Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Bodyguard [Le Jardin Secret]

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Cahir

Humain(e)

Re : Bodyguard [Le Jardin Secret]

Réponse 30 jeudi 27 novembre 2014, 01:19:11

Face à ces deux terribles femmes, Cahir n’en menait pas large. Il venait de prendre Alaun, et se retrouvait maintenant face à Sosanelle. Dans sa nuisette entrouverte, la jeune femme était magnifique, une ode à la beauté. C’est quand on voyait des bouts de chair comme ça qu’on comprenait vraiment ce que signifiait le beau sexe. Ces deux femmes étaient clairement magnifiques, et Cahir se laissait faire. Docilement, le beau guerrier voyait sa virilité être engloutie par les seins lourds de Sosanelle. Pour le coup, la jeune prostituée se faisait plaisir, et, quand elle demanda à ce que Cahir parle, il acquiesça. Lui connaissait l’importance des mots, et la connaissait même plutôt bien, car c’était avec des mots que sa vie avait été brisée. Un excellent guerrier, mais un bien piètre orateur.

Sosanelle voulait qu’il parle, qu’il dise qu’il aimait ça. Au beau milieu de ce jardin, avec ses nerfs en feu, Cahir serrait l’herbe entre ses doigts. Lentement, l’homme respirait, reprenant son souffle, essayant de parler. Il serra les dents, remua sa langue, la fit claquer dans sa bouche, et répondit, satisfaisant la requête de la jeune femme :

« Oui… Oui, putain, hum… J’aima ça, Sosanelle… Voir… Voir ma queue dans tes seins, et… Pouvoir t’en foutre sur la gueule, putain… Oh ouais, je ne demande que ça, ma chérie… Alors, continue… Continue !! »

Cahir n’était vraiment pas doué pour les mots, et estima que sa phrase était absurde. Il se contenta donc de soupirer, ne lâchant que quelques mots, brefs et courts. Il disait que c’était bon, qu’il aimait ça, il la félicitait d’être douée, employant des mots relativement doux. Il l’appelait « ma chérie », ou encore « mon bébé », au fur et à mesure que le plaisir croissait et enflait dans son corps, remontant dans tous ses muscles. L’apatride aimait ça, il aimait voir cette queue glisser. Sosanelle était vraiment douée, très talentueuse, et, au bout de quelques instants, l’apatride sentait le plaisir culminer, approchant du point de non-retour, celui où le sperme s’accumulait en lui. Il soupirait, son organisme en demandant plus, sa chaleur corporelle continuant à croître, à exploser. Putain, ce que ça pouvait être bon ! Il en voulait, encore, encore ! C’était à elle de le satisfaire, et, au moment où il se dit qu’il n’allait pas tarder à jouir, la main de Sosanelle se posa sur la base de son mât,e t se serra dedans.

Une onde de douleur irradia dans le corps de Cahir, qui soupira en mordant ses lèvres, basculant sa tête en arrière en grognant. Tout son corps sembla ressembler à une mer démontée, aux vagues remuant bruyamment, frénétiquement.

« Hunnn… !! »

Maudite pute ! Elle voulait l’empêcher de jouir, et il ferma les yeux, respirant lourdement, afin d’essayer de contrôler le flux déchaîné de ses passions, de retenir et de réfréner cette soif ardente qui était en train de gravir dans son corps. Cahir soupirait faiblement, et vit ensuite Sosanelle se redresser. Elle avait empêché son érection, et Cahir soupirait, se sentant un peu mieux. Son self-control venait de parler pour lui-même, l’aidant à se maintenir. Il vit la femme se redresser au-dessus de lui, sentit un peu de sa mouille heurter son sexe. Il serra les dents, les yeux ouverts, observant avec plaisir ce corps magnifique et somptueux. Sosanelle n’attendit que quelques secondes, avant de s’empaler sur lui d’un coup sec.

« Hmm !! »

Oh putain ouais ! Ça, c’était bon ! Elle dansait sur lui, s’empalant sur son corps, se dressant fièrement, et Cahir posa ses mains sur ses hanches. Il était couché sur le sol, couché sur le dos, et laissa Sosanelle danser sur lui, en rythme, ses hanches remuant sur son corps. L’homme soupirait longuement de plaisir, la laissant faire. Alaun, de son côté, les avait observé pendant un temps, puis se rapprocha. Sa main se posa sur la joue de l’apatride, et tourna son visage du corps agréable de Sosanelle, pour lui embrasser fiévreusement les lèvres. Sa langue s’enfonça dans la bouche de l’homme, et elle soupira contre lui, faisant gémir Cahir. Il conserva une main sur les fesses de Sosanelle, et souleva l’autre pour agripper les cheveux de la femme, serrant ses cheveux, crispant ses doigts sur le cul de la femme.

Sosanelle dansait sur son corps, son intimité tellement humide qu’elle pouvait remuer dessus sans problème, de haut en bas. Ses seins sautillaient, et Alaun rompit le baiser, puis se redressa un peu, et partit suçoter l’un des seins de Sosanelle. Elle voulait que Cahir l’entende gémir, soupirer et hurler… Et elle avait raison. Entendre une femme hurler, hurler de plaisir, c’était tellement bon !
DC d’Alice Korvander.

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Cahir

Humain(e)

Re : Bodyguard [Le Jardin Secret]

Réponse 31 mardi 09 décembre 2014, 01:58:10

Alaun revint à la charge, et, comme si Cahir n’était pas déjà suffisamment comblée, il eut tout le loisir d’admirer le corps de cette femme. Sa vulve dégoulinante de mouille tomba sur son visage, et elle s’abattit ensuite sur lui, le faisant soupirer, étouffant ses cris. Sa tête, légèrement relevée, s’abattit sur le sol, et ses mains se crispèrent sur le cul de Sosanelle, tandis qu’elle continuait à danser. Il était vraiment avec des femmes gourmandes, et l’apatride sentait toute son énergie être aspirée par ces deux nymphes. Sa langue partit à l’assaut de l’intimité de la femme. Il n’était pas habituel qu’il fasse des cunnilingus, mais, fort heureusement, l’apatride n’était pas totalement un néophyte. Il savait qu’il y avait, dans le sexe d’une femme, une zone fatidique à atteindre, un point central, un point qui déclenchait instantanément des vagues irrépressibles de plaisir. Ça, c’était le pied ! Cahir sentait ces deux femmes se faire plaisir, s’embrasser mutuellement. Il entendait leur chair claquer, et il n’était plus qu’un atome de plaisir,  obéissant à ces deux dames. De simples prostituées, elles ? Le terme aurait été offensant ! Elles étaient de véritables dames de charme, dignes des plus grandes courtisanes ashnardiennes, ces femmes qui maîtrisaient si bien les voies du sexe et du désir qu’elles imposaient les leurs sur leurs épisodiques amants, et refusaient la basse qualification de prostituées. Des femmes si douées qu’elles couchaient uniquement avec la haute de la haute : Maréchaux, diplomates, ambassadeurs, ducs… Cahir avait l’impression d’être avec ces femmes, et en sentir deux sur lui… Voilà un plaisir inoubliable, voilà un plaisir à même de lui faire enfin apprécier cette ville pourrie ! Comme quoi, même à Nexus, il y avait de bons côtés, de beaux aspects. Cahir continuait à les prendre toutes les deux, inconscient du danger qui menaçait…

Et puis, les carreaux arrivèrent. Les deux femmes réagirent rapidement, et Cahir, qui se sentait approcher de l’orgasme, cligna des yeux. Avec les cuisses de Sosanelle sur sa tête, l’homme n’avait rien entendu, mais vit un autre trait fuser, et se loger dans un mur.

