Son ami lui assura qu'il n'était pas partie en Thaïlande, enchaînant argument et exemple pertinent et logique, abattant la dernière tentative logique de Okio pour justifier ce changement de sexe. Il pouvait pas répliquer, mais il ne pouvait pas accepter le fais que ça puisse ce faire comme ça, que son organisme décide de modifier le corps, parce qu'il en a marre de voir Takeko courir après les filles sans jamais réussir à coucher avec. Et maintenant le voilà entrain de chercher à ce faire plaisir avec Okio. Ça ne le déranger pas, et d'une certaine manière c'était excitant, mais il voulait ce donner le temps de digérer l'info.
En rejoignant le réfectoire, ils furent la cible des regards, principalement ceux qui connaissaient Okio, camarade de classe, ami et amant, le reste s'en moquant éperdument, préférant discuter et manger. Le voir avec une fille était rare, encore plus rare, voir jamais arriver jusqu'à maintenant, qu'il soit prit à partie par une fille. Soit c'était pour demander des conseils sur comment s'y prendre avec des hommes, pour un homme qui à réussit à coucher avec des hétéros par moment, c'est une référence sans doute. Ou bien elle aime bien les garçons comme Okio et qu'elle voulait se le taper, mais que ça n'avait pas trop marcher. Ça discuter ici et là, mais elles disparurent vite, car ça serait, au fond, pas étonnant que Okio est coucher avec elle, vue à quel point il baigne dans la luxure.
-Après les cours on va directement dans ma chambre. Lui annonça Okio, une fois revenue à leur place. Je sais pas à quel point t'a envie, donc on vas te satisfaire au plus vite, j'ai pas envie que tu te craque devant tes hormones, pulsions ou ce que tu veux et que tu fasse une bêtise. Enchaîna Okio, alors qu'il finissait son plateau repas. Et comme ça on aura toute la soirée pour s'amuser. Conclue Okio, d'un regard malicieux et pervers.
La sonnerie retentit, annonçant la reprise des cours. Les cours ce passèrent vite, enchaînant les maths, l'histoire et la géographie, finissant sur des cours de physiques chimie. Ils finirent donc un peu tard, mais la tête remplit de savoir et de connaissance, ne demandant plus qu'a être fructifier par les plus studieux, à l'aide d'excercie et de révisions ou vider par une sortie, des courses, des jeux, voir du sexe, ce qui était le cas deux personnes. Okio guida son amie vers son studio dans le dortoir, parlant peu, Okio assez presser de retrouver son sanctuaire.
-Nous y voilà ! Annonça Okio, en ouvrant la porte.
La porte s'ouvrir sur un studio présentable, loin de l'idée de ce que certain ce fessait : pas d'odeur de sperme, pas de capote par terre, encore pleine de fluide, ni même de gode jeter ici et là, pas de poster recouvrant les murs dévoilant des hommes en muscles et de sexe en érection ou même de tache bizarre ici et là. Elle était propre, sentait bon la fraîcheur, le sol propre, des godes aligner dans l'ordre décroissant sur étagère, de manière discrête et décorative, un poster du groupe Stereopony et un autre de l'acteur porno Shimiken, mais soft, juste son buste. Il y avait deux lit, chacun son étagère, bureau et table de chevet, avec une pièce adjacente, servant de cuisine.
-Fais comme chez toi, mes toi à l'aise ! Annonça Okio, en allant ranger ses affaires, et commençant à se déshabiller. Tu veux un truc à boire ? J'ai des jus de fruit, du thé verre, du jus de tomate. Demanda Okio, alors qu'il finit tout nue et enfila un débardeur fin, léger, moulant et cour. Où bien... tu veux passer au chose sérieuse ? Susurra t-il, alors qu'il commençait à bander. Vue que tu as lancer l'idée, je te laisse faire le premier pas. J'ai des jouets si tu veux, grand, gros, petit, vibrant et même un gode-ceinture. Dit il, en désignant l'étagère.