The Stepford Wives [PV]

JOYCE & SARAH

Remodeler un esprit n'était pas chose facile. Même avec la drogue qui lui parcourait les veines, Joana s'accrochait et faisait tout pour ne pas se laisser influencer. Pourtant, elle aurait beau lutter et protester, elle ne pourrait jamais échapper à ce qui l'attendait. Il y a des années, Joyce avait été à sa place et elle en gardait encore le souvenir. Il lui suffisait de fermer les yeux pour qu'elle se revoie, attachée à la chaise, le casque de VR sur les yeux et les écouteurs dans les oreilles, à se débattre et à protester contre les mauvais traitements qu'on lui infligeait. Elle avait souffert pendant de longues heures, aussi bien physiquement que mentalement, luttant contre la drogue et les messages subliminaux. Son calvaire n'avait cessé que lorsqu'elle avait enfin renoncé à lutter et qu'elle avait accepté que son bonheur se trouvait dans son foyer, et qu'elle serait plus heureuse en devenant une ménagère soumise à son mari. Ce choix avait marqué la fin du traitement de rééducation, et elle avait même eu droit à une récompense : un relookage complet suivi d'une séance de sexe torride avec Jessica. Et le bonheur de la chair avait été sublimé par le fait qu'il était venu la guérir de la torture. Voilà pourquoi elle faisait tout pour que la nouvelle arrivante dont elle s'occupait abandonne aussi vite que possible.

Joyce arrêta la vidéo le temps d'essuyer le vomi sur le sol et au coin des lèvres de Joana.

« Joana, je vous en prie. Je sais que vous souffrez, alors plus vite vous accepterez de devenir une bonne épouse, plus vite nous pourrons mettre fin à votre calvaire. »

Mais la femme refusait d'abandonner. Du coup, elle continua à se faire bombarder d'images et de sons. Elle put voir des femmes au foyer en train de faire la cuisine, de nettoyer le linge, de surveiller les enfants, et même de s'ébattre avec leurs époux. Elle découvrit également que le tablier s'adaptait à toutes les situations, depuis le tablier fonctionnel pour les tâches ménagères jusqu'au naked apron pour les moments intimes, le tout avec toujours la même phrase en tête.

Après encore quinze minutes, la femme du maire arrêta la diffusion de la vidéo pour tenter une nouvelle fois de raisonner la femme.

« Vous savez Joana, en protestant de cette façon, vous ne faites pas du mal qu'à vous. Vous en faites aussi à Bobbie. »

Peut-être réussirait-elle à gagner son attention si elle lui parlait un peu de sa femme.

« En ce moment même, votre femme est à côté, à découvrir les joies de la masculinité, et elle aimerait les partager avec vous. Mais vous n'en faites qu'à votre tête, et elle est obligée de souffrir toute seule en vous attendant. Alors si vous ne voulez pas devenir une bonne épouse pour vous... faites-le pour elle. »

Si elle était devenue une bonne femme au foyer, elle ferait ce qui est nécessaire pour sa famille. Sinon, elle aurait droit à une autre diffusion.

« Maintenant je vous écoute : quelle est votre place ? »

MAYA & JESSICA

Jessica devait bien admettre qu'elle prenait beaucoup de plaisir à voir le nouveau sexe de Bobbie prendre du volume. C'était la première fois qu'elle prenait part à une rééducation dont le but était de transformer une femme en futa avec une personnalité plus masculine. Elle n'allait plus être la seule femme de Stepford à utiliser les urinoirs et à devoir porter des vêtements amples pour qu'on ne la voie pas bander. Elle sentait que Bobbie et elle allaient très vite devenir de grandes amies. Quant à Maya, elle continuait de se tortiller sur place, une main entre les cuisses, en attendant de pouvoir enfin soulager son envie de sexe. La vidéo qui passait devant les yeux de la femme attachée avait de quoi la rendre folle, surtout qu'elle durait presque trente minutes. Une demi-heure à devoir regarder une femme super sexy enchaîner les gorges profondes pendant que celle qui filmait enchaînait les commentaires salaces sur son talent.

« Hhhmmm... ma petite pute adorée... tu sais t'y prendre... aaahhh... avec les grosses bites. »

« Oui maîtresse... j'adore votre bite... ooohhh... j'adore la sentir... me remplir la bouche... me mettre la gorge en feu... hhhmmm... j'en ai jamais assez. »

Un délice pour elles sur le moment, un supplice pour Bobbie qui ne pouvait pas empêcher son corps d'éprouver du désir. Et pour ne rien arranger, Jessica décida de la torturer un peu plus grâce à un jouet sexuel, une bouche en forme de silicone. Ce jouet imitait parfaitement une bouche humaine, et la femme fit entrer le sexe de sa prisonnière à l'intérieur tout doucement, lui laissant bien le temps de savourer la sensation de son vit entouré par le silicone, puis elle commença à le bouger en allées et venues lentes et profondes. En plus de la vidéo, Bobbie allait maintenant avoir aussi la sensation de se faire pomper, ce qui allait la rendre encore plus facilement brisable.

Jessica lui astiqua le membre pendant trente secondes avant d'enlever le sex-toy de sa queue et d'arrêter la vidéo. Elle lui retira le casque et les écouteurs, plantant son regard dans le sien.

« Alors, ça t'a plu ? Cette sensation d'avoir une cavité dans laquelle tu peux ranger ton sexe ? Et encore, là c'était juste un échauffement. Quand tu auras une vraie bouche ou un vrai vagin autour de ta bite, tu verras que c'est encore meilleur. »

Jessica avait décidé de passer à la vitesse supérieure avec Bobbie et de jouer un peu avec son esprit.

« Tu sais, si tu souffres autant, ce n'est pas seulement notre faute. Si ça ne tenait qu'à nous, Maya se serait déjà jetée sur ta queue pour l'aspirer et te faire juter jusqu'à ce que tu aies les bourses vides. »

« Oh oui alors... hhhmmm... »

« Mais les règles de Stepford sont claires : c'est à ton conjoint de prendre ta nouvelle virginité. Et Joana ne fait aucun effort pour devenir une bonne épouse. Tant qu'elle n'aura pas accepté sa nature profonde, tu resteras ici, seule et frustrée, sans aucun espoir de connaître la joie de l'éjaculation.
Mais ne t'inquiète pas, on ne va pas te laisser attendre seule. Maya et moi, nous allons t'apprendre comment tu dois te comporter avec une femme quand tu fais l'amour. »

« Oh, enfin ! »

Les deux femmes allèrent se mettre devant leur invitée. Jessica portait toujours son maillot de bain en résille, Maya portait un bikini noir et blanc qui ne cachait pas grand-chose.

« En tant qu'homme du couple, c'est toi qui domine. Ta femme t'est totalement soumise, tu peux faire ce que tu veux d'elle. Regarde. »

Maya et Jessica se rapprochèrent pour un intense baiser. On voyait bien que Jessica faisait preuve de force, enfonçant sa langue dans la bouche de Maya, une main pétrissant sa poitrine sans retenue tandis que l'autre lui empoignait les fesses. Maya ne résistait pas, elle aimait trop sentir la poigne de son amante sur son corps, mais même si elle le faisait, Jessica ne lui laisserait aucune chance. Avoir ce sexe entre les cuisses l'avait rendu plus dure et plus autoritaire, elle dominait toujours ses partenaires pour qu'elles apaisent ce besoin perpétuel de sexe en elle. Une fois le baiser terminé, elle appuya sur la tête de son amante pour la mettre à genoux.

« Tu sais quoi faire petite traînée, alors au travail ! »

« Avec plaisir maîtresse. »

Pendant que Maya s’occupait de sa queue, elle se tourna vers Bobbie pour continuer à lui parler.