« Qu’est-ce que… ?! »

Il eut à peine le temps de réagir qu’il sentit la main d’une des deux femmes le soulever. Cahir tourna la tête, et vit des tueurs en hauteur, depuis des toits, armant leurs arbalètes. Il repensa alors à ces individus qu’il avait vu tantôt, et qui avaient importuné Alaun. Cahir se déplaça rapidement, et sentit un autre carreau le frôler, se fichant dans l’herbe. Il regarda brièvement les carreaux. Des pointes havekar… Des flèches et des projectiles qu’on utilisait chez les elfes, notamment la Scoia’tael, une organisation terroriste de non-humains sévissant dans la plupart des royaumes humains, et qui militaient pour l’égalité des droits entre tous les peuples, mais qui avait parfois tendance à virer dans une sorte de racisme anti-humain. Les Écureuils étaient des individus dangereux, et, visiblement, ceux qui attaquaient avaient trouvé de quoi se couvrir par la suite. Il ne s’agissait pas des elfes, car les elfes n’utilisaient pas d’arbalètes, mais de longs arcs elfiques profilés. Des individus tentaient de tuer ces femmes, et accuseraient ensuite les Écureuils.

Le trio se retrouva à l’intérieur de l’établissement, et Cahir regarda autour de lui. Nu, sans son armure, sans son épée… Et avec deux femmes qui ne semblaient pas aussi paniquées que cela. Elles n’avaient pas hurlé, ce qui confirma aux yeux de Cahir qu’elles n’étaient pas que de simples prostituées de luxe. Elles se dépêchèrent d’avancer, et rejoignirent Lya, expliquant à la matronne de quoi il s’agissait. Cahir restait silencieux. Par les fenêtres, il pouvait voir l’intérieur du jardin, et observa les toits… Les silhouettes avaient disparu, mais il était convaincu que les agresseurs étaient toujours là. Ils n’étaient pas très doués. Vu comment le trio se faisait l’amour, et vu la distance, un bon tireur les aurait abattu sans aucune difficulté. Lya donna aux femmes ses instructions, notamment à Alaun, qui avait l’air furieuse, et qui savait visiblement très bien qui était en train de les attaquer.

Comme si Lya venait de se rappeler qu’il était là, la belle et forte femme se retourna vers Cahir, toujours aussi nu, et qui commençait à légèrement débander, son érection diminuant lentement :

« Bon, j'imagine que tu veux des explications. Je t'en donnerai, mais après je te ferai une proposition. »

Cahir hocha lentement la tête, et répondit assez rapidement :

« Je pense avoir compris que vous ne dirigez pas un simple harem. Des prostituées-tueuses… C’est un classique de la guerre, que ce soit pour obtenir des informations, ou pour tuer des cibles importantes. Je n’ai pas de problèmes avec ça, et j’imagine que les types qui nous ont attaqué dans le jardin en ont après Alaun.»

L’apatride parlait rapidement, voulant montrer à Lya qu’il ne se faisait aucune illusion sur ce qu’elles faisaient ici.

« Je n’ai pas de problèmes moraux avec ça… Mais je veux bien savoir qui sont ces gens qui ont failli me tuer quand j’étais en si charmante compagnie… Et, si je peux avoir l’opportunité d’en tuer un ou deux, croyez bien que je la saisirais avec plaisir. »
DC d’Alice Korvander.

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Cahir

Humain(e)

Re : Bodyguard [Le Jardin Secret]

Réponse 32 jeudi 11 décembre 2014, 02:27:25

L’assassinat… Il n’y avait rien de noble là-dedans, rien d’honorable, rien de chevaleresque. Lya était en train de lui proposer d’en devenir un. En d’autres circonstances, en une autre époque et en un autre lieu, l’apatride aurait refusé, et aurait giflé cette catin, tout en la mettant aux arrêts, et en ordonnant qu’on ferme cet endroit. Elle lui expliqua que les assassins étaient nécessaires pour réguler la société, un argument qu’il avait toujours empreint de cynisme. Néanmoins, Cahir n’était plus le fier chevalier ashnardien qu’il avait jadis été, il n’était qu’un garde du corps, un garde du corps pour des prostituées meurtrières, et savait, aussi, que, si Lya lui proposait la carotte, le bâton n’était pas très éloigné. S’il refusait, elle le tuerait, et personne ne viendrait pleurer sur son sort. Les activités secrètes du Jardin Secret devaient justement rester secrètes. Si chacun devait apprendre ce que ces femmes faisaient vraiment quand elles n’ouvraient pas leurs cuisses, le Jardin fermerait.

Cahir se tut donc pendant quelques secondes, puis hocha la tête.

« Vous m’avez embauché, répliqua-t-il. Je serais un bien mauvais employé si je refusais les ordres de ma supérieure… Surtout quand elle est si douée au lit. »

Il en parlait sans ombrages. Il était à poil, après tout, et rentra dans la pièce secrète. La femme, auparavant, lui avait proposé une liqueur venant du Texas, un nom qui ne disait absolument rien à Cahir. Sûrement une province lointaine et reculée. Il oublia rapidement son vin en voyant la pièce secrète, et trouva rapidement de quoi rester discret, avec une parfaite tenue de voleur, qui conviendrait à merveille pour des explorations nocturnes. Sous ses habits, il enfila un plastron en cuir, destiné à le protéger, puis récupéra des objets. Une grande lame en verredragon ne serait pas optimale, et il voulait montrer à cette femme qu’il s’y connaissait. Il attrapa donc des dagues, les rangea dans sa ceinture, ainsi que des couteaux de lancer. Cahir était surtout doué au combat au corps-à-corps, mais, en tant que guerrier d’élite, il avait été versé dans d’autres arts, afin que sa maîtrise du combat soit la plus complète possible.

Au bout de plusieurs secondes, Cahir se retourna vers la femme. Il abaissa sa capuche, et avait oublié la cape. Elle le retarderait dans ses déplacements. Il regarda donc la femme, et reprit.

