Attendant au bord du lit dans la position qu'il m'a demander, je regarde le colosse se rapprocher de moi, avant de l'entendre me complimenté.
« Quelle adorable petite chienne. »
Sous ce compliment, mes joues rougissent alors que je sent sa main s'approcher de moi, je fait un mouvement de recule par réflexe, mais ce n'ai que pour caresser ma chevelure et faire descendre sa caresse sur ma joue.
Sous cette caresse, je sent un doux fourmillement parcourir mon visage et mon cou, puis il me demande.
« Mhhh, tu dois avoir faim, pas vrai ? »
Sur ces mots je lève mon regard vers le siens et lui fait un grand sourire avant de lui répondre, alors que je sent depuis mon réveille mon ventre gargouiller.
oui monsieur, j'ai très faim...
Il faut dire que tout les efforts que j'ai fournie depuis que je suis arrivé ici mon creusé l’appétit, au vue de ma réponse, il claque alors des doigts avant de voir une fumer grisâtre entourer sa main et se dissiper quelques secondes plus tard faisant apparaitre dans sa main une gamelle pour chien rouge vide.
Sur le coup, je fait une mine interrogé, un sourcil relever ne comprenant pas, ce n'ai que quand de son autre main, je le vois aller chercher quelque chose dans son pantalon et en sortir son braquemart à demi bandé, que je commence à comprendre et ça ne me réjouis pas du tout.
Je le vois commencer à se masturber devant mon visage, sentant sa forte odeur de mâle enivrer mes narines, il viens même frotter son gros gland contre mes lèvres et ma joue non sans me faire faire une mine dégouter et sentir un peux plus son odeur, du liquide séminal suintant de son gland et dégoulinant sur mes lèvres et ma joue.
Il se branle de plus en plus vite avant de le voir se reculer un peut de moi, guider sa queue vers la gamelle qu'il tiens avec son autre main et finie par jouir abondamment son épais et visqueux foutre chaud dans celle-ci la remplissant à ra-bord, allant même jusqu'à bien faire couler les dernière goutes sur son gland dans la dite gamelle avant de me lancer alors qu'il pose celle-ci par terre.
« Voilà ton repas, régale toi ma jolie. »
Sur le coup, je suis quelques peut abasourdie par ce qu'il me demande, faisant de grand yeux d'étonnement.
Vous... Vous voulez que je me nourrisse de votre... Sp... Sperme monsieur?
Mon regard toujours sur lui, je vois dans le sien qu'il ne plaisante pas du tout et que si je veux manger ici, ça sera ce qu'il me donne et rien d'autre, la faim me tordant l'estomac, je me résigne et descend du lit à quatre pattes, je hume l'odeur de ce foutre qui ne me donne pas du tout envie, celle-ci est forte comme le sexe de son géniteur, ça me donne presque des haut le cœur, mais j'arrive à me contrôler sans doute parce que je n'ai rien dans l'estomac.
Je trempe un doigt dans ce liquide visqueux et chaud avant de l'apporter à mes lèvres et de sucer mon doigt, à ce moment là, je sent le gout, ce gout particulier qui va me faire basculer, à la fois salé, sucré et épissé, ce gout qui me pousse sans le vouloir un MMMMMMMMmmmmmh... de satisfaction, une chose au fond de moi comme un force me pousse à en manger plus, je trempe deux doigts et les amène à ma bouche pour les sucer eux aussi, sans que je ne puisse m'en empêcher, je pencher mon visage au dessus de la gamelle laissant mes petite fesses en l'air et commence à laper à coup de langue le foutre de la gamelle, sentant ce sperme épais, gluant et chaud descendre dans ma gorge est un véritable plaisir, quelques éclats éclaboussent mes joues, mes lèvres et mon menton, mais je sent que ce sperme me nourrie et ça me donne un plaisir fou.
Au bout d'un moment alors que j'ai déjà vider les trois quart de la gamelle, je sent un pied sur mes petites fesses me pousser et mon visage atterri au fond de celle-ci enduisant mon visage de foutre, mais je n'en ai que faire, ma seule envie à se moment là, c'est de terminer cette soupe d'homme bien épaisse, chose qui arrive assez vite, récurant de ma langue toute la gamelle pour n'en oublier aucune goutte la laissant comme neuve, avant de ramenez de mes doigts le reste de sperme sur mon visage jusqu'à ma bouche avide de cette chaude crème épaisse.
Une fois mon festin terminer, j'entends le colosse me dire.
« Profite bien de ce repos, il ne sera que de courte durée. »
J'acquiesce d'un mouvement de tête alors que je termine de me lécher les doigts, puis je me sent tirer par le collier autour de mon cou, je me redresse et je remarque qu'il tire une cordelette pour m'amener à lui en me murmurant « Par ici, ma petite chienne, par ici. » et m'invite à mètre mon visage sur sa cuisse, je reprend mon souffle alors que je sent sa main caresser mes cheveux, ça me fait du bien, j'ai l'impression qu'il va être plus doux maintenant, pourtant au fond de moi alors que j'ai le ventre plein, j'ai encore faim, faim de cette douce crème dont je viens de manger une gamelle entière, tout mon corps est en chaleur, j'ai l'impression de cuir de l'intérieur mon corps est tout luisant de transpiration, comme si j'avais manger trop épissé, mais comme il me là dit mon temps de repos arrive à terme alors qu'il me demande.
« Une brave petite chienne comme toi mérite de s’amuser un peut, tu ne penses pas ? Je serais un bien mauvais maître si je ne te laissais pas t’amuser avec d’autres bons chiens, pas vrai ? »
Sur ces mots, je me dit qu'en parlant de bons chiens, il doit sans doute parler d'autres humains mâles dans la même situation que moi, avec un collier autour du cou et une laisse, et qu'il veux encore me voir me faire prendre.
