Tuer et trahir était le quotidien de Watari, il vivait de peu et s'en contentait amplement, pas besoin d'argent pour vivre, la nature de Terra lui fournissait ce dont il avait besoin pour vivre. Et si il en avait besoin il prenait un contrat, il recevait toujours son payement il n'était pas riche, mais faisait ce qu'il voulait de sa vie d'assassin au service du plus offrant et allait même jusqu'a fixer ses propres règles sur ses propres contrats. Mikko pouvait en faire autant, après tout elle ne devait pas obeissance a un seigneur qui avait droit de vie et de mort sur lui, comme ça avait été le cas de Watar avant qu'il ne tue son père, surement la meilleure chose qu'il eut fait de sa vie, il ne supportait plus de le voir s'en prendre aussi vilement aux femmes. pour lui, les femmes étaient des trésors qu'il devait proteger, en obtenir les faveurs était un privilège qui se méritait, pas quelque chose qu'on volait comme si celà appartenait de droit. C'était ce que sa caste ne comprenait pas, et c'était aussi pourquoi il était un exclu, toute sa vie il n'avait été que "le batard", mi démon mi humain, forcé a l'obeissance, mais il avait échappé a cette vie et a présent vivait celle ci plainement, bien que pas tout a fait démon, et pas tout a fait humain, ce qui l'empechait de connaitre une vie normale et pacifique...
Mais tant qu'il aurait les femmes avec lui, alors tout serait pour le mieux. Il n'avait rien besoin de plus. Bien sur, Watari couchait beaucoup avec beaucoup de femmes différentes, ce qui faisait qu'il était poursuivi par ses anciennes conquètes qui voulaient le tuer pour les avoir trompé...Mais Watari ne trompait personne. Il n'aimait pas une femme, il aimait toutes les femmes. Tout simplement, et il voulait les satisfaire au mieux qu'il pouvait. Il posa ses mains sur les épaules de Mikko, elles étaient froides, et elle brulante d'avoir fait tous ces efforts, le contact fit l'effet d'un glaçon posé sur de l'eau chaude, craquelant celui ci.
"T'allonger me donnerais une plus grande surface a masser"
Tatant des doigts le creux des épaules il posa ses main sur celle ci avec douceur, comme une brise froide parcourant des dunes désertiques, ses pouces cherchèrent les nerfs, ils les trouva et se mit a les détendre, bientôt une sensation de bien être allait l'envahir...A Watari de faire en sorte qu'elle veuille que celle ci se propage
"Si je te fais mal, dis le moi"
Fit il, on ne sait jamais, au cas où il presserais un point mortel du ninja par erreur...Ah non ce n'est vraiment pas drôle
"Détend toi, ne pense a rien."