« Je suppose que vous voulez vous venger de ceux qui ont attaqué votre établissement ?demanda-t-il. Pour répondre à une éventuelle question que vous pourriez vous poser, je n’ai aucune attache particulière envers les nobles de Nexus. Je n’aurais donc aucun scrupule à tuer ceux dont la vie doit être raccourcie. »

Il se rapprocha d’elle, sentant son parfum, reniflant son odeur, se rappelant leur chaude nuit. Mine de rien, sa séance de plaisir avec Sosanelle et Alaun avait été écourtée, et il ressentait encore, en lui, de lointains restes d’excitation. Voir cette appétissante femme suffisait donc à renforcer son excitation. Cependant, il ignorait tout de cette affectation, et jouer à l’assassin ne lui plaisait pas des masses… Mais bon, les affaires étaient les affaires.

*Dans quelle histoire de fous est-ce que je me suis encore embarqué, moi ?* songeait-il pensivement.
DC d’Alice Korvander.

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Cahir

Humain(e)

Re : Bodyguard [Le Jardin Secret]

Réponse 33 lundi 15 décembre 2014, 02:11:18

Eriulae… Avec un tel nom, c’était une elfe. Cahir hocha lentement la tête quand Lya lui donna cette information. Il avait vu une bonne partie des têtes de ce harem, et il se rappelait bien d’une jeune femme avec une longue chevelure blonde et les oreilles pointues. Il répondit brièvement à son baiser, mais comprit que le moment des réjouissances serait pour plus tard. Tout en se dirigeant vers la porte, l’apatride restait perturbé, troublé. Était-il vraiment en train de vivre ça ? De rejoindre une confrérie d’assassins ? Car, en définitive, c’était bien ce que ce harem était. Il offrait plaisir et mort, les deux distillés dans la même paume. Les confréries d’assassins avaient plutôt tendance à agir discrètement, et à n’utiliser les harems et les bordels que comme lieux d’informations, en s’arrangeant avec la maquerelle. Ici, les choses étaient différentes. Toutes ces beautés avec qui Cahir couchait étaient des tueuses potentielles, des beautés fatales. Elles n’hésiteraient sans doute pas à le tuer, ou à le vendre, si elles apprenaient qui il était réellement… Quel était son passé. Nexus et Ashnard restaient en guerre, et Cahir n’osait croire que cette confrérie puisse continuer à exister sans le soutien de quelques hauts-fonctionnaires royaux. Comme Lya l’avait dit, les confréries d’assassins servaient à réguler le monde, à empêcher que des héritiers cinglés disposent d’une seigneurie qu’ils administreraient très mal. Ces confréries étaient l’aspect cynique d’une société féodale, une société qui, par nature, reposait sur l’étanchéité des ordres sociaux et de la transmission. On héritait d’un titre de noblesse par le sang, mais rien ne garantissait que l’héritier soit un bon héritier. De même, il était parfois tentant de tuer plusieurs héritiers potentiels, afin d’éviter une guerre de succession entre héritiers. Il comprenait le bienfondé du raisonnement, mais cet argument n’enlevait rien au caractère sordide et déshonorant de la méthode.

*Éternel naïf que tu es, jeune Cahir, à croire que l’honneur gouverne les hommes…*

Il avait cru que l’Empire d’Ashnard reposait sur l’honneur des soldats, sur le respect voué aux ordres… Pourtant, il avait été sacrifié sans la moindre hésitation par des politiques pour mettre fin à une guerre. Un acte déshonorant, mais qui avait permis d’empêcher la prolongation d’une guerre. Un sacrifice habile, où il avait été le dindon d’une sinistre farce. Que risquait-il à ce que les gens apprennent son passé ? La question revenait sans cesse à son esprit. Il savait qu’il était le fils d’un puissant Maréchal, et ne voulait pas que cette filiation donne des idées aux Nexusiens. Ce faisant, il était dangereux pour lui de rester ici, et encore plus dangereux de rejoindre une confrérie d’assassins. L’ancien chevalier marchait sur des charbons ardents, et sa tête était pleine de doutes.

En sortant des quartiers de Lya, il tomba sur Sosanelle et Eriulae, et s’arrêta un peu, surpris. Sosanelle se retira toutefois rapidement, le laissant avec la belle elfe. Elle portait une longue robe blanche, lui donnant une beauté virginale, qui le surprit un peu. Comment cette femme pouvait-elle être une tueuse ? Elle avait l’air d’être l’innocence incarnée !

*Les apparences, Cahir… Quand apprendras-tu à t’en méfier ?*

Probablement jamais. Ce fut elle qui parla en premier :

« Bonjour, Cahir... Je t'ai vu, hier, je ne sais pas si tu te souviens de moi. Enfin... Bon, mieux vaudrait qu'on y aille. Suis-moi.
 -  Euh… D’accord. Et… Oui, je me souviens de toi… »

Un peu surpris, Cahir enchaîna donc directement. Il y a une demi-heure, il était en train de batifoler dans un jardin avec deux superbes créatures. Les évènements lui échappaient, et il suivit l’elfe, qui lui expliqua le contenu de leur mission : infiltrer l’un des forts de la ville afin de tuer un soldat, l’homme qui avait été attaqué par Alaun, et qui était visiblement responsable de l’attaque des hommes sur le Jardin Secret.

*Pourquoi le tuer ? Si tout ce qu’il savait était qu’Alaun était une tueuse, il a déjà donné cette information…*

De surcroît, infiltrer l’un des forts de la ville ne serait pas facile. Outre le Palais d’Ivoire, Nexus abritait plusieurs forts secondaires, qui servaient de relais. Dans une ville aussi immense, ils faisaient office mairies locales. Historiquement, ces forts correspondaient aux anciennes villes de l’État nexusien, avant que le développement économique important de ces villes ne les amènent à tous fusionner et à s’imbriquer les unes dans les autres, jusqu’à former un tout indistinct qu’on appelait « Nexus ». Infiltrer l’un de ces forts n’était pas une mince affaire, et la stratégie d’Eriulae consistait à se faire passer pour la nièce du blessé, tandis que Cahir se ferait passer pour son garde du corps.

*Peut-être aurais-je dû conserver mon armure, alors, je ne ressemble pas trop à un garde du corps avec de tels vêtements…*

Les questions se bousculaient dans sa tête, tandis qu’ils avançaient sous le Jardin Secret, le long de conduits et de couloirs puants. Ils évitaient les égouts à proprement parler, afin de ne pas trop salir la robe de la femme, marchant dans des galeries souterraines étroites, s’éclairant par le biais d’une torche que Cahir portait, tout en suivant l’elfe. Si les elfes étaient nyctalopes, ce n’était pas le cas de Cahir, qui se contentait de la suivre, et de les éclairer. Les égouts nexusiens étaient dangereux, mais aucun noyeur ne semblait se trouver à proximité, et ils finirent par arriver, au bout de nombreuses minutes, à une cache souterraine.

