Etudier le passé et profiter du présent [Engel Zwitter]

Cela faisait longtemps que Bleiz n'était pas entré dans une bibliothèque. Ce n'est pas qu'il n'aimais pas lire, au contraire il adorait ça. Mais la vie qu'il menait, à passer d'un monde à l'autre, à risquer sa vie à tout instant ne lui laissait guère d'occasion d'y aller.

Il se baladais entre les rayons sans vraiment savoir ce qu'il cherchait, puis il tomba sur un exemplaire du "GoRin No Sho" de miyamoto musashi. Il adorait ce livre et était curieux de le lire sous sa langue d'origine. Il s'appuya contre une étagère et entrepris de le feuilleter.

La jeune femme remit ses lunettes fumés en place sur son nez, verifiant si sont autobronzant ne coulait pas. Parfait ... Cher, mais bon. Elle adorait. Elle resta à s'admirer dans cette jolie robe de mariée, la vendeuse ne cessant de lui dire que OUI, ça lui allait bien, alors qu'Engel trouvait toujours quelque chose qui n'allait pas. Ici trop grand, trop serré là ... Elle faisait des maniéres et adorait ça. Derrière, son amie souriait et donnait des conseils. Elle en était à sa 40e robe ...

Claire : Engel, dis moi, elle te plaît celle là ?
Engel : Plutôt oui, je vais la prendre.
Vendeuse : C'est pour un mariage ?
Engel : Non , pour un fantasme.

Son amie eu un rire aigu tandis que la vendeuse se redressa.

Vendeuse : Elle est chére.
Engel : M'en fiche, voilà ma carte.

Et oui, elle était tombée la veille sur la poule aux oeufs d'or, un mec bien innocent qui lui avait donné pas mal de fric contre une partie de jambes en l'air, et elle était partie avec son code et son porte monnaie. Maligne ... elle ne faisait ça que quand elle était fauchée ...

Vendeuse : Il vous manque 50 euros si vous prenez le voile.
Engel : 50 ?? Ah merde ...

Rapidement, elle retira la robe, en grimaçant de rage et de colére.

Engel : Vous me la gardez !

Elle renfila ses vêtements - son pantalon couleur ébéne, son chemisier blanc, son manteau en fourrure et ses longues bottes en cuir marron - et sortit à grandes enjambés du magasin. Elle rentra dans un bar -vide - , dans une librairie - fermée, elle se mangea la porte - et s'e,gouffra finalement dans la bibliiothéque. Il y aurait forcement quelqu'un ... Elle arpenta les etagéres, les couloirs, espérant trouver une personne ... qu'elle trouva. Son regard se posa sur l'homme qui lisait  contre une étagére. Elle reprit son souffle, fit claquer deux boutons de son chemisier et s'avança vers Bleiz, avec une voix qu'elle voulait seduisante.

Engel : Bonjour. Je cherche un thriller, vous en connaissez un bon ?

Bleiz leva les yeux et fut agréablement surpris par ce qu'il vis. la jeune femme était très séduisante. Pantalon noir, chemisier blanc légèrement ouvert au niveau du décolleté et botte en cuir. Le manteau de fourrure lui plaisais moins signe trop tape à l'œil de richesse. La jeune fille avait tout de la bourgeoise habituée à avoir tout ce qu'elle veut. Mais Bleiz ne jurais jamais sur la nature d'une personne avant de lui avoir parlé. Aussi répondit-il poliment.

-Désolé mais je ne suis pas d'ici et je ne connais que très peu la littérature japonaise. Si possible cherchez "Thomas Harris" la série de Hannibal Lecter est très bien. Ou encore Stephen King bien sur.

Engel se frotta le nez, signe particulier chez elle. Mouais, le plan ne marchait pas trés bien. Elle ne pouvait commencer à faire du rentre dedans, ce serait mal vu et trop brutal. Elle n'était pas une prostituée, non, mais il fallait faire des concessions pour certaines choses. la "proie" ne semblait pas simple à atteindre, ce qui compliquait les choses. Elle eut un petit sourire. Certes, elle n'avait pas d'idée, mais l'improvisation était un de ces talents. Elle se rapprocha de lui.

- Thriller ... j'en cherche des bons, et de préférence pas Americain. Dependre de ce regime me degoute.

Elle fit craquer ses phalanges.

Elle s'approcha plus prêt de Bleiz. Elle était vraiment très attirante et Bleiz se demandais se demandais pourquoi elle lui demandais à lui plutôt qu'as la bibliothécaire. Il aurait pus penser qu'elle cherchais à le draguer, mais bien que Bleiz se jugeait assez séduisant, ce genre de fille étaient plutôt attiré par les types fortunés et Bleiz n'en avait pas du tout l'air.
Il répondis poliment

-He bien malheureusement je n'en connais pas d'autres. Les thriller ne sont pas le types de livres que je lis le plus souvent. Navré de nae pas pouvoir vous aider.

