C'est à moi [PV]

Encore une nuit, sans grand intérêt, Myuki avait traîné dans divers bars et autre lieux malfamés du quartier de la toussaint, mais rien. Pas un seul voyou pour venir s'amuser avec elle, pas la moindre sensation forte. Bien sur, elle avait sniffer une ligne et avait sucer celui qui lui avait offert celle-ci, mais rien pour la stimuler, lui faire battre le cœur à exploser, remplir ses veines d’adrénaline. Elle avait même espérer tomber sur une de ces créatures qui hantaient le quartier, d'après certains rapports et témoignages plus que douteux. Insatisfaite, la jeune femme était donc rentrée chez elle, avait retrouvé ce qui était devenu son foyer depuis son affectation dans cette ville.

L'appartement en lui même était agréable, un agencement sympa, lui offrait une grande pièce avec vu sur la ville à travers de large vitres. Myuki y passait le plus clair de son temps, regardant la télé, principalement la chaîne porno ou la chaîne des sports extrêmes. Cette pièce était assez dépouillée, un sofa convertible 5 places, faisait face au système audio-vidéo dernier cri et une table basse métallique, on y trouvait aussi un frigo, afin d'y conserver divers bouteilles, le reste de la pièce était vide. La jeune femme laissa tombé son blouson sur le sofa et tout en se déchaussant, alla dans sa chambre afin de se changer et prendre une douche. Cette pièce était elle aussi des plus vide, au milieu trônait un lit et contre un mur une commode. Une fois sa douche prise, Myuki se glissa dans un maillot de rugby bien trop large et grand pour elle. La jeune femme retourna ensuite dans le salon, pris une bouteille de bière et alluma la télé, tombant directement sur la chaîne porno. Sur l'écran une jeune femme, menue même pour une japonaise, était en train de tailler une pipe à un colosse. Leur différence de gabarit rendait la scène presque surréaliste, quand à la taille du sexe de l'homme, il semblait bien trop gros pour les petites mains de sa partenaire et ne parlons pas de sa bouche. D'ailleurs cette dernière avait bien du mal avec ce morceau de viande, se contentant de prendre le gland en bouche. Ne se sentant pas d'humeur pour ce spectacle, elle zappa pour tomber sur la rediffusion d'un classique des films d'horreurs, la nuit de morts vivants. Myuki but une gorgée de sa bière, regardant d'un oeil le film, ses pensées revenant sur la journée qu'elle venait de passer. Ce fut à cet instant qu'elle sentit une démangeaison au niveau de sa nuque, cette dernière s'intensifiait devenant presque douloureuse. Ce fut alors qu'elle s’apprêtait à quitter le sofa, qu'elle perçut comme une présence.

Rahemar voulait son dû. En effet, il s'ennuyait et dans cette mesure, il avait estimé qu'elle était mûre pour la cueillette et ferait un passe-temps des plus intéressants… il sourit intérieurement à cette idée alors que, sous forme d'un mince serpentin de fumée il vadrouillait pour la rejoindre, se laissant guidr par le petit symbole qu'elle portait sur la nuque. Il envisageait de la marquer ailleurs, transférer le symbole de place. Peut être, mais il voulait jouer, il voulait que tout se passe bien, que tout soit follement intéressant.

Il ne l'avait jamais complètement perdue de vue, il lui avait rendu plusieurs visites quand elle était une putain, dans l'anonymat, bien sur, me à l'école de police et même dans le jury qui lui avait permis d'obtenir son poste dans la police de Seikusu… et il pouvait continuer ainsi longuement. Il l'avait laissée grandir, il l'avait observée et l'avait suivie de loin, parfois jouant un peu avec elle (par exemple, les clients qu'il avait incarné quand elle était dans la prostitution n'avaient jamais été ls plus agréables, tant physiquement que dans le genre de pratiques sexuelles…