« Ah... Nous avions demandé deux lits simples, mais il ne semble pas que le message soit bien passé... »

Pourquoi n’était-il qu’à moitié surpris ? Avait-il réellement été envoyé ici pour faire le garde du corps, ou pour s’occuper de cette femme ? Il voyait bien dans cette elfe une certaine timidité, une certaine retenue, tranchant avec le comportement des femmes qu’il avait vu jusqu’à présent, que ce soit Alaun, Sosanelle, ou Lya. Cahir posa sa torche sur une encoche, et regarda autour de lui. Aucune ouverture, un coin tranquille… L’endroit était calme et apaisé.

« Les gardes savent tous qu'aucune visite n'est acceptée la nuit, alors il faudra qu'on dorme ici jusqu'à demain matin. Ensuite, nous pourrons prendre cette bouche à égout pour monter dans la caserne. Comme il n'y a qu'un seul lit, je te propose que nous dormions en alternance. Je t'en prie, prends le lit en premier, je te réveille dans deux heures... »

L’apatride la regarda légèrement, et haussa les épaules :

« Pour quelle raison ? Il n’y a pas besoin de monter la garde, c’est un endroit discret… Nous pouvons dormir ensemble. »

Il se rapprocha de la femme. Cahir espérait ne pas se tromper sur les sentiments de l’elfe. Il interprétait surtout son regard, mais l’apatride s’était déjà révélé, par le passé, être un bien piètre calculateur. Il ne pouvait donc qu’espérer ne faire aucune bêtise. Sa main caressa la joue de la femme, plus petite que lui, et il la poussa lentement contre le mur.

« J’espère que je ne te fais pas peur… Crois-moi, je ne suis pas quelqu’un de violent envers les femmes… »
DC d’Alice Korvander.

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Cahir

Humain(e)

Re : Bodyguard [Le Jardin Secret]

Réponse 34 jeudi 15 janvier 2015, 01:19:58

Cette belle jeune elfe était nerveuse, une nervosité et une timidité qui ne faisaient que la rendre plus belle encore, plus attirante, plus touchante. Cahir était face à elle, l’empêchant de fuir, son corps se rapprochant du sien. Sa tête arrivait à hauteur de son cou, et il savait qu’elle était intimidée. C’était quelque chose qu’il voulait faire, afin qu’elle le sente fort, viril, et qu’elle soit plus excitée par sa présence. C’était une technique de séduction et d’approche comme une autre. L’apatride restait donc face à elle, un sourire léger sur le coin des lèvres, tout en l’écoutant parler. De sa voix fluette et tendre, elle essayait de parler, et il commença à comprendre que cette femme devait probablement être vierge. Son comportement, en tout cas, était très différent de celui des autres femmes.

Lentement, elle posa ses mains contre son torse, puis se blottit contre lui. Cahir n’osait pas parler, le cœur ému, et sa main alla s’appuyer sur la tête de la femme, caressant sa longue chevelure blonde. Avec sa belle robe blanche soyeuse, elle ressemblait presque à une espèce de sainte, tendre et calme.

« Je... J'en ai envie aussi, ne t'inquiète pas. Mais... Sois doux avec moi, d'accord ? » demanda-t-elle alors.

Elle releva la tête, son regard croisa le sien, et, avant qu’il ne puisse répondre, Eriulae le surprit encore, en lui demandant de lui apprendre… Cahir ne dit rien, et ses deux mains répondirent à sa place, chacune venant se poser sur la joue de la femme, coinçant sa tête. Il ne dit rien, donc, son regard se contentant de fixer celui de l’elfe avec insistance, et avec une certaine forme d’intensité dans le regard. Sa bouche se rapprocha alors de la sienne, et il l’embrassa, tendrement, délicieusement, sa bouche se plaquant à la sienne, partageant un tendre et bref baiser. Il sentit ses douces lèvres, il perçut sa peur, son angoisse, formant comme une boule dans sa gorge, se diluant sous l’effet du plaisir. Son baiser dura quelques secondes, et il le rompit ensuite.

Quelques secondes planèrent à nouveau, et ses mains se déplacèrent, venant saisir les épaules de la femme.

« Tu es vierge, Eriulae… »

Sa phrase n’appelait même pas de réponse, car ce n’était pas une question, juste une simple constatation, une observation. Il caressa ses épaules, les massant légèrement, conservant un sourire sur ses lèvres, puis glissa sa main sur les cheveux de la femme, sur sa nuque, avant de l’embrasser tendrement sur le front.

« Ne t’inquiète pas, ma puce, tout se passera bien. »

Cahir se pencha vers elle, et l’embrassa dans le creux du cou, mordillant un peu sa peau. Il s’écarta ensuite d’elle, et s’assit sur le rebord du lit.

« Assieds-toi à côté de moi, ma belle… Et dis-moi ce que tu sais du sexe… Est-ce que tu as déjà vu un sexe ? »

Il avait été initialement embauché comme garde du corps, et ses activités ne cessaient de monter. Il était maintenant assistant d’une assassine… Et éducateur sexuel.

Qui l’eût cru ?
DC d’Alice Korvander.

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Cahir

Humain(e)

Re : Bodyguard [Le Jardin Secret]

Réponse 35 lundi 30 mars 2015, 02:12:20

Une prostituée vierge… Cahir était surpris, dans le sens positif du terme. Oui, même s’il était un ancien Ashnardien d’élite, un guerrier qui voyait le sexe comme un simple moyen de se satisfaire des besoins purement physiques, il y avait toujours, dans l’idée de coucher avec une vierge, de la déflorer, une sorte de plaisir inconscient et profond, un plaisir dominateur particulièrement jouissif. Cahir avait envie de lui prendre son intimité, de briser son hymen, non seulement pour le plaisir de l’acte sexuel en lui-même, mais aussi parce que cette femme était vierge. Il s’était assis sur le lit, et savait qu’il allait devoir prendre son temps avec elle. L’apatride n’avait jamais été un homme fondamentalement brutal avec les femmes. De fait, il n’aimait pas taper le corps féminin, et préférait voir les femmes comme Eriulae pour ce qu’elles étaient : des femmes sensibles et belles, des poupées fragiles et délicates. Comment aurait-il pu vouloir lui faire du mal ? L’apatride en oubliait presque totalement sa mission, tout comme les plaisirs qu’il avait eu auparavant… Ou presque. Comment oublier Alaun, sa danse sensuelle, ou la perversion de Sosanelle ? Impossible, pour Cahir, qui avait une belle érection naissante en étant si proche d’Eriulae… Cette elfe était d’une beauté redoutable, une beauté virginale, avec sa longue chevelure blonde, ses seins lourds, sa petite taille, et son apparence globale.

