Prénom : Saki
Nom : Miyo
Âge : 17 ans
Sexe : Fille
Sexualité : Pansexuelle
Race : Humaine
Description physique :
Vous voulez que je me décrive ? Je n’ai pas de miroir moi, mais par contre j’ai un téléphone portable. Attendez un peu que je prenne le mode photo. Hop ! Voilà qui est à présent fait. J’ai une peau plutôt blanche, mais au japon c’est normal, il parait. La cause ? Ils ont des parapluies qui les protègent des rayons du soleil. Moi la raison est toute autre. Je passe du temps à l’intérieur du bâtiment. Je suis donc naturellement protégée du soleil. Sinon je passe tout mon temps sous les arbres de l’établissement. Oui, c’est à l’ombre et alors ? Pour mes yeux, ils sont d’un vert émeraude plutôt dans le clair. Couleur gazon conviendrait mieux en fait, mais je préfère dire émeraude. J’ai un regard assez perçant et interrogateur.
Mes cheveux eux sont noir et ils m’arrivent jusqu’au bas du dos. Ils sont très longs oui, mais c’est une marque de grandeur dans certains peuples d’avoir des cheveux longs. J’aime ça, c’est tout. Ils sont lisses et bien soignés et coiffés. Ils ne partent pas dans tous les sens la preuve. J’ai plusieurs mèches longues qui partent sur les côtés du visage. Je ne suis pas très floral. Je ne mets rien dans mes cheveux ou sur mon visage. Le maquillage je déteste ça. Je trouve que ça fait « faux. »
Mon uniforme scolaire est customisé en termes d’apparence et des couleurs. Il y en a trois en tout. Il y a du blanc pour l’uniforme et les bordures. Du bleu pour le col et la jupe et du rouge pour la cravate obligatoire. Comment j’ai fait ça ? C’est simple, j’ai une machine à couture bon marché chez moi. Je peux donc découper, rafistoler ou retravailler les uniformes à ma guise. Pour le tissu je me fournis sur internet. Je sais me débrouillée moi. Mes chaussures sont noires et les chaussettes sont bleues. Ce choix est fait exprès pour vous faire parler. Ça donne du contraste et j’aime le contraste !
Mon sac de cours est un sac en bandoulière des plus classiques. Je suis droitière alors il est du bon côté. Mon téléphone ? Il est noir et ce n’est pas un de ces derniers modèles hyper perfectionnés. Non, le mien c’est un vieux téléphone à clapet que je trouve très pratique. Ce choix du rétro est pour l’autonomie de la batterie et la taille. Il fait sms, appel, vidéo et photo. J’ai deux objectifs sur mon téléphone. Un devant et un autre derrière. Parfois, je m’en sers comme baladeur pour lire ma musique.
Caractère :
Je regarde les gens avec un air suspicieux depuis mon arbre dans la cours de l’établissement. Je passe beaucoup de temps à observer les autres. Si vous avez perdus un objet en ma présence. Je vous dirais aisément ou il est, mais ce n’est pas dit que les informations soient toujours gratuites. Je suis fille qui a l’air timide en apparence, mais c’est juste une apparence. Si vous me voyez être timide c’est parce que je joue la comédie. Ce qui me permet de sortir des situations les plus tendus. Comment ? C’est de la manipulation vous dites ? Soit, je suis une manipulatrice à double-jeu. Qui irait soupçonner une jeune fille innocente comme moi ? Personne !
Le désordre, je n’aime pas. Je ne peux pas m’empêcher de bien faire les choses et j’ai horreur de ne pas finir quelque chose que j’ai commencée. Le reprendre plus tard me perturbe. Le règlement des lycées japonais interdisent souvent la détention de téléphones portables, mais ça ne m’empêche pas d’avoir le mien. Je m’en fiche des règlements ! S’ils veulent m’imposer leurs autorités je leurs souhaites bon courage. Devinez la meilleure ? Comme je passe tout mon temps à espionné les autre élèves, je possède beaucoup d’informations sur les étudiants et même les professeurs. On ne fait pas souvent attention à comme je suis toujours dans un coin sombre. Je suis au courante des rumeurs qui circules sur ce lycée et j’en ai vues des choses bizarres. Un prof violer une élève ou l’inverse ? C’est d’abord dans mon téléphone, puis c’est transférer sur mon ordinateur le soir après les cours.
Mes parents sont à l’étranger et c’est eux qui paient la facture de mon petit studio. Je suis très débrouillarde et autonome. Le ménage, je le fais. Faire les courses, je le fais. La cuisine ? Je le fais également. Je sais m’occupée de mon appartement et j’en prends grand soin. Comme j’ai horreur de reprendre quelque chose à plus tard rien ne traine chez moi. C’est très propre et il n’y a pas une immense pile de linge dans le bac à vêtement.
Histoire :
Je suis née au japon dans la ville de Tokyo. Je suis une fille unique. Mes parents ont un appartement de luxe et je n’ai par conséquent jamais manqué de rien. La nourriture, l’eau, les choses high-tech. Tout ça est mon quotidien depuis mon enfance, mais j’ai pris pour habitude de ne jamais abuser de mon statut social comme certains prennent plaisir à le faire. La petite fille pourrie gâtée, ce n’est pas chez nous et ça n’arrivera pas.
J’ai grandie dans un environnement calme et tranquille. Mon éducation, je l’ai reçue de mes parents et de la dame de service qui travaille pour eux pour ne pas dire « servante ». Même si j’adore ce terme, je préfère ne pas le dire devant les autres. Le double-jeu est permanent chez moi. Je me fais passer pour ce que je ne suis pas. De cette manière, j’ai la paix avec les adultes. Mon enfance s’est déroulée sans histoire. Quand j’eu l’âge de commencer l’école je m’y rendais sans ronchonner et je suis une élève brillante. Un peu téméraire parfois. Les profs me rappellent à l’ordre et ça suffit pour me calmer.
Pour mon adolescence et l’école supérieure, c’est là que ça se complique un peu. Ma mère est journaliste et mon père travaille dans les finances. Ma mère publie des articles dans la presse locale comme internationale et mon père a de solides affaires à travers plusieurs pays dont le japon. C’est un homme d’affaire respecté dans son domaine. Il ne faut pas l’emmerder mon père. Et moi non plus ! Si vous devenez trop gênant. Rien ne m’empêche de donner un article à ma mère pour détruire votre réputation à vie. Que l’article soit vrai ou faux tout le monde y croit. Je l’ai fait une fois, la pauvre fille a mis fin à ses jours en se pendant avec une corde au tour du cou. C’est un suicide la police ne m’a jamais retrouvée. C’est mon premier meurtre intentionnel. Voir du sang et des larmes ne me fait aucun effet.
Mes parents ont dû déménager peu de temps avant ma rentrée au lycée. Je me suis installée à Seikusu et je me suis prise un petit studio ou j’y habite totalement. La raison de leurs départs ? Le travail à l’étranger. C’est depuis ce jour que j’ai obtenu mon téléphone portable « personnel ». Il me permet de communiquer partout dans le monde. C’est gratuit pour moi tout comme mon appartement. J’ai un compte bancaire avec une carte ou je peux retirer des yens quand je veux pour pouvoir subvenir à mes besoins quotidiens et même un peu plus. Je la garde précieusement ma carte et mon téléphone. Ma carte d’étudiante est précieuse aussi. C’est une vie en solitaire que je mène jusqu’à maintenant, mais ça pourrait très vite changer dans ce nouveau lycée farfelu.
Autre : Nothing à part qu'elle est blindée de thunes.