« Une bonne fellation, c'est l'idéal pour bien commencer. Et encore une fois, c'est à toi de donner le rythme à ta femme pour qu'elle sache comment tu veux être sucée. Vite ou doucement, en silence ou bruyamment, avec autant de bave et de gorges profondes que tu le souhaites. Tu n'as qu'à ordonner, et elle le fera. »

JOANA

Joana n’en menait pas large. La torture mentale continuait sans relâche, abrutissante, assommante, incompréhensible. Faire d’elle une parfaite ménagère… Tout ça n’avait aucun sens ! Elle ne comprenait pas ce que ces femmes voulaient, ni le sens de ces diapositives, de ces images défilant devant son visage et qu’on essayait de force de lui insérer dans le crâne. Tout ça tourbillonnait devant la tête de Joana, qui ne pouvait rien y faire. Impossible de lutter contre toutes ces images, contre cette diffusion continuelle et sempiternelle. Elle se tortilla sur place, mais au moins ne vomit-elle plus. Elle subissait en silence, jusqu’à ce que la diffusion ne cesse. La tête basse, Joana semblait épuisée, et écouta la femme lui parler.

Qui était-elle ? Joana dut se remémorer un peu les souvenirs dans sa tête. Elle revoyait une scène de sexe dans une cuisine, un gâteau en train de cuire, tandis que la femme lui parlait encore. Elle entendit juste la femme mentionner « Bobie », et Joana écarquilla les yeux, avant de relever la tête.

*Bobbie… Mais aussi Laura, Clara, et Sarah… Mes petites filles…*

Qu’est-ce que ces folles allaient leur faire ? Joana était totalement perdue. Qu’est-ce qu’elles voulaient donc leur faire ? Elle continuait à lui parler, sans que Joana n’arrive à comprendre. Elle lui expliqua que Bobbie était à côté, apprenant les « joies de la masculinité », ce qui fit bondir le cœur de Joana.

« Non… Je vous en prie, ne lui faites rien, je vous en supplie… »

Elle tenta de retenir ses larmes, mais sentit bien qu’elle était en train de pleurer. Tout ça… Tout ça faisait trop ! Trop pour elle ! Elle n’arrivait pas à comprendre ce qui arrivait, et, quand la femme lui demanda ce qu’elle était supposée être, Joana ne savait pas quoi répondre, et pleura encore :

« Pitié, je ferai tout ce que vous voudrez, tout, mais ne faites pas de mal à ma famille… Mes enfants, Bobbie ! Laissez-les tranquille, et… Je ferai tout ce que vous me demanderez, je vous en supplie ! »

Qu’elles ne fassent rien à sa famille, surtout !

BOBBIE

Bobbie tremblait sur place. Elle était confuse, comme Joana… Mais de manière différente. Une soif écrasante pesait en elle, s’installant dans son corps, remontant dans sa chair, se concentrant autour de son bassin. Ces femmes… Elles avaient greffé sur elle, sur son corps, une verge ! Une verge ! Elle avait du mal à réfléchir, tant elle était excitée, et soupirait faiblement, en se dandinant sur place. Sous ses yeux, Maya ne cessait de sucer une queue, et ce n’était pas du chiqué. Ce qu’elle avait entre les jambes n’était pas un simple jouet. Pour le plaisir, Bobbie avait parfois porté la culotte. Elle avait une ceinture avec des godes qu’elle utilisait de temps en temps avec Joana. Elle ne pouvait pas nier adorer ça, mais elle n’aurait jamais imaginé aller jusqu’à porter un appareil de ce genre.

Et elle était là, avec une vraie queue !

*C’est impossible, c’est impossible… Mais ça fait trop mal pour être un rêve ou une hallucination !*

Oui, elle souffrait clairement en ce moment. Une souffrance lancinante qui se concentrait entre ses cuisses, et qui ne put que s’aggraver quand les femmes jouant avec elle appliquèrent une sorte d’objet, de cercle qui comprima sa verge.

« Hmmm… !! »

La jeune femme avait l’impression d’être là depuis des heures, et couina encore, se dandinant nerveusement sur place, avant que les lunettes ne soient enfin retirées. En sueur, elle contempla les deux femmes, sa queue l’élançant vraiment très douloureusement. Elle observa d’ailleurs encore son sexe, les yeux écarquillés.

« M-Mais c’est… C’est impossible, haaaa… ! »

Hélas, elles comptaient encore bien la faire souffrir, lui expliquant qu’il faudrait qu’elle se soulage avec Joana uniquement.

« Mais… Haaaa… Arrêtez ça ! »

Elles n’entendaient évidement pas lui obéir, et continuèrent au contraire, Maya s’agenouillant devant Jessica, qui était bien décidée à lui faire une petite démonstration, en l’occurrence une fellation. Bobbie ne put que déglutir, de plus en plus assoiffée, avec sa queue qui lui faisait de plus en plus mal.

De manière très simple, elle avait une envie furieuse de baiser quelqu’un !

JOYCE & SARAH

En évoquant Bobbie, Joyce espérait que Joana se montrerait plus coopérative, mais sa première réaction fut de supplier qu'aucun mal ne soit fait à sa famille. Des larmes coulaient le long de ses joues, que la femme du maire se dépêcha de venir essuyer.

« Allons Joana, inutile de pleurer. Aucun mal ne sera fait à vos adorables filles, nous ne sommes pas des monstres. En revanche, elles ont hâte de revoir leurs mamans, alors plus vite vous accepterez votre vraie nature, plus vite nous pourrons vous envoyer les retrouver. Quant à Bobbie, nous sommes en train de la rendre meilleure, comme vous. Et si vous ne voulez pas qu'elle souffre, vous savez ce qu'il vous reste à faire. »

Mais pour bien finir d'enfoncer le clou, Sarah se permit une intervention. Avant d'être une joyeuse femme au foyer, elle était psychologue et avait son propre cabinet à Chicago, mais elle passait tellement de temps avec ses patients que son mari avait fini par croire qu'elle le trompait. Heureusement pour lui, la crise économique les avait obligé à déménager à Stepford. Sarah se voyait déjà psychologue en titre de la ville, mais sa rééducation l'avait conduit sur un autre chemin. Maintenant, elle mettait le peu de connaissances qu'il lui restait au service de séances comme celles-ci.

« Si je peux me permettre... je crois qu'il est temps de passer au reconditionnement. »

Joyce sourit en grand. Utiliser le reconditionnement de Pavlov était une étape indispensable de la rééducation. Cela consistait à associer un son ou une sensation à une action pour que le cerveau finisse par les lier ensemble. Pavlov en avait fait la démonstration en faisant sonner une cloche chaque fois qu'il nourrissait son chien. Après quelques semaines, le chien salivait dès qu'il entendait la cloche même si sa gamelle était vide. Les deux femmes avaient l'intention de faire la même chose avec Joana, mais en utilisant quelque chose de plus rapide et de plus plaisant que de la nourriture.

Sarah prit un gros gode en plastique rose qu'elle donna à Joyce, et cette dernière le frotta contre l'antre intime de leur prisonnière, la faisant délicieusement mouiller.

« C'est agréable n'est-ce pas ? »

Sarah alla ensuite injecter une autre drogue dans le corps de Joana pou décupler sa sensibilité. En quelques secondes, elle se mit à mouiller abondamment, permettant ainsi à Joyce de lui rentrer complètement le jouet sexuel dans la chatte.

« Chaque fois que vous répondrez correctement à une question... »

Ce gode s'accompagnait d'une télécommande, que la femme du maire actionna pour le faire vibrer dans son antre intime.

« …vous aurez une récompense. »

L'idée était de la conditionner pour qu'elle associe le plaisir physique au fait d'être une bonne femme au foyer. Ensuite, il serait d'une simplicité absolue d'en faire la parfaite épouse.

« Et si nous voyons que vous êtes sur la bonne voie, nous vous emmènerons voir votre femme. Alors encore une fois, je vous écoute.
Un homme pour le travail... »

MAYA & JESSICA

Bobbie semblait avoir du mal à croire que son sexe soit devenu aussi imposant, mais ce n'était pas encore fini. Il devait bien lui rester encore quelques centimètres à prendre, d'où l'envie de Jessica de faire une petite démonstration. Maya n'avait pas perdu de temps avant de se mettre à genoux et de libérer le colosse du maillot de bain de la futa. Ses lèvres goulues entourèrent la verge juteuse qui s'offrait à elle, se dépêchant de se mettre à la sucer pour apaiser sa chaleur intérieure. Jessica soupira de plaisir en sentant son monstrueux vit se faire pomper, mais sans en oublier son invitée pour autant.

