A connu tellement de choses énormes lui rentrer dans la chatte qu’elle n’est plus à une bite gigantesque près, elle aime se traitement destructeur et repend sa mouille partout, giclant comme une vraie fontaine. Elle se retrouve en levrette et elle tend les bras en arrière pour se faire prendre comme un bête se faisant chevaucher. Elle était au paradis et gémissait de plaisir sans discontinue mais ne perdait pas une occasion d’en réclamer plus comme la chienne insatiable qu’elle était :
« Ouai vas-y, défonce tout, je sens ta bite dans mon ventre ouai. Fait mal si mal que je devrais ramper pendant une semaine pour me déplacer. Hm !!! Ouai encore, et oublie pas mon cul, il est encore tout serré comme une pucelle. »
Jamais satisfaite même lorsqu’elle était au sommet du plaisir, comme une véritable succube elle n’était jamais pleinement satisfaite par les queues qui la ramonait encore et encore. Elle avait toujours besoin de plus gros, plus long, plus fort., plus brutal, plus violent, plus bestial toujours plus de plus.
Elle gémit lorsqu’elle eut une montée de lait dont elle ignorait la cause, elle n’était pas censé en avoir puisqu’elle n’avait jamais été enceinte et qu’elle ne pourrait jamais l’être, une chance quand on fait ce qu’elle fait :
« Hm, j’espère que mon lait est aussi bon que ton foutre, bois tout, han ! »
Et se laissait totalement faire, elle n’avait pas de raison de se faire plus active, elle était totalement comblée.