Elle lui expliqua n’avoir que des notions théoriques, et sa voix était douce, si douce… Sa main fila le long de son torse, et il frémit, la respiration venant à lui manquer… Puis la main de la femme caressa sa hampe de chair, filant sous ses habits pour la presser. Cahir soupira profondément, et laissa la femme le masturber, avant de poser une main sur son menton. Il la tint entre deux doigts, et redressa un peu son visage, puis se pencha vers elle, et l’embrassa. Son autre main s’appuya sur ses cheveux, et sa langue s’enfonça dans la bouche de la femme, jouant avec sa propre langue. Elle avait sûrement déjà dû embrasser des gens, et Cahir soupira de plaisir, sa main filant ensuite de ses cheveux pour caresser son dos, cette peau chaude et douce, ferme et solide.

Prenant tout son temps, l’apatride savourait les lèvres de la femme, et écartait ses jambes, afin de faciliter cette main qui était occupée à le masturber. Ce contact était magnifique, une main chaude et agréable. Il en appréciait énormément le contact, haletant et soupirant. Qu’il était agréable, en effet, de sentir une femme vous masturber, de sentir ses doigts glisser sur votre sexe, vous masturber longuement et généreusement.

« Hum… »

Durant un long moment, Cahir se contenta de l’embrasser, rompant le baiser, avant de l’embrasser encore, encore et encore. Il goûtait à ses lèvres magnifiques, les savourait pleinement. Il finit par rompre le baiser, et resta tout contre elle.

« Il est temps que tu vois par toi-même, Eri’… Ôte mon pantalon, et approprie-toi mon sexe avec ta bouche. Apprivoise-le… »
DC d’Alice Korvander.

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Cahir

Humain(e)

Re : Bodyguard [Le Jardin Secret]

Réponse 36 mercredi 01 avril 2015, 01:49:36

Cahir savait qu’une tâche importante l’attendait. La première fois d’une femme était sacrée, encore plus venant d’une prostituée aussi belle et gracieuse qu’Eriulae.  Elle semblait être aussi fragile qu’un vase en porcelaine. Si l’homme la serrait un peu trop, il risquait de la casser. Déglutissant lentement, l’apatride la laissait faire. Elle se mit entre ses jambes, ce dernier les écartant bien, et il sentit les doigts de fée de l’elfe dévoiler son sexe. Quand ce dernier se retrouva à l’air libre, Cahir soupira. L’apatride avait une belle érection, ce qui sembla un peu surprendre Eri’,qui se demanda si un tel appareil pouvait rentrer… Soit elle pensait à sa bouche, soit, et c’était plus probable, elle songeait à ce qui aurait lieu après. L’apatride se contenta donc d’un léger sourire évasif, et hocha la tête.

« Ne t’en fais pas, Eriulae… Des hommes et des femmes font l’amour ensemble depuis des millénaires, et le bâton a toujours su rentrer dans le trou… »

Autant se reposer sur des éléments concrets et objectifs, plutôt que de lui dire qu’elle n’aurait pas mal, et qu’il n’y avait pas à avoir peur. Cahir ne pouvait tout simplement pas lui mentir, car il ignorait, concrètement, ce qu’une femme pouvait ressentir quand un homme la pénétrait. C’était, sur ce point, quelque chose qui, fondamentalement, séparait les deux sexes. Un homme ne pourrait jamais connaître la nature et l’étendue du plaisir sexuel féminin, et, inversement, une femme ne pourrait jamais comprendre la manière dont un homme percevait le sexe, la façon dont cette verge grosse s’élançait sur votre corps, vous dominait, et vous empêchait de réfléchir rationnellement. Le brave apatride sentait ainsi ce sexe tirer vers l’avant, comme s’il constituait presque une seconde personnalité de sa psyché, lui intimant de prendre Eriulae, de la baiser sèchement et sauvagement, de la prendre contre le lit, de se perdre en elle…

Eriulae prenait tout son temps, face à ce sexe, et Cahir ne voulait pas la presser. Il savait que c’était intimidant, qu’une verge n’était pas forcément quelque chose de très joli… C’était un gros bâton de chair, difforme, grotesque, presque absurde et ridicule. Eriulae se rapprocha donc, et entreprit de s’approprier cette verge, comme Cahir le voulait. En soupirant lentement, ce dernier la vit s’approcher de son membre, de cette hampe de chair qui ne demandait qu’à ce qu’on s’occupe d’elle.

Comme il s’y attendait, la femme commença par user de ses mains, ce qui ne le gênait pas. Il comprenait cette approche, qui était une manière comme une autre de s’approprier le corps d’un homme. Quand il sentit les doigts de la femme sur son membre, un soupir s’échappa de ses lèvres, et ses mains se serrèrent nerveusement dessus, glissant le long de ce sexe.

« Ha… Eri’… »

Il la laissait faire, tout simplement. Ça prendrait le temps qu’il faudrait pour qu’Eri’ ait suffisamment confiance en elle-même pour venir prendre son sexe. L’apatride aurait pu la forcer, exactement comme les soldats qu’il avait eu jadis sous ses ordres, et qui n’hésitaient pas à violer des captives, mais… Lui n’avait tout simplement jamais fonctionné comme ça. C’est ainsi que, au bout d’un moment interminable, la douce Eri’ approcha ses lèvres de son sexe. C’était si beau… Voir cette femme à quatre pattes, entre ses jambes, dans une position exquise… Oui, comment ne pas être sous le charme de ce spectacle ? Cahir adorait la voir ainsi, toute chaude, toute désirable, toute à ses pieds… En lui, l’homme sentait un profond plaisir, ancestral, s’animer en lui, remontant dans tout son être.

L’apatride la laissa donc venir, et, quand ses lèvres commencèrent à se poser sur son membre, son membre se roidit un peu, et ses mains vinrent se crisper sur les cheveux de la femme. Elle remuait lentement, délicatement, et, plus elle remuait et s’enfonçait, et plus lui s’agrippait à ses cheveux, en sentant le plaisir monter furieusement.

« Là, là… Prends ton temps, Eri’, hum… Tu es douée, ma belle, oui… Remue de haut en bas… Prends-le de plus en plus profondément, et… Respire par le nez… Lèche-le, vas-y… »

Il disait ses conseils d’une voix entrecoupée par de profonds soupirs.

C’était bien le signe qu’Eriulae lui faisait du bien…
DC d’Alice Korvander.

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Cahir

Humain(e)

Re : Bodyguard [Le Jardin Secret]

Réponse 37 lundi 06 avril 2015, 02:21:28

Eriulae était vraiment une pure beauté. Une beauté parfaite, presque trop belle pour être sincère. Comment une si belle créature avait-elle bien pu faire pour finir dans un harem ? Certes, le Jardin Secret n’était pas non plus un sinistre bordel des bas-fonds, mais quand même… Était-ce sa beauté qui s’était retournée contre elle ? Cahir savait que les elfes, à bien des égards, pouvaient être aussi terribles que de simples humains. Il savait qu’ils pouvaient être des individus affreux et horribles, ignobles et cruels, que ce soit à l’égard des autres races, ou même entre eux. Il ne fallait pas croire toutes les légendes qu’on disait sur la prétendue supériorité intellectuelle des elfes… S’ils avaient été si intelligents, leur espèce ne serait pas actuellement en voie d’extinction. Oui, Eriulae avait dû souffrir, Cahir ne voyait que ça comme explication pour justifier sa situation actuelle, et cette constatation, au lieu de l’ébranler, ou de l’horrifier, l’amenait à traiter avec déférence cette petite femme à la longue chevelure blanche.

