La première victime de Mathilde. (PV Hirano)

Il faisait nuit, c'était une nuit comme Kyoto le connaissait, seulement cette nuit la lune était rouge, de la couleur du sang qui allait couler sous peu sur les dalles froide du quartier de la Toussain. Une nuit calme silencieuse, étrangement silencieuse dont un crie perça ce moment de paix, devenant un moment de peur, de doute pour sa propre vie.

Une personne courrait, haletant, craignant pour sa vie, fuyant un danger jusque là invisible, mais qui allait s'abattre sur lui sans la moindre pitié, un danger qui l'amènera aux portes de l'Enfer, un danger qui lui ferra comprendre que prendre une vie possède un prix similaire à celui que l'on a apposé sur sa victime.

Un son de vent tranché passa et la jeune femme se vit perdre ces jambe, alors que dans un sombre ruelle on pouvait entendre une berceuse morbide qui allait décrire le supplice de la demoiselle.

Je suis venue te chercher, de tes jambes je t'ai retirée.
As-tu peur ? Es-tu effrayée ? De voir le visage ensanglanté
De la fille que tu as tuée et qui va maintenant t'emmener.

L'humaine était terrorisée et tenta de fuir en rampant, mais une faux se plant deux mètre plus loin, ayant sectionner les bras au dessus des coudes. La voix se rapprochait.

Maintenant que tu ne peut bouger, je vais m'amuser.
Vais-je t'ouvrir par le ventre ou simplement te désosser ?
Tu vas connaître la douleur que la fille a subit. Es-tu heureuse ?

L'humaine se mit à crier d'une voix suppliante.

- Aidez moi !!! Quelqu'un veut me tuer !!! Au secours !!!

Elle n'eut pas le temps de dire autre chose, qu'un pied enfonça sa tête dans la boue, la joue droite contre terre, poussant des gémissements de peur. Elle frémit davantage en voyant le couteau, qu'elle connaissait et se mit à crier.

- Mathilde ?! Tu es vivante, s'il te plait ne me fait pas de mal, je n'ai rien fait, je n'avais pas le choix !!

Comme toute réponse la suite de la berceuse continua à être chantonnée.

La victime se mit à pleurer devant l'esprit de la morte.
D'un geste vif elle entailla le bide, pour sortir les boyaux.
Sent-tu donc la lame froide te pénétrer et te lacérer ?

La demoiselle se trouva dos au sol et le couteau s'enfonça entre les poumons et entailla vers le bas jusqu'aux hanches, non sans que la victime ne crie de douleur et Mathilde plongea sa main dans l'abdomen ouverte pour en ressortir les intestins et coupèrent chaque extrémité avant de le réduire à l'état de purée, la demoiselle qui était charcutée convulsait, mais la shinigami n'en avait pas finit, elle lança un sort de conservation, permettant à sa victime de vivre un peu plus longtemps, pour son plus grand malheur.

Quand elle eut finit avec les boyaux, elle réfléchit.
Va-t-elle violer ou continuer de vider la femme ?
Elle réfléchit en commençant à retirer les os de la demoiselle.

Mathilde prit les côtes et les brisèrent un par un, libérant ainsi un passage pour accéder aux poumons et au cœur. L'esprit de la mort en eut marre de cette femme approcha sa tête des organes qu'elle venait de mettre à nu, elle lécha avec sadisme les poumons et le cœur, puis elle arracha ce dernier avec les dents, tuant dans d'horrible convulsion la demoiselle et Mathilde se fit gicler le visage du sang chaud de la femme qui mourut deux minutes plus tard. La shinigami ne savait pas qu'elle avait été vue par un témoin.

La shinigami avait un visage souriant, s'amusant à faire preuve de cannibalisme sur le corps raide mort de la lycéenne qui s'appelait Julia. La victime avait finit sa vie le visage figée de terreur, un filet de bave et de sang coulant à ces lèvres.

Plus d'un mois avait passé depuis la découverte du manuscrit et depuis sa vision du monde en était changer. Hirano avait fait des rencontre pour le moins hors du commun mais aussi des actions mettant de plus en plus sa vie en danger. Sa faisait une semaine environ qu'il était sorti de l'hôpital. Il avait fait un petit séjour dés suite d'un accident au centre commercial qui vit la véritable nature d'une élève tourmenter, Cordis Plumbum. Cette dernière disparue sans laisser de trace. Malgré ses effort Hirano ne la retrouva pas. Puis avec le temps, il fini par se dire qu'il ne la reverrait pas. À présent, Hirano continu à compléter son manuscrit.