« Ouuuiii... voilaaa... ça c'est une bonne pipe. »

« Hhhmmm... »

« Mais pour que ce soit... aaahhh... encore meilleur, tu peux... haaannn... être un peu méchante... avec ta femme. »

Jessica posa ses deux mains sur la tête de son amante et força un peu pour pousser son sexe au fond de sa gorge. Maya fit des bruits humides de gargarisme mais parvint facilement à gérer cette grosse queue qui lui remplissait la bouche et la gorge.

« Il ne faut pas... que tu aies peur... hhhmmm... de la secouer un peu. Joana... aaahhh... sera entraînée... pour être une bonne amante. »

Et puis de toute façon, ce sera elle l'homme de leur couple, elle pourrait donc décider de la façon dont elle voudrait baiser sa femme. La satisfaire sera le seul désir de Joana. Et pour bien le montrer, Jessica libéra son sexe de la bouche de Maya pour qu'elle exprime son bonheur.

« Dis moi petite traînée... tu aimes quand je te viole la bouche... et que je te force... à avaler ma grosse saucisse jusqu'au fond... n'est-ce pas ? »

« Aaahhh... oui, maîtresse... c'est si bon. J'adore... votre bite. »

« Tu vois ? Tu te fais plaisir... et à elle aussi. »

Maya continua ensuite son œuvre, toujours avec l'intervention de Jessica pour être bien sûre qu'elle avalait le sexe de la futa le plus profondément possible. Il était flagrant que Bobbie souffrait à cause de son envie sans doute immense de baiser quelqu'un avec son nouveau jouet, mais elle n'aurait pas ce plaisir tant que Joana ne serait pas prête à la rejoindre. En attendant, elle devrait se contenter de regarder la femme du shérif se vider les bourses avec bonheur.

JOANA

Épuisée, terrorisée, Joana s’attendait au pire, à ce que ces folles la tuent, mais aussi ne s’en prennent à ses enfants. Elle tremblait en apprenant que Bobbie était en train de souffrir comme elle. Joana s’en voulait d’autant qu’elle n’avait pas cru sa femme quand celle-ci lui avait dit à quel point ces gens étaient dangereux. Tout ça, elle le méritait, mais elle ne voulait pas qu’on s’en prenne à ses proches ! Reprenant son souffle, elle entendit alors Sarah parlant de « reconditionnement », et déglutit doucement.

« Je vous en prie, arrêtez... » implora-t-elle, suscitant une pitié qui n’existait pas.

Son esprit avait du mal à comprendre le but de tout ceci. Joana n’était pas riche, elle n’était pas la riche héritière d’un multimilliardaire, pourquoi ces femmes lui faisaient tant de mal ? Elle vit alors Joyce récupérer un gros gode rose, qui luisait dangereusement, ce qui ne manqua pas de la faire frémir. Elle se débattit vainement, avant que Sarah ne s’approche avec une seringue, et ne la plante en elle. Un liquide se dilua, et la vision de Joana devint floue pendant quelques secondes. Elle trembla nerveusement sur place, avant que le gode ne s’enfonce en elle, lui arrachant un soupir. Ses joues rougirent, et elle sentit ses tétons durcir bien malgré elle.

Joana déglutit, essayant de comprendre ce qu’était cette drogue. Un aphrodisiaque ? Elle avait toujours cru que les drogues de ce genre étaient des hoax, et qu’il était impossible de confectionner un truc de ce genre... Mais elle était clairement en train de mouiller. Le gode s’enfonça donc en elle, et elle se débattit vainement, retrouvant un peu d’énergie, cherchant à le retirer, avant que Joyce ne commence à lui parler de nouveau. Elle lui demanda de compléter la phrase, et Bobbie enchaîna, indisciplinée :

« ...Arrêtez ça ! »

Sarah la frappa alors avec un fouet, qui claqua sur ses tétons, et lui arracha un hurlement. Bobbie se mit à pleurer, et eut droit à un nouveau séjour avec le casque de réalité virtuelle. Cette fois, toutefois, la situation était différente, car l’image que Bobbie voyait était projetée sur l’écran. Elles virent ainsi défiler les images usuelles, et, à cette idée, Sarah enclenchait le gode vibrant, quand il y avait des images d’une bonne ménagère, s’occupant des enfants, venant soulager la trique de son mari, et se faisant prendre par lui. Parallèlement, Joyce mit sur les tétons de Bobbie des espèces de patchs reliés à des électrodes, et, quand des images plus confuses apparurent, des images de femmes fortes, indépendantes, Sarah enclenchait les électrodes.

Un reconditionnement pavlovien ne se faisait pas en un claquement de doigts, il y aurait nécessairement un temps d’adaptation, que ce soit pour Joana, ou même pour Bobbie.

« Je pense que nous devrions l’installer dans la cuve, afin de commencer à transformer son corps. »

La transformation prendrait bien une heure ou deux, période pendant laquelle le film continuerait à se diffuser. Le plaisir affluait lors des périodes positives, et la douleur lors des périodes jugées négatives.

BOBBIE

Bobbie devait bien admettre qu’une torture de ce type était terriblement efficace. Aussi irréaliste que ce soit, elle avait une verge ! Une verge assoiffée et tendue qui ne cessait de se dresser, tandis que, devant elle, une scène obscène avait lieu. Une scène terriblement obscène, mais qui était étrangement de plus en plus excitante. Bobbie avait beau détourné la tête, elle ne pouvait s’empêcher de retourner les voir.  Jessica enfonçait son épaisse trique dans la bouche de Maya, qui couinait sur place. C’était une succession de gorges profondes très intenses, car Jessica n’hésitait pas à forcer le passage, atteignant la gorge de la femme, révulsant les yeux de Maya, qui les écarquillait, déglutissant tout en mouillant sur place. Même si Maya aimait coucher avec son mari, il n’y avait clairement rien de comparable avec Jessica ! Elle adorait lui faire l’amour, et elle était ravie de le faire avec du public !

Se surpassant, Maya sentait aussi que Jessica essayait de tenir le plus longtemps possible. Ses grognements, ses doigts se crispant sur ses cheveux, la manière dont elle remuait... Tout en elle témoignait de la soif qu’elle ressentait, de l’envie qu’elle avait de jouir en elle. Et Bobbie, elle, continuait à couiner. Cette torture était aussi atypique que redoutable, car elle commençait vraiment à avoir mal au sexe.

« Je... Je sais comment ça marche, haaa... »

Elle avait de grosses gouttes de sueur sur le front, continuant à se tortiller en place, tandis que Maya se masturbait, fantasmant déjà à l’idée qu’un jour, deux Futanaris viendraient la baiser ensemble ! Il n’y avait plus qu’à former ces deux nouvelles, à leur apprendre le mode de vie de Stepford...

...Et elles goûteraient à une vie de bonheur et de jouissance !

JOYCE & SARAH

Avec un gode télécommandé dans la chatte et des électrodes sur les tétons, Joana était parfaitement équipé pour le début de son reconditionnement pavlovien. Joyce lui avait laissé une chance d'échapper au pire, mais elle avait refusé de coopérer, alors Sarah lui fouetta les tétons avant qu'elle ne repasse par une nouvelle session de réalité virtuelle. Les images qu'elles voyaient s'affichaient également sur l'écran devant elle pour que les femmes de Stepford sachent quand la récompenser et quand la punir. Une femme au foyer faisant la cuisine ? Récompense. Une femme d'affaires ? Punition. Une séance de sexe torride entre mari et femme ? Grosse récompense. Une manifestation féministe ? Grosse punition.

Après quelques minutes, Sarah suggéra à Joyce qu'elles aillent mettre Joana dans la cuve pour procéder à sa transformation physique tandis que son reconditionnement avançait.

