Un phénix dans un bar. (PV Onishiru)

J'avais fini mes cours. C'était le minimum à faire pour paraitre normal, déjà que l'infirmière m'avait tous ue foin sur la chaleur de mon corps, je lui avait sortie le nom d'une maladie, qui avec du temps pouvait engendrer cette évolution, ce n'est jamais simple quand on est un phénix, enfin la fusion parfaite d'une humaine et d'un phénix.

Je me dirige vers le centre commercial, là où je dois bosser pour payer les frais de scolarité, comme je ne suis pas officiellement majeur, je dois faire ce boulot au black, mais cela me plait, je dois servir les gens et leurs parler, si il veulent taper la discute, je me charge aussi de mettre les trouble fête dehors.

Je passe par l'entrée de service et enfile un tenue de serveuse, qui me donne une peu de charme et met en valeur le peu de forme que j'ai. Le patron était un peu débordé, n lui avait annoncé que son fils avait été arrêté, encore une fois, ce dernier mettais la pagaille, sous le nom d'un sois disant gang s'appelant, une fois traduit, "Les Ange de la Fin". ce n'était que des rumeur, un gang qui attaquait des être chimériques et purement issue de l'imagination humaine. Vous vous croyez en des dieux ? Moi pas, en tous cas, pas temps que l'un d'eux ne sera pas apparut devant moi et prouvé sa nature divine.

Je me chargea donc de prendre les commande et un client voulut profiter de ma personne, aussi je le prit par le col et le balança hors du bar, faisant comprendre aux autres pervers de passer leur tours.

- Phénix, Mimi n'est pas là, elle vient de m'appeler pour me dire qu'elle avait eut un accident. Tu pourrais t'occuper de la préparation des boissons ?

cette fille était assez fragile physiquement, mais se débrouillais comme une chef, aussi je répondit de manière franche.

- Je vais le faire, mais cela ne sera pas aussi bien fait que Mimi.

- Tu me sauves la mise, je te rajouterais ça sur ta paye.

Le parton est un gars très arrangeant, là où tous le monde me disait de partir, limite un coup de pied au fesse, lui m'avait prit comme serveuse sans se soucier des problèmes que je pourrais causer, car j'étais assez connut comme l'une des représentante du conseil de discipline, la plus active et la plus efficace du lycée. Bien sur il me prenais au black, il n'était pas que bête, mais n'hésitais pas à me donner du travail en plus, qu'il rémunérait.

Ce soir se fut calme, deux poivrot à mettre dehors et treize commande. Le bar était vide et j'aurais aimée avoir un client, car je m'ennuyais, jouant sous le comptoir avec un boule enflammée que je faisait rouler le long de mes phalange.

Quelque rue plus loin...

Ouf l'atterrissage dans les poubelles fut évité de justesse, par contre le pauvre hommes visiblement ivre, je l'ai pas raté et maintenant il y dort dedans. Baa... ! Tant que c'est pas moi !

Le charlatan ne m'avait pas menti pour l'histoire de la faille et du plan « terre », il faisait nuit la ville où je me trouvais étais illuminé par toute sorte de lumière étrange, de l'alchimie sans doute. Quoi qu'il en soit, c'était pas moche et plutôt bien visible pour une nuit sombres. Je n'ai pas fait un pas que trois jeune humains m'interpellent.

-et toi ! On est perdu ?

Ils avaient un sourire malveillant, que je reconnaissait à ce que je fait d'habitude, mais moi c'est plus effrayant ! Leurs habilles étaient très différent l'un de l'autre, mais ce qui me faisait penser qu'il étais en bande, c'est le bandana de couleur bleu qu'ils portaient tous au coudes droite.

-on a reçu l'ordre de crever tous les démons qui passe ce portail.

Celui-la étais plus en avant que les autres, il devaient commander les deux autres, car il fit un signe et aussitôt ils se placèrent autour de moi. Il sortie ensuite un couteau à papillon et le pointa dans ma direction.