Les recherches pour compléter le manuscrit nous avait menés à Grendel et a moi, dans le fameux cartier de la Toussaint. Je ne sais même plus ce que je suis venu chercher. En faite, c'était Grendel qui a insisté pour venir dans ce lieu mal famé. Comme j'avais congé et que je ne savait pas quoi faire, je lui accorda cette ballade. On y passa la journée entière pour retrouver notre chemin. On s'était perdu dans ce coin perdu de la ville, comment cela pouvait être possible? Il semblerai que le quartier soit plus grand que je ne le pensait. Il fallait faire très attention de ne pas se faire agresser pour de l'argent que je n'avait pas.

La nuit tomba rapidement et les rue étaient désert. Une ambiance inquiétante nous survolait. Le petit démon me fit part de son impression que quelque chose allait de se produire. Quand je lui deamandais de quoi il parlait il me désigne de l'un de ses doigt griffus la lune. Cette dernière avait un aspect effrayante, elle était rouge! Rouge comme le sang. Je ne peu me retenir une expression mais je fus coupé par un cris qui déchira le silence de la nuit.

D'après le son de la voix c'était une fille. Je n'entendais pas comme il faut que ce qu'elle disait mais elle semblait appeler à l'aide. Mon se mit à battre la chamade, je sentais le stress monter en moins. Aller faut que je me calme un peu, ne pas paniquer. Puis sans réfléchir je me mis à courir dans la directions d'où venait les cris. En arrivant dans un détour j'entendis un cris de souffrance et de demande de pardon.

-Mathilde ?! Tu es vivante, s'il te plait ne me fait pas de mal, je n'ai rien fait, je n'avais pas le choix !!

je courus aussi vite que je le peu sans même savoir s Grendel avait réussi à me suivre. Puis en face de moi je vit une adolescentes à même le sol ensanglanté. Je senti une nausée monter en moi puis ensuite quelqu'un apparu. J'étais pétrifié par la peur, j'aurais voulut fuir mais les appel à l'aide de la jeune femme m'en empêchais de l'abandonner. J'aurais aussi voulut allais vers elle mais mes jambes refusèrent de bouger, de plus une étrange berceuse n'arrangeait rien.

La nouvelle venue ne devait être pas plus âgée que celle qui souffrait à même le sol, cheveux noire, du moins c'est qui me semblait, elle avait utilisée une faux pour immobilisé sa proie. Cette dernière passa un long moment a torturer cette pauvre fille en lui faisant des supplice d'un horreur indescriptible. Un mélange de mutilation et de cannibalisme. J'étais terrorisé, je ne pouvait plus bouger, je souhaiter que cela s'arrête, j'aurai voulut crier pour tous stopper mais rien. Puis enfin elle porta le coup final et acheva sa victime.

Quand je eu enfin assez de force pour bouger j'essayai de partir en m'appuyant sur ce que je pouvais pour ne pas trébucher mais malheureusement le support auquel je m'accrochait céda et je tomba sur le sol émettant un affreux bruit qui résonna dans toute la ruelle. Merde! Je me suis encore mis dans un sacré pétrin. Je me relève difficilement.

Mathilde s'amusa à réduire en charpie le corps d'une de ces meurtrière, elle allait d'ailleurs faire sortir les yeux de ces orbites quand un son interpela celle dot les médias allait parler en tant que la "Tueuse de lycéen", rameutant aussi les meilleurs experts qui ne trouveront que des empreinte digital et l'adn d'une morte.

La demoiselle se leva, marchand sans remord sur le cadavre le réduisant encore plus en charpie, laissant des traces de pieds qui montrerait aussi une morte après analyse, rien ne pouvait la suspecter, tant qu'elle ne faisait pas cela avec des témoins, aussi ils devaient disparaitre pour son propre bien.

Une autre berceuse emplit la ruelle, annonçant que Hirano était mal partie pour vivre, non sans avoir juré sur sa vie qu'il allait se taire, enfin Mathilde ne savait pas encore si elle allait le laisser vivre suffisamment.

Un petit curieux voulait filer.
il se retouva à terre tomber.
La fille morte prit sa faux en main.
et se dirigea vers le petit  malin.

Mathilde prit sa faux et marcha tranquillement comme-ci elle était sur qu'il n'allait pas pouvoir aller loin, en tous cas il ne fallait pas qu'il tourne le dos à la demoiselle car il ne pourrait pas venir voir une faux lancée. Elle avait les mains dégoulinant de sang, tâchant sa longue robe blanche, celle que l'on voyait souvent porter les Dame Blanche, ces jambes aussi était rouge du liquide vital de sa victime. Une véritable vision d'horreur qui continuait à marcher vers Hirano.

