Fragilité apparente (PV Notori)

Entretenir l'église, accueillir les bigotes, consoler les épouses délaissées, faire la messe le dimanche en exhortant à la sainte chasteté, quelle belle vie que celle d'homme d'église. Ça me pèse ! Bon, c'est vrai que, côté abstinence, je suis un très mauvais exemple. Mais quand même, ça manque de piment.

C'est donc avec grand plaisir que j'ai accepté ce contrat avec le lycée Mishima, quelques heures par semaine pour enseigner la théologie et les civilisations européennes disparues. Ce n'est ps la matière la plus passionnante, mais ça m'a ouvert la porte d'un de ces réservoir à jeunettes ! Pas farouches les lycéennes, ça baise avec tout ce qui est possible, et partout où c'est possible.

Ça a commencé dès le jour où je suis venu discuter du contrat. Une fois tout débattu, je me suis retrouvé, en sortant du bureau directorial, dans les toilettes par je ne sais quel miracle divin, et j'ai eu une somptueuse fellation par une adorable brunette, qui a tout avalé pour qu'il n'y ait pas la moindre trace, et est repartie comme si de rien n'était retrouver ses copines. Inutile de dire que je suis aussitôt retourné signer mon contrat !
Et ça a continué ; je dois dire que Mishima recèle une belle quantité de jeunes femmes fraîches et demandeuses. Moi, je suis toujours disponible pour un cours particulier sur la chute de l'Empire Romain, ou sur l'évolution des moeur dans la Grèce antique. Mais, sans que je ne me l'explique, il n'y a, en général, même pas cinq minutes de cours, avant que l'heure programmée ne soit affectée à des tâches tout à fait autres.
 
Enfin, quand je dis que les lycéennes ne sont pas farouches, il y a, comme dans toute règle, ds exceptions. Notori est de celles-là. La première fois que je l'aie vue, c'était à un cours de théologie. Ce qui m'avait frappé en premier chez elle, c'était sa fraîcheur, son innocence sa beauté naturelle, toute en proportions et sans esbroufe. De ses très longs cheveux à sa tenue aux derniers canons de la mode, elle m'avait vraiment séduit. Je la voulais ! Mais, quand le cours a commencé, j'ai aussitôt eu des doutes sur son niveau de connaissances. Peu à peu, elle avait fini par monopoliser le questionnement. Ses questions étaient précises, et même tendancieuses. Alors que j'expliquais le cheminement du Bien dans l'Eglise, elle me donnait l'impression de vouloir toujours mettre le Mal en avant. Elle m'avait d'autant plus mis mal à l'aise qu'elle était revenue au cours de théologie suivant, continuant son sabordage, presque incohérent avec la fragilité que semblait avoir cette frêle mais séduisante jeune femme.

Notori est vite devenue une obsession. Que ce soit en confidences sur l'oreiller ou en enquêtant sur son passé et son entourage, je veux comprendre pourquoi cette attitude. Je ne veux pas la brusquer, tant elle me paraît fragile, mais il y a quelque chose d'anormal, je dirais presque de malsain.

   Les cours, bien que nécessaire, étant barbant pour Notori. Ce n'est pas une mauvaise élève , plutôt studieuse et respectueuse, mais qui avait du mal avec les leçons interminable, sans peps. Il y avait des profs qui fessaient vivre leur cours, mais il était peu nombreux. Ce qui fessait que Notori décrochait souvent, se demandant plutôt quand était les prochaines soldes, combien d’argents de poche il lui restait, le temps qui lui faudra pour aller au centre commercial et retourner à la maison avant l'heure. Tout ce qui pouvait permettre à l'heure de passer le plus vite, ça marcha pour le premier cour, mais pour les autres elle du faire l'effort de se concentré pour qu'elle ne s'ennuie pas comme un rat mort. Et cela ce montra plus efficace que de penser à ce qu'elle allait faire après les cours.