Finalement, il arriva dans la porte d'entrée de la jeune femme et, sous sa forme plus qu'éthérée, il se glissa lentement par la serrure, entrant dans l'appartement de la jeune femme, de sa jeune femme, oui, la sienne. Il se souvenait avec précision de la nuit où il avait passé ce pacte. En échange de la vie des parents, il avait obtenu l'enfant…. Et les parents avaient été de beaux jouets. Avaient-ils su un jour qu'il était celui qui les menaçait ? Sans doute pas…

IL la voyait, assise dans son canapé en train de regarder un film assez classique, en effet, la nuit des morts vivants étaient un grand classique du film d'horreur, enfin, lui, ça le faisait particulièrement bien rirer, rien de plus… IL détourna son attention de la télévision pour observer la rouquine. Elle n'était pas vilaine, même si sa tenue était très négligée, en effet, un simple maillot de rugby trop long… il s'approcha d'elle et prit une forme solide, la forme d'un être inquiétant : celui d'une ombre masquée dont on ne voyait que deux pettes lueurs rouges pour les yeux…

« Myuki… ma douce, ma gentille Myuki… je suis là pour toi... »

Il s'approcha alors qu'on entendait même pas le bruit de ses pas sur le sol alors qu'il cha,geait de nouveau, se faisant serpent alors qu'il s'enroulait autour de sa douce gorge sans l'étrangler, venant clairement frotter les écailles de son museau sur la marque qu'elle portait dans la nuque et d'une voix sifflante, il reprit la parole en se portant près de son oreille.

« M'attendais-tu, ma belle ? »

Myuki n'était pas du genre à se laisser impressionner, à laisser la peur ou le doute embrumer son esprit. Mais ce qui était en train de se passer dans son salon n'avait rien de commun. Quelque chose était avec elle, alors que sa porte était restée fermée et que personne n'aurait put rentrer sans qu'elle ne le voie. Dans l'obscurité de salon, tout juste éclairé par la lumière de l'écran télé, la jeune femme avait du mal à percevoir l'intrus. Elle fit un pas en retrait, se maudissant d'avoir laissé son arme hors de portée de sa main, lorsqu'elle crut distinguer deux lueurs rouges, semblables à des yeux. Ces dernières avaient disparu, alors que les mots prononcés résonnaient encore dans sa tête. Il était venu pour elle, était un désaxé passé maître dans l'infiltration, quelqu'un qu'elle avait envoyé en prison ou à qui elle avait fait un mauvais tour. Personne parmi les criminels ou ses connaissances posséder un tel avoir, un tel pouvoir. Elle aurait put penser à la magie, si seulement elle y croyait. Ce fut lorsqu'elle sentit le serpent s'enrouler autours de son coup et que ce dernier vint frotter cette marque qui se trouvait à la base de son coup, que la jeune femme commença à connaitre un début d'inquiétude. Mais étrangement, ce sentiment était aussi accompagné par une certaine excitation.

Ainsi la croyance de ses parents étaient fondées sur une vérité, de plus c'était la première fois qu'elle se trouvait dans une telle situation. Le sang battait à ses oreilles, sa respiration se fit plus rapide, l’adrénaline parcourait son corps. Chez certains cela était le début de la panique, mais pas chez Myuki, au contraire, elle était en train de vivre un frisson qu'elle n'avait jamais expérimenté. Un sourire apparut sur ses lèvres, un sourire nappé d'une certaine lubricité, d'une pointe de folie. Cette folie qui lui fait rechercher les sensations fortes, qui la pousse à toujours aller plus loin, qui fait d'elle une trompe la mort, une dardevil. C'était ce désir, ce comportement qui lui avait valut la plupart de ses problèmes, mais aussi un plaisir rarement égalé.

"Je n'attendais que toi ..."

