Dans un petit hameau à la périphérie de Nexus, le crépuscule était en train de s’installer doucement. Celui-ci était principalement habité par des fermiers et des agriculteurs, une demi-centaine de personnes tout au plus, en comptabilisant les quelques commerçants, ainsi que la garde. Enfin... les mercenaires plutôt, car la garde ne se préoccupait pas trop de cet endroit. Et les mercenaires l’avaient bien compris, car au fil du temps, ces derniers s’étaient peu à peu imposés comme dirigeants du hameau, extorquant les habitant et y imposant leur loi. Et si quelques uns s’étaient rebellés les premiers jours, les autres s’étaient rapidement soumis en découvrant les corps démembrés de leurs anciens collègues. Comme le chef des mercenaires leur avait dit, personne ne viendrait à leur secours.
En parlant de celui-ci, il était confortablement installé à la petite auberge du coin, sur un fauteuil devant un copieux repas, une grande hache à deux mains posée contre le mur à sa droite. Il avait toutefois retiré une partie de son armure, pour facilité la fellation que lui procurait la petite salope sous la table. O‘yaka était en effet arrivée une petite heure plus tôt: après un voyage en solitaire depuis les côtes, elle avait décidée de se poser ici pour la nuit. Sans argent ni vêtements, elle avait bien entendue attirée les regards, et avait simplement proposée de payer son repas et sa couche en nature, le plus naturellement du monde. Le patron de l’auberge l’aurait sans doute renvoyé dehors, si le chef des mercenaires, déjà bien baraqué même sans son armure, n’était pas déjà présent, et n’avait invité le chaton à le rejoindre.
Cela faisait donc une bonne heure que la Miqo’te le suçait consciencieusement, y allant par diverses techniques. Elle l’avait déjà fait jouir à deux reprises, mais son gros sexe semblait toujours aussi dur et insatiable, pour son plus grand plaisir...