Pour Alice, tomber sur une Slime, c’était comme un rêve devenant réalité. La Slime était l’un de ces profonds fantasmes qu’elle adorait tout particulièrement. Suu était donc là, contre elle, multipliant les tentacules sur son corps, ce corps aqueux se pressant devant elle, la remplissant, tant visuellement que physiquement. La Slime n’avait pas hésité très longtemps avant de la pénétrer, et Alice n’avait guère non plus hésité, avant de décider de la laisser rentrer. La Slime s’enfonça donc en elle, tout en maltraitant joyeusement les seins, les pinçant très forts, les serrant lourdement. Elle lui offrait le plus grand plaisir possible, en remuant en elle, et Alice, de son côté, ne pouvait que gémir et soupirer profondément.
« Hnnnn... Mmmmhhmmm... »
Ses yeux papillonnaient dans ses orbites, et ses lèvres s’entrouvraient, ses joues rouges traduisant tout son plaisir. Comme pour témoigner de son plaisir, elle gémissait fortement, ses cris et ses soupirs remplissant la salle de classe, probablement pour le plus grand plaisir de Suu, qui voulait la faire soupirer davantage. Alice essayait de se maintenir, de se tenir sur le sol, mais subissait surtout les assauts de Suu, son tentacule phallique filant voracement d’avant en arrière dans son corps, la maintenant sous pression.
Alice mouillait délicieusement, mordillant ses lèvres, comme pour chercher à retenir ses cris, avant de les laisser partir. Elle n’arrivait pas à les garder, à les retenir, et, comme pour la perturber davantage, Suu fit pousser un autre tentacule phallique, qu’Alice sentit caresser ses fesses, ne manquant pas de la faire frémir.
« Haaa... S-Suu... »
Ses onctueux gémissements résonnaient dans la pièce, et elle sentit ensuite ce tentacule s’enfoncer en elle, sans ménagement. Ses parois anales s’écartèrent, se dilatant sous le contact de ce phallus aqueux, dont la nature permettait, justement, de dilater bien plus facilement des parois. Et, quand ce membre rentra en elle, ou, même, commença à s’enfoncer en elle, ce fut comme un coup de fouet, un puissant choc qui fit s’écarquiller les yeux de la Princesse. Un silence s’installa au bout de ses lèvres pendant quelques secondes, calme avant une tempête sonore quand le tentacule commença à remuer, diffusant des ondes intenses de douleur en elle :
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNN... !! »
Les jambes de la Princesse vacillèrent même sur place, mais elle était maintenue par les tentacules aqueux de la femme, ainsi que par ses mains, qu’Alice posa sur deux tables, l’une à sa gauche, l’autre à sa droite, s’appuyant nerveusement dessus, tout en sentant les deux tentacules la déplacer d’avant en arrière. Avec ses seins qui faisaient également l’objet de l’attention de la Slime, Alice était sincèrement comblée. Sa poitrine avait bien durci, ses tétons étant élancés, bien traités, les pressions et les malaxations des tentacules diffusant des vagues de plaisir dans son corps.
Suu dut le sentir, car elle se précipita alors contre Alic,e et l’embrassa furieusement. Les mains de la Princesse, presque par réflexe, se ruèrent sur le corps de la Slime, une sur sa nuque, l’autre se posant sur ses fesses, les deux s’appuyant dessus, se crispant sur sa peau liquide. Elle l’embrassa férocement aussi, ouvrant sa bouche, sa langue allant jouer avec celle de Suu. Le corps d’une Slime avait toujours surpris Alice, car c’était un corps qui était paradoxal en soi, puisqu’il était à la fois solide et liquide. Il y avait une telle concentration d’eau (si tant est qu’on puisse qualifier la matière composant une Slime « d’eau ») que le corps en devenait solide. Alice pouvait enfoncer l’extrémité de ses doigts dans la nuque de la Slime, mais se heurtait rapidement, non pas à un mur aussi intangible que la peau humaine, mais à une sorte de masse liquide profonde et épaisse, si dense qu’elle n’arrivait pas à s’enfoncer davantage.
Ce constat, elle le faisait aussi avec les fesses de Suu. Elle en pressait une, remuant dessus, imaginant, à chacun de ses coups de griffes, des petites vagues liquides tournoyer autour de ses doigts, relâchant ensuite la pression, avant de recommencer. Et, bien sûr, elle le sentait aussi avec sa langue, contre laquelle elle s’enroulait, jouant avec, mais sentant très bien, quand sa propre langue s’y heurtait, tout le côté gélatineux de son corps. En somme, et pour le dire autrement, Alice adorait le contact d’une Slime.
« Hmmmmm... »
Cette rencontre était aussi inattendue que bienvenue, aussi surprenante qu’excitante. Suu finit par la relâcher, et s’écarta alors, amenant Alice à genoux. Déstabilisée, la jeune blonde tomba en effet, mais réussit à s’empêcher de se vautrer, en s’appuyant avec ses bras sur le sol. Elle finit donc à quatre pattes, Suu s’asseyant sur une table, face à elle, écartant ses jambes. Relevant la tête, Alice les découvrit, ses jambes longues et fabuleuses, la bouche entrouverte... Puis l’ouvrit encore davantage en voyant un phallus pointer.
Ce sexe était là, dressé sous son nez, et elle déglutit en écoutant les instructions de son « esclave ». Difficile de parler, et elle se contenta de se relever, en posant ses mains sur les genoux de la Slime, s’en servant comme d’un support pour se hisser.
« O-Oui, Suu, haaaa... Hmmmm... »
Son visage arriva à la hauteur de son chibre bleuâtre, et elle posa ses mains dessus, en appui, puis approcha ses lèvres, gémissant encore, et sortit sa langue, glissant dessus, remuant sur sa peau aqueuse. Fermant les yeux, Alice soupirait de plaisir, mouillant sur place, et lécha son membre, comme une sucette, y frottant également son visage, avant de le prendre en bouche, l’enfouissant entre ses lèvres.
Alice voulait faire ça au mieux, et, tout en ayant ce membre dans sa bouche, déplaça l’une de ses mains, approchant ses doigts de l’intimité de Suu, y en enfonçant deux pour les remuer. Son autre main, elle, s’appuya sur le bassin de Suu, glissant ensuite le long de sa cuisse, tandis qu’elle soupirait et gémissait profondément, sentant un premier orgasme se rapprocher rapidement, au vu du traitement intense et complet qu’elle subissait en ce moment.