De sa main, elle commença à caresser le serpent, la créature qui était venue pour elle, excitée avec une pointe de peur, ce qui lui promettait une sensation sans pareil. Myuki ne se souciait pas de ce qui allait arriver, savourant chaque once, chaque vague de cette folie qui était sienne. Tout son corps et cela se percevait dans sa voix, était prêt, n'attendait que de vivre et profiter à fond de l'expérience à venir.

IL s'attendait à davantage de peur, davantage de méfiance, d'incompréhension… il était déçu, très déçu… enfin bon, à quoi devait-on s'attendre exactement d'une personne assez imprévisible pour passer de putain à poulette… il eut un sourire intérieur alors que la jeune femme allait le caresser, lui, ce serpent qui, à son contact, s'évapora, comme si il n'existait pas , ou plus et qu'elle prenait la parole pour prétendre qu'elle l'attendait. L'attendre… elle en avait de bonnes, tiens… il était presque déçuy, mais qu'importe…

Mais si elle l'attendait, cela voulait-il dire qu'elle était au courant de tout, or ses parents devaient garder le secret… tssssst il n'aimait pas ce genre de choses… il regarda la jeune femme depuis les ombres dans lesquelles il s'état fondu avant de finalement réapparaître sous les traits d'un jeune homme, balafré, il ne devait pas être inconnu à la jeune femme…

« Alors tu as attenduu trop longtemps, car je suis venu te voir souvent… tu te souviens, cette ruelle, il y a plus de dix ans, lorsque je t'ai prise le cul et que tu goutais à la sodomie pour la première fois – pas consentante, est-ce vraiment la peine de le préciser... »

Il disparut et réapparut dans son dos, sous l'apparence d'un homme qui devait avoir la soixantaine bien tassée, au visage et au corps particulièrement gras. Bref, le personnage n'était pas très très ragoutant… même complètement répugnant… il était nu et sous les bourrelet et le repli de peau, une verge pointait vers le sol, plus qu'imposante.

« Et de moi, qui venait te voir presque un jour sur deux quand tu étais une pute et que je te maltraitait avec la plus grosse verge que tu aie jamais vue… je l'avais crée assez grosse pour que jamais tu n'oublies cette douleur… comme un cadeau pour toi, pour que tu te souviennes de moi... »

Il continua ainsi quelques minutes, alternant les apparences familières aux yeux de la jolie rousse et commentaires salaces – ou pas -  qui allaient avec. Mais tout n'était pas désagréable, juste que c'était plus souvent le cas… et finalement, il redevint serpent qui s'enroula autour de la jambe de la jeune femme, remontant le long de son mollet, de sa cuisse, passant sous le maillot de rugby et longer tous les endroits les plus intéressants…

« Tu n'attendais que moi, mais sais-tu seulement pourquoi je viens, et qui je suis, ma belle ? »

Dit-il alors que la tête du serpent  sortit la tête d du col du maillot, devant elle, sa tête presque contre la sienne…

« Et comment m'imaginais-tu ? Myuki à moi, toute à moi, rien qu'à moi... »

La confiance dont faisait preuve Myuki commença à disparaître, lorsqu'elle se rendit compte que tout cela était bien réel. Bien sur elle avait commencé par accepté cette vérité, que ses parents avaient passé une sorte de pacte avec un force surnaturelle. Mais si une partie de son esprit pouvait l'accepter, une autre partie plus primaire, plus instinctive, lui faisait ressentir qu'elle ne maîtrisait rien, que la créature qui se trouvait chez elle n'était pas quelque chose, qui devrait exister. Prendre des risques, chercher des expériences extrêmes, Myuki aimait cela, mais elle s'était toujours assurée d'avoir une certaine maîtrise. Mais avec cette créature qui lui prouvait que c'était lui qui avait le contrôle, la maîtrise, qu'il avait été présent dans sa vie, la jeune femme se trouvait sur un terrain inconnu. Lorsqu'il prit l'apparence des deux hommes, Myuki ne put s’empêcher d'avoir un frisson de crainte. Elle se rappelait parfaitement de ces hommes, de cette nuit durant laquelle, le contrôle lui avait été pris. De ce client qu'elle savait de pas devoir revoir, mais qu'elle acceptait car il payait bien et ce malgré les douleurs, sa soumission à ces désirs.