« Bonne idée ma chère, nous perdrons moins de temps. »

La cuve de transformation pouvait parfois mettre près de quatre heures à effectuer son travail, alors autant en profiter pour faire les deux choses en même temps, le résultat final arriverait plus vite. Joyce mit le film de Joana en pause mais sans lui enlever le casque VR pour autant.

« Écoutez moi Joana. Nous allons vous transporter jusqu'à une cuve dans laquelle vous allez être immergée pour au moins une heure. Ne vous inquiétez pas, tout se passera très bien tant que vous ne ferez rien de stupide comme essayer de vous enfuir ou de nous frapper. »

Dans son dos, Sarah lui injecta une autre drogue dans le corps.

« Comme ça, la transformation sera sans douleur. Et ça vous évitera de trop vous agiter. »

Le processus de transformation pouvait être très éprouvant pour le corps, le produit qui circulait maintenant dans le sang de la femme était assez puissant pour calmer ses douleurs durant le processus mais pas assez pour qu'elle perde connaissance, lui permettant de pleinement réaliser les changements qui allaient s'opérer sur son corps tandis qu'elle continuerait à regarder son film de reconditionnement.

Joyce et Sarah détachèrent Joana de sa chaise et l'aidèrent à marcher pendant que Joyce continuait à parler à sa prisonnière.

« Ne vous inquiétez pas Joana. Une fois que votre corps aura été transformé, vous vous sentirez bien mieux. Nous allons faire de vous un idéal féminin, Bobbie vous dévorera du regard. »

Elles arrivèrent ensuite dans une autre pièce, bien mieux éclairée que la précédente, avec un écran blanc pour projeter des choses et un grand panneau de commandes relié à ce qui était probablement la plus incroyable innovation technologique dans le domaine de la chirurgie esthétique : la cuve de transformation. C'était une cuve semblable aux chambres cryogéniques qu'on voyait dans les films de science-fiction qui fonctionnait grâce au panneau de commandes auquel il était relié. Il suffisait de rentrer dans les commandes les caractéristiques physiques que l'on souhaitait avoir, puis d'entrer la cuve. L'appareil scannait alors la personne pour voir l'écart entre son état actuel et le résultat souhaité et immergeait le patient dans un liquide chargé d'hormones pour procéder aux transformations souhaitées. Cet incroyable appareil avait été fabriqué par les hommes ayant initié le projet de rééducation des femmes de Stepford et il avait largement fait ses preuves. Son existence était un secret connu uniquement des habitants de la ville car ils ne voulaient pas que le monde découvre qu'une telle chose existait. On pourrait en faire un mauvais usage.

Joyce et Sarah installèrent un masque sur le nez et la bouche de Joana pour lui permettre de respirer pendant qu'elle serait immergée et mirent le casque VR dans une coque en plastique pour le protéger de l'eau. Une fois équipée, la femme fut placée dans la cuve et ses deux bourreaux allèrent préparer la configuration de la machine.

« Voyons... qu'est-ce qu'on pourrait changer chez elle ? »

« Ses cheveux. Son brun est trop terne, elle sera mieux avec des cheveux blonds. »

« Bonne idée. Et les allonger aussi. Ensuite... »

« Les lignes de sa mâchoire. Elle est trop carrée, il faut quelque chose de plus doux, de plus féminin. »

« Oui, c'est très bien. »

« Les yeux et la bouche sont bien, mais on peut lui affiner le cou. »

« Parfait. Bien sûr, on augmente son tour de poitrine. »

« Évidemment. Une femme au foyer digne de ce nom doit être bien fournie. »

« Et ne pas oublier les fesses. Je trouve qu'elle a le derrière un peu plat. »

« Quoi d'autre ? »

« Allongeons un peu ses jambes. Faisons-lui les cuisses bien en chair, ça ira avec son nouveau fessier. »

« Il faut changer ses pieds aussi, je doute qu'elle rentre dans des escarpins avec les pieds qu'elle a. »

« Et pour finir, éclaircir sa peau. »

« Voilà, c'est parfait. »

Les deux femmes lancèrent la machine et la cuve se remplit de liquide jusqu'à immerger complètement le corps de Joana. De leur côté, elles s'assirent devant l'écran qui projetait le film que leur invitée était en train de regarder et elles envoyaient les récompenses et les punitions quand il le fallait.

MAYA & JESSICA

Maya et Jessica donnaient de leur personne pour bien montrer à Bobbie que ce sexe qu'elle venait de gagner n'était pas forcément un mal, tout dépendait de la façon dont elle s'en servait. Certes, il lui faudrait un temps d'adaptation au quotidien, mais pour le sexe, c'était le pied. La futa remplissait la bouche de son amante avec son mandrin colossal, enchaînant les gorges profondes sans vraiment lui demander son avis, et la femme en était tellement heureuse que ses yeux partaient dans le vide et sa chatte mouillait abondamment. Elles avaient fait l'amour si souvent ensemble qu'elles savaient exactement comment faire durer les choses le plus longtemps possible pour mettre leur invitée au supplice. La femme membrée pouvait déjà voir la sueur couler sur son front, ses gestes frénétiques du bassin comme pour essayer de chercher un soulagement qui ne viendrait jamais et sa belle virilité qui prenait de plus en plus de volume. Elle devait vraiment avoir envie de faire l'amour à présent.

« Maya... hhhmmm... petite cochonne. »

Jessica avait remarqué que Maya avait commencé à se masturber, probablement impatiente à l'idée de pouvoir coucher avec une autre futa. Sa maîtresse se rappela à son bon souvenir en forçant encore un peu plus sur ses pénétrations buccales.

« C'est moi que tu suces ici, salope. Applique toi ou je te le ferai regretter. »

« HHHMMM ! »

Maya s'emballait un peu vite, Bobbie n'était pas encore prête pour coucher avec d'autres femmes que la sienne. Il fallait l'exciter au maximum pour que son premier orgasme la fasse définitivement basculer du bon côté de Stepford, mais il était important que ce soit Joana qui le lui donne. En attendant, elle était juste le témoin privilégié d'une bonne partie de jambes en l'air.

« Oui... comme ça... c'est bien... GGGAAAHHH !!! »

« HHHMMM !!! »

Jessica avait tenu aussi longtemps qu'elle le pouvait, mais la bouche de Maya était juste trop bonne. Elle jouit abondamment dans la gorge de la femme, la noyant sous un torrent de foutre liquide épais, mais la suceuse était habituée à ces éjaculations abondantes et avala tout sans le moindre problème. Elle laissa ensuite la futa sortir son mandrin de sa bouche, ce dernier étant toujours aussi imposant.

« Un autre avantage d'avoir un sexe masculin : tu peux bifler ta chérie. »

Jessica s'amusa à bifler Maya avec sa queue en rut, un plaisir pour les deux femmes puisque la soumise adorait quand sa maîtresse la dominait avec des gestes de ce genre.

« Tu aimes ça, hein ma coquine ? »

« Oh oui maîtresse. Aaahhh... giflez moi encore... avec votre saucisse. »

Mais il ne fallait pas oublier de faire participer Bobbie. La futa s'approcha donc d'elle et se mit à son tour à la bifler pour qu'elle voie d'elle-même ce que ça fait.

« Bien. Maintenant tu as le choix. Soit tu ouvres gentiment la bouche pour goûter ma queue... »

Elle approcha son sexe de ses lèvres en appuyant un peu pour tenter de forcer le passage.

« … soit je t'oblige à l'avaler. Et crois-moi, tu ne vas pas apprécier. »

JOANA

Joana n’était plus en état de lutter, ou de se battre. Quand les deux femmes l’emmenèrent, elle était ébranlée par tout ce qu’elles lui faisaient, et ne réagit que très mollement, avant de se retrouver immergée dans la cube. Et, le temps qu’elle commence à réagir, on approchait déjà un masque de sa bouche.

« J-Je, non, ne... Ne faites pas ça, pitié... » s’exclama-t-elle d’une faible voix.

