On s'amuse avec les humains [Yûko]

Theorem et Ishtar s'accordaient des fois des vacances et quoi de mieux que trois mois chez les humains pour se changer les idées ? Bon ça ne voulait pas dire qu'Ishtar allait se tourner les pouces. Comme d'hab elle avait un emplois du temps chargé, entre son entreprise à visiter, voir les bilans comptables et surtout rencontrer du monde bien placé sur Terre pour agrandir son porte-feuille client. Cela laissait quand même du temps pour s'amuser un peu... Les soirs à Seikusu, pendant qu'Ishtar était en train de travailler ou quoi, elle confiait Theorem à des expertes pour le dresser et le faire faire des tas de trucs totalement pervers et inconnus. En plus la Terre était une planète de coincés du cul et de réfractaires sociaux, c'était parfait ! On allait avoir un bon exemple de gens totalement révoltés par le peu qu'ils allaient voir. Naviguant sur internet, elle tomba rapidement sur la page d'une escort nommée Yuko sur sluty-chan.jp. Du coup, Ishtar prit contact avec cette dernière avant de lui envoyer sa requête par mail.

"Bonjour chère Yuko, je me nomme Ishtar. Je suis une dominatrice souvent en déplacement professionnel et je souhaiterai quand même garder ma vie active tout en conjuguant ma vie sexuelle. De ce fait, je vous commande pour vous occuper, non pas de moi, mais de mon soumis. Il se nomme Theorem. Vous êtes conviés au Love Hotel du Quartier de la Toussaint nommé Edonia. A la chambre 111, vous entrerez en tapotant 7 fois. Vous trouverez en pièce jointe mon soumis. Il est cosplayer et aime se travestir, ne faites donc pas attention à sa queue et ses oreilles d'animal. Gardez votre téléphone portable en tout temps car vous recevrez des informations par sms. Merci également d'utiliser la gopro que vous trouverez sur la table de chevet. Elle est reliée au réseau 4G et me donne une image constante de ce que vous filmez. Merci de respecter les conditions suivantes :
- Mon soumis devra en tout temps être privé de la vue de vos seins nus ou de votre sexe nu.
- Mon soumis devra garder sa cage de chasteté, mais il vous sera demandé de le frustrer et de jouer avec cela.
- Tenue de latex exigée, prévoyez aussi de venir après deux ou trois rapports sexuels sans vous nettoyer.
- Mes ordres par SMS sont absolue mais pour autant vous ne devrez pas les lire à mon soumis.
- Vous serez payé 100 000 Yens pour cette soirée, des extra peuvent survenir.
Et surtout, amusez-vous bien. Vous êtes une magnifique jeune femme et avec moi, vous aurez énormément à découvrir."

Pièce jointe : theorem-chastity.jpg

Theorem de son côté recevait simplement l'ordre de réserver une chambre au Edonia, chambre 111. Une fois en haut, on lui livra un carton contenant une gopro déjà en marche avec batterie très longue durée et émetteur 4G. Il y avait aussi deux grosses valises de jouets sexuels et de vêtements pervers. On lui avait adressé un post-it l'obligeant à mettre son uniforme de la Marine en latex et d'attendre une jeune femme qu'il allait devoir servir. Assit sur le lit, il n'avait plus qu'à attendre qui allait arriver quand on toqua 7 fois... C'était le signal. Le stress monta mais il devait obéir, en plus il était filmé.

"Heu... Entrez c'est ouvert !"

Depuis quelques jours, Yûko avait une petite Kōhai sous son aile, un femboy très feminin qui apprenait le vrai métier de prostitution car, avant leur rencontre, cette prostituée amatrice ne se faisait payer que de 300 Yen, soit le prix d'une pomme. Autant dire qu'elle n'aurait pas été bien loin avec ça. Mais sa nouvelle Senpai lui avait fait découvrir tout les avantages du site sur lequel elle était inscrite et, depuis, sa Kōhaï touchait plus d'argent, mais s'amusait tout autant. A vrai dire, il y avait depuis quelques mois de plus en plus de femboy en ville. Au début, le phénomène avait été semblable aux Futanari. On les pointaient du doigt comme des anomalies, on cherchait à trouver un remède, on les rejetaient. Mais au fil du temps et Seikusu oblige, les Futanari comme les femboy étaient entrés dans la norme sexuelle de la ville et a présent, il n'était pas rare d'en croiser dans la rue.

Pourquoi parler de tout ça ? Et bien précisément parce que Yûko avait récemment reçue un mail, provenant vraisemblablement d'une riche personne, qui lui demandait grosso modo de s'occuper de son soumis, un femboy justement, au vu de la photo jointe avec, pendant qu'elle même était absente pour affaires. Toutefois, elle recevrait régulièrement des SMS pour la suite des opérations, qui seront justement filmées. Une sacrée perverse en somme. Elle avait néanmoins acceptée, car la femme lui promettait plus de 100 000 yen, plus des extraits, sans doute si elle allait au delà de ses espérances. Habituellement, un client lui aurait payé le quart de cette somme pour une seule soirée de ce genre. Autant dire qu'elle accepta sur le champ, mais elle dû fixer elle même une date, afin de respecter certains des critères.