Il sentit la femme enfoncer son sexe… Elle prenait tout son temps, ce qu’il comprenait volontiers, et, même s’il devenait de plus en plus difficile de ne pas la forcer (car il ne fallait pas oublier que Cahir avait été interrompu en plein élan il y a à peine quelques heures), il arrivait à se retenir. Un soupir profond mourut dans sa gorge quand Eriulae entreprit d’enfoncer son sexe. Il sentit la gorge chaude de la femme, mais la gorge profonde ne dura pas longtemps, ce qui confirma la grande inexpérience sexuelle d’Eri’. La pauvre s’étrangla, eut un haut-le-cœur et se retira précipitamment, avant d’éternuer à plusieurs reprises. Cahir sortit de sa transe, et, même si son sexe l’élançait durement, et qu’il avait la sensation de bander comme un taureau, il se pencha vers la femme.

« Ne t’inquiète pas, Eriulae… Il n’y a rien de grave là-dedans. Prends ton temps, prends ton temps… »

Une chance pour elle : sa première fois était avec un homme qui avait appris à maîtriser ses émotions, et qui savait être patient. Elle retourna donc à l’assaut, lentement, tendrement, avec patience et délicatesse. Eriulae était comme une petite fleur fragile qu’il ne fallait surtout pas forcer, sous peine de voir toutes ses pétales se faner. C’était la représentation qu’il s’en faisait, et il al laissa donc revenir à l’assaut, non sans un certain frisson d’excitation en la voyant revenir. Sa bouche retourna se poser sur son mât, et elle remua dessus, d’avant en arrière, amenant Cahir à soupirer à nouveau.

« Oui… Oui… Humm… ! »

Elle remuait sur lui, et on pouvait entendre les bruits de succion que ses lèvres faisaient en frottant ce sexe, en glissant d’avant en arrière le long de ce mât dressé et assoiffé. Et, tandis qu’elle le suçait, il pouvait la voir remuer de gauche à droite… Son bassin se dandinait, ce qui le fit lentement déglutir. Il la laissa donc continuer à agir sur son sexe pendant un certain temps, pendant de longues et joyeuses minutes, avant de finir par poser ses mains sur ses cheveux.

« Là… Là… »

L’homme l’aida à relever la tête, et conserva une main sur son menton, relevant ainsi le visage de l’elfe pour qu’elle le regarde.

« Tu as le bassin en feu, n’est-ce pas ? »

Pure question rhétorique, le visage d’Eri’ étant incapable de mentir sur ce point. Il se redressa alors, puis se coucha sur le lit.

« Rejoins-moi, Eri’… Et retourne sucer ma queue, mais… Couche-toi aussi sur moi, afin que je puisse te soulager de cette tension qui bouillonne entre tes cuisses… »

Encore une fois, il prenait tout son temps, car il aurait largement eu l’occasion de pouvoir la forcer.
DC d’Alice Korvander.

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Cahir

Humain(e)

Re : Bodyguard [Le Jardin Secret]

Réponse 38 vendredi 10 avril 2015, 01:45:34

Du peu qu’il en savait, Cahir avait cru comprendre que le sperme n’avait pas bon goût. Il n’avait jamais poussé le vice jusqu’à le boire lui-même, mais c’était ce qu’on lui avait dit. En conséquence, il ne voulait pas jouir dans la bouche d’Eri’, car il craignait que ceci ne la restreigne. La petite était trop perturbée comme ça et trop nerveuse. Si elle s’étouffait avec son sperme, elle risquait clairement de se recroqueviller comme une huître. Cahir avait donc libéré son sexe, et, si Eri’ se posait des questions, il suffisait de voir son visage pour voir, dans ses yeux, tout le bonheur et tout le désir qu’il ressentait actuellement. L’apatride resta allongé sur son lit, et vit Eri’ se déshabiller. Lui-même en profita rapidement pour retirer ses ultimes vêtements, et vit ensuite la femme ôter sa robe, conservant toutefois sa belle culotte blanche à dentelles. Il sourit ensuite en la voyant dissimuler ses seins d’une main. Cet acte de pudeur le frappa par son innocence, comme si elle avait honte de son corps. Il trouva cela touchant, et la laissa venir vers lui.

Quand elle lui demanda comment elle le trouvait, il ne put que répondre la chose suivante :

« Tu es magnifique, Eriulae... Et celui qui prétend le contraire est un sacré menteur ! »

Ça, pour le coup... Le concept de « beauté elfique » s’appliquait à la perfection avec cette femme ! Elle le rejoignit lentement, se lovant contre son corps, sur le lit. En la voyant ainsi, Cahir avait senti son érection s’accroître. Elle lui avait montré la vision de son dos, de sa chute de reins, et de ses belles fesses quand elle s’était retournée. Ce spectacle était somptueux, et Cahir reprenait lentement son souffle, en essayant de ne pas lui sauter tout de suite dessus. Cette femme était tellement belle... Elle se pencha vers lui, et offrit sur ses lèvres un tendre baiser.

« N’aie pas peur, ma belle... Tout se passera bien, tu verras. »

Sa nervosité était compréhensible. Elle évoluait au sein d’un harem, et le sexe était donc une chose normale et banale pour les autres... Mais pas pour elle. Elle avait grandi dans un tel environnement, et, loin de la détendre, l’omniprésence du sexe avait rendu ce moment encore plus difficile, car elle était face à des professionnelles. Autrement dit, si Cahir avait laissé passer ce moment, Eri’ aurait encore plus complexé. Il faisait ça pour elle... Mais pas que. Lui aussi avait envie de cette femme, terriblement envie de son corps, et l’elfe se redressa donc. Il sentit ses mains sur lui, avant qu’elle ne protège à nouveau ses seins, tout en approchant sa bouche de son sexe, ses jambes se mettant à gauche et à droite de sa tête.

Ce spectacle était fascinant, et Cahir posa ses mains sur les fesses de la femme, l’aidant ainsi à plier ses genoux, puis il entrouvrit sa bouche. Sa langue fila dans son intimité, proprement épilée, parfaite, et il lécha l’intérieur, se crispant sur ses fesses, tout en remuant légèrement ses jambes. Ses soupirs étaient étouffés par les cuisses de la femme. L’idée de cette position était de se procurer un plaisir mutuel, tout en évitant un coït... Cahir savait qu’il allait devoir la prendre, mais il voulait la préparer... Et, sur ses dents et dans sa bouche, il ne tarda pas à sentir un liquide sucré et agréable... La mouille de son amante, ce nectar intime qui indiquait et témoignait du plaisir qu’elle ressentait en ce moment.