Évidemment, il n’y eut aucune écoute, et le masque se posa sur les lèvres, puis la cuve fut refermée. Les deux femmes la redressèrent ensuite, et le masque de RV rediffusa à nouveau les images, tandis que la cuve alla se remplir d’un liquide très particulier, qui la fit frissonner. Une ceinture métallique s’approcha ensuite, avec deux vibromasseurs à l’intérieur, et s’enfoncèrent dans son vagin et dans son fondement. Des sangles retenaient ses jambes et ses bras, et Joana se mit à gémir, se tortillant sur place, ses cris étouffés dans la cuve cryogénique. Elles l’avaient drogué, piqué, et Joana n’arrivait tout simplement plus à lutter. Elle errait donc dans la cuve, pendant que, de leur côté, les deux femmes modifiaient son corps, grâce à cette cuve surnaturelle, qui se mit à vibrer intensivement.

Joana, à l’intérieur, continuait à se tortiller sur place. Immobilisée, elle sentait les vibromasseurs la prendre régulièrement, tandis que les électrochocs venaient également, afin de la reconditionner. Un réflexe pavlovien l’amena à avoir, au bout d’un quart d’heure, son premier orgasme, tandis que, même avec la cuve et le liquide anesthésiant, elle sentait les évolutions de son corps, les transformations. Elle gémit encore doucement, se dandinant faiblement sur place, tandis que la ceinture, abritant en elle des poches de sperme synthétiques, se déchargea dans son corps. Devant elle, elle voyait un homme lui faire l’amour, mais il y avait encore, chez Joana, une sorte de blocage inconscient, de réflexe qui amena la machine à changer de programme, et à opter pour une femme équipée d’un gode, qui venait la sodomiser, ou la baiser. Puis une autre femme la rejoignit, et l’appareil trouva finalement le bon rythme, calquant les sensations de la ceinture avec l’image. Une véritable simulation, mille fois plus réaliste qu’une séance au cinéma dans une salle équipée de la technologie IMAX. Joana continuait à gémir, à se tortiller, tandis que, peu à peu, son corps se transformait...

...Jusqu’à atteindre sa nouvelle apparence. Peu à peu, la cuve se vida, libérant le liquide, tandis que des alarmes et des voyants signalaient le changement du corps de la femme. La ceinture se retira ensuite, puis la porte s’ouvrit lentement. De la fumée s’en échappa, et les liens retenant Joana se retirèrent. La jeune femme tomba en avant, et serait bien tombée par terre si Joyce et Sarah ne la réceptionnèrent pas.

« Haaaa... »

Joana éternua un peu, tremblant nerveusement sur place. Que s’était-il passé pendant tout ce temps ? Quels changements psychologiques avaient bien pu avoir lieu dans la tête de Joana ? Elle se pinça les lèvres en regardant les deux femmes, et ce n’était clairement pas avec le même regard de bravade qu’auparavant. C’était au contraire un regard... Assoiffé.

« Je... Ramenez-moi auprès de ma femme, que... Je veux me soumettre à elle... ! »

BOBBIE

Lutter contre ces femmes, lutter contre cette pulsion qui croissait en elle... La tâche semblait être tout simplement de plus en plus impossible. Elle soupirait longuement, en sueur, tremblant nerveusement sur place, et observait, devant elle, Maya & Jessica. Les deux femmes perverses continuaient à se faire l’amour. La séance était tout simplement surréaliste, mais aussi incroyablement excitante. Trop excitante ! Bobbie ne tenait plus sur place, elle haletait longuement, en sueur, surtout quand elle entendit les deux femmes s’adonner au plaisir suprême. Jessica se crispa en jouissant, balançant sa purée dans la bouche de Maya, jouissant copieusement, puis se rapprocha ensuite de la femme.

Bobbie avait du mal à parler, et avait même les larmes aux yeux. Elle vit alors ce sexe se rapprocher d’elle, un mandrin qui semblait bien trop réel pour être un faux. Elle sentait l’odeur, elle en percevait la puissance, la vitalité... Elle se mit à rougir, entrouvrant les lèvres, une lueur de possédée venant illuminer ses yeux. En d’autres circonstances, elle aurait repoussé cette femme, elle aurait rejeté cette infidélité... Mais sa queue était bien trop dure, bien trop douloureuse, et, presque instinctivement, elle s’y attaqua, venant lécher ce beau membre.

« Hm-Hmmm, Maî-Maîtresse, haaaa... »

Ah, que c’était bon ! Mais qu’est-ce qu’elle pouvait avoir mal ! Elle avait lâché spontanément ce mot, comme si tout était en train de s’écrouler chez elle. Mais, honnêtement, pourquoi chercher encore à lutter dans de telles conditions ? Elle n’était tout simplement plus en état de faire quoi que ce soit, si ce n’est subir, en espérant qu’en se montrant sagement obéissante, Jessica accepterait enfin de la soulager de sa tension.

JOYCE & SARAH

Avec Joana immergée dans la cuve, Joyce et Sarah ne pouvaient rien faire d'autre qu'attendre et contrôler de temps en temps que les machines reliées à leur prisonnière ne faisait pas n'importe quoi. La transformation physique avançait bien, mais quelque chose dans le psyché de la femme continuait de bloquer le processus de rééducation.

« C'est comme si elle refusait l'image de l'homme. »

« Oh, j'ai une idée. »

Sarah changea de vidéo pour remplacer l'homme par une femme utilisant un gode-ceinture, et les résultats furent tout de suite plus encourageants.

« Joana est lesbienne. Nous devons nous adapter à elle. »

Les heures défilèrent et la cuve fit son office. Le corps de Joana se transforma sous l'effet des hormones jusqu'à atteindre l'apparence finale souhaitée par les femmes de Stepford : une blonde à la plastique de rêve qui ferait saliver d'envie toute personne attirée par les femmes. Une fois le processus terminé, la cuve se vida et les responsables allèrent accueillir leur invitée à la sortie.

« Comment vous sentez-vous Joana ? »

« Vous allez sans doute être désorientée pendant quelques minutes, c'est nomal. Il vous faut le temps de vous adapter à votre nouveau corps. »

Elles observèrent les yeux de Joana et virent qu'elle ne les observait plus avec défi et bravade, mais avec une profonde envie, et elle prononça enfin les mots que les deux femmes attendaient depuis si longtemps.

« Je... Ramenez-moi auprès de ma femme, que... Je veux me soumettre à elle... ! »

Enfin, elle était prête à obéir.

« Mais bien sûr Joana. Nous allons vous mener à elle. »

« Enfliez ça d'abord. »

La femme du maire passa à son invitée un mini-string noir qui lui cachait juste l'intimité et mettait en valeur ses jolies fesses bombées.

« Vous devez être belle pour votre femme et garder un peu de mystère. »

Il fallait battre le fer tant qu'il était chaud, alors Joyce et Sarah se dépêchèrent de conduire Joana auprès de sa femme pour qu'elle puisse accomplir son devoir d'épouse et qu'elle franchisse ainsi le point de non-retour.

MAYA & JESSICA

Bobbie était peut-être une femme forte et indépendante, mais personne ne peut résister au besoin de satisfaire ses pulsions éternellement. Maya et Jessica lui avaient offert un spectacle digne d'un film X et sa queue devait fortement l'élancer à présent. Du coup, quand Jessica présenta son sexe devant la bouche de la nouvelle futa, elle ne fut qu'à moitié surprise de la voir obéir docilement et accueillir cette saucisse dans sa bouche. Ses joues étaient bien rouges, son regard était celui d'une femme assoiffée qui ne demandait qu'à être comblée, la seule surprise fut quand elle appela la blonde maîtresse.

« Oui ma chérie... appelle moi encore maîtresse, c'est bien. »

Les coups de langue de Bobbie étaient hasardeux, mais on pouvait mettre ça sur le compte de l'inexpérience et de son évidente tension. Elle avait envie d'être soulagée, mais seule sa femme pouvait lui donner ce dont elle avait besoin. Et justement, Maya reçut un SMS sur son portable de la part de Joyce qui lui indiquait leur arrivée imminente.

« Jessica, regarde ça. »

En voyant le SMS, la futa se réjouit. Le fait que Bobbie l'ait appelé maîtresse et qu'elle la lèche de la sorte sans protester était la preuve qu'elle était prête. Elle éloigna sa queue de la bouche de la femme rebelle et lui annonça la bonne nouvelle.

