Rosalia eut un léger rictus en voyant le démon retenir l'humain, elle pensait qu'une bonne leçon à ce dernier lui aurait fait comprendre qu'il ne pouvait être qu'un témoin et rien d'autre, mais elle était patiente, c'est comme lorsqu'elle devait tuer quelqu'un, patienter, attendre que le groupe de scinde pour qu'il soit plus aisé de frapper. Elle voyait bien que ce jeune homme avait des sentiments, celui de ne pas laisser une faiblarde, comme était devenue Cordis au sévices d'une tarée comme la chasseresse. Elle en rit même intérieurement, s'il voulait l'aider, cela serait un bon moyen de faire encore plus de mal à Cordis, pour lui donner le prélude du châtiment que le demoiselle doit recevoir. Aussi écouta-t-elle avec un intéressement faussement montré, tout en continuant à fumer sa cigarette. Puis vint le moment qu'elle adora, Hirano s'énerva et voulut le faire à la diplomatie, tout ce qu'il eut le droit c'est d'entendre son rire, un geste, un geste avait suffit pour être derrière le démon et l'immobilisé complètement, le fusil sur sa tête.
- Je suis désolée de te décevoir vers de terre, mais d'une, j'ai le pouvoir de sortir de vos prison qui ne retiendrait même pas un behemot, de deux, je suis tout à fait capable de rendre tous les témoins aussi silencieux qu'une tombe et enfin Phantom est un jouet de L'Organisation et rien d'autre, la considérer comme un être vivant et pire, comme une humaine (rire), je trouve cela désopilant. Je vais vous apprendre pleins de chose sur elle et vous allez me dire si après vous la verrez pareil.
Elle prit le démon par le cou et le fracassa contre le mur plusieurs fois pour la balancer au pied de Hirano, le pauvre démon devait se demander s'il n'était pas tombé sur un genre de Lucifer humain.
- Sache qu'il existe deux chasseurs, ceux dont on a transfusé du sang de démon, comme moi et les Phantom, comme cette chose qui vient juste de gigotée ...
Rosalia tira une balle, qui érafla la joue de Hirano, faisant voler ces cheveux et allez se palnter dans le cou, ratant de très peu la carotide, la pauvre Cordis se mordit l'index pour bouger le moins possible et ne pas crier. La femme continua comme-ci de rien n'était.
- Ces dernier peuvent ce compter sur une paire de main, il y en a sept, tous on eus une vie presque similaire, mais leurs initiation et l'entrainement diffère. Pour ce machin par terre, elle est la survivante d'un village de terranide ayant subit l'assaut de L'Ordre Immaculée, des idiots qui croient comme nous en un dieu, mais qui ont prit la grosse tête, quoi qu'il en soit, elle a trouver refuge dans une autre village terranide, alors qu'elle n'avait que 1 ans, l'instinct de survie est parfois bien utile pour ces choses fragile. 6 ans plus tard je suis allez demander la petite, ils n'ont pas voulut, aussi ai-je fais ... un peu de ménage, un village d'esclave de plus ou de moins qu'elle différence, quoi qu'il en soit elle avait le choix, soit elle était sauve, soit elle mourrait et pour sceller le contrat, elle a du tuer sa propre famille. cela se passe toujours de cette manière, tuer les personnes que l'on chéris détruis plus facilement les sentiments, chose inutile et qui ne sert qu'à justifier nos actes.
Elle remarqua que sa cigarette était finit et se leva pour se diriger vers Cordis, le flingue sur son épaule, près à tirer sur n'importe qui tentant de l'empêcher de faire ce qu'elle voulais, Hirano y comprit. une fois assez proche on n'entendis plus rien, comme-ci le vent et tous ce qui faisait des bruit parasites avait disparut, ce qui accentua le gémissement de la pauvre petite quand la femme écrasa sa cigarette sur une de ces plaie, causant encore un sévices de plus.
- Respire moins cela me dérange.
On pouvait voir que Cordis était totalement sous le contrôle de cette horrible femme et le pire c'est que l'on voyait bien que la petite respirait moins vite, étant à la limite entre le manque d'air et l'essoufflement. Une situation qui ne tira pas un seul regard de pitié de la part de Rosalia, juste du dégoût.
- Où en étais-je déjà (Rosalia mit un de ces talon aiguille sur la jambe de la petite), Ha ! Oui ... une fois cela fait j'ai été désignée pour être sa tutrice, s'en suivit de long et délicieux entrainement jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus bouger un muscle tellement cela lui faisait mal, ainsi que des séances pour résister à la torture des paladins et savoir coucher avec une personne pour profiter de cet instant pour le tuer, en sachant que je la châtiait si ces résultats n'étaient pas satisfaisant.
La femme se mit à rire, attendant la réaction du jeune homme, Cordis avait prit les trois collier, malgré le fait que le deuxième talon écrabouillait et transperçait presque sa main, le petite ne pleurait plus, ni ne criait, on entendait juste ces gémissements de douleurs, mais elle essayait de ne pas faire trop de bruit et de respirer lentement, les yeux regardant le femme, des yeux dévoilant la terreur dans laquelle elle se trouvait, elle écoutait tour, mais n'arrivait pas à comprendre où le femme voulait en venir et en même temps elle ne voulait pas en écouter plus, tous cela ne pouvait être elle, c'était impossible qu'elle est fais du mal à une personne, déjà qu'elle ne voulait pas écraser ne serais qu'une fourmis, alors comme Cordis aurait put faire cela.