Demetra s’accordait donc une petite pause bien méritée ; une pause à la Tekhane. Il avait abaissé son leggings pour sortir son petit membre, qui ne resta d’ailleurs pas longtemps petit. Le garçon commença lentement à se faire plaisir, soupirant d’aise alors qu’il pensait faire son affaire tranquillement. Mais, après un certain temps, des pensées plutôt salaces vinrent égayer son esprit, commençant à le faire méchamment bander. Il sentit sa trique se durcir bien plus qu’avant, le forçant à se masturber avec plus de force pour combler. Les pensées grivoises ne cessèrent, et faisant rougir Demetra de toute part qui se surprenait à se faire durcir de cette manière. Pourtant, c’était une pratique courante que de s’imaginer des choses pour se faire bander.
Le jeune garçon finit donc assez rapidement avec un barreau en pleine force de l’âge, dressé fièrement vers le ciel et pulsant d’impatience. De par sa main il continuait de l’astiquer, de plus en plus fortement et rapidement, montant lentement en crescendo. Au bout d’un certain temps néanmoins, il sentit les pensées affluer en continue, mais pas seulement. Demetra n’était pas expert en magie, mais il sentit à un moment donné comme si quelque chose était en train de l’épier. De le regarder. Pas physiquement mais mentalement ; comme si on était en train de sonder son esprit. Sonder son esprit mais pas seulement, car le garçon voyait alors ses fantasmes commencer à faire surface, dans son esprit. Il comprit, à moitié, que quelque chose (peut-être un esprit du désert pensait-il) cherchait à connaitre ça.
Peut-être devenait-il fou, aussi. Dans tous les cas il se laissa aller, et se mit donc à fantasmer. Des fantasmes là-aussi typiquement Tekhan, puisque le jeune Demetra rêvait de latex, de combinaisons moulantes et de fouets. L’un de ses grands fantasmes refit surface ; celui de se faire méchamment prendre par derrière par une dominatrice, tandis qu’une autre serait en train de fourrer son membre dans sa gorge, par devant. Tout ceci accompagné des tenues qu’il fallait, bien entendu. Un fantasme qui pouvait paraitre simpliste, mais qui impliquait bien des choses. Un fantasme parmi un autre, cela dit. Alors qu’il pensait à tout ça, cela devait alors faire depuis plusieurs longues minutes qu’il s’astiquait. Son membre trépigna d’impatience, et finit par atteindre son point culminant dans le plaisir. Demetra poussa un soudain et cristallin couinement, avant de se mettre à juter copieusement. Son sexe braqué vers le ciel, son nectar gicla vers le haut, pour retomber un peu en pagaille sur la carlingue, et sur lui-même.
« Haan … » Gémit Demetra, satisfait de sa petite séance, mais perplexe. Il n’avait pas rêvé, quelqu’un ou quelque chose était là. Il le sentait. Ainsi, prenant le risque de faire sa première expérience dans la folie de la solitude, il se mit à parler … Seul, en l’espoir que cette chose l’entende. « Si y’a un curieux observateur … Eh bien saches que tu n’as pas à te cacher ! T’as déjà dû bien te régaler avec ce qui vient d’arriver ... » Dit-il alors, attendant donc une éventuelle réponse.