La créature qui lui faisait face, avait toujours eu le contrôle sur elle, joué avec elle, sans lui laisser la moindre chance, la moindre opportunité de reprendre ce contrôle. Le pacte qu'avait passé ses parents, la condamnait à être le jouer de cet être. Lorsqu'il reprit son apparence serpentine et qu'il se glissa sous le maillot, longeant ses courbes, Myuki était paralysée , une fine couche de sueurs apparut. Les mots finirent par la faire réagir, elle tenta de repousser le serpent, mais la chose n'était pas aisée, voire possible.

"Je ne suis à personne."

Des mots qui se voulaient puissant, ferme, mais qui ne l'étaient pas autant que voulut. Pour une des rares fois dans sa vie, Myuki sentait la peur la gagner, le doute l'envahir. Elle craignait de découvrir ce que cet être voulait d'elle, ce qu'il allait lui faire subir, allait elle, comme par le passé devoir se soumettre aux désirs de ce dernier, devenir son jouet. Malgré tout, elle ne comptait pas se laisser faire si facilement et céder à ce sentiment qu'elle sentait grandir en elle. Avec le temps, elle avait pris à le contrôler, à s'en servir, à l'ignorer. Elle savait que la créature était quelque chose face à laquelle, elle ne pouvait pas faire grand chose, si ce n'est ne pas céder à la crainte.

Rahemar ne faisait jamais rien sans rien, et pour le coup, il voulait lui faire comprendre à quel point elle lui avait toujours appartenu, car oui, c'était ainsi que cela se passait, que cela s'était passé. Elle était uniquement en vie pour être un jouet, quel que soit le type de jeu, qu'il soit sexuel ou autre… elle était tout à lui, consentante ou pas… en effet, elle était complètement à sa merci, et il le savait autant qu'elle le savait… il continuait de bouger dans la pièce, changeant sans cesse d'apparence, changeant sans cesse d'endroit, de forme, ne restant pas forcément « humain ».

Il regarda la jeune femme et sourit d'un air quelque peu torve. Il n'eut pas de grand sourire durable, juste fugace, mais ses yeux indiquaient clairement toute la jubilation de la situation… elle était à lui sans le savoir jusqu'à ce soir et maintenant elle savait qu'elle était à lui…. Il ne restait plus qu'à l'admettre. Il regarda et prit l'apparence d'un autre client, plus classique, eut être se souvenait-elle de lui, peut être pas…

D'un seul coup, la télé tressauta et il y eut une sorte de grésillement avant que d'un seul coup l'image revienne, il s'agissait du même film pornographique, sauf que c'était plus une locale qui cherchait à gober une verge bien trop grosse pour sa bouche, c'était Myuki… la jolie rousse semblait, quand elle réussissait à l'attraper en bouche, se démettre la mâchoire, voire, quand il y mettait des coups de reins, étouffer, presque… le dieu eut un sourire avant de venir doucement effleurer la joue de la jeune femme du dos de la main.

« Ma petite chérie, tu m'as toujours appartenu, depuis que cette marque est sur ta nuque… et tu m'appartiendras jusqu'à ta mort ou que tu ne me lasses trop… c'est ainsi que marchent les choses... »

Il glissa ses doigts sur la marque pentagrammique sur sa nuque, celle-ci chauffa soudainement, donnant l'impression d'une petite brûlure, très légère…. Il regarda la jeune femme et lui saisit le sein qu'il pétrit avec force et même violence, que lui importait si celui-coi était tuméfié après son passage…

« D'ailleurs, pour commencer tu sa le reconnaître et aller touche du front le sol, ensuite, nous verrons… situ refuses, tu auras mal, très mal... »

Il prit l'apparence de la jeune femme et sourit, une lueur mauvaise dans le regard...