Pour éviter de l’offenser, je lui réponds sans bouger ma tête de sa cuisse.
Oui maitre, vous avez raison...
Il se relève et tire un peux sur ma laisse, je comprend que je doit le suivre à quatre patte, ce que je fait, nous quittons la chambre et parcourons les couloirs richement décorés, mais le décors change radicalement quand nous passons une porte pour descendre par la suite un escalier en pierre humide et continuant d'avancer dans un couloir sombre seulement éclairer de quelques torche disséminer dans celui-ci, le sol et les mur son en pierre sombre, le sol est humide et une forte puanteur ressort de ce couloir, une forte odeur d'animaux qui me fait faire la grimace pendant un moment avant que je ne finisse par m'y habituer non sans être toujours gêné, quand nous arrivons ou bout de ce couloir le colosse s'exclame à nouveau.
« Ra’Akka, je t’ai amené une petite chienne, que tu puisses t’amuser. »
Je commence à être angoisser vue l'endroit ou il m'a amené et ce qu'il dit fait monter en moi une grande appréhension de la suite, mes yeux s'habituant je constate que nous sommes devant un enclos de pierre sombre, mais je n'arrive pas à voir à l'intérieur, c'est comme si une ombre cache ce qu'il y a à l'intérieur, mais quelques secondes plus tard, je vois une lueur rougeâtre s'illuminer dans le fond de l'enclos, puis une deuxième, puis quatre, puis six, elles bouge par paires, une sueur froide parcours mon corps, je ne suis vraiment pas bien, très inquiète de ce qu'il me réserve, mais le pire est quand cette créature apparait dans la faible lueur de la torche la plus proche, une espère de d’immense chien au poil rat entièrement noir, avec trois grosse tête relier au même corps, les babines retroussées montrant leurs crocs bavant comme s'ils étaient enragés.
Je fais mine de reculer alors que le colosse me dit.
« Dis bonjour, Lili. »
Il ouvre alors de son pied la barrière et me pousse à l'intérieur.
NOOOOOOOoooooon...
Je me retrouve au milieu de l'enclos, tétanisé par la peur, mon cœur battant la chamade, je pense vraiment qu'il va me manger, je ferme les yeux, mais ce n'ai pas de la douleur que je ressent, mais plusieurs souffle chaud et putride sur mon corps, au niveau de mon cou avant de sentir une langue baveuse et puante passer sur ma joue, enduisant celle-ci d'une bave gluante et puante dégoulinant dans mon cou, un autre coup de langue sur mes fesses laissant sur son passage la même substance gluante et nauséabonde, un autre sur mon dos et ma cuisse, poussant à chaque fois de petit gémissement strident de peur.
La créature est tellement grande qu'elle ne ressemble à aucun chien de la terre, mais le colosse me sort de ma torpeur en s'exclament.
« Alors ma chienne, tu connais la suite. Tu ne partiras pas d’ici avant d’être devenue une bonne petite chienne prête à tout pour satisfaire les autres. »
Je déglutit difficilement avant de lui répondre sans bouger, de peur de la réaction de la créature.
Vous... Vous voulez que je... satisfasse cette choses?...
Il me répond sèchement.
« Impressionne-moi. »
Je comprend que c'est ce qu'il veut et ça me tord le ventre, comment je vais faire pour satisfaire une créature pareil, les souffles et les coups de langue se succèdes les un après les autres, me donnant des frissons dans tout le corps, au bout d'un moment sachant que le maitre veux me voir agir, je me décide même si ça met très difficile, je me tourne et me retrouve sur le flans de la créature, les trois tête me suivant du regard, je n'ose même pas les regarder tellement elle me font peur, je viens de mes mains caresser son flans, le flattant, avant de passer mes mains sous son torse descendant celle-ci sur son ventre, sentant sous mes doigts une forte musculature veiné et les poils rats.
Sous mes caresses, la créature se couche sur le flans opposé à moi écartant ces pattes arrières comme un chiens le fait quand on lui caresse le ventre, je vois alors une énorme paires de bourses dont la taille de chaque testicules équivaut à une balle de tennis, je continue en caressant l'intérieur des cuisses de la créature, c'est alors que je vois avec effrois l'une après l'autre sortir de leurs fourreaux trois grosses et longue verges canins rouge et veinées, toute les trois dressés le long de son ventre, j'en est le cœur qui bat à cent à l'heure, je les vois toute sursauter indépendamment l'une de l’autre, s'en doute envieuse que je m'en occupe.
Je marque encore un temps d'arrêt avant d'avancer mon visage sur l'une d'elle mais l'odeur est insoutenable, je ne peux me retenir de faire la grimace encore une fois, prenant mon courage à deux mains, je viens lécher de petit coups de langue chacune d'elles les faisant réagir, avant de me forcer à prendre la pointe de l'une d'elles dans la bouche, elle est bouillante, je fait de petit vas et viens de mes douces lèvres caressant de ma langue cette queue inhumaine dans ma petite bouche, puis je passe à une autre, venant avec mes mains masturber celles que je n'ai pas dans la bouche, j'arrive à surmonter cette forte odeur écœurante et ce gout immonde passant de l'une à l'autre de ces queues accentuant les aller et venue de ma tête, les prenant plus amplement en profondeur, bavant dessus abondamment, chacune d'elle allant percuter le fond de ma bouche grande ouverte au vue de leurs épaisseurs.
Ma tête vers le bassin de cette créature, les fesses relever vers le maitre, j'espère au fond de moi qu'il apprécie les effort que je fournis pour satisfaire son soit disant chien...