-tous les démon ?, moi je ne suis que celui de vos cauchemar.

Leur chef fit un bond vers moi et essayant de l'esquiver je ne vit pas l'autre qui me planta son couteau dans le bas de mon dos. Dans un réflexe, je me retourna lui collant un coup de coudes dans sa tempe, le premier fonda sur moi, je pus éviter sont couteau qui m'entailla le visage. Son action s'arrêta là, car je pus transformer ma main en griffe et les lui planter dans son thorax. Dans un dernier, souffle il mourut, je le lança ensuite sur le troisième qui n'avais alors pas bougé. Me tournant ensuite sur celui qui étais derrière moi, il tenta de fuir en rampant, je fut rapidement sur lui et le silence revint après un long cri. Personne n'avais rien entendu, ma mais redevint normal en arrivant sur le dernier visiblement perturbé et mort de trouille, il ne voyait plus la blessure au visage qui avait déjà cicatrisé dont il ne restait plus aucunes trace. Je pris un malin plaisir à le voir dans cet état et en me penchant vers lui, je cru qu'il allait faire une crise cardiaque puis je récupéra une jolie paire de lunettes de soleil sur le sol près de lui, en me relevant et en partant je l'entendit s'évanouir, la soirée commence bien.
Après une bonne heure de marche parmi la population, je fini par avoir faim. j'attrapai un gosse, qui passait près de moi, par le col et le souleva à ma hauteur. Le gamin étais effrayé.

-où je peu trouver à manger ?

Je lui montrai mes dents pointues pour bien lui faire comprendre que j'avais faim.

-là-bas monsieur, pitié ne me mangé pas !

En le reposant je lui donna un des couteaux de mes agresseurs que j'avais récupéré.

-tien voilà tas récompense, fil avant que je ne change d'avis.

C'était le centre commercial, après un petit moment de recherche je trouva finalement un bar, sa m'avait l'air bien. Une fois, dedans je vis une jeune fille qui semblait s'ennuyer seul dans son coin. Elle ne m'avait pas encore vu, je me faufila le plus discrètement possible vers elle. Arrivé au bar, elle ne m'avait, alors pas encore regardé, je m'adressa elle avec un grand sourire.

-belle soirée non ?

Je regardait l'heure s'écouler comme un ruisseau, cela faisait très longtemps que je n'avais plus les notions de temps, c'est l'une des conséquences de vivre sans fin. Même si je n'avais personne j'aime ce lieu, il y traine une senteur, que je ne connais pas, enfin si mais cela devais être lors de ma première naissance. Je continuait à m'amuser avec ma flammèche sur mon index, la faisant changer de forme et de couleur, je pouvait faire ce que je voulais du feu, lui faire perdre sa qualité destructrice pour en faire un chose créatrice et apaisante.

Puis j'entendis une voix me demander si c'était une belle soirée. Il n'avait pas vue la flamme sous le barre et le fit disparaitre, pour le regarder avec un regard chaleureux et un sourire montrant que j'étais une gentille serveuse. Par politesse je répondit à sa question.

- Oui, mais il manque un vent de minuit.

Le vent de minuit était un phénomène assez mystérieux, tous commerçant vivant la nuit avait déjà sentit une fois ce vent chaud et revigorant traverser leurs magasins. Mais j'avais du travail à présent et il ne fallait pas que je déçoivent un client, de plus je sentais une flamme en lui s'éteindre, attendant un autre combat pour l'enflammer de nouveau. dommage, j'aurai bien voulut goûter à sa flamme combative.

- Que désirez-vous monsieur ?

Qu'est ce que je voulait ? En voilà une bonne question. Je voulait tous ! Mais la j'avais plus faim qu'autre chose.