Vais-je te tuer ou te laisser en vie ?
Vais-je te lacérer ou te poignarder ?
Tant de question que je te laisse répondre.

La shinigami avait fait preuve de gentillesse, elle laissait le choix à Hirano, enfin elle n'était même pas sur de vouloir entendre la réponse, aussi elle se contenta d'attendre sa réponse avant de choisir elle même.

J'ai pus me remettre sur mes jambes non sans mal. Me frottant un peu le haut de crane je regarda dans la direction de la macabre scène et je ne pus que constater avec effroi que la meurtrière se dirigeait lentement mais surement vers moi. La berceuse d'avant revint hanter la ruelle et les paroles semblait s'adresser à moi.

Un petit curieux voulait filer.
il se retouva à terre tomber.
La fille morte prit sa faux en main.
et se dirigea vers le petit  malin.

Vais-je te tuer ou te laisser en vie ?
Vais-je te lacérer ou te poignarder ?
Tant de question que je te laisse répondre.


À présent elle était assez proche de moi pour que je puisse la voir comment elle était. Son visage comme le reste de son corps était couvert du sang de la jeune fille morte dépecer vive. Je sentais en moi un malaise profond, une sensation que je ne passerais pas la nuit. Ce coup-ci c'est pour de bon, je vais mourir. Je pourrais fuir mais je n'y arrive pas, devais-je baisser les bras, non, mais comment lutter contre sa. cette fille n'était surement pas humaine pour avoir commis un tel acte et elle n'hésitera pas à me faire la même chose. Alors dans une veine espoir j'eus un petit sourire nerveux et lui répondit.

-je choisirait la deuxième solutions. Vivre me semble une excellente idée.

Honnêtement, je crois que c'est pas le moment de rire. Mais bon sang, pourquoi je n'arrive plus à bouger? J'ai vu des choses horrible mais la sa dépasse tout. Puis je pris un air sérieux et j'accepta mon sort tout en fermant les yeux et serrant les poings.

-si tu dois me tuer! Fait le maintenant. Mais ne me rate surtout pas.

Pourvu que ne souffre pas trop.

-Hé Hé Hé... j'ai jamais vu un dieu de la mort prendre autant de plaisir à torturer les mortel

GRENDEL !, le petit démon était apparu et s'était interposé entre elle et moi. Il semblait apprécier la situation. puis il s'approcha d'elle.

-qu'avons-nous la? Une jeune Shinigami qui cherche la vengeance, écoute moi. Cette humain est à moi. Je ne te permet pas de lui faire quoi que se soit. Il n'a rien à voir avec ta vengeance.

Le petit démon venait peut-être de me sauver la vie.

-qui es tu? Et que veux tu de ses mortels ?

La shinigami se mit à sourire en entendant Hirano répondre et dire à la demoiselle de ne pas le rater. Contrairement à ces cibles, elle allait effectivement la tuer de manière rapide et sans douleur, enfin presque. Un ultime fois la berceuse se fit entendre.

Entendant la victime répondre avec franchise
La fille allait le tuer rapidement à sa guise.
Une nuit où la lune saura s'abreuver du sang couler.

Elle leva sa faux et au moment où elle allait l'abattre une forme bizarre apparut devant ces yeux, enfin elle sentit une présence, rappelons qu'elle est aveugle. Elle fit un saut en arrière, la faux dans sa mains gauche et le couteau dans celle de droite, prête à se défendre, Hirano ne pouvait pas le voir mais elle avait peur du démon, être qu'elle n'avait jamais vue jusqu'à maintenant et le réflexe de peur de l'inconnue se mit en route.

Mathilde fit vite bouger ces lèvres pour permettre uniquement au démon de les lire et connaitre les intention de la shinigami.

- Je n'ai plus de nom, celui que j'avais appartient au passée et non à moi. Je te prierais de te pousser, je dois tuer ce témoin. Mais avant je vais te dires mes raisons, je veux leurs montrer la terreur qui m'a enveloppée avant ma mort, les entendre me supplier et demander grâce  et leurs apporter le même jugement que j'ai eut de leurs mains. Maintenant que j'ai répondut dégage de ma route si tu ne veux pas mourir.

Le démon pouvait aisément voir les lèvre de la demoiselle trembler, signe de doute mais aussi de peur, car elle pensait que ce démon avait le pouvoir de la tuer, pire de la faire subir une mort identique à la première fois, c'est de cette pensée qu'elle avait peur.

Même Hirano pouvait voir al peur s'emparer de la demoiselle, car la lame de la faux tremblait, comme-ci elle avait attrapée froid. On présentait que le démon avait une meilleur prise sur la shinigami, plutôt que le contraire.