Les premiers rayons du soleil du matin firent leurs apparitions pour agresser les yeux à demi ouvert du lycéen qui était plongé dans son lit, il ne voulait pas se lever pour aller en cours, mais il n'avait pas le choix. Akira se frotta les paupières qu'il referma aussitôt en poussant un long gémissement de fatigue, avant de se lever pour glisser ses pieds dans ses chaussures. Il ne put s'empêcher de pousser un long soupir, en glissant son gant trempé sur son visage, afin d'enlever toutes traces d'impuretés qui ornait son visage. Il s'habilla en vitesse, mais ne ferma rien, excepté la braguette du pantalon. Sa chemise était ouverte de deux trois boutons dans le haut, accompagnée d'une cravate presque dénouée. Il n'avait pas trop eu le temps de l'attacher donc il descendit dans la cafétéria dans cette tenue, en prenant un plateau, où il glissa mes aliments qui lui rempliraient l'estomac en attendant un repas lus consistant. Ses pensées étaient perdus sur la jeune fille qu'il avait accueilli il y a une semaine, il l'avait rencontré dans un accident fâcheux, et il ne l'avait plus revu ensuite, juste de loin.
Il posa froidement son plateau sur la table orangée, sortit la chaise pour la remettre avec ses fesses dessus. Erikawa prit son croissant pour en manger une bouchée avant de le reposer lentement sur le plateau. Un curieux sentiment qu'il n'avait pas ressenti depuis longtemps fit son apparition, l'amour, un sentiment qui est attiré par la beauté d'une personne, ou bien de son caractère, et il était touché par cet étrange phénomène. Sa main s'empara de la tasse de café pour voir justement la personne qui était concernée. Il ferma les yeux chaleureusement en mettant ses pieds sur la chaise d'en face, attendant que cette jeune fille vienne auprès de lui, sinon ce serait lui qui ferait le premier pas pour essayer de la séduire, même s'il avait peu de chance. Contrairement à ce qu'il pensait, ce n'était pas elle, ce qui le déçut légèrement, mais il se devait de monter dans sa chambre pour faire son lit, car il ne devait pas tout laisser à la charge de ses pauvre femmes qui étaient chargés du nettoyage éprouvant pour lequel elle était payée. revenant dans sa chambre, il remarqua qu'une belle demoiselle s'occupait déjà de tout ce qui le surprenait, mais il posa sa main sur son épaule pour la faire se retourner, et lui demander.
" Mademoiselle, je peux faire ce que vous faites, même si je vous ai payé... Voudriez vous bien faire connaissance avec moi pendant ce temps car c'est dur d'être seul, avec un visage aussi beau que le votre qui m'est fort agréable à voir sans dialogue, n'est ce pas ?"