Lorsque Rahemar se mis a changer d'apparence, n'en prenant pas toujours des rassurantes. Plus elle le voyait jouer avec ses apparences, plus Myuki sentait la peur la gagner, une sueur froide commençait à couler le long de son dos. Lorsqu'il prit l'apparence d'un autre de ses anciens clients, la jeune femme se demanda si tous ne pouvaient pas être que cette créature sous leurs apparences. De plus celui dont il venait de prendre l'apparence, avait été un client assez violent. Peut être que seul les clients particuliers avaient été en réalité la créature qui se trouvait chez elle.

Lorsque la télé tressauta, la jeune femme ne put s’empêcher de la regarder. La scène dont elle était témoin, n'améliora pas son état. Est ce que Rahemar, voulait lui montrer ce qu'il attendait d'elle. Ce fut la caresse qui ramena la jeune femme vers le démon. Cette caresse tétanisa la jeune femme, mais lorsqu'il lui caressa la nuque, elle sentit un léger frisson la gagner. Lorsque le démon se mis à lui pétrir un sein, elle ne put retenir une légère grimace de douleur. Par ce geste, Rahemar lui promettait et confirmait les mots qu'il prononça par la suite. Devant la nouvelle apparence que pris le démon, Myuki décida de ne pas tenter le diable. Ce fut malgré tout avec une certaine réticente qu'elle se mis à genoux et alla toucher le sol de son front, dans une position de soumission.

" Je te reconnais comme mon maître, je me soumet à tes désirs. "

Myuki ne pouvait retenir ses larmes de colères, mais aussi de peur, devant la créature qui se trouvait devant elle.

Apparemment, il avait bien choisi sa victime, tant d'années à l'avance… c'était toujours un pari dans ce genre de cas, il ne pouvait que difficilement prédire la manière dont le bébé évoluerait. C'était impossible de déterminer exactement ce qu'elle ferait de sa vie, ce qu'elle n'en ferait pas aussi, d'ailleurs… en fait, finalement, il n'était pas déçu… elle était mignonne, elle était assez bien fournie au niveau des courbes naturelles, la seule chose qu'il trouvait dommage était qu'elle avait les cheveux un peu court à son avis, il se souvenait que plus jeune, elle les avait plus long… peut être en avait elle eu marre de se retrouver les cheveux complètements collés par la semence… il avait toujours fortement conseillé et même souvent forcé par un peu de manipulation mentale pour cela… il se disait que c'était ce qui serait le plus difficile à enlever sans se couper les cheveux…

IL la regarda s'incliner, s'agenouiller jusqu'à ce que son froint touche le sol, sa crinière rousse s'écartant de sa nuque pour dévoiler la marque qu'il lui avait imposée alors qu'elle était encore si petite qu'elle n'avait presque rien senti… pourtant, quand il l'avait fait, il savait parfaitement quelle sensation de brûlure cela pouvait provoquer, il l'avait faire pour cela… il lui sourit et changea d'apparence pour poser un pied assez gros sur sa tête et lui écraser légèrement le visage sur le sol. Qu'elle mange le sol devant lui…

« Si tu savais comme ta formation m'a apporté du plaisir, ma petite chérie… tant de plaisir que je pensais que tu méritais que je te libères de cette obligation car ça aurait été gâché de potentiel… mais il te reste quelques petites choses à apprendre… notamment le respect de ceux qui te sont supérieur…  c'est à dire moi et ceux que je choisis comme tel... »

Il sourit et la saisit par les cheveux  pour la redresser… il avait pris le visage et l'apparence d'une énorme créature à la peau rouge, aux dents saillant hors de sa bouche et donc la langue serpentine très longue venait lui caresser le visage… il avait des sabots à la place des pieds et entre ses cuisses, un appareil sexuel absolument colosal qui ne rentrerait pas sans douleur et sans sang s'il décidait d'en arriver là… pour le reste, il excédait la taoille des humains d'un bon mètre et se courbait pour pouvoir se tenir debout ici… chacune de ses mains aux longues griffes auraient pu tenir son visage dedns...