« Ma chère Bobbie, il est temps pour vous d'être récompensée pour votre obéissance. »

Elle alla lui chuchoter la suite à l'oreille.

« Nous vous amenons... votre femme. »

Quelques minutes plus tard, Joyce et Sarah entrèrent avec Joana et la guidèrent jusqu'à sa femme. Les compagnes semblaient heureuses de se retrouver, mais était-ce pour les bonnes raisons ou bien parce qu'elles planifiaient leur évasion ?

« Joana, je vous présente Bobbie. Bobbie, je vous présente Joana. »

« Vous avez dû beaucoup vous manquer. Surtout n'hésitez pas à laisser votre joie éclater sans retenue. »

Au cas où, les quatre femmes de Stepford se tenaient quand même prêtes à intervenir.

C’était un succès ! Difficile de croire que Joana ou Bobbie n’allaient pas rechuter, mais, pour l’heure, les deux étaient transformées. Joana enfila, en plus du string noir, une paire de séduisants collants, protégeant ainsi ses pieds. Impatiente, elle se sentait totalement revigorée, et on lui présenta ensuite sa femme. Les joues rouges, Bobbie était méconnaissable. Les femmes s’écartèrent alors, tandis qu’un lit se trouvait à proximité.

« Bobbie, mon amour...
 -  Jo-Joana... »

Elle se dandina doucement sur place, serrant les liens la retenant. Joana s’avança alors, optant pour une démarche sensuelle, son regard se rivant sur la queue de Bobbie. Elle s’agenouilla ensuite devant elle, et caressa son sexe, se mordillant les lèvres devant ce membre. Un frisson traversa le corps de Bobbie à ce contact, et Joana sourit encore, puis alla embrasser ce sexe, reniflant son odeur, cette odeur de sexe et de sueur, la trouvant... Irrésistible. Sa langue remonta sur la hampe de chair, glissant encore dessus, et elle sourit encore, une lueur malicieuse dans les yeux.

« Ma pauvre, c’est de ma faute, j’aurai dû être là pour toi bien avant, Bobbie...
 -  Hmmmm... »

Difficile de dire à quoi Bobbie devait songer, tant sa queue lui faisait mal. Et Joana en avait bien conscience, qui fit qu’elle attrapa rapidement le chibre de sa femme, à la base, et ouvrit bien grand la bouche. Bobbie gémit ensuite quand Joana se mit à pomper son dard. Elle en aurait presque pleuré de joie tant cette fellation lui fit du bien. Elle attendait cela depuis des heures, après tout ! Une vive vague de plaisir vint la traverser. Il ne lui fallut que quelques instants pour jouir enfin, et ce fut une véritable délivrance !

Joana écarquilla les yeux en sentant le sperme fuser dans sa bouche. Sa femme hurla en ayant un orgasme, et se calma ensuite... Restant toutefois avec une verge bien dure. Quant à Joana, elle avala avec plaisir son sperme, déglutissant sur place, puis l’observa encore, les yeux luisant de plaisir.

« Tu vas mieux, Bobbie ?
 -  Je... »

Bobbie soupira à nouveau, et se pinça les lèvres. Joana alla libérer enfin ses bras, et croisa son regard avec celui de sa femme. Un léger moment de silence eut lieu entre les deux... Puis Bobbie se redressa brusquement, et l’embrassa. Un baiser fiévreux et intense, où leurs langues se mélangèrent l’une à l’autre, la queue érigée de Bobbie allant s’appuyer contre ses cuisses.

« Mets-toi sur le lit, Joana, que je te baise bien fort... »

Et Joana sourit, avant de lui répondre, ce qui ne manquerait sûrement pas de satisfaire les quatre ménagères veillant sur elles :

« Tout ce que tu voudras, ma chérie ! »

Quelles émouvantes retrouvailles. Joana et Bobbie avaient été séparées pendant des heures qui avaient dû leur paraître des jours, mais maintenant elles étaient ensembles et elles allaient pouvoir se laisser aller à la luxure. Cependant, les femmes de Stepford ne relâchaient pas leur vigilance et se tenaient prêtes à les séparer si cela s'avérait nécessaire. Mais vu l'état dans lequel elles étaient, il y avait quand même peu de chances qu'elles essaient de s'échapper.

Joyce, Sarah, Maya et Jessica regardèrent avec bonheur la façon dont leur nouvelle amie blonde se mit immédiatement à genoux pour caresser et lécher le sexe tendu de sa femme. Joana était méconnaissable avec sa nouvelle apparence, juste vêtue d'un string et de collants, mais Bobbie ne sembla pas s'en soucier outre-mesure. Tout ce qui devait compter pour elle à cet instant, c'était que quelqu'un allait enfin s'occuper de sa queue. Maya frémit en voyant la blonde ouvrir la bouche pour pomper ce dard tendu et veineux, se disant qu'elle aurait adoré être à sa place pour goûter à la première décharge. Et quand elle vit la futa jouir en criant et son sperme juter dans la bouche de sa femme, elle ne put retenir un spasme de plaisir qui lui fit gicler un peu de mouille sur le sol.

« Aaahhh... »

Après ce premier orgasme, Jessica sourit en se disant que son travail avait enfin porté ses fruits, et que la rousse venait de franchir un point crucial dans sa rééducation. Maintenant qu'elle avait goûté au plaisir de l’éjaculation masculine, elle allait en vouloir plus et elle ferait tout ce qu'il faut pour y avoir droit. Quand Joana détacha sa femme, Joyce hésita à aller les séparer pour que les choses n'aillent pas trop vite mais Sarah les en empêcha.

« C'est leur phase de récompense. Laissons-les faire un peu et voyons où ça nous mène. Il sera toujours temps de les arrêter après. »

« Bien. C'est toi l'experte. »

Le couple fraîchement transformé échangea un baiser sulfureux avant que Bobbie ne demanda à sa femme d'aller s'allonger sur le lit à proximité qu'elle puisse la baiser bien fort. Et la réponse de Joana fit bien sourire les ménagères.

« Excellent. Les choses progressent comme nous le souhaitions. »

« Hhhmmm... »

Maya était en chaleur après avoir vu les deux femmes échanger cette belle fellation, et Jessica ne resta pas insensible à sa détresse. Elle alla poser une main sur son cul et l'autre entre ses jambes.

« Alors ma chérie, on a du mal à se tenir à ce que je vois. »

« Ooohhh... pardon maîtresse. Je suis désolée... haaannn... d'être une telle salope. »

« Ne t'inquiète pas, je sais quoi faire avec les traînées dans ton genre. »

La futa fit avancer son amante en lui mettant une bonne claque sur le cul et la guida jusqu'au lit, l'installant face à Joana et Bobbie en position de levrette.

« Je vais te montrer comment bien utiliser ta queue quand tu sautes ta femme, Bobbie. »

Jessica commença par mettre quelques fessées à Maya histoire de la rendre encore plus humide qu'elle ne l'était déjà, puis elle guida sa queue vers son antre intime.

« Allez petite cochonne, supplie pour avoir mon sexe comme tu sais si bien le faire. »

« Aaahhh... maîtresse... je vous en prie... fourrez moi la chatte... avec votre bonne grosse bite... hhhmmm... bien juteuse. Faites moi hurler... comme la grosse salope que je suis... aaahhh... et montrez aux autres... à quel point j'aime être... ooohhh... votre vide-couilles. »

« Parfait. »

Et Jessica enfonça sa verge dans la chatte de Maya pour commencer à lui faire l'amour. De leur côté, Joyce et Sarah s'abstenaient car elles n'avaient pas le droit de s'ébattre entre femmes, mais leur envie n'en était pas moins stimulée.