« Hnnn... ! »

Sa langue filait en elle, s’enfonçant le long de sa belle culotte blanche, et, avec ses mains, il malaxait les fesses de la femme, les remuant de l’intérieur vers l’extérieur, avant de les presser à nouveau, pour les écarter de nouveau. Son appendice lingual, lui, jouait avec son intimité, frottant les parois, le bout pointu cherchant le bouton de plaisir, qu’il appuyait et pressait. Il comptait lui faire l’amour exactement comme il fallait, sans relâche, et sans aucune interruption.

Tout ce qu’il voulait, après tout, c’était la rendre heureuse... Mais, plus le temps passait, et plus il craignait de, finalement, jouir dans sa bouche...

Ça, c’était quelque chose qu’il ne contrôlait pas totalement, après tout.
« Modifié: vendredi 10 avril 2015, 11:46:52 par Cahir »
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Cahir

Humain(e)

Re : Bodyguard [Le Jardin Secret]

Réponse 39 samedi 11 avril 2015, 01:28:59

Cahir continuait à lécher l’intimité de cette femme, à travers sa culotte, en ne pensant à rien d’autre que ça... Ou presque à rien d’autre. Difficile, en effet, de ne pas songer à la bouche d’Eriulae en train de jouer avec son sexe, de l’enfoncer dans les profondeurs de sa bouche, de ses doigts glissant sur ses testicules. Elle s’appropriait de plus en plus son sexe. Encore une fois, l’apatride aurait pu la prendre rapidement, il aurait pu lui arracher sa culotte, la prendre contre le mur, et était convaincu qu’Eri’ aurait aimé ça... Ce n’était juste pas la manière dont il voulait agir avec elle. Pour lui, Eriulae était comme une petite fleur, une fragile poupée qu’il fallait manier avec précaution, afin qu’elle ne se brise pas. C’était dans cette optique qu’il abordait cette femme avec la plus infinie des délicatesses, afin que ses pétales ne se fanent pas. Il léchait donc son sexe, à travers la culotte, la mouille de l’elfe permettant de lubrifier ce morceau de tissu, de le rendre moins résistant... Et, au bout d’un moment, l’elfe finit par se redresser, et se déshabilla. Elle était prête.

Le moment tant attendu était arrivé, et Cahir avait tous ses sens aux aguets, sur le point d’exploser en lui. Soupirant lentement, il ,n’eut pas le temps de faire quoi que ce soit qu’elle se rabaissa contre lui, plaquant son intimité contre sa bouche. En soupirant, Cahir retourna poser ses mains sur ses fesses, et lécha encore, son sexe caressant le visage de la femme, de cette femme qui était en train de l’appeler, qui le rendait fou, l’excitait... Quand elle avait ôté sa culotte, c’était comme si une bombe avait explosé en lui, venant de libérer toutes les pulsions encore refoulées en lui.

« Mon amour, je – huuuuum... Je suis prête, fais... Fais moi l'amour, c'est... Quand tu veux. »

Mon amour... Le terme ne lui échappa pas, et ses mains se crispèrent sur son postérieur. Il donna alors une secousse, et retourna Eriulae, la renversant sur le lit. Cahir se redressa alors, et tourna sur lui-même, afin que son visage se retrouve à hauteur de celui de la femme. Avant même qu’elle ne puisse dire quoi que ce soit, il l’embrassa, avec sur ses lèvres le goût de sa cyprine, rapidement effacé par celui de sa salive. Un baiser fougueux et intense, dans lequel il fourra volontiers sa langue, cette dernière partant à l’assaut des lèvres de son amante. « Mon amour »... Qu’est-ce que ce lapsus signifiait ? Cahir n’en savait rien, et, en fait, il n’avait pas envie de le savoir. Il préférait se focaliser sur l’instant présent, et, avec son sexe tendu, prêt à exploser comme un piston, Cahir était en nage.

« Je vais venir, ma belle... Oui, je vais te prendre, mais... Sache que la douleur... Ne sera que passagère... »

Entre plusieurs soupirs, sa main tremblante alla se saisir de son sexe. Il avait caressé sa vulve en l’embrassant, mimant la pénétration, mais sans encore s’enfoncer en elle. Sa peau était douce et chaude, tendre comme celle d’une peau de bébé, et la sueur commençait à faire claquer la chair entre eux... Exactement comme il l’aimait. Il posa sa main sur son vit, et le guida dans son trou, puis l’enfonça en elle. L’hymen fut brisé dans la foulée, et Cahir ne le sentit presque pas, mais en avait conscience, ce qui l’excita encore plus fort. Le sang virginal était sien, et il remua en elle, d’avant en arrière, comme pour tenter de chasser cette douleur.

Malgré cette mouille, son sexe était serré, le faisant gémir. Personne ne l’avait jamais pénétré à ce point, et ses lèvres vaginales n’étaient donc pas habituées. En soupirant, Cahir remontait d’avant en arrière, donnant des coups de reins, une main crispée sur les cheveux de la femme. L’autre main, elle, caressait l’un de ses seins, venant pincer ce téton, ces seins qu’elle avait caché avec sa main... Et qui étaient magnifiques.

« E-Eri-haaaa... »

Cahir soupirait, son corps remuant contre elle, en osmose et en harmonie avec le sien.

Ce qu’il ressentait était magnifique, et il poursuivait donc ses ébats, bien décidé à offrir à la belle elfe une première fois qui serait mémorable.
DC d’Alice Korvander.

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Cahir

Humain(e)

Re : Bodyguard [Le Jardin Secret]

Réponse 40 lundi 13 avril 2015, 01:32:29

Quand elle lui demanda d’agir plus lentement, il obtempéra, parvenant, par une force de volonté incroyable, à réfréner suffisamment ses pulsions pour ralentir le rythme, comme un pianiste lancé en pleine composition qui relâcherait subitement son doigt en le tenant près des notes. Il s’arrêta de respirer pendant quelques secondes, et recommença ensuite ses coups de reins, lancinants, d’avant en arrière, de haut en bas. À bien y réfléchir, le coït n’avait rien de bien compliqué. Toute la difficulté, dans le sexe, c’était la périphérie. Le cœur du sexe, l’acte sexuel en lui-même, était aussi vieux que le monde, et, de lui, il n’y avait pas grand-chose à dire. C’était tout simplement le spectacle d’un homme pénétrant une femme, remuant en elle d’avant en arrière, adaptant le rythme aux pulsions mutuellement ressenties. Eriulae se tortillait sous lui, se tordant sous l’effet du plaisir, et, vu toute la mouille en elle, elle avait l’air d’apprécier ça... Et lui, pauvre hère, était en train de lentement souffrir. Ce sexe était étroit, délicat et petit, très serré, et il devait donc s’appliquer, afin de mieux la prendre, afin de la pénétrer comme il fallait, et comme il convenait.