« Au fait, ton nouveau coéquipier te plaît ? J'ai trouvé que vous iriez bien ensemble… une chienne et quelqu'un capable de lui apprendre à se tenir… j'ai beaucoup ri en pensant à cela alors que je persuadait el commissaire de vous coller ensemble... »

Ses énormes lèvres baveuses vinrent se coller aux siennes alors qu'il lacérait son maillotde rugby pour dévoiler ce qu'il y avait dessous, lacérant aussi au passage ses sous-vêtements, il trouvait dommage de les garder la laissant nue avec jusqe quelques lambeaux de vêtements sur le corps. Cela ne cachait rien… il lui sourit et, lui tenant toujours les cheveux, il la souleva de terre et lui tourna la tête vers la télévision qui continuait à montrer des scènes toujours plus hard et trash avec Myuki comme actrice principale…

« Regardes et dis moi donc tout ce que tu peux bien voir exactement… comment trouves-tu ton jeu d'actrice ? »

Et changeant complètement de sujet il lança alors qui donnait une brutale secousse sur la capilosité de la jeune femme.

« Ah et tes cheveux, je vais les rallonger, je préfère... »

En effet il venait de les rallonger d'un coup, comme si, en tirant sur ses cheveux, il les avait fait pousser suffisamment pour qu'ils lui arrivent au milieu des reins… c'était ça d'être le dieu de l'apparence…

« C'est mieux… et j'attends toujours tes commentaires sur la vidéo... »

Etre soumise, sous la volonté de quelqu'un, voila bien quelque chose que la jeune femme redoutait. Elle qui était fière de sa liberté, de sa force, de sa volonté, c'était elle qui choisissait et non les autres. Mais voila que l’existence de la créature qui était entrain de la soumettre, remettait tout en cause. Cette dernière était tout droit sortie des cauchemars de Myuki, balayant toutes ses convictions. Elle qui avait pensé que tout ses choix venaient d'elle, venait de découvrir que durant toute sa vie, ou du moins durant certains moment de celle-ci, elle n'avait été que le jouet d'un autre. Son humiliation grandit encore plus lorsqu'elle sentit le pied du monstre se poser sur sa tête, écrasant son visage contre le sol. Les mots qui furent prononcer, offrirent un espoir, aussi tenu soit il. Il avait faillit la libérer, devant le plaisir qu'il avait prit à la former. Mais cet espoir pouvait facilement être balayé, renvoyer dans ne néant, d'où semblait venir la créature.

Libérant son visage de la pression de ce pied monstrueux, le monstre l'attrapa par les cheveux, l'aidant à se relever. Il avait encore changé d'apparence, pour celle du diable cornu, aux jambes de bouc. Myuki ne put s’empêcher d’apercevoir le colossal sexe qui pendait entre ses jambes, ce qui ne la rassura nullement. La jeune femme avait le cerceau totalement embué, ne faisant pas attention aux mots prononcés. Mais il semblait que son nouveau partenaire, faisait partit de cette formation qu'il voulait lui inculquer. Lorsqu'il colla ses immondes lèvres aux siennes, elle tenta de résister, mais elle n'en avait pas la force. Le maillot finit par être déchiré révélant un corps nu, couvert d'une sueur dû à la peur. Libérant sa bouche, il lui fit tourner la tête vers la télé afin qu'elle voie le film pornographique qui y passait. L'actrice qui avait l’apparence de Myuki, en avait finit avec la fellation. La jeune femme avait le visage recouvert par ses larmes, son partenaire essuyait son énorme sexe sur son visage y étalant le mélange de salive et de sperme. Lorsque Rahemar lui tira les cheveux, Myuki grimaça de douleur, puis sentant ses cheveux pousser regarda ces derniers grâce à son reflet sur l'écran. Mais la créature, n'allait pas la laisser être distraite de la sorte et ramena son attention sur l'écran.