-la j'ai une petite faim, avait vous de quoi mangé ??

la jeune fille me fit un signe de la tête et alla dans à l'arrière pour me ramener un sandwich. Je l'observa un moment, elle étais mignonne. En laissant mon regard se balader, je vit les bouteilles d'alcool sur l'étagèrent et ni une ni deux je passa part le comptoir pour me retrouvé derrière avec l'idée en tête de m'emparer de quelques bouteilles, mais la jeune fille fut de retour plus tôt que prévu.
Elle me fit une remarque et sans l'écouter je l'attrape part les poignées et la dirigea dans la cuisine pour l'y enfermer. Je poussa la porte avec le pied et la jeta dedans, puis referma la porte. Voilà une enquiquineuse de  moins, mais !?! AIE !! j'avais les mains qui étais chaude. Je les secouas pour les refroidir, bon sans c'est chaud. Je leva la tête et je fut accueillit par un coup de bouteille dedans. C'était un type que je n'avais jamais vu et en plus de sa il ma brisé mes jolies lunettes.

-tu vient de faire une grosse erreurs.

Je craqua ma nuque et me jeta sur lui en mettant un grand coup de boule. Il vacillait, je l'attrapa part la tête en l'entrechoqua contre le bar avant le le placer dessus et de le faire glisser le long du comptoir comme dans un de ces truc qui passait dans un téléviseur, une fois arrivé de l'autre coter, je me pencha sur lui et en sortant ma griffe et lui dit:

-il est temps de faire un très long sommeil.

Je n'ai pas pu faire grand chose quand une intense chaleur me brula les yeux, je me débattu contre sa et quand ma vue me revint après s'être régénéré. Elle étais là, la serveuse, debout sur le bar, je m'approcha pour l'attraper

-toi t'aurais pas du... Haaa...

à peine je la touchait, mon bras avait pris feu. Je réussi, je ne sais comment, à l'éteindre, mais pour me dévoiler un bras brulé au troisième degré, en la regardant, je la vis flamboyantes. Je tendit mon bras et tous en le régénérant je m'adressa à elle tous en montrant un sourire

-je sais pas qui tu es mais je sens que je vais m'amuser.

Ce type fit deux choses qui me déplaisaient. D'abord il m'avait enfermée dans la cuisine, j'allume le gaz et enflamme le tous, pour le manger et réchauffer encore plus mon corps, ce qui se traduisit par un regard digne des flammes de l'enfer. Une fois mon corps à la température désiré, je posa ma main sur la clanche en transformant ma main en ailes de phénix, le métal fondit comme du beurre, la laissa ma main rependre forme humaine et regarde ce qque ce fou avait fait, je vit un corps sur le bar et le reconnut, c'était le patron, il devait être revenus et avoir crut à une tentative de vol.

ni une, ni deux je lança au visage de l'agresseur des flammèches, le faisant reculer, puis une fois qu'il put voir, il voulut le me prendre le cou, pour, sans doute, me faire plier le dos en arrière et m'étouffer sur le bar, en voulant, si il était un vrais voyous, me violer. Mais il n'eut pas cette chance, mes pied libérèrent des flammes, les flammes de la colère et du mépris. Cela eut comme conséquence de lui bruler le bras, mais je fut surprise en le voyant se régénérer de ces blessures.

- Je ne sais as qui tu es non plus, mais je vous prierais de quitter ce bar. Je ne voudrais pas appeler une ambulance et leur dire qu'un être humain étant saoul c'est brulé en allumant le gaz de la cuisine dans le but de le faire sauter et qu'il a échoue dans sa tentative. Je pourrait aussi me plaindre pour agression et tentative de viol ...

D'un coup je pose ma main sur ma bouche en retenant un cris de surprise. J'avais déjà vue cette personne dans une vie antérieur, il avait tué des gens de sang froid, ma peur céda ma place à ma colère, le bar ce vit parcourir de trainée de feux, parmi les victimes de cet homme il y avait une personne que j'avait connut enfant et qui n'aurait fait aucun mal à l'être en face de moi.

- Je vais faire un exception aujourd'hui, toi l'humain prépare toi à goûter au flammes des âmes que tu as tué.