Et il se replongea dans sa lecture.

HS/dsl j'aurais répondus plutot mais j'ai oublié d'aviser le post ^^'/HS

Bon d'accoooooooord, ça serait beaucoup plus difficile que prevu. Elle inspira, toussant un peu plus fort pour attirer l'attention de l'homme. Du rentre dedans ? Elle s'en sentait capable, il avait bien 50 euros sur lui. Elle se rapprocha davantage, posant sa main sur le livre qu'il tenait avec force mais douceur seduisante.

- Je connais des lectures bien plus interessantes, homme, dit elle en souriant et en passant sa main sur l'entrejambe de Bleiz tout en soutenant son regard.

Ce à quoi elle envoya litteralement voler le bouquin qu'il tenait à l'autre bout de la piece avec une violence sans bornes, tandis que sa main glissait davantage, ouvrant son pantalon.

okaaaaaaaaay ! Alors ça Bleiz l'avais pas vus venir. le bouquin en tombant fit un bruit sec mais il n'en avait cure. Une beautée BSBG était en train de lui ouvrir le pantalon et elle enfilai ça main à l'intérieur lui caressant doucement une certaine partie de son anatomie qui répondais assez favorablement. Soit cette jeune fille était une grosse nymphomane, soit une créature quelconque cherchant à l'attirer par le sexe (ce qui ne lui faisait pas peur), soit une fille qui désirait obtenir quelque chose de lui.

-Eh bien si je m'attendais à cela. c'est comme ça que vous entamez les conversations fasse à des inconnus ?

Une nympho qui avait besoin d'argent, exactement  La jeune femme eut un nouveau sourire pervers qui se coinça sur son visage avec une aisance parfaite, et elle se rapprocha de Bleiz, toute collée contre lui. Sa main continuait à le taquiner, et ses yeux envoyaient des signaux extrêmes et violents. Elle allait s'amuser. Il n'avait pas l'air d'être timide et coincé - tant mieux - et elle ne l'était pas, même dans une bibliothéque.

- Disons qu'il m'arrive de me montrer trés cultivée ... sussura t'elle en souriant.

Elle n'avait pas peur, lui ne semblait pas avoir froid aux yeux. Amusant ...

Décidé à en profiter le plus possible, la pris par les hanches, la tira contre lui et l'embrassa sauvagement. Sa main qui l'avait tirée vers lui s'attardait à présent sur ces fesses et son genou frottai légèrement contre son entrejambe.

-Et bien j'ai hâte de pouvoir mesurer l'étendue de votre... culture.

Son autre mains entrepris de défaire un à un les boutons de son chemisier.

Genial ... la jeune femme eut un long soupir en voyant qu'il reagissait plutôt bien à ses avances. Elle fit glisser plus longuement sa main, sensuelles comme jamais, glissant sa main sous le haut de l'inconnu, sans aucune peur. Un véritable délice, elle allait s'eclater ... Elle lui rendit son baiser,, s'enfonçant contre lui, et se decida à prendre les devants. Elle voulait un truc bien chaud, bien violent même, et n'avait pas froid aux yeux ... Elle glissa doucement le long de lui, ouvrant bien grand son pantalon pour venir taquiner du bout de sa langue le sexe de Bleiz. Tout en ce moment était excitant, et dangereux : on pouvait à tout instant les decouvrir ... et c'était cela qui donnait envie à la belle, qui laissa tomber son chemisier pour caler le membre de l'inconnu entre ses deux seins, continuant de permettre à sa langue de circuler librement ... 

Son chemisier laissa entrevoir une magnifique poitrine qui donnait envie a Bleiz. Mais avant qu'il puisse y gouter elle se mis à croupis et fit tomber son pantalons pour titiller de sa langue, le bout de son sexe.

Bleiz ne savait toujours pas si les envi de sa partenaire étaient uniquement sexuelles mais il s'en fichais. Si ce qu'elle voulait ne le gênais pas trop, il était prêt à le faire pour ce faire une si belle plante.

Elle enleva son chemisier et cala son membre entre ses seins pour le caresser tout en continuant de  jouer avec sa langue. Bleiz savourait se traitement si particulier en chuchotant.

C'est proprement délicieux ce que vous me faites mademoiselles. Cela faisait longtemps qu'une aussi jolie poitrine ne s'était pas occupé de moi.