L’apatride remuait en elle, et tout se déroulait à la perfection. Les corps des deux amants étaient collés l’un à l’autre, s’entrelaçant et se serrant mutuellement, avec une passion forte et partagée. Cahir l’embrassait de temps en temps, et accélérait progressivement le rythme. Les résistances d’Eri’ s’atténuaient, et son corps devenait plus souple, bien plus simple à prendre. L’apatride remuait encore en elle, son sexe s’enfonçant de plus en plus profondément. Comme il venait de lui dire, le plaisir montait lentement et sûrement chez Eri’.

« Ouii... Ouiii, Eri’, haaa... ! »

L’apatride continuait ses mouvements, en étant toujours plus vorace, toujours plus insistant. Oh, ça, il ne cherchait clairement pas à la ménager. L’homme se montrait assoiffé et rapide, pressé et excité dans ses gestes et dans ses mouvements. Le temps défilait longuement, les minutes s’étirant et défilant. Depuis combien de temps la pénétrait-il ainsi ? Il perdait la notion du temps, perdait la notion de tout, sauf du plaisir envahissant qui résonnait dans son corps et dans son esprit. Son puissant et vigoureux membre s’abattait en elle, heurtant son clitoris, et il grognait et haletait, la respiration lourde et profonde. Plus le temps passait, et plus il était fort, puissant, massif. Cahir la pénétrait, la prenait, poussant des soupirs rauques sous l’effet du plaisir et de l’effort physique nécessaire pour accomplir ce qu’il faisait. De la sueur coulait le long de son dos, de son visage, coulant sur le corps de la femme. Son ventre claquait contre le sien, et sa bouche allait parfois s’attaquer à ses seins, mordillant son téton, se déplaçant ensuite pour lécher sa peau, ou pour aller l’embrasser... Et, souvent, il se contentait juste de rester à côté d’elle, baignant dans les soupirs et les couinements de la femme.

Un coït... Quelque chose de simple, de basique, de binaire, mais quelque chose de terriblement délicieux. Comment s’en lasser ? Comment ressentir autre chose qu’une envie profonde et tenace au fur et à mesure qu’il la prenait ? Ah, c’était si bon, si bon, tellement jouissif... L’homme remuait en elle, encore et encore, se retenant de jouir.

C’était à elle de s’abandonner en lui, et Cahir savait qu’elle ne tarderait pas... Car c’était sa première fois, et la première fois était toujours rapide.

L’homme s’activait donc, la prenant encore et encore, dans le but de lui faire atteindre un bel et magnifique orgasme.
DC d’Alice Korvander.

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Cahir

Humain(e)

Re : Bodyguard [Le Jardin Secret]

Réponse 41 samedi 18 avril 2015, 02:51:22

Ils dansaient ensemble, comme dans une sorte de communion magique et ancestrale. Deux amants entrelacés l’un à l’autre, se faisant longuement et joyeusement l’amour. Ils se découvraient mutuellement, longuement, délicieusement, délicatement, avec la passion calme et tranquille de jeunes amants. Cette femme était douée, et Cahir ne se faisait aucun doute là-dessus ; elle deviendrait une grande dame de charme. Le Jardin Secret avait tout de cette entreprise familiale où les membres veillaient les uns sur les autres, avec cette conviction profonde que leurs agissements avaient tous pour but un objectif commun qui les dépassait. Leurs activités criminelles, en parallèle, ne faisaient que renforcer ces liens. Si l’un des membres du Jardin n’était pas fiable, il présentait un risque, celui de trahir l’ensemble de leur entreprise. Cahir, qui pensait que les prostituées-assassins étaient réservées aux Ashnardiens, avait été surpris en constatant les autres fonctions du Jardin Secret, mais il les avait accepté sans trop rechigner. Ce n’était pas très honorable, mais un apatride était mal placé pour parler d’honneur.

Cahir prenait Eriulae depuis de longues minutes, multipliant les actions sur son corps. Voilà la toute-puissance du sexe, et ce sentiment d’omnipotence qui le traversait. L’apatride était en train de remuer de plus en plus fort, et de plus en plus vite. Le sexe était comme une machine qui ne pouvait qu’aller plus vite. Ralentir le rythme était très difficile, et, au-delà d’un certain seuil, virtuellement impossible. Cahir était à ce stade, maintenant. On pouvait l’entendre soupirer, haleter, grogner, reprendre son souffle, essayant parfois de ravaler sa salive. Il laissait sur les seins d’Eri’ des traces de salive qui luisaient sous l’éclairage nocturne. Leur petit lit était en train de grincer, la belle elfe se tortillait sous lui, et son membre devenait de plus en plus gros. Dans sa tête, il avait l’impression d’avoir un canon en formation, tant son sexe remplissait ses esprits. Il ne pouvait penser à plus rien d’autre, tout son corps étant en harmonie avec sa queue.

« Hnnnn… !! »

Elle en voulait plus, encore et encore. Subjuguée par lui, Eri’ se tortillait sous lui. L’apatride continuait donc à la prendre, remuant contre elle. Ils étaient en harmonie, l’un et l’autre, et ses lèvres revenaient souvent se poser sur les siennes, afin d’y goûter, et de l’entendre ensuite gémir et soupirer. Oui, oui, les soupirs de cette belle elfe étaient tout simplement délicieux, renforçant son excitation. Son sexe durci remuait encore en elle, encore et encore, toujours et sans interruption. Cahir sentait cette femme s’abandonner contre lui. Son membre baignait dans sa mouille, et, vu les couinements qu’elle poussait, l’orgasme était proche. Ses tétons étaient durcis, pointant vers lui, et, quand il retournait près de son visage, il pouvait les sentir s’enfoncer contre son torse, un sentiment des plus agréables.

Oui, tout cela était particulièrement jouissif, et Cahir finit par s’abandonner en elle, sans trop savoir si Eri’ avait eu l’occasion d’avoir un orgasme ou non. Tout ce qu’il pouvait espérer, c’est que c’était bel et bien le cas.

Elle avait longuement gémi, et Cahir sentit cette force primitive qui l’animait diminuer rapidement. Ses mains étaient posées sur les cheveux de la femme, et il reprenait lentement son souffle, tout contre le corps de la femme. Ses muscles puissent l’enserraient, et son visage e frotta lentement contre le sien.

« Ah, Eri’… » soupira-t-il, au bout de longues secondes.

Cahir s’écarta un peu d’elle, et son dos s’appuya contre le mur. Le lit était étroit, mais il voulait offrir à la femme l’occasion de pouvoir respirer un peu. L’homme observa également le plafond, en soupirant, sa poitrine s’abaissant et se soulevant. Il reprenait son souffle, tranquillement, et parlant peu.

Dans ce genre de situations, on parlait souvent peu. Surtout, il ne tenait pas à se vanter, s’il n’avait pas offert à Eriulae tout ce qu’elle recherchait… Mais lui, en tout cas, il avait bien pris son pied !
DC d’Alice Korvander.

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