   Les cours se succédèrent donc la pause, lui permettant de regarder son emploie du temps. Elle découvrit les cours de théologie, mais ça première réaction avait été de vouloir le séché, car ce n'était pas une matière primordiale pour sa réussite scolaire, mais elle fut tout de même intriquée. Elle n'était pas porter sur les études, mais sa curiosité naturelle, la poussa à s'y rendre afin de voir de quoi il en retourne. Et elle regretta déjà son geste après seulement 10 minute. Dans un manga de la fumé sortirait de sa tête, alors qu'elle serait aplatit sur son bureau. Le prof, visiblement un étranger, leur enseigna, bien qu'avec passion, un cour barbant pour Notori, parlant de religion, de l'Église et de Dieu, ce qui ne manqua pas de l'agacer et de l'horripilé, plus que de raison, sans trop savoir pourquoi.

   Le cour pris une autre tournure, quand le prof décida d'interrogé Notori. La question était assez simple, une question de culture générale sur l'Église. Notori hésita un moment, sa connaissance frisant le 0, avant qu'elle ne réponde juste, se surprenant elle même, ajoutant même quelque pique. Ce fit tiqué le prof, au point que ce ne soit plus qu'elle qui soit interroger, les autres écoutant cette échange des plus intriquant, ignorant une aussi bonne connaissance des tords et des travers de l'Église de la part de Notori. Plus elle était interrogé, plus elle cela l'agaçait et lui fessait plaisir de peindre ses réponses en noir, ne relevant que le mal fait par l'Église, chose dont elle n'avait pas connaissance.

   Elle avait envie d’arrêté, elle avait envie de ne pas répondre, de ne pas dire autant de chose malsaine. Mais c'était plus fort qu'elle, elle voulait détruire l'image de l'Église, elle voulait s'opposer à ce prof et lui détruire son image parfaite de l'Église. Et cela finit par la terrifier, quand elle recommença au cour suivant, voulant continuer à pourrir le cour. Elle était terrifier, car elle ne comprenait pas ce qui lui arriver, pourquoi elle fessait ça ? Pourquoi elle savait autant de chose ? Cela venait de sa malédiction, qui la manipuler afin de faire son ennemie ce prête, pour l'éloigner le plus possible de l'Église, du bien, de dieu et des anges, et de faire de ce prêtre son ennemie, le sceau l'ayant sentie. Et la tourmenté un peu.

   Mais Notori fut trop choqué quand elle put pensé pleinement en rentrant chez elle le soir, après le deuxième cour. Cela la travailla et la perturba trop, si bien qu'elle prit la décision d'aller voir ce prof demain, après la fin des cours, le prochain avec lui étant après de demain, afin de mettre à terme à tout cela est d'être dispensé de ces cours, ne voulant plus être autant bouleverser et choqué.

   Quand la cloche final annonça la fin des cours, Notori alla à la salle de cour du fameux prof, se rendant même compte qu'elle ne connaissait pas son nom. Par chance ce dernier avait eu cour et s’apprêter à partir.

-Sensei ! Cria Notori, en courant presque. Je voudrais vous parler ! Maintenant. Ajouta t-elle avec un léger dédain.

   Le prof la fit entré dans la salle, et avant que quoi ce soit ne soit fais Notori prit la parole :

-Je veux être dispensé de vos cours ! Lâcha t-elle. Je... je veux plus y participer ! Je sais pas ce qui m'arrive, mais je... je... vous déteste pas. Dit elle, avec peu d'assurance. Mais votre présence m’insupporte ! je n'arrive pas à rester moi même, jeje dit des choses que... que je connais pas ! J'ai envie de détruire vos cours, de briser votre foi ! Je sais pas ce qui m'arrive ! Je veux plus assisté à ces cours ! Je deviens dingue ! Cria t-elle presque, la peur dans la voix, mais aussi du mépris, avec un regard accusateur.

   Le sceau influençait Notori, il voulais la voir ce disputé avec ce prêtre, qu'elle s'éloigne du droit chemin et plonge encore plus dans le chaos.