Elle fixa donc la soirée deux jours plus tard, pour la simple raison qu'elle avait pas moins de cinq clients ce jour là. En fait, ils avaient cotisés pour une partie de gang-bang avec elle au centre de cette sauterie, en milieu d'après midi, dans un donjon SM. Autant dire qu'elle avait déjà sa tenue en latex sur elle, quand Yûko se rendit directement du donjon au lové hôtel, le corps souillé de sperme encore frais. Elle fit tourner et détourner des regards sur son passage, provoqua outrance et intérêt et elle eu l'occasion de filer sa carte de visite à une ou deux personnes, avant de finalement arriver à destination. Comme demandé dans le mail, elle frappa sept fois à la porte 111 avant d'entrer.

Le femboy roux était la, dans un cosplay en latex, plutôt original pour le coup et sagement assis sur le lit, devant deux grosse malles. Il fallait avouer qu'il (ou elle, s'il voulait être traitée comme une fille) était adorable et la brunette se mordilla la lèvre inférieure, d'envie. De son côté, le soumis vit donc une adolescente au Long cheveux bruns et aux seins généreux, vêtue d'une tenue de latex noir tout ce qu'il y a de plus simple, mais maculée de sperme des pieds au visage. S'approchant de lui après avoir refermée la porte, elle agrippa sa queue de cheval rousse et tirera dessus, pour le forcer à le regarder dans les yeux.

- Et bien petite pute, qu'est-ce que t'attend pour nettoyer ta Maîtresse ? Ne vois tu donc pas que que je suis souillée de ma journée ? Je ne devrai même pas avoir à le demander à une soumise digne de ce nom. Et avec ta petite langue de traînée, bien sûr.

Elle le relâcha en le poussant au sol et tendit son pied droit.

- Ah là là... Toute une éducation à refaire, je comprend pourquoi on t'a confiée à mes soins...

Yûko le traitait volontairement comme une fille et ce qu'importe son opinion. Elle s'était aussi placée de manière à ce que la scène soit parfaitement visible depuis la caméra, placée sur une commode pour le moment.

Le jeune androgyne, en apparence seulement, se retrouva rapidement entre les griffes d'une dominatrice humaine, visiblement payée pour lui faire subir cela. A cela, le jeune Haiena se retrouva rapidement empoigné par les cheveux et mit à genoux devant elle pour la nettoyer avec sa langue. Le sperme séché sur le latex noir brillant se voyait par une teinte un peu plus laiteuse et mate. Doucement, il prit un timbre plus soumis, acquiesçant devant l'humaine qui put s'installer dans le fauteuil le plus proche.

"Bien Maîtresse."

Il avait une langue plutôt longue et commença par les pieds de Yûko, recouvert par des bottes de vinyle noir. Il entreprit de bien lécher la matière noire et brillante afin d'en débarrasser cette dernière de toute la semence laissée par des inconnu. Il remonta sur sa longue jambe moulée de latex, passant avec attention sur ce qui devait être les reste d'une éjaculation vaginale qui avait laissé des traces de chute, ou une intense fellation qu'elle avait pratiqué... Cela excitait le soumis de s'imaginer tout ça. Il arriva sur le ventre puis entre les seins de Yûko. Là il y avait pas mal de semence collante, sûrement dût à une branlette espagnole entre ses magnifiques seins. Elle sentait la sueur et la luxure. Il ne pouvait donc passer outre ses aisselles qu'il lécha avec amour, inonda ses narines de l'odeur puissante de cette femme. Il termina par le meilleur, son entre-jambes. Il ne chercha jamais à empoigner ses seins ou lui retirer son string de latex noir. Il caressant le triangle de latex avec sa langue, la débarrassant du sperme débordant sans lui donner de véritable cunni. Le téléphone portable de Yûko sonna alors qu'elle se faisait encore nettoyer par le soumis.

"On y prendrait goût, hein ? Fait enfiler à mon soumis la tenue de soubrette en latex dans la valise. Pendant qu'il se changera dans la salle de bain, je veux que tu te gode devant la cam en gros plan. Fait en sorte qu'il ne te voit pas en lui demandant d'aller dans la salle de bain. Et retiens-toi si tu as envie de pisser. Sa bouche est ton toilette, mais veille à lui mettre un bandeau si tu veux te soulager."

Le SMS avait un numéro masqué, mais on pouvait confirmer que la gopro marchait bel et bien en direct. On les observaient donc.