La scène avait changé et Myuki ne voulait pas la voir, l'homme à l'écran l'étranglait de sa main puissante, tout en lui fourrant trois doigts dans le sexe avec violence. Avant de lui cracher au visage et libérer sa gorge, la laissant reprendre son souffle. Rapidement ce ne fut pas trois doigts mais quatre, puis la main, pour finir par le poing qu'il enfonça avec force et brutalité. La myuki qui jouait dans le film, grimaça de douleur, mais on pouvait lire un certain plaisir dans son regard et ses grimaces. L'homme activait son bras tel un piston puissant, c'est alors qu'une ombre apparut, un nouveau participant tout aussi bien monté que le premier. Le nouvel arrivant, plaça son sexe devant la bouche de Myuki, qui l'ouvrit prête à accueillir ce nouveau venu qui ne se fit pas prier. Il plongea sa hampe de chair au fond de la gorge de la jeune femme, l'étouffant. Puis, il commença à gifler les seins de la jeune femme au rythme du bras qui œuvrait dans me vagin dilaté de la jeune femme.

Myuki regardait son double prendre plaisir à ce traitement, avec un dégoût et de la peur dans les yeux. Elle devait dire quelque chose, si elle ne voulait pas subir la colère du monstre qui la tenait à sa merci.

"C'est violent, mais j'ai déjà connut cela et ne veut plus subir un tel traitement."

Vous savez que sentir sa peur, sentir sa douleur, c'était deux choses qui étaient plus que jouissives pour un être comme lui… et elle aimerait qu'il apprécie cela au point d'etre plus volontaire, cela viendrait, il le savait autant qu'elle sans doute.. il eut un petit regard pour finalement lui caresser doucement les cheveux désormais bien plus long, il ne pouvait s'empêcher de jouer avec, trouvant cela bien plus joli, bien plus agréable.. il eut un sourire avant de finalement entendre son avis… un avis qui lui plut beaucoup… il ne put s'empêcher de ricaner avec que ses griffes lui pinçaient un mamelon…

« Oh oui, c'est violent… mais tu feras ce que je te dis de faire et s'il faut que tu en passes par là, tu le feras, plus encore, tu aimeras cela car tel sera mon bon plaisir… tout comme je peux décider tout dans ta vie, depuis ton coéquipier qui ferait n'importe quoi pour que tu sois sa chienne, jusqu'aux personnes qui vont te remplir tout au long de ta vie en passant par les emmerdes quotidienne, je gère toute ta vie, et tu n'es là que parce que je le veux bien... »

Il laissa glisser sa griffe le long de sa joue avant de glisser le long de son corps, récupérant une gouttelette de sueur.

« Ça sent la peur, j'aime ça… allez, ma grande, ma belle Linda… montre que tu feras tout ce que je désire que tu fasses, montre que tu m'obéiras bien…

Il sortit de nulle part un joli collier de cuir, semblable à celui des chiens et un jeu petits anneaux, trois ou quatre en fait qu'il montra avant de finalement les déposer à même le sol, les lâchant en fait. Ils rebondirent avant que finalement il ne lui caresse la joue avec le collir lié à une jolie laisse de la même manière.

« Tiens, porte donc le collier de ta servitude pour moi, et serre le bien, qu'il ne glisse pas… tu auras le droit de mettre une écharpe ou un foulard pour le cacher, mais tu ne pourras jamais l'enelver une fois refermé… tiens le toi pour dit... »

Il lui sourit et lui embrassa le front alors que ses mains griffues se dirigeait vers ses cuisses impérieux et directifs, sans la moindre retenue...