai ne s'est jamais montré et le pauvre innocent fut tué pour 100$ ... Je n'allais pas lui demandé si c'était vrai, le reste nous le verront bien, elle ne pourra pas feindre longtemps et devra rendre des comptes si jamais. Sinon... les choses avanceront plus vite et nous pourrons réfléchir à la démarche à suivre !