« Aaahhh... quand la rééducation sera terminée, j'irai retrouver mon mari. »

« Moi aussi. Mon Roger chéri sera sûrement ravi de notre réussite, j'espère qu'il me baisera pendant des heures. »

Bobbie et Joana étaient comme transcendées toutes les deux. Les traitements subis avaient porté leur fruit, surtout sur Joana. Initialement, c’était plutôt elle qui portait la culotte dans le couple, elle qui cherchait du travail, qui se heurtait aux autres. Les traitements physiques et hormonaux qu’elle avait subi venaient de la transformer, et elle était, face à sa femme, terriblement heureuse, avec une envie incroyable de la satisfaire. Voir sa femme en souffrance, en état de frustration sexuelle, lui était intolérable, et elle se mit donc en levrette, avant de voir Bobbie se rapprocher. Elle frémit en sentant la queue de Bobbie caresser ses fesses. Quant à Bobbie elle-même, son sexe l’élançait douloureusement, et elle était tout simplement incapable de penser à autre chose.

« Tu es si belle, Joana...
 -  Je le suis pour toi, mon amour ! »

Elles n’avaient pas encore vraiment pris conscience qu’elles n’étaient pas seules, jusqu’à ce que Jessica & Maya ne s’approchent. Les deux femmes les regardèrent s’installer à côté d’elles, Jessica venant donner quelques leçons à Bobbie sur la meilleure manière de pénétrer sa femme. Les autres ne le réalisaient peut-être pas encore, mais la présence de Bobbie et de Joana risquait ensuite de changer les choses, car, même avec leurs transformations, elles étaient restées lesbiennes.

Jessica pénétra alors Maya, et les deux femmes les regardèrent... Puis Bobbie donna une belle claque sur le joli cul de Joana, ce qui arracha un cri de plaisir à cette dernière. Elle lui ordonna alors de se déplacer, et Joana remua donc, avançant à quatre pattes pour se mettre face à Maya.

« Tu es si perverse, Bo... »

Une nouvelle claque s’abattit sur ses fesses.

« Maîtresse, ma petite salope... Et tu dois me vouvoyer, comme la belle pute que tu es.
 -  O-Oui, Maî-Maîtresse, pardon Maîtresse ! »

Bobbie la gifla sur les fesses, comme pour la punir, puis malaxa ensuite son délicieux cul. Sa femme était différente que dans ses souvenirs, mais Bobbie ne s’en familiarisait guère, la trouvant plus belle ainsi... Et, comme Joana, Bobbie avait été réécrite aussi, ce qui expliquait aussi pourquoi rien ne la choquait. Joana, de son côté, gémissait sur place, son visage proche de celui de Maya, et l’embrassa alors, au moment où sa femme, désormais sa Maîtresse, enfonça sa trique dans son corps.

Elle couina sur place en sentant sa queue heurter ses lèvres intimes, s’enfonçant dans sa chatte, mouillant furieusement. Bobbie ressentait une joie infinie à l’idée d’offrir son corps à sa femme, de s’offrir à elle, et de partager cela avec les autres femmes du groupe. Elle embrassa donc Maya sans hésitation, jouant de sa langue avec la sienne.

Oh, comme tout cela était bon !

Les femmes de Stepford contemplaient avec bonheur le résultat de leurs efforts acharnés. Enfin, Joana et Bobbie se comportaient comme un couple normal dans cette ville : l'une portant la culotte et imposant ses désirs, l'autre soumise et heureuse d'obéir à sa conjointe. Jessica commençait à pénétrer Maya lorsque Joana se mit en mouvement, s'approchant de la femme jusqu'à pouvoir l'embrasser. Leurs lèvres collées, elles se laissèrent aller à une délicieuse et passionnelle danse buccale tandis que leurs amantes respectives les sautaient avec leurs verges colossales. Bobbie avait même fait un progrès dans l'évolution de sa façon de penser puisqu'elle obligeait sa femme à l'appeler maîtresse et à la vouvoyer.

Oui... tout se passe comme prévu.

Sarah voyait l'esprit de la rouquine chavirer dans la direction exacte où elle voulait l'amener, et avec une facilité presque déconcertante. Certes le traitement des deux femmes avait pris un long moment, mais les voir passer de rebelle à obéissante aussi vite montrait que leur programme de reconversion s'améliorait d'année en année. La prochaine femme à passer entre leurs mains serait rééduquée en un temps record.

Jessica se félicitait de voir ce qu'elle avait réussi à faire avec Bobbie. Elle était également heureuse de voir qu'elle n'était plus la seule futanari de la ville. Elle allait pouvoir renouveler son activité de coach bien-être en proposant à ses clientes de nouvelles offres d'activités, et elle se sentirait moins seule dans son quotidien. La femme avait beau avoir un mari aimant et des amies qui la soutenaient dans les moments difficiles, elle s'était toujours sentie un peu solitaire du fait qu'elle était la seule femme membrée de Stepford et probablement des environs. Mais maintenant, elle avait quelqu'un avec qui partager les bons et les mauvais moments de sa condition, une amie à qui elle pourrait également faire partager son expérience afin que ses premiers jours avec ce nouveau sexe se passent mieux que les siens.

« Aaahhh... Bobbie... ma chère... je ne vous l'ai pas dit avant, mais... gggaaahhh... vous êtes très sexy... dans cette guêpière. »

Dire qu'elle avait failli appeler la police la première fois que Joyce lui avait proposé de l'enfiler, et voilà que maintenant elle faisait l'amour à sa femme en la portant.

« Et moi maîtresse ? Hhhmmm... est-ce que je suis... sexy ? »

Maya ne voulait pas que sa maîtresse l'oublie, et cette dernière lui répondit avec une fessée bien sonore sur son cul.

« Silence chienne ! Les salopes comme toi... haaannn... ne sont pas sexy... elles sont bandantes. Tu devrais le savoir... ooohhh ! »

« Oui maîtresse... je suis super bandante ! Kkyyaahh ! »

Jessica allait se faire plaisir à sauter cette cochonne de Maya sous les yeux de Bobbie, qui allait pouvoir en apprendre beaucoup sur la façon dont elle devait faire l'amour à Joana maintenant qu'elle portait la culotte dans le couple.

C’était un jour nouveau, les débuts d’un tout nouveau chapitre dans l’existence de Bobbie et de Joana. Elles avaient rejoint Stepford, elles avaient enfin rejoint cette ville, elles avaient adhéré à son esprit communautaire, à tout ce qui faisait de Stepford une ville brillante et accomplie. Elles étaient donc là, Bobbie et Joana, se faisant l’amour sur le lit, face à Jessica et Maya, deux de leurs guides. Plus de haine, plus d’hostilité, plus d’opposition farouche, juste la douce et joyeuse acceptation, juste le plaisir, rien que le plaisir et la félicité, la félicité et le bonheur ! La trique de Bobbie s’enfonçait dans le con de Joana, qui couinait sur place, gémissant doucement, recevant une série de fessées appuyées sur ses fesses, faisant doucement rebondir son délicieux cul rebondi. Les fessées la faisaient couiner, gémir doucement, et elle soupira à nouveau, crispant ses doigts sur le lit, voyant Maya devant elle, qui demandait également si elle était sexy, ce qui donna lieu à une grosse claque.

Les deux Futanaris se faisaient plaisir, prenant leurs marques, et, pour Joana, c’était délicieux. Jamais ce sentiment d’accomplissement, jamais cette sensation de se rendre utile, de servir et d’honorer sa femme, n’avait été aussi intense en elle ! En ce moment, elle n’avait aucune envie de rébellion, aucune velléité quelconque, juste une onde diffuse et unique de plaisir et de satisfaction personnelle qui se répandait en elle, et ce au fur et à mesure que sa partenaire continuait à la prendre, à la faire gémir, à la bourrer sans relâche.

« Hmmm...
 -  Oui, hmmmmpfff, c’est... C’est si bon, haaaa... Je... Je n’aurai jamais cru pouvoir... Ressentir un tel plaisir ! »

Et une nouvelle claque résonna, faisant couiner Joana. Se trouvant à côté de Maya, son front heurta le sien, et Joana alla lui voler un premier baiser. Ce baiser fut assez maladroit, témoignant de leur hâte mutuelle et respective, et elle se reprit ensuite, plaquant sa bouche contre la sienne, faisant désormais durer le plaisir. Les deux soumises s’embrassant sous les yeux de leurs Maîtresses pendant qu’elles se faisaient joyeusement baiser... Quel magnifique spectacle !