Je laisse les ailes de phénix apparaitre dans mon dos et des corps enflammés apparurent autour de cet personne, c'était les âmes qu'il avait tué et dont je n'avais fait que raviver la flamme de la vengeance.

Après ce qu'il avait fait à la seule personne qui m'avait offert sa confiance, il ne méritait aucun pitié, je pris la forme complète du phénix irradiant le bar de flammes. Ma voix c'était transformer en celui de l'oiseau légendaire, un cris à refroidir, les flammes les plus persistante dans le corps de cet personne détestable. Ce dernier sentit une vois lui dire.

- Je comprend la colère que tu avais envers les ancêtres des ces gens, mais tu n'avais nullement le droit de juger leurs descendant par la mort. aussi je vais t'offrir le repos éternel dans lesquels tu aurais du rester et je porterais le fardeau de ton âme dans on cœur.

Les âmes enflammés disparurent, sauf un qui avait tenait la mains vers Onishiru, c'était l'âme qui aurait voulut connaitre plus de l'homonculus et s'en faire un ami, plutôt que de le voir encore être tous seul. Je regardait la scène, en me demandant si cet homme avait un cœur aussi sec que la pierre ou s'il restait un fond de bonté en lui. S'il se permettait de faire du mal à cette âme enflammé, alors je le détruirait avec toutes les flammes que mon corps possède, je le réduirait à l'état de cendre en priant pour que son âme soit enfin en paix et ne revienne plus jamais sur cette terre.

Elle m'avait menacé et accusé d'actes dont je n'avais pas encore commis, elle me faisait beaucoup rire. Mais je savais au font de moi que je ne devais pas la sous-estimer et de plus son corps avait pris une teinte bizarre. En vue d'un combat enflammé, je retira ma veste pour la lancer à l'abri. Ce fut à ce moment précis qu'une chose démente se produit, apparu d'abord sous forme de grandes flammèche, des corps se montrèrent, ils me fixaient tous avec insistance et je perçu ensuite dans son regard une profonde haine.

-Je vais faire un exception aujourd'hui, toi l'humain prépare toi à goûter au flammes des âmes que tu as tué.

Que j'ai tué ?? mais oui, je me disait que j'avais l'impression de les avoir déjà vu. C'étaient les habitant du village qui m'avait emprisonné plus d'un siècle, du moins leur descendant. À présent, des ailes de feu étaient apparus dans le dos de la serveuse.

-Je comprend la colère que tu avais envers les ancêtres des ces gens, mais tu n'avais nullement le droit de juger leurs descendant par la mort. aussi je vais t'offrir le repos éternel dans lesquels tu aurais du rester et je porterais le fardeau de ton âme dans on cœur.

A cette instant les âmes disparurent, sauf une. Le garçon, celui qui, entrainé part d'autre, m'avait libéré, je lavais épargné afin qu'il puisse mettre en garde le village de mon retour. Mais au lieu de sa, il étais resté avec moi et s'était attaché à moi. En réalité, je n'avait pas l'intention de tous les tuer mais seulement de les faire souffrir. Un soire, il m'avait suivit dans ma besogne qui avait mal tourné et qui avait causé sa mort, il avait fallu que de sa pour transformer une simple nuit en massacre. Mais il fallait que je chasse ses pensés de ma tête et que je me concentre sur la phénix.

-tu veux mon âme ?? sa tombe mal, car je suis un homonculus un être créé artificiellement, par conséquence, je n'ai pas d'âme, pas de cœur et surtout pas de regrées.

 Je contourna l'âme du gamin en lui afficha un sourire que j'avais l'habitude de lui faire et je bondi sur cette adversaire qui avait à présent une apparence d'oiseau de feu. Les griffes dehors, je fut repoussé par une forte chaleur, j'atterris sur une table, j'usa alors de la lange pour l'attraper et la projeté au sol. Cet action me laissa un goût de brulé dans la bouche.