La pratique du sport est une des rares activités que Seki pratique avec un certain plaisir. Pas tous les sports, les sports en équipe ne l'attirent que peu, mais la pratique du fitness est quelque chose qu'elle apprécie. Pouvoir être seule, concentrée sur ses mouvements, sur quelque chose qui lui permet d'ignorer, sans forcément vexer, les autres. Bien sur, une belle jeune femme risque de temps en temps d'attire l'attention d'hommes, qui se croient dans l'obligation de venir lui expliquer comment se tenir pour tel ou tel exercice. Seki n'est pas une pro du fitness, mais étant donné qu'elle en apprécie la pratique elle s'est montrée plus qu'attentive lorsque le responsable de la salle lui a expliqué quels mouvements faire et ceux à éviter. Donc elle n'a pas besoin de l'assistance de ces hommes. D'ailleurs son comportement fait que dans la plupart des cas, ces derniers finissent par la laissé.
Cela faisait 2 heures que Seki transpirait, sur les engins de torture, qui devaient lui permettre de garder sa silhouette el raffermir ses fesses et abdominaux. En toute honnêteté, la jeune femme n'en avait nullement besoin. Mais la dépense d'énergie, la mettait dans un état de léthargie, fatigue, qui lui arrivait d'apprécier. Ou bien était-ce seulement le fait des hormones que son corps générait. Peu importe, après l'effort un autre réconfort, la douche. La salle était presque vide, il ne devait rester que quelques personnes, tous des hommes. Notre belle amie, se dirigea vers les vestiaires réservés aux femmes. Elle fut accueillit par le silence, on pouvait entendre au loin, le bruit des quelques appareils encore utilisés. Le système de ventilation avait dut s'arrêter ou était en panne, on pouvait ressentir une certaine humidité, du à la chaleur et aux douches incluses dans le vestiaire et que rien ne séparait. Cette atmosphère augmenta la léthargie que Seki ressentait, une bonne douche lui ferait du bien.
Lorsque le jet d'eau chaude vint frapper son corps, elle se détendit. Ses mains enduites de savon, commencèrent à parcourir ce dernier, puis sans qu'elle ne s'en rende compte à le caresser, soupeser sa poitrine, ses fesses. La lassitude dut à l'effort se transformait peu à peu en lascivité. Quel mal y avait-il a ces caresses, elle ne dérangeait personne. Sa main vint se glisser dans son entre-jambe, avant que de ses doigts elle écarte délicatement ses lèvres intimes. Son pouce vint à la rencontre de son clitoris, le caressant par de petits mouvements circulaires. Puis elle se fit plus audacieuse et deux de ses doigts se glissèrent dans son intimité. Son autre main, vient jouer avec sa poitrine et ses mamelons qui se dressaient légèrement. Il ne fallut pas longtemps pour que se doigts qui s'étaient glissés en elle imprime un mouvement de va et vient tout en appuyant vers l'extérieur par moment. Un léger orgasme s'annonçât au bout de quelques minutes. Seki ne chercha pas à le faire grandir, elle n'était pas chez elle et l'onanisme n'était pas une pratique à laquelle elle se livrait couramment. Peut être aurait elle dut chercher à aller plus loin, se libérer de ce sentiment de lascivité toujours présent.
Alors qu'elle sortait de la douche, nue, sa serviette à la main et eut la surprise de tomber sur un homme. En temps normal, elle se serait demandé ce que cet individu faisait là. Mais elle n'était pas tout à fait dans son état naturel. D'un elle avait encore en elle un désir pas totalement éteins, de plus celui qui se trouvait devant elle était, comment dire une incarnation de la puissance masculine. Il se dégageait de lui des effluves qui auraient dut la dégouter, mais venant de lui c'était un autre sentiment qu'elle ressentait. Au fond d'elle, dans cette partie de son cerveau dans lequel réside l'instinct primaire, quelque chose s'activa, elle voulait se soumettre à cet homme, ce soumettre aux envies et besoin de cet homme. Son regard, son attitude, la rougeur sur son visage et certaines parties de son corps n'avaient rien à voir avec la chaleur du lieu. Inconsciemment, elle entrouvrit sa bouche, avant de se mordiller la lèvre inférieure. Sa posture changea légèrement, tout comme son attitude, appelant celui qui lui faisait face à la prendre. Entendons nous bien, elle ne s'était pas mise à quatre pattes ou n'avait pas écarté les jambes, cela était bien plus subtil, mais le message était le même.