Onyxian était connue pour être une amante terrible. Au sein du palais, il existait d’ailleurs une épreuve, qui permettait, pour ceux et celles la réussissant, de gagner un grade : survivre à une séance de sexe avec Onyxian. La succube poussait ses amants dans leurs ultimes retranchements. Si certains la surnommaient « La Mante », ce n’était pas sans raison, car elle tuait généralement ses amants en couchant avec eux, les baisant tant et si bien qu’ils tombaient dans le coma, et finissaient par en mourir. Coucher avec Onyxian était donc sportif, et, de fait, aucun de ceux ayant tenté l’épreuve d’Onyxian n’avaient réussi. La Matriarche était redoutable, sexuellement parlant, mais Mégane n’avait rien à craindre. Maintenant, la succube était des leurs, sa fille et sa sœur, comme le voulait la tradition. Onyxian allait donc bien s’occuper d’elle, et elle commençait donc en la baisant furieusement.
Même si les deux démones devaient parler, elles étaient trop occupées à faire l’amour. Une première heure s’écoula ainsi, Onyxian ondulant d’avant en arrière. Elle apprenait avant tout à ses démons à retenir leur plaisir, et à apprécier le fait d’être en état d’excitation sexuelle. C’était, somme toute, un enseignement similaire à celui de Lust. Peu de gens le savaient, mais, quand Onyxian avait été exilée sur Terra, elle avait ruminé sa vengeance, et avait été formée pendant des années dans un temple de Lust. Elle avait même été bénie par la Déesse en personne, ce qui faisait d’elle une prêtresse de Lust… Ce qui expliquait pourquoi le palais abritait, non seulement un temple dédié à Sha, mais aussi un lieu de culte dédié à Lust.
« Hmmm… C’est bien, Mégane, tu as vraiment bien progressé… Passons au niveau supérieur, hmmm… Maintenant ! »
Onyxian continuait à la pénétrer, et retira sa queue caudale. Elle se concentra alors, et fit pousser à hauteur de sa verge une seconde queue, qui s’enfonça rapidement dans le cul de la femme. Sa queue caudale, elle, se déplaça, et s’enfonça dans la bouche de Mégane, venant rapidement atteindre sa gorge. Dans le sexe, Onyxian apprenait à ses succubes et incubes qu’il existait deux notions : la durée et l’intensité. Mine de rien, elle avait une approche assez rigoureuse du sexe, très similaire aux prêtresses de Lust. Si de simples humains réussissaient à calmer leurs pulsions, alors les démons de Luxure se devaient de savoir le faire à la perfection. C’est ainsi que le plaisir était continu, car, en clair, Onyxian apprenait à ses ouailles d’apprécier le fait d’être en état d’érection, de désir sexuel, sans voir l’orgasme comme une finalité en soi, mais comme l’étape d’achèvement ultime de leurs plaisirs réciproques.
La démone la prenait donc dans tous les sens, et finit par la relever, la redressant en la tenant par les cuisses, ce qui lui permit de déplacer une main pour masturber la queue de Mégane, avant de gémir en sentant une queue s’enfoncer dans son propre cul.
« Haaaaa… Bon sang, hmmm… !! »
En ce moment, Onyxian faisait l’amour comme elle aimait le faire, tout simplement. Qu’on la sodomise ne la dérangeait nullement, et elle prenait Mégane avec grand plaisir. La jeune succube était maintenue en l’air, hurlant et couinant, avec des queues qui ne cessaient de la prendre, de la baiser furieusement. La lave remuait autour des deux femmes, pendant que Mégane ne hurlait plus, labourée de toute part. Les ailes d’Onyxian remuaient furieusement et puissamment dans son dos, soulevant d’épais monceaux de lave.
Une autre heure passa ainsi, dans une sphère de plaisir, une bulle jouissive. Les esclaves d’Onyxian savaient combien leur Maîtresse était endurante. Il fallait la sucer pendant des heures avant qu’elle ne daigne enfin jouir. Mais, la vérité, c’était qu’Onyxian contrôlait à la perfection son plaisir, et pouvait jouir quand elle le voulait. C’était ce haut niveau de concentration qui lui permettait d’être une virtuose en matière de magie rose, probablement l’une des meilleures spécialistes en magie rose qui soit.
« Hmmmm… Hnnnnn… !! »
Au sein du clan, personne n’avait encore acquis la maîtrise d’Onyxian… Pas même Alastar. L’orgasme était toujours quelque chose qu’ils ne pouvaient pas vraiment contrôler. Ainsi, quand Mégane finit enfin par jouir, tant depuis son vagin que depuis son chibre, qu’Onyxian masturbait toujours, la Matriarche se répandit à son tour. Dans sa belle bouche, qu’elle baisait intensivement, dans ses fesses, et dans sa chatte. Ses trois queues se déchaînèrent sur elle, répandant une semence chaude et puissante. Un long orgasme, tandis qu’elle voyait, devant elles, le sperme de Mégane décrivant des arcs-de-cercle, afin d’atterrir sur un rocher au milieu de la lave.
Onyxian relâcha ensuite doucement la pression, retirant la plupart de ses queues du corps de Mégane, sauf celle dans son vagin. Elle retourna ensuite Mégane, les deux femmes se faisant face, et Onyxian la coucha sur le sol, toujours en lui souriant. Elle choisit un endroit peu profond, et la lave se mit à recouvrir partiellement le corps de Mégane, la recouvrant parfois totalement, pendant qu’Onyxian, sa queue baignant dans un mélange de foutre et de mouille, remuait doucement dans le corps de la femme.
« Tu as… Un grand potentiel… Qui ne demande qu’à… Hmmmm… Qu’à être révélé, ma chérie… »