Plus le temps passait, et plus Joana et Bobbie semblait être douées, comme si elles étaient naturellement nées pour ça, comme si elles appréciaient naturellement et spontanément le fait de s’envoyer en l’air ainsi. Couinant sur place,  Joana alla jusqu’à mordiller la lèvre inférieure de Maya, tirant dessus, ce qui offrait à Bobbie un spectacle des plus désirables. Loin de se sentir envieuse, elle avait au contraire l’envie folle de faire partager son amour avec le reste de la communauté... Ce qu’elles faisaient d’ailleurs en ce moment.

« Ouiii, hmmm... Oh, Jessica, je... Haaaa... Je vais adorer m’intégrer ainsi à notre communauté, haaaa... !! »

Il fallait qu’elle le dise !

Non seulement Jessica se faisait plaisir en sautant Maya sans retenue, mais en plus elle se délectait de voir Bobbie et Joana comprendre enfin ce qu'il y avait de merveilleux à vivre à Stepford. Pour Joana, cela signifiait la fin des angoisses et des tracas de la vie active, elle allait devenir une douce et attentionnée femme au foyer qui ne se soucierait que du bien-être de sa femme. Pour Bobbie, c'était le début d'une toute nouvelle vie en tant que chef de famille. Ça allait être difficile au début, mais elle pourrait compter sur le soutien indéfectible de sa femme et de sa nouvelle amie futa. De plus, elle semblait plus que prête à s'intégrer à la communauté.

« Oui Bobbie... hhhmmm... j'ai hâte de te voir... prendre part... à nos activités. »

En tant que membre actif du couple, Bobbie aurait moins de temps pour prendre part aux activités telles que le club féminin, mais elle pourrait toujours participer aux pique-niques, aux ventes de charité et aux autres choses se déroulant en dehors de son temps de travail. En revanche, Joana, la femme au foyer, allait devoir s'investir dans toutes les activités de quartier qu'on allait lui proposer, et Maya savait déjà qu'elle le ferait avec le sourire puisqu'elles étaient toutes heureuses d'y prendre part et que maintenant, Joana était l'une des leurs.

« Ooohhh oui... ma petite Joana... tu vas adorer... le club féminin... haaannn... et tout le reste. »

Sa femme n'avait pas accroché lors de sa première visite, mais nul doute que la ménagère allait adorer. En attendant, elle prenait son pied à se faire pénétrer par la verge nouvelle formée de sa femme tout en partageant des baisers sulfureux avec Maya.

« Hhhmmm ! »

Jessica continua à farcir le con de sa salope préférée tout en enchaînant les fessées sur son cul rebondi, jusqu'à atteindre l'orgasme et à se vider les bourses dans son antre intime. Mais même après avoir joui, elle continua à la sauter avec autant d'enthousiasme.

« Tu vois Bobbie... on apprécie encore mieux d'avoir une verge... quand on a une belle femme... un peu salope... à baiser. Comme Maya... ou ta femme. »

Bobbie allait vite apprendre ce que cela voulait vraiment dire d'être mariée avec une épouse de Stepford.

Bobbie et Joana y allaient clairement à fond. Elles se libéraient pleinement dans ce qu’elles faisaient, dans cette activité sexuelle, comme deux femmes libérées, renouvelées, qui accepteraient leur plein potentiel. Mais, en introduisant ces deux femmes dans leur communauté, il était peut-être à craindre que Stepford n’ait fait entrer les louves dans la bergerie, car, malgré leur transformation, elles restaient toujours aussi lesbiennes… Mais avec une claire attirance pour l’hermaphrodisme. À quatre pattes sur le lit, Joana hurlait son plaisir, entrecoupé par les multiples baisers qu’elle partageait avec Maya, des baisers fiévreux et humides où sa salive se mélangeait à la sienne, où sa langue jouait avec la sienne.

« Hmmm… »

Sous ce rythme effréné, ce plaisir intense, Bobbie finit par contracter un orgasme. Sa queue tressauta dans le corps de sa partenaire, et elle se relâcha copieusement, balançant des filaments de foutre dans le corps de sa partenaire. Un joyeux orgasme, libératoire et jouissif, qui la remplit de bonheur, ainsi que Joana, qui ne put que jouir en sentant le sperme de sa chérie dans son corps. Après tout, c’était là l’unique objectif dans la vie de Joana : offrir à sa femme son plaisir, être attentive à ses besoins, éduquer leur famille, et toujours obéir à sa femme. Elle ne se révolterait jamais contre elle, et serait son sac à foutre personnel. Et, même si Bobbie allait voir d’autres femmes, Joana en serait ravie aussi, même si elle comptait faire tout ce qui était en son pouvoir pour que sa femme continue à la baiser chaque soir.

Avec grand plaisir, Bobbie jouit donc, balançant des filaments de foutre dans le corps de sa partenaire. C’était un spectacle délectable, très agréable. Elle gémissait doucement, lèvres entrouvertes, tout en sentant de multiples frissons la traverser sous cet orgasme. Après tout, c’était la première fois qu’elle expérimentait un orgasme masculin, et c’était… À la fois similaire et différent qu’un orgasme féminin. Elle n’aurait pas trop su dire en quoi, mais c’était particulièrement jouissif. Tout son corps se comprimait autour de sa queue, et il y eut ensuite une agréable vague de relâchement, qui la saisit de plein fouet.

Elle observa ensuite son amante, libérant son sexe de son corps. Très naturellement, Joana alla lécher sa queue, gémissant doucement.

« Laisse-moi la nettoyer, hmm…
 -  Oh, Joana, hmmm… Tu es une épousée très dévouée, ma belle… »

Le fait est qu’en la nettoyant ainsi, en frottant sa langue et ses joues, Joana risquait de déclencher une nouvelle érection sur la queue de Bobbie. Mais c’était peut-être là l’objectif recherché, après tout…

Alors que Jessica se faisait plaisir à sauter Maya, elle pouvait aussi observer avec quelle passion Joana et Bobbie découvraient leur nouvelle relation de couple. Après son orgasme, la futa sortit sa queue du corps de sa femme, et cette dernière alla très naturellement lécher sa queue, lui montrant à quel point elle était devenue une épouse dévouée et attentive.

Qu'elles sont mignonnes toutes les deux.

Cela rappela à Jessica d'agréables souvenirs de sa première fois en tant que futa. C'était avec l'une des femmes de Stepford, une épouse qui était arrivé depuis peu et qui venait juste de terminer sa rééducation. Elle voulait apprendre à devenir une meilleure amante, mais elle ne pouvait pas coucher avec un autre homme que son mari, elle avait donc imploré la futa de devenir son coach sexuel. Après une nuit entière de débauche et de coït sauvage, la femme avait beaucoup appris et Jessica avait trouvé sa nouvelle vocation.

« Aaahhh... maîtresse... moi aussi... je veux nettoyer... votre queue. »

« Hhhmmm... pourquoi pas ? »

La femme délogea sa verge de son intimité humide et regarda son amante se tourner vers elle, à quatre pattes, approchant son visage de sa saucisse bien tendue. Tout comme Joana avec Bobbie, Maya frottait sa langue et ses joues contre le sexe encore dur de Jessica, le rendant encore plus dur.

« Ooohhh... Maya... ma chérie... »

« Oui Jessica... hhhmmm... je suis ta chérie. »

Même si la relation entre les deux femmes était principalement physique, elles aimaient tellement faire l'amour ensemble qu'elles en étaient devenues intimes émotionnellement. Elles connaissaient des choses l'une sur l'autre que même leurs maris ne connaissaient pas. C'était des amies au sens physique du terme.

Bien qu'heureuse de jouer avec Maya, Jessica n'en oubliait pas Bobbie pour autant. Il fallait la garder dans son nouvel état d'esprit, et c'était un travail de tous les instants.

« Dis moi Bobbie... hhhmmm... que penses-tu... des prouesses sexuelles... de ta femme ? »